Attention, l’histoire à venir se déroule dans une version alternative de notre monde où la magie et le fantastique existent mais sont cachés aux yeux des humains.

L’histoire est influencée par des univers tel que « Vampire : La mascarade » ou « Warhammer ». Il s’agit donc d’univers très sombres, certaines scènes pourront donc être un peu malsaines, glauques ou encore trash dans les chapitres à venir. Il peut aussi y avoir des relations sexuelles avec des espèces d’animaux anthropomorphes ou autre créature magique.

Cependant, ce premier chapitre ne contiendra pas de scènes dans ce genre (à l’exception d’une relation avec une fée) et les contenus particuliers seront toujours annoncés en début d’histoire.

Voilà, vous avez une petite idée de ce que vous allez lire. Profitez bien !

______________________

Voilà une froide nuit d’hiver comme je les aime. Je marche tranquillement dans les rues de la ville alors que quelques flocons tombent tranquillement du ciel… enfin c’est ce que les humains pensent, la réalité est un peu différente, mais on y reviendra plus tard…

Du coin de l’il je vois mon ombre déformée par mon manteaux long qui est projetée au sol par les lampadaires. Une bourrasque de vent vient d’écraser contre mon visage et en profite pour faire flotter brièvement l’écharpe accrochée à mon cou. Je tourne à droite au prochain croisement pour arriver dans l’une rue d’un quartier chic. Je croise une femme d’un âge avancé, portant un luxueux manteaux de fourrure et qui promène un minuscule animal que je devine être un yorkshire emmitouflé dans des vêtements pour chien… Je la salue poliment d’un simple signe de tête et poursuit mon chemin.

Après avoir marché encore un peu, je m’arrête finalement devant un hôtel du luxe. Je sors mon portable pour vérifier que c’est bien l’endroit qu’on m’a indiqué par message et il s’avère que c’est bien le cas. Je range mon téléphone, quelques peu pensif.

J’avais reçu un message m’indiquant cette adresse pour un rendez-vous aujourd’hui, mais je n’ai pas la moindre idée de qui me l’a envoyé, malgré mes petites recherchent sur le sujet… Et puisqu’il faut croire que je suis un peu fou, j’ai décidé de m’y rendre. Surtout que quelqu’un qui arrive à me trouver mérite que je le rencontre…

Me voilà donc au pied d’un hôtel de luxe pour un rendez-vous mystérieux qui doit commencer dans cinq petites minutes. Je monte les quelques marches recouvertes d’un tapis rouge pour arriver aux portes dorées de l’établissement. Je sens qu’il y a de nombreuses énergies magiques en ce lieu, ce qui ne m’étonne pas vraiment, mais qui pourra toujours m’être utile de noter pour plus tard. Après tout, un bon hôtel avec du personnel magique c’est toujours bon à prendre.

Le portier m’ouvre et à peine suis-je entré qu’une jeune femme portant un tailleur élégant s’approche de moi :

-Bonsoir monsieur. Vous êtes bien M. Gilon ?

La demoiselle est souriante et vraiment ravissante. Elle a de beaux et longs cheveux blonds arrangés en queue de cheval et des yeux émeraudes pétillant d’une lueur presque irréelle. Et chose que la plupart des gens ne devaient pas remarquer à cause du voile magique, ses deux grandes oreilles qui devaient bien avoisiner la vingtaine de centimètres. Car oui, à n’en pas douter, cette charmante employer de l’hôtel est une elfe, avec tous les attributs physiques que cela implique ; à savoir un corps très allongé, à la taille fine et aux mensurations très en accord avec son aspect longiligne. Je dirais même qu’il s’agit d’une elfe du nom d’Alya si j’en crois son badge doré.

Je lui souris à mon tour et hoche la tête de manière affirmative.

La demoiselle poursuit donc :

-On m’a demandé de venir vous cherche dès votre arrivée pour vous amener… là où vous avez rendez-vous. Voudriez-vous bien me suivre M. Gilon ?

-Mais bien sûr mademoiselle. Je vous en prie, je vous suis.

Je me rends bien compte que toute cette histoire est bien trop louche et mystérieuse, mais je prends le risque.

Nous traversons le hall d’entrer avec ses dorures au plafond et son sol en marbre blanc. La jeune elfe et moi-même nous rendons jusqu’à un ascenseur. Une fois dedans, le miroir qui le décore me renvoie l’image qu’on a de moi : Un jeune homme qui a tout au plus un milieux de vingtaine, avec des cheveux bruns bien coiffés et des yeux verts feuilles. Si j’ai dit que l’on m’accorde le plus souvent un milieux de vingtaine, c’est bien grâce à mon bouc et ma moustache bien taillés… Sans ça, c’est à peine si on penserait que je suis majeur… Et pourtant…

Rapidement, nous arrivons au dernier étage de l’hôtel. Sachant que dans ce genre d’établissement, le prix de la chambre est souvent proportionnel à sa hauteur, je suppose sans mal que la personne que je dois rencontrer n’est pas n’importe qui.

Il n’y a qu’une seule porte visible et bizarrement aucune garde du corps ou quelconque service de sécurité pour la protéger. Alors qu’Alya s’apprête à frapper, la porte s’ouvre. Un mastodonte des plus imposant apparaît devant nous avec un regard froid et presque cruel. La jeune femme peine à articuler :

-Bon… bonsoir… M. Gilon est là…

L’homme habillé en noir n’a pour seule réponse qu’un simple mouvement de tête accompagné d’une sorte de grognement sensé m’inviter à entrer.

Je ne suis pas l’homme le plus rassuré du monde en cet instant, mais je fais mon possible pour que ça ne se voit pas. De toute façon, j’ai déjà survécu à des situations bien plus angoissantes. Je jette un dernier coup d’il à la demoiselle de l’hôtel qui s’en va penaude et semble me murmurer un « désolé » juste avant de reprendre l’ascenseur.

Je me retourne vers le mastodonte et je lui fais un grand sourire exagéré. Il s’écarte légèrement, me laissant ainsi entrer.

Je pénètre donc dans un lieu à la lumière extrêmement tamisée. Les murs sont dissimulés derrière de nombreux tissus et autres tentures semblant aller du violet au pourpre. Il me semble entendre un peu de musique venant d’une pièce plus avancée dans la suite. Je me dirige donc vers cette mélopée qui s’avère rapidement être ce que je reconnais comme un style de goth rock à tendance très emo…

J’arrive à la porte d’où vient la musique et il se trouve que ladite porte est ouverte. La pièce est une sorte de salon, lui aussi décoré dans un style gothique. Sur un grand canapé que je devine rouge rouge, une jeune femme rousse est allongée, un bras lui recouvrant les yeux. Elle porte des chaussettes rayées noires et violettes, une jupe noire avec une grosse ceinture et un top trop petit pour sa poitrine et tout aussi noir que le reste. Une armada de bracelets est répartie sur ses poignets et ses ongles semblent recouverts d’un vernis violacé… Et pourtant, malgré tous ces changement, je reconnais tout de suite ma vieille amie. De ma voix chaude et grave, je prends la parole pour que la douce me remarque :

-Si quelqu’un m’avait dit un jour que la Comtesse Élisabeth Báthory céderait à la mode gothique… Je crois que je lui aurai ri au nez…

La jeune fille se redresse sur un coude et me regarde avec un sourire et dit en rigolant :

-Woua, Nathan… ça fait une éternité qu’on ne m’avait plus appelée comme ça…

Me rendant compte que je ne risque rien, je me détends. Mon manteau et mon écharpe s’envolent (littéralement) pour aller se ranger sur un porte manteau vu à l’entrée. Je m’installe dans un fauteuil en face du canapé de mon interlocutrice et baisse un peu le son de la musique avec ma magie. Je lui rends son sourire et lui répond :

-Tu m’étonnes que ça fait longtemps… Ça fait quoi ? Deux siècles qu’on s’est pas vu ? Du coup, comment on t’appelle au XXI siècle ?

-Oh tu sais, on m’appelle pas trop. Je me fais discrète…

-C’est ce que j’ai cru comprendre vu la quantité d’infos hallucinantes qu’il y avait dans ton message. Lui dis-je sarcastiquement.

-T’es bien placé pour parler… Tu sais à quel point ça été dur pour te retrouver et avoir ton numéro ? Me répond-t’elle en jouant faussement les offusquées.

-Disons que… Moi aussi je me fais discret… Mais revenons à toi ma belle. D’après les rumeurs, t’était en sommeil…

-C’est vrai… Et tu veux savoir comment c’est arrivé je suppose…

-Non… enfin…si tu veux en parle, je suis là. Mais de toute façon, c’est toujours un peu la même chose avec vous les vampires quand vous entrez en sommeil… Non, moi, ce que je veux savoir c’est qui t’a réveillée ? Je ne vois aucune de tes « filles » ici… Sachant comment tu es avec celles que tu transformes, ça m’étonne.

Le visage de la jeune femme s’assombrit à mes mots. Visiblement, j’ai touché la corde sensible. Je commence à m’inquiéter pour les suivantes de la comtesse :

-Lisa, qu’est-ce qui s’est passé ?

La belle a le regard perdu au sol et d’une voix hésitante, elle commence à m’expliquer :

-Pendant que… Pendant les cinquante ans où j’étais en sommeil, j’ai été visité par un incube. Il n’a pas fait que coucher avec moi dans mes rêves… il m’a changée… Avec le temps, il m’a ensorcelé pour que je ne puisse plus avoir de désir pour quoi que ce soit d’autre que lui…

Ce sont bien mes suivantes qui m’ont réveillée, mais je me suis rapidement rendu compte que le simple fait de les voir me dégouttait… Je leur ai donc demandées de partir…

Nathan, tu dois m’aider ! Je n’ai même plus le désir de boire du sang. Je me laisse dépérir et je vaux mieux que ça.

Tu es un excellent mage et surtout, tu es le meilleur alchimiste qui soit. En plus, tu es le seul en qui je puisse avoir confiance.

Par pitié, aide moi !

-Ok, calme toi. Je vais t’aider… Bon, c’est qui ton incube ? Histoire que sache quel type de potion il te faut.

-Heinzmat…

-Attends quoi ? Heinzmat ? Le Heinzmat ?

-Oui. Me répond-t’elle penaude.

-Tu te rends bien compte que c’est pas juste un incube ? C’est le Roi des incubes et succubes des enfers… C’est le plus puissant de tous.

-Je sais… dit-elle désolé.

-Même moi je ne suis pas sûr d’avoir la puissance nécessaire pour t’aider. En plus, tu l’as bien vu… J’essaie de ne pas me faire remarquer et toi tu me demandes de contrer un Prince des enfers…

Je m’interromps et je la regarde. La belle vampire transpire le désespoir et ses yeux gris commencent à se remplir de larmes. J’ai de la peine pour elle. Je ne peux décemment pas la laisser dans cet état. Je réfléchis quelques secondes dans un silence de mort. Puis, je prends une grande inspiration avant de déclarer :

-Il va me falloir des ingrédients très particuliers et très rares pour faire un philtre efficace contre un démon de cette envergure…

La rousse relève la tête, une lueur d’espoir dans le regard :

-Ça veut dire que tu acceptes ?

-Bien sûr que j’accepte.

Les nerfs de la jeune femme éclates et les larmes commencent à couler de joie. Je fais apparaître une fiole dans ma main et me précipite à côté d’elle pour récolter les larmes sur ses joues. Surprise elle me demande :

-Mais qu’est-ce que tu fais ?

-Les larmes de vampire sont un ingrédient particulièrement puissant pour les potions sexuelles ou amoureuses.

Une fois ma récolte terminée, je ferme la fiole et l’envoie rejoindre la poche de mon manteau. Je fais apparaître deux autres fioles et je les tends à Lisa :

-Il me faudra aussi un peu de ton sang et… de ta cyprine.

-Mais, mais… je t’ai dit que je n’avais plus de désir…

-Sauf pour lui… Désolé, mais il faudra que la récolte en pensant à ton cher incube.

En entendant ses mots, son visage prend une mine de dégoût, mais une petite lueur d’excitation s’allume dans son regard.

De mon côté je réfléchis aux autres ingrédients nécessaires et je les énumère :

-Il me faudra aussi le « sang de noce » d’une femme d’au moins 25 ans, ça sera sûrement le plus compliqué. Une corne de satyre, un pénis de minotaure… mais ça je sais où en acheter… Sinon, je crois que ça ira… en plus, il doit me rester un peu de sable de rêve chez moi.

Ça sera la nouvelle lune samedi de la semaine prochaine, c’est là que je finirai la potion et que tu pourras la boire. Je compte sur toi pour tes deux ingrédients persos.

-Attends, tu veux dire que tout ça sera fini la semaine prochaine ? Si vite ? Vraiment ? Je croyais que briser ce genre de sort était impossible ou presque.

-C’est le cas… Mais, tu l’as dit toi-même ma belle… Je suis le meilleur en alchimie.

Bon, je vais te laisser à tes affaires, moi j’ai une montagne de boulot qui m’attend grâce à toi.

Je me lève et lui dépose une bise amicale sur la joue avant de m’en aller. Mon manteau et mon écharpe me rejoignent pendant que je traverse la suite et je me dépêche de repartir.

Je rentre à pied, pas de bus, ni de taxi. J’ai besoin de réfléchir et il n’existe rien en ce bas monde qui me permet mieux de mettre de l’ordre dans mes idées qu’une balade nocturne.

Après près d’une heure de marche dans la ville, j’arrive chez moi. Il s’agit d’un appartement luxueux au dernier étage d’un immeuble très récent. À peine ai-je franchi la porte sécurisée de mon appartement que j’entends une douce voix aiguë :

-Nathan ! Tu es rentré !!!

Je vois une lueur bleue me foncer dessus et je la sens heurter mon buste pour s’y blottir.

Il s’agit d’Ana, une créature que j’ai… créée. C’était en plein moyen-âge, tous les alchimistes voulaient créer la vie… c’est juste que moi j’ai réussi. C’est donc aux alentours du XVIème siècle qu’Ana a vu le jour dans mon laboratoire de l’époque. Pour vu la décrire, Ana a tout d’une sublime jeune femme… mais elle est bleue luminescente , elle a des cheveux noirs, des yeux violets, des ailles de libellules qui lui permettent de voler et… elle mesure 50cm. Je vous rappelle que c’était la mode du concept de l’homoncule chez les alchimistes.

Bref, on aurait pu penser qu’une relation père fille allait naître avec ma création. Et ça aurait été le cas, je pense, si je ne l’avais pas créée avec un intellect d’adulte… Et, pour une raison que j’ignore sincèrement, Ana est rapidement tombée amoureuse de moi. J’ai bien tenté de résister à la tentation pendant quelques décennies, mais j’ai fini par craquer et depuis… nous sommes dans une sorte de similis relation de couple effroyablement simple et complexe à la fois.

Mais pour revenir à l’instant présent, je pose ma main sur le bas de son dot pour la serrer contre moi et je lui dépose un baiser sur la tête avant de lui dire en plaisantant :

-Voyons ma belle, on s’est laissé ce matin, t’as pas un peu l’impression d’exagérer ?

Elle s’écarte un peu de moi en voletant et me répond en rougissant :

-Il n’empêche que tu m’as manqué…

Puis ma petite fée bleue me fait une petite moue séductrice dont elle a le secret avant de poursuivre :

-Pourquoi ? J’ai pas le droit de te dire à quel point tu m’as manqué après cette longue journée que j’ai passée toute seule… si seule…

En disant ces mots, je la vois commencer à caresser sa poitrine d’une main et à laisser glisser l’autre sur sa hanche. Il faut d’avoir qu’Ana a une très belle poitrine, si elle avait une taille humaine, elle ferait du bonnet D, voir du bonnet E.

Et je vous vois venir… non, je n’ai rien à voir la dedans ! J’ai créé un être aléatoirement à la base. Je ne pouvais pas savoir que la forme qu’elle prendrait serait celle d’une petite fée bleue sexy et un peu nympho.

Mais bref, une fois de plus, je m’égare. Je renvois mes affaires se ranger magiquement et je m’approche de la belle. Je saisis ses petites mains délicatement et y dépose un baiser.

-Je comprends mon ange… Tu sais ? Ça a été très dur pour moi de passer toute cette longue journée loin de toi… Je crois qu’on a tous les deux besoin de réconfort après tant de temps éloigné.

À peine ai-je prononcé ces mots, qu’Ana m’embrasse à pleine bouche et nous dirigeons vers la chambre à coucher alors que mes vêtements s’envolent littéralement au rythme de mes pas. Une fois nu et dans la chambre, je m’installe sur le lis et je vois la belle qui atterrit entre mes jambes écartées. Elle retire sa robe, qu’elle balance dans un coin de la pièce, laissant apparaître la beauté magique de son corps bleuté nu et dépourvu de tout poil.

Ana s’approche de mon sexe commençant à durcir, puis elle se penche dessus et se met à frotter sa poitrine contre ma tige. Pendant deux bonnes minutes, la douce me branle de tout le haut de son corps.

Une fois mon pénis ayant atteint une rigidité lui permettant d’être à la verticale, la demoiselle s’agenouille entre mes jambes pour me prendre en bouche.

Elle commence d’abord par me lécher le gland avec sa petite langue.Alors qu’elle me lèche, je continue de sentir sa poitrine contre ma tige et c’est une sensation sublime. Elle me lèche vraiment avec avidité et elle salive énormément. Tant et si bien, que mon sexe et son corps entier se retrouvent rapidement recouverts de salive. Son corps brillant des reflets de la lumière sur sa propre salive reste une vision d’un érotisme dont je ne me lasserai jamais. Après un moment de léchouilles elle avale mon sexe qui devient de plus en plus dur.

Sa petite bouche ne lui permet pas de me gober beaucoup de mon sexe. Mais la totalité de mon gland se retrouve tout de même dans sa cavité buccale. Je vois ses joues déformées par mon gland et je sens sa langue continuer de s’agiter alors qu’elle me pompe de toutes ses forces. En même temps qu’elle s’applique à me prodiguer une fantastique fellation, Ana se caresse les seins et le sexe avec un désir brûlant dans ses yeux Rapidement, sa bouche experte, mon pénis atteint sa taille maximale de 20cm.

Une fois que je suis suffisamment dur au goût de ma belle, sa bouche me relâche et ses ailles s’agitent et elle s’envole pour venir se poser au-dessus de mon sexe. Ana écarte les jambes en vole et vient se poser sur mon pénis.

Ana est complètement trempée de par sa mouille et sa salive, à tel point que malgré l’étroitesse de son vagin, je la pénètre facilement. Petit à petit, centimètres par centimètres, la gravité aidant, tout mon sexe fini par se retrouver en elle… Oui, c’est physiquement impossible, c’est pour ça que j’aime la magie !

Je peux sentir mon sexe compressé en elle. La belle ondule et gémit. Je la sens palpiter et la chaleur de son corps s’intensifie pour mon plus grand plaisir.

Ana s’agite de plus en plus au fur et à mesure que les minutes s’écoulent. Ses mouvements s’accélèrent et ses gémissements se muent en cries de plaisir. La belle se crispe dans un orgasme magistral, qui malgré la petitesse de la fée, l’a fait gicler tellement fort que tout mon bas ventre s’en retrouve détrempé.

La demoiselle est dans un état second, enivrée de plaisir et littéralement empaler sur mon sexe toujours aussi dur. Je lui caresse délicatement et tendrement le visage pendant qu’elle reprend ses esprits.

Les ailles dans le dot de ma belle s’activent alors qu’elle revient à elle et est extirpe mon sexe de ses entrailles, non sans laisser s’échapper davantage de gémissement. Elle revient se poser entre mes jambes et me regarde d’un air coquin pour me dire :

-Après toutes ses émotions, il me faut un bon remontant…

Ana s’agenouille à nouveau et elle gobe mon gland enduit de cyprine et de pré-sperme. Je vais de sensations divines en sensations divines. Rapidement, malgré mes efforts et mon entraînement, je finis par sentir mon plaisir arriver. Alors que me pénis palpite de plus en plus, ma fée s’active encore davantage et je finis par décharger ma semence dans sa jolie petite bouche. Elle l’avale avec un plaisir manifeste sans en perdre une goutte.

Après s’être léché les lèvres et avoir déposé un baisé sur mon sexe, Ana s’envolent pour venir se coucher de sorte à ce que nos têtes soient au même niveau. Nous échangeons un doux baiser et nous regardons tendrement en silence.

Suit à ce moment, elle finit par me demander :

-Alors, c’était qui ce mystérieux rendez-vous ?

-Elizabeth Báthory… Elle est sortie de son sommeil et elle voulait me revoir…

Je vois une petite lumière s’allumer dans son regard… Une lueur de désire :

-Oh… ça fait longtemps que je l’ai pas vu… Elle va bien ? Elle est toujours aussi sexy ?

Amusé, je lui réponds en plaisantant :

-C’est une vampire, elle ne change pas beaucoup… Et non, elle va pas top, c’est pour ça qu’elle voulait me voir…

-Qu’est-ce qui lui arrive ?

-Elle s’est fait envoûter par un incube et elle…

Ana m’interrompt pour finir ma phrase :

-a besoin d’un filtre pour contrer l’envoûtement !?

-T’as tout compris mon ange.

-Merci mon cur. Bon… et c’est qui son incube ? Je le connais ?

-C’est… Heinzmat…

-Tu te fous de moi ? Par pitié, Nathan, dis moi que t’as refusé de l’aider !

-Tu sais bien que je suis le seul à pouvoir l’aider… T’inquiète pas, ça va aller. Tu sais bien qu’on ne me tue pas facilement.

-Je sais… c’est juste que…

-Moi aussi je t’aime et je tiens à toi Ana.

La douce me répond en m’embrassant, puis d’un air mutin et enchérie:

-J’espère qu’une fois que son problème d’envoûtement sera réglé, elle nous invitera à au moins une de ses orgies avec ses filles…

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