Cette histoire authentique s’est passée il y a trente ans, en mars 1983, à l’époque, j’ai 36 ans. C’est certainement le plus étonnant de mes souvenirs d’une nuit avec une femme.

Jétais alors audit informatique et je contrôlais le système d’une importante société. Jétais constamment avec l’équipe technique, informatique et lancement de fabrication. Ce dernier service était dirigé par une femme de 36 ans, Danielle X…. Une belle femme, mince, élancée, un très beau visage, très beaux cheveux longs et sombres, yeux verts très expressifs, un beau corps avec une belle poitrine pas trop volumineuse, et apparemment, un très beau cul. Elle était toujours habillée très classe, belles robes ou jupes, très beaux corsages et toujours en escarpins assez hauts. Elle portait constamment des collants, été comme hiver et des sous vêtements blancs, elle m’expliquera plus tard que les sous vêtements de couleur, surtout noir, ça fait pute. Cette femme ne passait pas inaperçue et tous les regards convergeaient vers elle partout ou elle passait. Nous étions très souvent ensemble, du fait du travail. Nous déjeunions ensemble à midi pour parler du boulot. Petit à petit une certaine complicité s’est établi entre nous. Plus je la regardais, plus je travaillais avec elle et plus elle me plaisait. J’aimais bien son allure, sa démarche, et sa manière d’aborder les problèmes.

Un lundi soir, sa voiture ne démarre pas, je me propose de la raccompagner chez elle, je savais que c’était sur mon chemin. Elle accepte, et arrivés devant chez elle, elle me propose de rentrer boire quelque chose. Je refuse, en lui proposant de passer la prendre le lendemain, ce qu’elle refuse et je rentre à mon hôtel. Le lendemain, arrivé au boulot, elle vient vers moi et me demande de but en blanc.

— Vous avez quelque chose contre moi, je ne vous plais pas?

Je la regarde étonné de cette question.

— Pas du tout, qu’est ce qui vous fais penser ça?

— Pourquoi n’avez vous pas accepté mon invitation hier?

— Parce que jétais très fatigué, le lundi je me lève à quatre heures pour arriver à huit heures dans l’entreprise et le soir je suis fatigué. Si je vous ai vexé, je vous prie de bien vouloir m’excuser et j’accepterais volontiers votre prochaine invitation.

— Très bien, venez dîner ce soir chez moi à vingt heures.

— Ok, j’y serais.

La journée se passe comme d’habitude, j’avoue avoir une certaine impatience à aller dîner chez Danielle. Le soir, j’arrive à vingt heures, elle me fait entrer chez elle, il y a un chien qui vient me renifler et qui grogne un peu. Elle l’attrape par son collier et le sort de sa maison. Ce chien ne m’acceptera jamais. Nous nous installons dans son salon pour prendre l’apéritif. Danielle est plus décontractée que d’habitude, elle n’a pas de soutient gorge sous son corsage Chanel très léger, avec deux boutons non mis, ce qui laisse apparaître la naissance de ses seins. Sa jupe est plus courte que celle qu’elle porte d’habitude, et oh miracle, elle n’a pas de collant. Elle est maquillée et légèrement parfumée. Elle s’assoie devant moi et la discussion commence. Elle croise souvent ses jambes et je peux apercevoir son slip blanc. Je remarque ses narines qui palpitent, ce que je n’avais jamais remarqué auparavant. A bien y regarder, elle me drague, mais elle ne sait pas comment s’y prendre. En tout cas, cela lui va bien et je remarque, quand elle croise ses jambes, une petite auréole qui apparaît sur son slip. Pas de doute, le fait d’être exposée comme ça l’excite. Elle lève, se penche au dessus de la table basse pour prendre une sous tasse vide. Son corsage pend et j’ai une vue plongeante sur sa poitrine. Là il faut que je dise quelque chose

— Vous avez une magnifique poitrine.

Elle me regarde avec des revolvers dans les yeux.

— Enfin, monsieur ……

— Ne vous en faite pas, je suis très discret, cela dit, je vous trouve très belle et en particulier vos seins. Vous êtes une femme très attirante.

Elle rougit, tourne les talons et va vers la cuisine. Elle revient avec une tasse remplie d’olive et se penche de nouveau pour la poser sur la table, mais là, elle me regarde droit dans les yeux. Je la regarde une seconde et je dirige mes yeux vers ses seins. Je lui prends la main qui tient la tasse et lui fait faire le tour de la table basse. Je l’assoie à côté de moi, me penche sur elle et pose mes lèvres sur les siennes. Ma langue force sa bouche qui finit par s’ouvrir et nous échangeons un long baiser. Elle pose sa tête sur mon épaule.

— Enfin, je croyais que ça n’arriverait jamais.

— Quoi donc Danielle?

— Votre bouche sur la mienne.

— Il y a un moment que j’y pense, mais je n’étais pas sûre de vos sentiments.

Pour toute réponse, elle pose sa bouche sur la mienne pour un second baiser passionné. Ma main parcoure son corps, ses seins, ses hanches, son dos. Là elle tressaille au contact de ma main sur sa colonne vertébrale. Je découvrirai plus tard que c’est son point le plus érogène. Une simple pression sur son dos déclenchait sa libido. Je tente de l’allonger sur le divan mais elle résiste et se redresse.

— Il faut manger maintenant.

Je la suis à table, elle se met en face de moi. Je suis un peu frustré mais le repas se passe très bien. Après le café, je veux prolonger ce qui s’est passé entre nous, mais je sent qu’elle n’est pas sur la même longueur d’onde. Je prends donc congé et lui dépose quand même un petit baiser sur la bouche.

Le lendemain, Danielle arrive, elle est radieuse, et la journée commence très bien.

— Danielle, je vous invite ce soir dans le restaurant de votre choix.

— Vous nêtes pas obligé.

— Ce n’est pas une obligation, c’est un plaisir.

Le soir venu, je vais la prendre chez elle, elle est habillée Chanel, un corsage léger sans soutient gorge dessous, une jupe assez courte, une veste et des escarpins. Elle est maquillée et magnifique. C’est vraiment un canon. Nous dînons et retournons à la voiture après le repas. Elle a bu plus que de raison, sans que j’y sois pour quelque chose, j’ai eu l’impression qu’elle voulait ne plus être maître d’elle même et pouvoir se laisser aller.

Ma voiture est une énorme américaine de six mètres de long des années soixante avec une banquette à l’avant. Elle s’assoie à côté de moi et se penche pour me remercier. Je prends sa tête dans mes mains et l’embrasse fougueusement. Elle répond à mon baiser avec la même fougue. Mes mains se baladent sur son corps, j’ouvre son corsage, elle ne dit rien et se laisse faire. Ma main gauche descend sur ses jambes, remonte les collants et arrive sur son entre jambe. Je sent qu’elle mouille, elle ondule mais ne fait rien pour me faciliter la tâche. Pourtant ses baisers sont passionnés, je ne comprends pas très bien ce qui se passe. Je la caresse sur tout le corps, mais quand j’arrive vers son sexe, je vois qu’elle est extrêmement excitée, mais impossible d’aller plus loin. Au bout d’une demi-heure, je la redresse.

— Je vous raccompagne chez vous?

— Non, je veux rester avec vous, mais promettez moi de ne pas me forcer à faire quelque chose que je ne voudrais pas faire.

Je ne comprends pas très bien le sens de cette question mais j’accepte. Nous arrivons à mon hôtel, il n’y a personne à cette heure ci, je prend mes clefs et monte dans ma chambre. Une fois dedans, je la prends dans mes bras et l’embrasse pour la détendre.

Elle se dégage après un moment et vient s’asseoir sur le lit. Je m’agenouille devant elle et commence à lui déboutonner le corsage. Ses seins apparaissent libres et orgueilleux. Ils sont magnifiques, un petit 85B, mais fermes et droits. Elle me regarde avec son regard perçant et un léger sourire. Je lui enlève son corsage et la fait se lever. Je descends le zip de sa fermeture, sa jupe tombe à ses pieds. Elle pose ses mains sur mes épaules, me fait lever et m’attire vers elle pour m’embrasser. Son baiser est un acte d’amour, elle se donne à moi, je peux faire ce que je veux, elle le veut. Je descends son slip, il est trempé de cyprine avec une énorme auréole. Elle a un sexe très touffu, ses poils vont dans tous les sens. Je me baisse et pose mes lèvres dessus, elle se dérobe. J’ouvre le lit, la prend dans mes bras, la soulève et la dépose sur le drap. Ses cheveux s’étalent sur loreiller, son corps repose abandonné, offert. Elle me regarde tendrement et me tend les bras. Elle déboutonne ma chemise mais n’ose pas aller plus loin. En un tour de main, je suis nu et je m’allonge à côté d’elle. Elle me caresse le thorax, descend jusqu’au nombril mais ne va pas plus loin. Mes mains parcourent entièrement son corps, je veux découvrir le plus rapidement possible ce corps magnifique. Elle ferme les yeux, se laisse aller, sa respiration s’accélère, ses narines palpitent et tout à coup, elle se cambre, son ventre se raidi, elle joui juste avec mes caresses.

— OOOOOOOOOOOOOOOOHHHHHHHHHHHHHHHHH

Juste un petit oh prolongé pour exprimer son plaisir. Danielle n’est pas une expansive. Elle me regarde.

— Jean, que m’arrive t il? jamais je n’ai ressenti ça.

— Je pense que tu as déjà joui Danielle.

— Oui bien sûre, mais jamais comme ça.

Elle m’enlace, et se retrouve sur moi. Ses jambes sont de chaque côté de mes jambes, son sexe est juste au dessus du mien.

— Ne bouges pas Jean, laisse moi faire.

Elle descend petit à petit en me regardant droit dans les yeux. Mon sexe touche sa vulve. Elle sursaute violemment, me sourit et continu sa progression. Je sens mon sexe avancer dans ce nid chaud et mouillé à lextrême. Etrangement, je sent une gène, plus j’avance et plus c’est difficile de progresser.

— Jean, je vais maintenant te donner ma virginité.

Je la regarde médusé, elle a 36 ans, ce n’est pas possible qu’elle soit vierge, je veux lui dire de bien réfléchir mais d’un seul coup elle se plante sur mon pieux et se défonce l’hymen en me regardant toujours dans les yeux. Son visage se crispe, elle se mord la lèvre inférieure. Elle s’immobilise, me regarde toujours droit dans les yeux avec une expression de bonheur. Elle reprend sa progression et quand elle ne peut plus avancer fait de petits va et vient avec son bassin. Petit à petit, l’expression de douleur que j’avais lu sur son visage se transforme et expression de bonheur, elle ferme les yeux, augmente le rythme et l’amplitude, on dirait qu’elle a fait ça toute sa vie, et pourtant j’ai la preuve, ainsi que le drap, que c’est la première fois. Son rythme devient dément et soudain elle se dresse sur ses bras, renverse la tête, ferme les yeux et joui dans un cri rauque. Son corps est secoué de spasmes, elle se pistonne comme une folle jusqu’à ce qu’elle s’écroule sur moi. Elle m’embrasse sur le cou, pose sa tête sur mes épaules et se calme doucement. Je suis tellement pris par sa jouissance que je n’ai moi même pas joui. je suis toujours en elle, je n’ai pas débandé.

— Jean, j’espère que personne ne saura ce qui c’est passé entre nous ce soir.

— Ne t’en fait pas, je serai muet comme une carpe.

Elle me sourit, se dégage de mon sexe, sa main descend doucement vers mon bas ventre. Timidement, elle s’approche de ma bite. Un doigt vient se poser sur mon gland, le chatouiller un peu mais s’en éloigne. Je bande encore plus.

— Excuses moi, mais je n’ai pas l’habitude. J’aimerais te faire plaisir, mais je ne peux pas.

— Ce n’est pas grave, je survivrais. Nous avons tout le temps devant nous.

— C’est vrai, tu as envie de continuer à me voir comme ce soir.

— Tous les soirs si c’est possible.

Elle me sourit, se redresse sur ses bras, se repositionne sur moi, descend sur ma bite et s’empale de nouveau. Elle ondule du bassin, ces mouvements me font monter la pression. Elle accélère le mouvement, mon ventre se noue, je sens mon corps traversé par des ondes de plaisir. Je me raidi, me cambre, je ne peux plus résister, je joui, et à ma grande surprise, Danielle me suis dans ma jouissance, elle est secouée de spasmes et pousse de nouveau un cri rauque. Son visage est transfiguré par la jouissance, il se fige, reflète son bonheur d’avoir son corps ainsi électrisé. Je découvre que bien qu’ayant été dépucelée à 36 ans, c’est une bête de sexe, elle aime le sexe, son corps aime le sexe, son cerveau aime le sexe. C’est la première fois que je vois une femme qui vient de se faire dépuceler en redemander comme ça. Nous nous calmons et je sent le sommeil gagner sur moi. Je me mets sur le ventre, un bras sur la poitrine de Danielle.

Seulement elle ne l’entend pas de cette oreille, elle me caresse le dos, descend vers mes fesses, sa main les caresse, elle m’embrasse le dos et les épaules. Ses baisers descendent eux aussi vers mes fesses, arrivée à ma cambrure, elle ne progresse plus et se contente de ma caresser les fesses avec sa main. Malgré tout, je recommence à bander. Elle se met sur le dos, les yeux clos à savourer le moment. Je me retourne, elle ouvre les yeux et voit ma bite raide, me regarde avec un air gourmand et passe son bras sous mon dos. Elle me rabat sur elle, écarte les jambes et pose ses mains sur mes fesses. J’ai sa vulve au contact de ma bite. Je fais de petit mouvements qui excite le clitoris. Elle est secouée de spasmes, mais ce qu’elle veut, c’est ma bite dans son con. Je résiste, reste à l’entrée en faisant mine de rentrer, mais je ressors immédiatement. Elle se crispe, me griffe les fesses avec ses ongles, elle me veut dans son antre.

— Viens, je t’en pris, viens, aimes moi, prend moi, je veux ton sexe dans mon sexe, j’en ai besoin.

Je trouve que pour une débutante, elle se débrouille plutôt bien, j’ai du mal à réaliser que je viens de la déflorer. Je donne un grand coup de rein en avant.

— AAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHH oui, viens en moi, viens.

Je la pistonne lentement, je veux qu’elle jouisse mais je veux profiter de ce sexe étroit qui me procure un immense plaisir. Elle accompagne mes mouvements, se serre contre moi, m’agrippe les épaules. Elle renverse sa tête sur l’oreiller, se donne à fond, pour son plaisir et pour le mien. J’ai, comme tous les hommes je pense, une plus grande résistance au fur et à mesure que je baise. Danielle, elle, joui de plus en plus vite au fur et à mesure des orgasmes. Elle joui trois fois de suite en secouant sa tête dans tous les sens avant que je ne cède. La quatrième fois est surnaturelle, elle se redresse sur ses coudes, me soulève, ses fesses sont à 20 cm du matelas, je suis soulevé comme un fétus de paille, son bas ventre me secoue comme un prunier, elle joui en poussant un cri rauque plus intense que les autres. Elle retombe d’un coup sur le lit, me prend la tête et m’embrasse à m’en étouffer. Je suis complètement épuisé, je crois mourir de plaisir.

— Oh chéri, que m’arrive t il? Je suis complètement folle, je ne sais plus ce que je fais.

— Tu aime faire l’amour c’est tout. Tu viens de découvrir quelque chose que tu ignorais mais qui te plais énormément. Rien d’anormal là dedans.

— Mais tu te rends compte, je me comporte comme une traînée.

— Mais pas du tout, tu te comporte comme une femme qui aime un homme et qui est aimée de cet homme. Rien de plus naturel que d’exprimer son amour en faisant l’amour, sinon ça ne sappellerait pas comme ça. Faire l’amour, c’est donner du plaisir pour montrer que l’on aime son partenaire.

— Si tu le dis, je veux bien le croire.

Elle est sur le dos, je la caresse mais son sexe poilu ne me plait qu’à moitié. J’ai une paire de ciseau pour mes ongles et je veux réduire un peu cette touffe. Je la prends par la main et l’emmène dans la salle de bain. Elle entre sous la douche et fait couler l’eau. Une fois qu’elle a terminé, je l’essuie en insistant sur certaines parties du corps. Elle frissonne. Je la ramène dans la chambre, met une serviette sur le lit et l’allonge sur le dos. J’ai un peigne et mes ciseaux.

— Que veux tu faire?

— Juste réduire un peu cette touffe trop épaisse, ça me gène.

— Pourtant, tu n’a pas semblé gêné tout à l’heure.

— Tu sais, il n’y a pas que le sexe qui peut voyager dans le coin.

Elle me regarde étonnée mais me laisse faire.

— Tu veux faire comme toi? (Je suis complètement rasé).

— Non, juste diminuer.

J’attaque avec le peigne et le ciseau. Je coupe ses poils à un demi centimètre, voir moins. Sa chatte est transformée, plus accessible. Je constate que sa chatte brille, ce que je viens de lui faire l’a faite mouiller. Je la fait se lever et lentraîne sous la douche, je n’oublie pas la serviette qui est pleine de poils coupés. Nous prenons une douche ensemble, je m’accroupie devant elle sous l’eau qui coule et pose ma bouche sur ses poils raz, c’est nettement plus agréable qu’avant.. Elle a un mouvement de recul, mais se laisse faire. Elle veut découvrir le plus de chose possible sur l’amour. Ma langue sépare les grandes et les petites lèvres et trouve le clitoris qui est sorti de sa cachette. Je ressens l’onde de choc qui la traverse. Elle me prend la tête et la plaque sur son sexe. Elle appuie pendant que ma langue tourbillonne autour de son clitoris. Je le suce, l’aspire, le mordille et le lèche. Elle joui plusieurs fois jusqu’à ce que je sente qu’elle va bientôt s’écrouler, ses jambes ne la tenant plus. Nous sortons de la douche, je la sèche et me sèche, elle ne peut plus rien faire. Nous retournons sur le lit et je la couche sur le dos. Elle donne l’impression qu’elle va s’endormir.

— Danielle, si tu dois dormir, tu ne crois pas que tu serais mieux chez toi?

— Tu veux te débarrasser de moi?

Jhallucine, elle est morte de plaisir et de fatigue mais elle veut continuer, elle va me tuer.

— Non, si tu veux tu peux rester jusqu’à demain, je te raccompagnerais chez toi.

— Oui mais avant il faudrait que tu me refasses ce que tu viens de me faire sous la douche, c’était divin. Je ne peux plus bouger pour l’instant mais toi tu as encore de l’énergie, s’il te plait, Jean, refait moi ce que tu viens de me faire.

Elle écarte les jambes et je me positionne entre ses cuisses. J’ai à peine posé mes lèvres sur son vagin qu’elle se cabre de plaisir. Son corps a attendu pendant longtemps avant de goûter aux plaisirs de l’amour, mais il veut se rattraper. Je m’applique sur son sexe, je ne compte plus les jouissances de cette fille, je n’ai jamais vu une telle fringale de jouissance. (Elle me prouvera plus tard que je n’avait pas tout vu). Elle savoure les yeux fermés. Je m’arrête, étant moi même épuisé, avec un peu mal à la langue. Je remonte sur l’oreiller, elle se blotti contre moi et s’endort en quelques minutes. Je la suis dans ce sommeil réparateur.

Quelques heures plus tard, je suis secoué par Danielle qui veut me réveiller. Il est cinq heures et demi du matin, nous avons tout le temps.

— Jean, j’ai faim, j’ai faim de toi. Viens sur moi, viens.

— Là tu exagères Danielle, nous avons une journée devant nous et elle va être dure avec la nuit que nous venons de passer.

— Quelle nuit, elle n’est pas finie la nuit, mon corps te veut, mon sexe te veut, je te veux dans mon sexe, je veux te sentir en moi, s’il te plait, viens, baise moi.

— Dis donc, tu as fais des progrès depuis hier, tu t’exprime plus librement.

— C’est de ta faute, tu m’as rendue folle, maintenant il faut assumer.

Elle se roule sur moi, son ventre contre le mien ondule et obtient l’effet désiré, je bande de nouveau. Elle se laisse aller sur mon sexe et s’enfonce mon braquemart dans le con. Je la saisie par les fesses, elle ondule, et se baise sur ma queue en faisant des aller-retour rapides. Elle se cambre et joui une première fois. Rien ne l’arrête, elle continue, se redresse sur ses coudes en libérant ses seins. Je m’en empare et les caresse. Elle joui de nouveau, les yeux fermés, la bouche ouverte et le souffle court. Elle retombe sur moi et pose sa tête sur mon épaule. Je n’ai pas joui, encore fatigué de la nuit passée.

— Quel bonheur, Jean, dire que je découvre ça maintenant, à 36 ans, que n’es tu entré plus tôt dans ma vie.

Je lui caresse le dos, qu’est ce qui m’a pris?, elle tressaille, son corps vibre, elle s’empale de nouveau sur mon sexe. Je n’en peux plus, j’accélère le mouvement et je joui en me vidant dans son antre. Cela déclenche sa propre jouissance, cette fois ci ce n’est pas un cri rauque et sourd qui sort de sa bouche mais un râle puissant qui a du réveiller tout l’étage. Elle m’enlace et ronronne contre moi.

— Maintenant il faut te lever et aller te changer chez toi.

— D’abord, une petite douche avec toi.

— Ok.

Nous allons dans la salle de bain, elle fait couler l’eau, m’attrape par la main et m’entraîne sous l’eau qui coule. Elle me prend par les épaules et appuie pour me faire accroupir. Je comprends et m’empare de sa vulve. Elle joui encore deux ou trois fois. Décidément, cette fille est une nymphomane, cette révélation tardive a décuplé son appétit. Nous nous séchons, elle pose sa main sur mon sexe, le serre un peu mais ne fait rien de plus.

Nous retournons dans la chambre, quelqu’un frappe à la porte. C’est l’heure à laquelle le service m’amène mon petit déjeuner. Danielle va se cacher dans la salle de bain. Je viens ici depuis quatre ou cinq ans, tout le personnel me connait et n’est pas étonné de me voir à poil. J’ouvre, c’est Josette, la femme de chambre, elle dépose le plateau sur la table. Il y a deux petits déjeuners.

— Le chef dort à côté de votre chambre et il a compris que vous n’étiez pas seul, il vous offre le deuxième petit déjeuner.

— Vous le remercierez de ma part.

Elle sort de la chambre, Danielle sort de la salle de bain avec un air étrange.

— Tu ouvre à la femme de chambre à poil?

— Elle me connait depuis trois ans, et tu sais dans les hôtels le personnel ne s’étonne plus de rien.

Nous déjeunons, je fais ma toilette pendant qu’elle s’habille. Je m’habille vite fait et je mapprête à la raccompagner chez elle. En sortant je jette un oeil sur la chambre et je vois le drap, rempli de tâches de cyprine et de sperme, sans compter une tâche de sang. Elle était vraiment vierge. Cela me laisse songeur, sur qui je suis tombé, c’est à peu très surement une nymphomane, vais je pouvoir assumer?

Danielle marche devant moi, sa démarche est un peu inhabituelle mais elle garde se port de reine. Je la suis en admirant ce corps qui évolue avec grâce. Je la dépose chez elle et vais travailler.

Une demi-heure après mon arrivée, je vois Danielle dans le hall d’entrée, elle est rayonnante, son visage exprime le bonheur, elle avance vers moi avec un sourire, me salut comme dhabitude en me serrant la main.

— On remet ça ce soir, mais chez moi. Amène tes affaires de toilette et de quoi te changer me dit elle doucement et plus fort, Bonjour monsieur …… comment allez vous ce matin.

— Très bien et vous même.

— Formidablement bien, j’ai passé une merveilleuse nuit. Je suis en grande forme.

Elle me sourit et va vers son bureau. Alexandre, un technicien de fabrication avec lequel je travaille vient me dire bonjour.

— Bonjour monsieur ….., vous avez vu Danielle, quel canon, je ne l’ai jamais vu aussi belle.

— J’avoue que je ne l’ai jamais vu si resplendissante.

La journée c’est bien passée, nous avons agis comme si rien ne s’était passé et je suis allé chez elle le soir avec quelques affaires de rechange.

Mais ceci est une autre histoire.

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