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Julie – Une nouvelle vie – Chapitre 12




Mais quelle histoire, Julie et Aurélie reçoivent peut-être plus qu’elle ne l’espéraient en entrant dans le sexshop. Elles qui voulaient vivre une expérience de glory hole, se retrouvent aux prises avec un groupe d’ouvriers qu’elles avaient chauffé quelques minutes auparavant. Julie a fait connaissance avec la double pénétration, et les petites pinces à seins lestées. Quant à Aurélie, fraichement dépucelée par son ex, avait, en une seule matinée, bouffé un beau boudin à la crème, et s’était faite élargir son petit vagin par une série de godes tous plus gros les uns que les autres. Et tout ce foutre, qu’est-ce qu’elles en ont avalé depuis le réveil. Mais voilà, maintenant, les filles se retrouvent seules dans leurs salles respectives, la petite asiatique à poil et dégoulinante de sperme chaud, et la brunette empalée sur un gode hors norme, la chatte en feu et aveuglée par le foutre gluant dégoulinant sur son joli minois.

Julie, haletante et les yeux embrumés, sent tout ce foutre encore chaud sur son visage. Toute pantelante et bien excitée par les belles bites qui viennent de la prendre, elle en collecte un maximum et s’en régale avant que la réalité ne l’en empêche. Elle n’aime toujours pas ce goût mais elle ne peut s’empêcher d’en vouloir plus.

Petit à petit, la jeune asiatique reprend pied avec la réalité, elle se relève et sent le sperme s’écouler le long de ses belles jambes. Elle aperçoit son reflet dans la vitre et constate l’étendue des dégâts. Ses cheveux sont englués de foutre et ses seins brillent de bave. Elle remarque alors sa copine toujours empalée sur la grosse bite de cheval, le visage se tordant de douleur alors qu’elle s’extirpe de cet énorme mandrin. Julie est impressionnée  par la taille de ce gourdin, "Comment est-ce qu’elle a pu s’enfiler ce monstre?" Comme hypnotisée par le spectacle, elle observe sa copine, particulièrement sa petite chatte qui s’écarte une dernière fois pour faire apparaître l’énorme gland en forme de champignon.

Elle observe alors sa Lilie, pliée de douleur se diriger vers sa petite robe toujours à même le sol. Un léger frisson la gagne, cette cave est bien fraiche, elle cherche instinctivement sa propre tenue mais réalise avec horreur que sa robe et son sac ont disparu. "Merde ça ne va pas recommencer comme hier?" En colère contre elle-même de s’être de nouveau faite démunir de ses affaires, elle espère tout de même que Monsieur Louis a récupéré ses fringues. Julie observe de nouveau Aurélie à travers la vitre et constate son effroi de ne pas retrouver son string, la belle asiatique se dirige vers la porte de son petit cagibi et s’assure que personne n’est dans l’étroit couloir, avant de rejoindre son amie dans la pièce voisine.

"CRICH" Julie ouvre la porte de la salle des godes, elle observe la silhouette de sa copine, immobile, de dos, tentant de couvrir ses formes avec sa robe. Lorsqu’Aurélie aperçoit sa Juju dans le miroir qui lui fait face, elle se retourne et, de soulagement, se précipite en pleurs dans les bras de son amie.

-Oh ma Juju, ils m’ont, ils m’ont…

-Oui je sais ma puce, j’ai tout vu!

-Comment as-tu pu les laisser me faire ça? Ils m’ont littéralement écartelée sur cette grosse bite.

"VLAN" Devant l’excès de panique d’Aurélie, Julie balance une belle gifle à la petite brune.

-Eh dis ma grosse, j’te voyais pas te plaindre non plus quand ils te fourraient la chatte et la bouche!

La brunette s’effondre de nouveau dans les bras de sa copine.

-Allez ma puce, rhabille-toi vite, on va remonter et s’arranger avec Mr. Louis, je te ramène à la maison. OK?

Julie caresse la joue de son amie, lui sèche ses larmes et l’aide à se recomposer un minimum. Aurélie ajuste sa petite robe à bretelles sur son corps dénudé, et toutes les deux se dirigent dans le couloir sombre en direction des escaliers qui doivent les ramener dans le magasin. Aurélie frissonne en repassant devant l’étale de godes, Julie la réconforte de nouveau en la prenant dans ses bras. Elles gravissent ensemble les marches jusqu’à la petite porte laissant derrière elles la cave où elles ont autant joui que souffert.

Julie entrouvre la porte qui mène au comptoir, une chance, le rital est toujours en poste. Elle l’interpèle en douce.

-Monsieur Louis?

-Ah mais c’est mes deux p’tites chiennes. Allez venez, faut que j’vous félicite!

-Ben y a un problème, j’me suis fait tirer ma robe et mon sac et Aurélie n’a plus ni string ni sac.

-Ha ha ha ha! Elle est trop forte celle-là. C’est encore un coup tordu des frères Ivanov. Ils ont un vrai fétiche, ils collectionnent les effets personnels des meufs qu’ils débourrent, et comme t’avais pas grand-chose sur toi…!

-Mais j’peux quand même pas sortir comme ça!

-Tu vas me dire qu’une chiennasse comme toi n’ose pas se montrer à poil en public. Pourtant les gars m’ont dit que du bien sur toi, et les vidéos ne mentent pas, regarde t’es vraiment une chienne qui aime la bite!

-Mais je…

Il ouvre en grand la porte, expose la belle dans son plus simple appareil et lui présente le montage vidéo qu’il est en train de produire sur son ordinateur.

-Allez, faites pas chier, venez toutes les deux, j’ai des p’tits trucs sympas pour vous.

Julie et Aurélie sortent de leur cachette un peu honteuses, comme deux gamines qu’on vient de surprendre en train de voler des friandises sur un étalage. Julie, une main tentant de couvrir son 85F et l’autre sur son pubis imberbe, et Aurélie, rouge de honte devant les images de son éducation à l’écran.

-Oh putin, mais vous êtes encore couvertes de foutre. Karim, viens par ici et ramène les moi chez elles qu’elles se décrassent un peu. Fais les passer par derrière, on a une image à maintenir nous!

"Karim? Non c’est pas possible!" Julie sent son cur prêt à exploser dans sa poitrine, elle se tourne en direction de la silhouette qui navigue derrière les étagères. La scène est irréelle, le mec qui s’approche du comptoir est bien celui qui l’avait gavée de sperme la veille avec ses potes de la cité.

-Alors ma vieille, toujours à te promener à poil et à bouffer d’la queue?

A sa vue, la belle à l’impression de sentir de nouveau toutes ces grosses bites au fond de sa gorge. Que va-t-il faire? Elle leur doit toujours, à lui et ses potes, un "service" après avoir décrocher son job chez Marco. Il passe derrière le comptoir, s’appuie sur le plateau du bureau et admire l’enregistrement des performances des deux gamines sur deux écrans séparés, prêt pour le montage.

-Si vous voulez j’ai quelques extraits pour compléter votre film patron. Cette petite pute a bouffé de la bite toute la journée d’hier. Elle a même réussi à encaisser le turc, c’est pour vous dire.

Le gros rital éclate de rire à imaginer un de ses meilleurs clients "spéciaux" farcir la petite eurasienne. Un grand sourire vicieux se dessine sur son faciès rougeau, il récupère la clé USB que lui tend son employé, et tend un sac à chacune des petites.

-Allez tiens, ça c’est cadeau! Une collection de mes meilleurs articles pour vous remercier du spectacle. Toi la petite chienne, les frères Ivanov t’ont laissé ce colis en plus, et pour ma petite "cavalière", j’ai mis un petit extra.

Aurélie ose à peine prendre son sac mais le regard dans ses chaussures accepte le cadeau. Quant à Julie, elle n’a d’autre choix que d’exposer ses beaux attributs pour prendre le paquet et le colis des deux frères.

-Pour vos affaires, vous inquiétez pas, voilà vos sacs et voici vos phones. Au fait pensez à les bloquer, on sait jamais ce que des personnes malintentionnées peuvent faire avec vos contacts ou vos photos.

Les deux gamines prennent leurs sacs et y rangent les smartphones.

-Et toi l’asiat’ fous toi ça sur le cul!

Le gros rital tend une veste à Julie pour qu’elle puisse sortir sans provoquer une émeute, elle ajuste la petite redingote blanche. "Qu’est-ce qu’elle est courte!" Elle couvre tout juste son joli cul pour s’arrêter au pli de ses fesses rebondies. Très serrée à la taille, la jeune fille ne peut en fermer que deux boutons, le premier ne couvrant que le haut du pubis, l’autre juste au-dessus, au niveau du nombril. Les deux pans supérieurs de la veste dessinent un large "V" comprimant la grosse poitrine en un décolleté indécent. Dans cette tenue, la belle a l’impression d’être encore plus exposée que dans la robe de plage quasi-transparente de sa mère, mais c’est mieux que de se retrouver à poil dans la rue.

-Bon allez les chiennes, on y va, j’ai pas qu’ça à foutre! Julie tu viens devant, et t’as intérêt à être docile, j’ai les boules bien pleines depuis hier!

Karim attrape Julie et l’attire sans ménagement vers le fond du magasin. "OUPS, fait chier! Heureusement que je suis pas en talons, il m’aurait flinguer une cheville!" Aurélie, qui n’a qu’une envie, rentrer se doucher et se terrer au fond d’un trou, suit le couple improbable son sac de goodies à la main.

Le jeune homme les fait sortir dans la cour intérieure où est garée sa BM, une belle M3 tunée et abaissée, la lunette et les vitres arrières teintées, un gros aileron sport et les jantes larges, une vraie caisse de caïd. Les places à l’avant sont plutôt spacieuses, Julie s’y sent presque bien, par contre, les grandes vitres avant et le parebrise, non teintés l’exposent totalement. La banquette arrière, protégée des regards, offre un doux refuge.

Aurélie, s’engouffre à l’arrière, profitant de l’intimité offerte par les vitres opaques. La chatte en feu, elle se cale sur la banquette, recroquevillée et se tenant le ventre. La brunette, la vulve encore béante et douloureuse, s’inquiète pour son utérus et se demande si sa chatte distendue retrouvera sa taille d’origine.

Julie, installée côté passager, est complètement engonssée dans la veste un peu trop juste pour ses formes généreuses. Karim prend place derrière le volant et démarre le véhicule.

-Alors ma petite pute, tu pensais pas qu’on se reverrait si vite, hein?

-Je savais pas que tu bossais ici, et j’étais pas mal prise hier.

-C’est clair, Moussa et Tarik nous ont tout raconté, qu’est-ce que t’as pris! Putin mais t’es une vraie chienne! Et maintenant t’entraines tes copines dans tes délires de nympho?

Il jette un coup d’il à Aurélie qui ne bouge pas, prostrée à l’arrière de la grosse sportive.

-Et toi, c’est quoi ton nom?

-Aurélie.

-Pas très loquace ta copine, elle s’exprime plus avec un gode dans la chatte on dirait!

-T’inquiète je vais m’occuper d’elle, on commence juste aussi, toi, t’es drôle. T’as pas vu c’qu’ils lui ont foutu dans la chatte en plus!

-Ouais, OK, admettons. En attendant, moi, j’dois prendre sur mon heure de pause pour ramener vos p’tits culs d’salopes chez vous. Et là j’ai les crocs, alors on va d’abord s’arrêter prendre à bouffer…

Il regarde Julie avec gourmandise et lui lance un défi.

-…et vu comme t’es bandante, c’est toi qui va aller me chercher ma bouffe. En plus tu me dois toujours un service pour hier!

Julie réfléchit, se tourne vers sa copine, et, constatant l’état d’Aurélie, fait une contre-proposition à son chauffeur.

-OK j’y vais, mais d’abord on dépose Lilie chez moi qu’elle puisse se remettre de ce qu’elle a subi ce matin! Et j’peux pas me montrer dans cet état! Regarde-moi ça j’ai du foutre séché partout!

-HUM, Ouais ça me va. De toute façon dans son état elle peut rien faire ta copine. Mais alors en échange, peu importe ce qu’il y a dans ce paquet (il désigne le cadeau laissé par les frères Ivanov), c’est ce que tu porteras pour entrer dans le restaurant! Deal?

Curieuse de voir où tout ça va la mener, et satisfaite de pouvoir préserver un peu son amie, Julie accepte l’offre de Karim. Ce dernier, satisfait, conduit alors les deux ados jusque chez Julie. Vêtue uniquement de sa petite veste, les bras bien chargés, la jeune eurasienne conduit Aurélie à l’étage, entre avec elle sous la douche pour se laver de tout le foutre qui les recouvre, et réconforter au mieux son amie sous le jet chaud et bienfaisant.

Elle la mène enfin dans sa chambre pour la coucher, encore nue, sous sa couette. Heureusement que sa mère n’est pas encore rentrée et que son père est absent pour la semaine! Elles auraient bien eu du mal à expliquer leur accoutrement et les odeurs de sexe qui se dégageaient d’elles à leur retour.

-Me laisse pas Juju, s’te plaît reste avec moi!

-T’inquiète ma puce, je m’absente pas longtemps. Je reviens au plus vite, OK?

Un dernier câlin, un tendre baiser, et Julie cache au mieux les deux paquets pleins d’ustensiles qu’elle se doute être bien pervers. Elle attrape le colis laissé à son attention par les deux frères et se précipite de nouveau dans la salle de bain. Elle verrouille la porte et, un tantinet excitée, ouvre le paquet. Elle y découvre une paire d’escarpins blancs aux talons vertigineux, et une petite robe. La belle tombe la serviette et tente de faire rentrer ses formes voluptueuses dans la micro-robe.

Une fois le fin vêtement ajusté, elle s’observe dans le grand miroir. Elle est à la fois sous le charme et toute excitée devant l’indécence de cette robe en strech blanc. Le tissu très doux moule parfaitement ses courbes, et sa finesse laisse apparaître en transparence les lobes de son cul et les gros mamelons gonflés de ses seins. "Putin j’suis déjà excitée!" La partie basse, courte à l’excès, couvre tout juste son joli cul rebondi pour s’arrêter au pli fessier.

A l’avant, elle observe les deux pans qui divisent la robe en deux au niveau du nombril, puis remontent couvrir ses grosses mamelles. A peine assez larges pour couvrir son 85F, les bouts de tissu quasi-transparents s’amincissent au niveau des aréoles de la belle asiatique pour se résumer en ficelle passant derrière sa nuque pour tenir le tout d’un simple nud.

Un anneau doré entre les seins contraint les deux pans à se rapprocher, un autre plus gros entre la poitrine et le nombril fait de même donnant la sensation que la robe est beaucoup trop petite pour les formes généreuses de la jeune fille. Derrière, la robe donne l’illusion d’une micro-jupe. Le dos est entièrement dénudé jusqu’à la naissance de la raie du cul. Pour rajouter à l’indécence de la robe, les hanches sont nues et l’avant et l’arrière de la robe sont reliés par trois anneaux dorés. Ainsi, on voit clairement que la gamine ne porte aucun sous-vêtement.

Julie complète alors son accoutrement de pute avec les escarpins dont les talons d’au moins 15cm et les plateformes de bien 4cm perchent la petite à des hauteurs qu’elle n’a jamais expérimentées. Trouvant son équilibre, Julie se baisse pour refermer la petite bride sur ses fines chevilles. Accroupie devant son reflet, elle aperçoit la fente de sa chatte déjà entrouverte. Curieuse, elle passe son majeur le long de sa vulve. "Mais, c’est pas possible, je suis déjà en train de mouiller!"

"BZZZZZ, BZZZZZ" Son phone vibre, c’est Karim qui s’impatiente dans la voiture, il lui envoie un texto. <Alors keske tu branles?> Elle se relève, remet sa robe en place pour couvrir son abricot exposé, sort son kit de maquillage et se pomponne de son mieux. Une fois sa mise en beauté terminée, elle s’admire de nouveau dans le grand miroir. Quelle transformation, elle se trouve diablement belle, plus âgée aussi, ce maquillage, cette tenue fétichiste lui donne quelques années de plus. L’ado a laissé la place à une jeune femme d’une beauté incendiaire.

Ses cheveux, très lisses de nature, tombent négligemment sur ses épaules et encadrent son visage, d’une beauté très exotique et au regard profond. Le mascara noir surcharge ses longs cils, l’eyeliner noir arrondit légèrement ses yeux d’amende si finement bridés. Ses paupières fardées de couleurs sombres lui donnent une intensité folle dans le regard. Malgré l’absence de fond de teint et de blush, la fraîcheur de son âge, son teint naturellement pâle et parfait, et le gloss carmin mettent parfaitement en valeur ses lèvres charnues. "Quelle bouche à pipes!" La nouvelle image qu’elle retourne la chauffe bien, les papillons dans son ventre se réveillent, elle a envie de bonnes queues au plus vite.

Cherchant encore un peu ses marques en descendant les escaliers, il ne lui faut pas trop longtemps pour marcher presque normalement. Ses pas se fluidifient, ces nouvelles chaussures la contraignent à osciller du cul pour mieux avancer. Elle sent bien ces lourdes mamelles dandiner de haut en bas au rythme de ses pas. Encore un peu intimidée par son nouveau sex appeal, elle attrape la petite veste prêtée par Monsieur Louis et l’enfile négligemment sans la boutonner. "De toute façon je ne pense pas que j’la garderai bien longtemps" Puis saisissant machinalement son sac, y enfourne le nécessaire de maquillage d’urgence qu’elle vient de se préparer.

Karim qui commence à s’impatienter derrière son volant, est bien content d’avoir attendu lorsqu’il voit la bombasse enfin pointer son cul. Malgré la petite veste, hypnotisé par le mouvement de cette énorme poitrine à peine soutenu par le tissu très léger de la micro-robe, il l’observe tordre du cul alors qu’elle s’approche de sa caisse. Il sent son gros dard gonfler dans son pantalon, il en a presque mal, tellement sa bite est comprimée. Il pourrait lui demander une pipe maintenant, mais préfère se la réserver pour plus tard, surtout avec ce qu’il a prévu pour cette trainée.

Julie monte dans le véhicule. Dans sa position assise, le tissu élastique de sa robe remonte sans peine sur le haut de ses cuisses, dévoilant directement son pubis. Elle s’apprête à le couvrir quand Karim la retient.

-Non non, p’tite pute, à partir de maintenant, je t’interdis de toucher à tes fringues. Et vire-moi cette veste, ce serait dommage de cacher les attributs d’une chiennasse de ton calibre.

La petite s’exécute, et dépose la veste sur la banquette arrière où se trouvait sa copine quelques instants plus tôt. "Lilie, dans quelle merde je me suis fourrée maintenant!" Elle essaye de resserrer ses cuisses, mais leur galbe ne peut empêcher sa fente d’être visible.

-Mais putin, tu piges que dalle ou quoi, garde les jambes écartées!

Il démarre, et soudain Julie sent l’air frais de la climatisation se propager sur tout le haut de son corps. "Le salaud, je suis sûr qu’il l’a fait exprès!" Karim est très content de son coup, il a réglé la clim au plus froid et a dirigé les buses en direction du siège passager. L’effet est immédiat, la chair de poule gagne tout le corps quasiment dénudé de la jeune fille, et ses gros tétons ne tardent pas à durcir et à tendre encore plus les deux petits triangles de tissu qui les couvrent à peine.

Résultat, Karim peut admirer le pourtour des aréoles qui apparaissent de part et d’autre du strech blanc. Avant d’enclencher la première, Karim attire la belle à lui et lui claque un baiser langoureux sur ses belles lèvres maquillées. Il en profite pour pincer et tordre ses beaux mamelons pour bien les faire durcir, puis démarre en direction du centre ville.

A l’approche de la grande place, la foule se densifie, les badeaux sont de plus en plus nombreux, Karim ouvre en grand la fenêtre de Julie et roule aussi lentement qu’il le peut pour faire admirer son trophée à un maximum de monde. Il anticipe un maximum de feux rouges pour exposer la belle et ses atours naturels. Les commentaires ne tardent pas: "Wow t’as vu les obus!", "Putin la bombasse!", "Eh ben mon salaud, te gêne surtout pas!" Viens alors le premier coup de pute du caïd "Eh mec on peut toucher?" Deux gros blacks en tenue de peintre interpellent Karim.

-Ouais vous gêner pas, c’est un vrai garage à bite!

Julie ne sait pas quoi faire, comment est-ce que ce porc peut la lâcher en pâture à ces deux mecs qu’il ne connait même pas? Son premier reflexe est de croiser les bras sur sa poitrine, comme si elle pouvait se protéger de ces deux colosses. D’un autre côté, elle se sent flatée d’attiser la convoitise de ces mâles et, se résignant à jouer son rôle de chienne en chaleur, se détend et ouvre les cuisses pour exposer son petit abricot. Elle tourne enfin légérement son torse en signe d’invitation.

Le premier saisit cette opportunité, il attrape le gros sein droit de Julie et joue avec son mamelon qu’il pince et roule entre ses deux gros doigts. Ne sachant pas combien de temps le feu va rester rouge, il écarte rapidement le fin tissu, s’accroupit à hauteur de la portière, penche sa tête par la fenêtre ouverte et aspire le téton durci entre ses grosses lèvres. "Vas-y mec dégage!" Le second pousse son pote qui a juste le temps de recouvrir le sein de la petite.

Le deuxième black passe son bras et commence à caresser la peau douce de la cuisse musclée de l’asiatique. Sans autre forme de procès, il remonte directement à sa vulve entrouverte par l’excitation, et y insère un de ses énormes doigts. Julie étouffe un petit cri, se pince la lèvre inférieure lorsqu’il s’introduit d’un seul mouvement entre les lèvres de son vagin déjà humide. "Merde elle mouille en permanence ou quoi c’te pute?" Il retire son doigt trempé et le colle entre les lèvres pulpeuses de la petite chienne. "Nettoie-moi ça p’tite pute!"

Le feu passe au vert, les deux peintres s’écartent de la voiture, mais avant de démarrer Karim leur tend une carte de visite.

-On va chercher un truc à emporter chez Mxxo. Venez nous rejoindre à cette adresse dans une demi-heure, demandez Karim OK?

"Mais qu’est-ce qu’il raconte ce con?" Julie commence à paniquer, elle sent bien qu’elle va en chier. "Il va quand même pas inviter tous ceux qu’il croise à venir me sauter quand même?" En même temps elle sait très bien qu’elle a trop envie d’une bonne queue, et si ces mecs sont aussi bien montés que Karim, elle va surement prendre son pied.

Par réflexe, elle tente de remettre le bas de sa robe en place. Il lui claque le haut de la main comme on punit un enfant qui veut chiper un gateau.

-Mais t’es bornée ou quoi, j’tai dit de plus toucher tes fringues!

Il repère une place et s’y gare, sort de la voiture, et jouant les galants, se précipite pour ouvrir la porte à Julie. La portière grande ouverte, Julie tente de sortir sur le trottoir pour accompagner son "chevalier servant". La rue où ils sont garés et un des axes principaux menant au centre ville. A cette heure-ci, les trottoirs sont blindés de monde allant se restaurer sur la grande place. Julie sort donc du véhicule, les jambes en premier, perchées sur ses 15cm de talons, la hauteur du trottoir s’ajoutant, elle se retrouve avec les genoux plus haut que son bassin, exposant du coup sa vulve imberbe et entrouverte à tous les passants alentours.

Karim lui tend la main afin de l’aider à se dresser sur ses talons, et notre Julie se retrouve au milieu de la foule des passants. Les regards se tournent sur elles, les commentaires, les insultes forment un léger brouhaha autour de la belle. Comme la veille en entrant chez Marco, elle peut craquer et tout annuler pour retourner chez elle, même si pour se faire elle devrait surement se débrouiller toute seule. Ou alors elle peut assumer ce nouveau rôle de chienne pour lequel elle semble être naturellement douée.

Forte de son expérience de la veille, elle se décide pour la seconde solution, reprend de l’assurance bien plantée sur ses plateformes, redresse le torse, mettant ainsi en avant ses gros obus aux tétons toujours bien durs contre le tissu élastique qui les couvre tout juste, et tortillant nonchalamment du cul, les seins bondissant en rythme avec ses pas, elle suit Karim au restaurant, comme la grosse chienne qu’elle est devenue.

N’ayant toujours pas le droit d’ajuster correctement sa micro-robe, Julie sent l’élastique à la base de son cul remonter à chacun de ses pas. Comme avec la micro-jupe de la veille, le joli pli fessier et la base de sa fente vaginale sont maintenant à fleur et visible à quiconque se pencherait en présence de la belle. Elle repère le restaurant, et comme par hasard, il est de l’autre côté de la place.

Heureusement, Karim l’accompagne dans ce périple, elle devrait donc pouvoir atteindre sa destination sans trop de problèmes. Mais soudain Julie est prise de panique, Karim a disparu. "BZZZZZ BZZZZZ" Elle sent son smartphone vibrer dans son sac. C’est un message de Karim <Vas-y continue devant! Suis pas loin. Et n’oublie pas tu touches pas tes fringues!> Le connard la laisse comme ça quasiment à poil au milieu de la foule.

La petite essaye de couper au plus droit pour mettre fin à son calvaire au plus vite, mais nouveau message <non, fait le tour!> La voilà contrainte de naviguer au milieu de tout le monde par le chemin le plus long. "Putin il est chié! C’est pas lui qui expose son cul à tout le monde" De nouveau le bruit sourd des commentaires autour d’elle. Elle est un peu mal à l’aise dans la foule, mais son excitation est plus forte et maintenant, plus question de reculer. Elle décide de tortiller encore plus du cul et d’accentuer ainsi l’oscillation de ses grosses mamelles.

Un groupe de jeunes du lycée qu’elle fréquente l’a repérée et marche maintenant à ses côtés. "Alors ma salope, t’as chaud au cul on dirait" "Vas-y fait voir c’que tu caches!" "Tu veux nos belles queues, hein chiennasse?" Des mains commencent à lui carresser le dos, les reins. D’autres remontent le long de ses cuisses. Mais étonnamment, aucunes ne s’aventurent vraiment très loin, mais les attouchements de ces mains inconnues commencent à émoustiller la jeune chienne. Elle prend alors les choses en main, se tourne vers un des jeunes, le plus grand et le plus gros du groupe, et lui attrape l’entrejambe au travers de son short.

-Alors mon gros, qu’est-ce que t’as à me proposer?

Le gros, un peu décontenancé, écarquille les yeux d’étonnement. Mais sa surprise est de courte durée, il ordonne à ses potes de faire barrage, attrape la petite par le bras, et le groupe l’entraine dans l’ombre d’une des petites ruelles partant en perpendiculaire.

-Tu vois ma salope, c’qui est génial dans ce centre-ville c’est que toutes ces petites rues forment un vrai dédale et j’suis sûr qu’on va s’trouver un p’tit coin bien tranquille.

Une, deux, trois ils tournent dans différentes rues toutes plus étroites les unes que les autres et se planquent dans une porte cochère à l’abri de la foule. Pourtant du même âge que Julie, les cinq potes sont bien plus grands, et plus imposants que la belle. Même avec ses talons, ils font tous une tête de plus qu’elle.

-Tu voulais voir c’qu’on a pour toi? Allez les gars, on dirait vraiment qu’elle aime la queue s’te pute!

Les quatre copains l’entourent et sortent leur bite à tour de rôle. Ils sont beaucoup moins impressionnants que Karim ou Tarik, mais Julie a envie de belles queues, et celles-ci feront bien l’affaire. Elle s’accroupit sur ses plateformes, écarte les cuisses, dévoilant bien sa vulve ouverte, et aspire une première bite et en branle deux autres. Pendant plusieurs minutes, elle suce les différentes queues, les aspire, les lubrifie de sa bave. Toute affairée qu’elle est sur ses mandrins, ils en profitent pour lui dégager les seins, massent et sucent ses tétons à tour de rôle.

L’un d’entre eux lui enfourne enfin la chatte de ses doigts. Un peu maladroit, il la branle profondément dans un "FLOC FLOC FLOC" bien humide. Ca ne la fait pas jouir mais ça la soulage, atténue un peu le feu qui bouillonne en elle depuis que le peintre lui a fourrer la vulve de son énorme doigt.

-Bon allez ça suffit retourne toi p’tite pute!

Le gros balaise la soulève comme un fétu de paille, la retourne et lui plaque les mains contre la vieille porte en bois massif. Il la plie en deux, lui casse les reins pour bien lui cambrer le cul, ses gros seins aux mamelons durcis pendant négligemment sous son torse. Il écarte les belles jambes musclées de Julie, soulève le léger tissu qui lui couvre tout juste la croupe et présente sa queue bien dure à l’orée de la petite chatte offerte, à bonne hauteur perchée ainsi sur ses talons.

D’un grand coup de reins, il se cale au fond du vagin bien serré de l’asiatique et la besogne sans vergogne. "AH AH AH AH OUI vas-y fourre moi bien salaud!" Julie, est aux anges de sentir cette queue aller et venir en elle. Ses grosses mamelles sont malmenées dans tous les sens tant le gros sac la travaille avec force.

Sur le point d’exploser après juste quelques allers et retours, il se retire pour encore profiter un peu de la belle. Un de ses potes prend sa place et après une petite baise en règle, se retire lui aussi mais pour une toute autre raison. Il lui écarte encore un peu plus les jambes pour la forcer à descendre encore le bassin, et appuie sur le creux de ses reins pour l’ouvrir encore un peu plus. Et là sans aucune préparation, la bite à peine lubrifiée par la cyprine, il encule la petite bien à fond en un seul coup de queue.

-AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH Salaud, tu m’déchires le cul, putin.

Il lui bâillonne la bouche de sa main, et lui susurre à l’oreille.

-Ta gueule p’tite pute, encaisse comme une bonne chienne et tout s’passera bien!

Le bâillon toujours en place, de sa main libre il lui attrape un sein, s’y accroche comme si sa vie en dépendait et encule la gamine comme une brute. Les pénétrations sont d’abord douloureuses, mais ses muqueuses s’adaptent assez rapidement à la bite qui la sodomise avec ardeur. "HUMPH, HUMPH, HUMPH" Elle commence presque à supporter ce calibre qui lui bourre le cul, quand tout à coup la grande brute se crispe au fond de ses reins, et y déverse la première salve de sperme. Relâchant la mamelle qu’il tenait fermement, il lui balance une énorme fessée et laisse une belle empreinte rouge sur la peau satinée de son joli cul.

Il se retire, la queue ramollissant déjà, pour être aussitôt remplacé par une autre brute. Le troisième larron l’encule directement sans même lubrifier sa bite. D’un plus petit calibre, Julie l’encaisse sans trop de problèmes mais une larme coule tout de même sur sa joue.

Après quelques coups de queues, lui aussi éjacule dans le cul bien chaud et accueillant de la belle. Le quatrième compère lui redresse le torse, la tourne pour lui faire face et l’attrapant derrière les genoux, la soulève, les jambes bien écartées pendant de chaque côté de ses bras musclés.

Il empale la petite chatte encore lubrifiée sur sa queue bien dure, et la saute comme ça à la verticale secouant les grosses mamelles à chaque coup de rein. Dans cette nouvelle position, elle sent les mains de son amant glisser sous ses fesses et en écarter les lobes. Le premier gars du petit groupe présente alors sa bite contre la petite pastille déjà en train de se refermer.

Julie ne va pas se faire avoir cette fois, elle pousse un peu, ouvrant ainsi ses sphincters et peut apprécier son nouvel enculeur s’installer confortablement au fond de son cul. "AH AH AH Oui Oui c’est ça! Baisez moi à fond bande de chiens" Une bite dans chaque trou, Julie aime se faire sauter en sandwich. Mais ses amants sont un peu trop jeunes, ils n’ont pas l’habitude de farcir des trainées du calibre de Julie, il ne mettent donc pas très longtemps à se vider dans les trous de la petite eurasienne.

Les quatre potes se renfroquent vite fait bien fait, et abandonnent la belle, le cul et les seins à l’air. "CLAP CLAP CLAP" Julie n’a pas le temps de se remettre quand elle se retourne, surprise par le bruit. Elle aperçoit Karim approcher applaudissant sa performance.

-Eh ben dis-moi p’tite salope, ça fait à peine deux minutes que t’as l’cul à l’air que tu te le fais déjà défoncer. Heureusement que j’ai rien loupé d’la scène.

Il dégaine son smartphone et pour la teaser, lui montre la vidéo montrant la jeune fille en train de se faire prendre en double pénétration par les deux malabars.

-J’suis sûr que t’as le cul bien rempli de foutre! On voudrait pas que ça s’perde!

Il attrape le sac de la petite et fouille à l’intérieur. Quelle n’est pas la surprise de Julie lorsque ce dernier en sort un petit plug au manche orné d’une sorte de bijou bleu scintillant.

-Mais comment … ?

-He he he, tu sais, le père Louis est un vieux brisquard du cul. Je crois qu’il a vite repéré le genre de chienne à qui il avait à faire. J’l’ai vu tout à l’heure fourrer quelques objets dont on grosse salope comme toi pourrait avoir besoin quotidiennement.

Il attrape la jeune fille et la plaque de nouveau les mains à plat sur la porte en bois, et lui cambre bien les reins. Ecartant la petite pastille encore ouverte, prête à dégouliner ses trois doses de sperme, il y insère le plug et bloque le petit trou comme on rebouche une bouteille. Julie sent le contact froid de la pointe de métal contre ses sphincters, puis la pression de ce nouvel objet à la forme si particulière. Malgré les coups de bite qu’elle vient de recevoir, son anus a un peu de mal à accepter la tête du rosebud. Mais une fois le plus gros diamètre de la tête passé, sa pastille se referme sans problèmes sur la base de l’objet ne laissant plus apparaître que le bijou brillant.

Il redresse alors la belle pouliche et remet un peu sa robe en place, mais ne manque pas de jouer un peu avec les belles mamelles à l’air. Il les attrape à pleine main, en titille les tétons entre ses dents, les aspire gouluement l’un après l’autre. "Ooooooh merde, encore un qui sait y faire avec mes seins" Julie adore le traitement que le jeune caïd lui fait subir. Elle veut sa belle grosse queue, mais il ne la lui donne toujours pas. Au contraire le salaud range les gros obus dans leur petit carcan élastique, et redescend les pans de la jupe juste au niveau du pubis et à peine en dessous du bijou sortant de son cul.

-Voilà, tu es de nouveau bien bandante! Fais voir ta face? Non c’est bon ces p’tites bites ne t’ont pas ravager suffisament pour faire couler ton maquillage.

Réjouit de voir sa belle à nouveau présentable, il l’attrape par la taille et la guide à la sortie du dédale de rues. Ils se retrouvent de nouveau autour de la place et prennent la direction du restaurant. A les voir marcher ainsi, on pourrait presque croire à un couple, un mac de la cité et sa pute. C’est ce que se dit Julie lorsqu’elle observe leur reflet dans une des nombreuses vitrines encadrant le centre-ville.

Elle sait bien qu’elle a l’air d’une vraie pute dans cet accoutrement, mais elle aime voir l’envie dans le regard de tous les hommes qu’ils croisent. Et ce jeu de séduction extrème l’excite, désormais elle aime faire baver les mecs qui la mate. Elle aime rendre leurs meufs jalouses. Elle veut qu’ils aient envie d’elle, et si ils savaient que sous cette robe dérisoire, la belle se fait titiller la pastille avec un plug anal alors qu’elle tord du cul dans sa démarche de pute. Ca l’émoustille encore plus.

Elle a la chatte qui la démange, elle veut sentir la grosse queue de Karim au fond de sa gorge, elle aimerait le sentir lui fouiller les entrailles. Et si lui ne le fait pas, elle est prête à se donner au premier vicieux qui voudra bien lui défoncer la chatte.

C’est le plug planté dans le cul, perchée sur ses talons démesurés, la petite robe dévoilant ses formes généreuses, que Julie arrive enfin, au bras de Karim, devant le comptoir où ils font la queue pour prendre leur commande. L’arrière de la petite robe presque à mi-fesse, Julie a l’impression que son cul est complétement exposé. Perdue dans ses pensées lubriques, elle entend à peine Karim passer sa commande, et lorsque c’est son tour, elle choisit une simple salade césar.

Le couple ressort de l’établissement et traverse de nouveau la place en direction de la BM de Karim. Julie sent bien que le jeune homme s’impatiente, il lui glisse de temps en temps la main au cul, et elle remarque bien la bosse qui grossit dans le jean’s tendu. "Galamment" le caïd ouvre la portière à Julie, qui a bien du mal à prendre place dans le bolide abaissé.

Karim aime voir cette bombe sexuelle s’asseoir dans sa voiture, il la voit vainement tortiller du cul pour entrer dans le véhicule sans dévoiler son intimité à la foule qui passe autour d’eux. Il se ravi de voir ce petit abricot bien lisse, et, s’imaginant le défoncer, il sent sa queue gonfler.

Le visage de la belle asiatique est juste au niveau de son sexe, il n’a qu’une envie, déballer sa grosse queue et la fourrer entre les lèvres pulpeuses de cette petite salope. Mais non, il tient bon, encore un peu de patience, et il va bientôt la défoncer comme il se doit.

En s’asseyant dans le bolide, Julie doit de nouveau exposer sa chatte à la vue de tous ces passants, qui ne manquent pas de la reluquer avec envie. Maintenant assise, elle sent le plug prendre place un peu plus profodément dans son petit trou. Des papillons dans le ventre, elle a la chatte aux abois, elle a envie d’une bonne queue, elle voudrait se soulager la chatte, même se branler pourrait l’aider à éteindre le feu qui brûle dans son ventre. Mais elle tient le coup, elle veut se faire sauter comme une grosse chienne.

Karim démarre en trombe et couvre la distance jusqu’au sexshop en très peu de temps. Il se gare dans la cour arrière du magasin, sort et ouvre la portière de la belle. Julie se démène pour s’extirper au mieux de la voiture, et le jeune homme l’entraine dans la salle de repos où il a l’habitude de faire sa pause.

Le cul encore plein, et mal à l’aise sur ses talons, la jeune fille a bien du mal à le suivre. Ils entrent dans une petite pièce simple mais bien chargée. Une table, quelques chaises, un fauteuil en face d’un écran plat diffusant des films de cul en boucle, et les murs tapissés de posters et de photos de femmes à poil. Cette pièce lui rappelle la salle de repos du turc.

Le jeune caïd ouvre le sac de bouffe, en sort l’assiette de salade qu’il dépose ouverte sur la table où il trouve une clé USB sur laquelle est collée un POST-IT. "Ca devrait faire un tabac dans ta cité. 15,00 l’unité. Louis" Ne lâchant toujours pas la main de Julie, il se dirige vers la télé et y branche la clé, puis va s’asseoit sur le fauteuil à côté de la table, et force la gamine à genou entre ses cuisses. Télécommande à la main, il se dégraffe le pantalon et en sort sa grosse queue déjà bien dure.

-Allez p’tite pute, fait ton office pendant que j’mâte ce que nous a concocter le boss.

Enfin! Julie ne se fait pas prier et peut finalement avaler la belle bite de Karim. Elle commence par le carresser de ses doigts fins, et s’attaque à son gland bien gonflé, le titllant du bout de la langue. Formant un anneau de ses doigts autour du frein, elle aspire son gland dans un bruit de succion.

La bouche déjà bien humide de salive, elle l’avale d’un trait jusqu’à la garde. Les poils pubiens lui chatouillent le nez, elle desserre le doux étau de ses doigts pour lui masser les couilles. Elle aime sentir ses boules se contracter sous ses attouchements, jouer avec pour qu’elles produisent une belle quantité de foutre.

Le jeune fille, la queue bien ancrée au fond de la gorge, commence à pomper le vît de chair bien gros et bien dur. Elle ferme les yeux et de sa main libre astique le manche, bien lubrifié de salive, en rythme avec son mouvement de tête. Elle adore les "SLURP" bien baveux qui accompagnent chacune de ses pipes.

C’est alors qu’elle entend la vidéo démarrer dans son dos. Elle devine le bruit d’un véhicule en mouvement et, comme en écho à la fellation qu’elle prodigue à son amant, elle devine les "GUAH GUAH GUAH, SLURP" d’une deuxième gorge profonde. "La chienne, elle en prend aussi pour son grade!"

"Elle aime vraiment ça c’te chienne. Moi qui la prenait pour une intello" "Merde!" Julie se rend compte que Karim mate la vidéo qu’ils ont filmée la veille dans le bus.

-Eh ben dis moi p’tite pute, t’es vachement photogénique une bite dans la bouche. Louis a fait du bon boulot on dirait!

Le jeune caïd se lève, la queue toujours bien au fond de la gorge de sa pute, et tout en maintenant Julie à genou, la force à soulever la tête. Il lui attrape les poignets et les attachent dans le dos, forçant ainsi la gamine à bomber son torse et à pointer ses gros obus vers l’extérieur. Il lui coince la tête entre ses mains et commence à lui piloner la gorge dans un "GUAH GUAH GUAH, SLURP" bien gluant et bien bruyant.

Est-ce que c’est de voir cette petite chienne en prise avec ses potes à l’écran, mais le jeune homme s’en donne à coeur joie dans la bouche à pipe de Julie. Au bout de quelques minnutes à lui ravager la gorge, Karim retire sa grosse bite de la belle bouche pulpeuse, un gros filet de bave dégoulinant de son membre bien gonflé.

Il attrape Julie par les poignets, fermement attachés dans son dos, et la force à se relever. "Aïe!" Les jointures des épaules de l’ado lui font atrocement mal. Elle se relève, mais le petit con la dirige comme il le souhaite grâce à sa clé de bras. Une fois debout, il la retourne et la force à se plier en deux les jambes tendues et bien écartées.

Dans cette position, Julie sent l’arrière de sa robe se relever et exposer son joli cul toujours flanqué de son plug. Karim n’en peut plus, il s’astique la queue bien lubrifiée de bave et la dirige à l’orée de la vulve bien ouverte. "HAN!" Ca y est, dans un grand râle de soulagement, il peut enfin se farcir cette petite asiat.

"Oh Oui! Vas-y! AH" Julie sent la grosse bite lui déformer la vulve lorsqu’il la pénétre violemment. De sa main gauche, il lui tient toujours les deux bras croisés et attachés dans le dos. De sa main droite, il tire sur le noeud qui maintenait les deux pans de la robe. Les seins libérés de la petite pendent dorénavant sous elle, libres de leur mouvement.

"Aouh!" Le petit con vient de lui attraper les cheveux, exagérant encore plus la cambrure de la petite. Il est prêt, dans cette position il va pouvoir la tringler comme bon lui semble.

-Tu vas déguster ma vieille!

Comme un étalon en rut, il besogne la belle comme jamais. La jeune fille sent cette grosse queue entrer et sortir de sa petite chatte avec un rythme et une violence incroyable. Lui, commence à bien transpirer dans ce petit cagibi sans climatisation. Les odeurs de sueur et de chatte trempée commence à inonder l’atmosphère.

Il sent qu’il va bientôt exploser à besogner cette petite salope comme il le fait. Il se dégage alors de la petite vulve bien élargie par ses coups de bite. En sueur et tout essoufflé, il contraint l’adolescente à s’accroupir sur ses grands talons. Il attrape l’assiette de salade et l’installe sous le cul écarter de la gamine.

-Bon il est temps d’assaisonner cette belle salade, tu crois pas?

Julie ne comprend pas trop où il veut en venir, mais dans sa position, elle ne peut que subir ce que le jeune homme a prévu pour elle. Ce dernier attrape alors le bijou terminant le rosebud et commence à tirer sur le petit instrument. "Ouh!" Julie n’est pas tout à fait prête lorsqu’il tire dessus, mais elle se ressaisit et commence à pousser d’elle même afin d’ouvrir au mieux sa petite pastille.

Dans un petit souffle, l’anus bien ouvert, l’éjaculat se déverse de son cul directement sur la salade. Karim porte alors le plug métallique à la bouche de l’adolescente et le lui fait nettoyer. Julie, entièrement esclave de sa libido, ne se fait pas prier et avale gouluement la tête du plug. Elle le nettoie et aspire les traces de sperme qui couvre encore l’objet.

-C’est bien ma p’tite chienne, régale toi bien de ce foutre! Le jeu ne fait que commencer.

Il récupère l’assiette contenant la salade maintenant couverte d’une belle dose de sperme, et la dépose de nouveau sur la table. Il repositionne Julie, pliée en deux, les seins pendant dans le vide, et lui cambre de nouveau les reins pour exposer et écarter son joli cul.

Il présente son gros gland gonflé de sang à l’entrée de la petite pastille dilatée. De sa main droite il lui attrape les cheveux et pose sa main gauche dans le creux de ses reins, pour bien lui cambrer la croupe. Il pousse alors très lentement pour bien profiter de l’étroitesse du petit trou pourtant bien ouvert. Julie se régale de sentir cette grosse bite pénétrer son intimité, le conduit est bien lubrifié par les résidus de sperme des trois lycéens.

Karim se délecte, la progression est lente mais tellement agréable. Il profite de cette magnifique pute et lui fait bien sentir sa grosse bite centimètre par centimètre jusqu’à la garde. Cette petite salope sait y faire, elle lui a ouvert ses sphincters bien lubrifiés. Mais, même si c’est très agréable, elle ne va pas s’en tirer à si bon compte. Une grosse chienne comme elle mérite qu’on lui éclate le cul. Enfin arrivé à la garde, il se penche à son oreille.

-Alors ma p’tite pute, ça te plait de te faire enculer, hein?

-HUM oui, vas-y comme ça, c’est bon! HUUUNNNN!

Il n’en faut pas plus pour convaincre le jeune caïd que cette petite chienne mérite un traitement parti"cul"ier. Il a envie de l’éclater, il se retire alors presque entièrement et repart violemment à l’assaut du joli petit cul de cette chienne.

-HAN! Tiens salope, prends ça! HUN HUN HUN

-AH AH AH AH! OUF! Oui pr

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