Je n’en croyais pas mes yeux ! Ce petit trou du cul de Kévin debout en face de moi, avec le falzar au niveau des chevilles… juste parce que j’avais un peu haussé la voix. Quelle putain de revanche pour moi !

Seulement, je compris vite que le bougre s’était aussi rapidement désapé parce qu’il pensait tout simplement sauter sur sa copine sans aucune autre forme de préliminaires, afin de profiter de la situation pour tirer sa crampe.

Le coup partit donc tout seul, ma main tendue venant cingler violemment le bout de sa verge déjà bien raide. Le bruit claqua l’air comme un tir de chasseur, dans sa campagne matinale…

"Arrrh… putain !

— Qui t’a permis de bouger ?! Je ne crois pas t’avoir autorisé à avancer !

— Mais il est complètement malade, ce con !… Il faut te faire soigner, vieux taré !…

Il se tenait la bite, la caressant pour essayer de faire passer la douleur… C’est alors que Mathilde se redressa sur le canapé et vint lui asséner une violente gifle sur le visage…

— Manu ne t’a pas autorisé à parler non plus… alors tu la boucles ! Compris ?!

— …

Il resta coi… et moi aussi d’ailleurs ! C’est donc ma jeune belle-fille qui me rappela à mes devoirs, tout en se repositionnant de façon très suggestive sur le canapé… minaudant telle une chienne en chaleur.

— Frappe-moi encore le cul, Manu !… Et puis aussi la chatte !… Hummm ! Je veux sentir ta main m’arracher les poils de mon petit minou !… Et après, j’ai envie que tu m’encules avec ta grosse bite… ahhh… je veux que tu sois le premier à me la mettre bien profond dans mon petit trou !… Ohhh ouiii !…

— Mais… ma minouche !?… Et nous ?!…

Je lui retournai donc de nouveau une grande gifle dans la figure, afin de couper court à ses pleurnicheries, à l’autre "toto".

— T’es plus con qu’une bite ou quoi ?! On t’a dit de fermer ta gueule, mon grand !…

— Manou… nous n’avons qu’à l’attacher et le bâillonner ! Comme ça, il arrêtera de nous emmerder !

— Tu crois vraiment, Mathilde ?!

— Ouais !… Attends… je vais chercher ce qu’il faut !…

Elle n’avait pas fini sa phrase qu’elle avait déjà sauté par-dessus le dossier du canapé, pour aller farfouiller dans le grand placard de l’entrée, avec une excitation que je ne lui avais jamais connue auparavant ! Petit à petit, elle était en train de prendre le dessus sur moi, sa perversité surclassant de loin la mienne, malgré notre différence d’âge en ma faveur.

Quant à Kévin, il n’osait plus bouger, le visage rougi et les yeux au bord des larmes… semblant complètement perdu face à cette situation que son petit côté "macho" ne pouvait bien sûr pas concevoir. Pour autant, il bandait plus que jamais, comme un âne…

Mathilde revint au bout de deux minutes avec tout ce qu’il fallait pour attacher son compagnon et même un peu plus… manifestement pour pimenter encore davantage le jeu. Elle lui enleva son tee-shirt sans ménagement et, une fois celui-ci nu comme un ver, commença à lui ficeler les poignets dans le dos avec un morceau de cordelette de montagne. Je dus intervenir car elle serrait tellement fort les liens que cela lui aurait coupé la circulation sanguine, au pauvre gars…

Kévin ne réagissait pas, se laissant faire tel un mannequin qu’on manipule pour lui donner la posture voulue. Il semblait amorphe, excepté son sexe toujours tendu vers l’avant.

Puis, une fois le bellâtre attaché aux mains et aux pieds, ma belle-fille s’empressa de le bâillonner avec la petite culotte qu’elle portait tout à l’heure, la lui mettant entièrement dans la bouche. Enfin, pour terminer, elle prit les quatre pinces-à-linge qu’elle avait ramenées, en accrocha une sur chacun des tétons du jeune homme, puis réserva les deux dernières pour ses bijoux de familles. Kévin fut parcouru de violents frissons spasmodiques sur toute la hauteur de son corps quand les pinces se refermèrent sur ses testicules…

Sûrement parce qu’étant également un mec, jamais je n’aurais osé les lui mettre là, à un endroit aussi sensible… elle, n’hésita pas un instant ! J’avais mal pour le jeune coq mais, paradoxalement, mon excitation était à son comble… avec une folle envie de libérer ma queue de son carcan et de me branler farouchement. Seulement, Mathilde me rappela une fois de plus quelles devaient être mes priorités.

— C’est bon, Manou !… Vas-y… fouette-moi comme une petite esclave… maintenant ! Prends la cravache que j’ai ramenée et fais-moi jouir !

— T’en es sûr, Mathilde ?!

— Ouiii… Oh ouiii… je suis ta petite pute et je mérite une punition !

De façon plutôt fébrile pour un maitre dominateur, je pris donc la cravache sur la table en me demandant d’ailleurs d’où Mathilde sortait ce machin-là ?! A priori, personne n’avait pratiqué l’équitation dans la famille et je voyais mal sa mère s’adonner à des jeux sadomasochistes ?!

Je donnai donc un premier coup sur le cul rebondi de la jeune femme, avec pour autant une certaine retenue.

— Plus fort… Manou ! Oui, encore… ahhh !…

Je donnai donc un deuxième coup, qui marqua plus nettement la peau d’une belle estafilade rouge sang… mais elle m’encouragea à continuer, couinant telle une possédée. Il y eu donc un troisième, puis un quatrième coup… et ainsi de suite… toujours un peu plus fort que le précédent !

Elle criait… elle semblait jouir de toute sa voix au fur et à mesure que ses fesses se zébraient de rouge, de violet. Quant à moi, j’éprouvai un sentiment étrange, où la honte et un malaise certain se mêlaient à une forme de sadisme, de plaisir coupable, de jouissance intense…

Tout mon corps exultait de perversité, de bonheur… J’éructais… Je ne pus d’ailleurs me retenir, lâchant d’un seul coup toute ma semence en de longues saccades dans mon slip, inondant le devant de mon pantalon…

— Arrrh… oui !…

Je sentis toute mon énergie m’abandonner instantanément. Je n’avais plus la force de donner ne serait-ce qu’un seul coup supplémentaire… mais cela n’avait de toute façon plus aucune importance, Mathilde étant partie dans un orgasme d’une rare violence, tout son corps pris de soubresauts incontrôlables. Son plaisir dura pas loin de deux minutes…

Je me laissai donc choir lourdement sur le bout du canapé et, alors qu’elle s’était retournée sur le dos, je plongeai ma tête entre ses deux cuisses offertes. Je léchai goulûment l’intérieur de celles-ci, luisant de cyprine et de sueur… m’enivrant de son parfum intime légèrement salé.

— Ahhh !… Oui… Bouffe-moi la moule… oh oui… beau-papa… ahhh !… Je t’aime !…

Je ne pus m’empêcher de tourner la tête et de jeter un regard vers Kévin pour voir sa réaction mais tout le désarroi qui se lisait dans ses yeux me ramena vite dans l’entre-cuisses de ma belle-fille. Je pris donc le temps de me délecter de son sexe surmonté d’une jolie petite toison blonde. Ma langue glissait entre ses lèvres, s’attardait sur son bouton tout gonflé d’excitation… j’aspirais sa mouille jusqu’à la dernière goutte pour ne rien perdre de sa jouissance !

Vraiment rien ne pouvait me rendre plus heureux ! Et pourtant, elle en redemandait encore, appuyant sur le dessus de mon crâne pour être certaine que je ne me relève pas, que je continue à lui bouffer le minou. Elle semblait insatiable…

Seulement, après de telles émotions, une telle jouissance… je me laissai aller à une certaine somnolence, dans un état de torpeur on-ne-peut-plus agréable. Je m’apprêtais même à m’endormir la tête dans ce nid douillet, mon corps et mon esprit tout cotonneux…

Mathilde, bien sûr, ne l’entendit pas de cette oreille et, se retirant de mon étreinte, récupéra la cravache et m’en asséna un violent coup sur la hanche, ce qui me sortit tout de suite de ma torpeur !

— Aie !… Mais, tu m’as fait mal !

— Manou, c’est pas fini… Tu m’avais promis que tu m’enculerais ! Allez, on y va !… Baisse ton pantalon ! Montre-moi ta grosse queue !… Je veux la sentir dans mon petit cul tout serré !…

Elle prit son air et sa voix de petite fille capricieuse, avec son regard malicieux auquel je ne pouvais résister ! Cela ne l’empêcha pas malgré tout de me remettre un coup de trique tout près des couilles, pour bien me faire comprendre que je n’avais pas trop le choix. Le monde à l’envers, où la petite pute soumise martyrise son maitre ! Pour autant, la situation m’excitait énormément et je me remis à bander comme un âne.

J’avais même envie de pousser la perversion encore un peu plus loin, surtout que jentendais Kévin sagiter, malgré ses liens et son bâillon.

— Et si je ne veux pas te sodomiser, Mathilde !?…

— Mais si… t’as envie ! Je veux que tu m’encules, Manou chéri !

— Et si je préfère plutôt tailler une pipe à ton copain, lui faire dégorger le poireau et tout avaler !?…

Je n’avais pas du tout calculé ce que je venais de dire, les mots étant sortis tout seul de ma bouche… mais je compris très vite que je venais de dire une putain de connerie car ce n’était pas tombé dans l’oreille d’une sourde. Kévin, quant à lui, faillit s’étrangler et avaler tout rond la petite culotte de sa copine…

— Ouais, c’est une supère idée ! On peut même faire fondre du chocolat et le faire couler bien chaud sur sa bite avant de la sucer !? Mais, après, tu m’encules quand même ! Hein, mon Manou adoré ?!

Elle était déjà dans la cuisine en train d’ouvrir les placards pour trouver le fameux chocolat… Il y a bien des fois où je devrais fermer ma gueule, moi aussi !!!

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