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Découvertes libertines au sauna – Chapitre 4




Voici donc linstant de vérité, nous allons certainement passer létape « ultime », léchange de partenaires… sauf si P, moi ou un de nos partenaires souhaite arrêter bien sûr. Quelle que soit lavancée de nos échanges, il est toujours temps de dire stop et de mettre un terme au jeu. Cest la règle, personne ne doit se sentir obligé de quoi que ce soit.

P sallonge sur le dos, et G glisse sa tête entre ses jambes. Je le comprends, ma chérie a un goût à nulle autre pareille, elle est littéralement délicieuse. Il la lèche et la doigte, pour ma part, jembrasse mon amour et promène ma main sur sa poitrine, en descendant de temps en temps vers son petit bouton de plaisir.

Elle est manifestement dans un état second, alors je préfère massurer que tout va bien et quil ny a pas de malaise. Je lui demande doucement à loreille si tout va bien et si elle est certaine de vouloir continuer. Elle me regarde, et mindique quelle en a envie et peur, elle veut être certaine que je suis aussi partant. Je lembrasse.

« Bien sûr ma chérie »

Entendant, sans les comprendre je pense, nos échanges, G se redresse et nous demande si tout va bien. Nous lui répondons en chur que tout va pour le mieux. Alors il se redresse, prend le préservatif des mains de P, déchire lemballage, lenfile, et savance pour glisser son gland contre les lèvres intimes de P.

Il lui lèche les seins tout en se glissant contre elle, je vois ma douce rejeter sa tête en arrière, signe certain de son plaisir. Puis il se recule légèrement, place sa queue bien droite devant lentrée de la petite chatte de ma chérie et glisse doucement en elle. Immédiatement elle sursaute de plaisir, je pense quelle vient de jouir, et G lui remonte les jambes pour la pénétrer plus profondément encore. Il entame un lent et doux va-et-vient. Je vois sa queue aller et venir je suis subjugué par ce spectacle. Contrairement à ce que jaurais pensé a priori, je ne ressens pas de jalousie. Je suis heureux, excité et heureux.

La main de L se glissant sur mon sexe me sort de ma torpeur admirative. Elle me suce un peu, puis place mon impair sur le bout de mon gland. Elle le déroule en douceur avec un grand sourire :

« Jaime les queues comme la tienne, jai envie que tu me prennes depuis quon a commencé ». Elle se tourne ensuite à quatre pattes, me tend son cul et embrasse P à pleine bouche. Je suis excité comme je ne lai jamais été, mais mille choses se bousculent dans ma tête. Pour me rassurer, je me penche afin dattraper la main de ma chérie, et tout en la tenant et en la serrant, je colle mon gland sur la chatte de L, humide de désir. Sans trop forcer, je pousse délicatement et je sens son sexe sécarter pour aspirer le mien, sans men rendre compte, je la pénètre totalement. Ma main est totalement serrée sur celle de P.

Tout à mes sensations, je prends tout de même le temps de réaliser et de bien visualiser la scène dans laquelle nous sommes. En maidant des différents miroirs, je nen perds pas une miette :

P, allongée sur le dos, les jambes relevées sur les épaules de G qui va-et-vient en elle à une cadence régulière dans damples mouvements, moi, en train de prendre L en levrette, qui embrasse et caresse la poitrine de P. Une scène de délicieuse débauche. Je magrippe aux hanches de L et jentame mes va-et-vient, parfois lents, parfois rapides, superficiels ou profonds, je varie les rythmes et les amplitudes, tout en faisant attention de ne pas dépasser mon point de non-retour. Pour cette première fois au moins, je veux réserver ma jouissance à ma chérie.

P et G toujours dans la même position, L et moi changeons, je mallonge sur le dos à côté de ma chérie et L sempale sur ma queue. Elle a lair de beaucoup aimer cette position, elle maîtrise le rythme et la profondeur de la pénétration. En plus je peux en profiter pour embrasser P tout en la caressant. Cest si bon. Encore une fois, une drôle de réflexion me vient à lesprit. Je sens les coups de reins de G pendant que jembrasse P, comme elle doit sentir la chevauchée de L.

Nous franchissons les barrières de limaginable pour beaucoup de couples, nous baisons (cest le mot, avec douceur certes, mais ça reste de la baise) à quatre.

Je glisse ma main sur le corps de ma chérie, jusque sur son clitoris, et je sens la queue de G qui pénètre en elle, étrange sensation, même si furtivement, cest la première fois que je touche la bite dun autre homme, heureusement, il na pas lair de sen offusquer. Cependant, je retire ma main pour attraper celle de mon amour et la serrer fort.

Sans pour autant chercher à performer, nous changeons tous de position, P souhaite se faire prendre en levrette, et L en profite pour se coucher sous elle, sa bouche sous ses seins. Les deux femmes se caressent mutuellement pendant que nous les pénétrons. Je sens la main de mon amour glisser sur L, et venir jusque sur mes bourses quelle caresse. Je suis au bord de lexplosion, moi qui avais peur de me dégonfler, cest linverse qui se produit. L en fait de même vers la queue de G, nos dames aiment ça, et nous aussi.

P me connaissant bien, elle a dû se rendre compte que je suis au bord de lexplosion, et a dû aussi comprendre que je souhaite me réserver pour elle. Elle fait donc comprendre à nos partenaires que nous souhaitons arrêter et que chacun retourne avec son compagnon légitime. Sans aucun heurt, ou protestation, les couples se reforment, les hommes enlèvent leurs préservatifs, et glissent au fond de leur compagne. Pour ma part, non sans avoir léché ma chérie dont jadore le goût.

Quel délice de me glisser en P, elle est dune douceur infinie, et je sens ses contractions sur ma tige. Je glisse mes mains derrière sa nuque, jai envie de lembrasser partout à la fois. Je ressors complètement mon gland et le glisse à nouveau au plus profond de son intimité. Je sens, au moment de rentrer, une petite résistance, je sais que P adore ça, je mefforce de glisser et dappuyer sur son point G au passage. Je vais et viens encore et encore. Jai oublié lexistence de nos deux amis du soir, le monde se résume à P et moi en ces doux instants. Je lui relève une jambe, lui dit combien je laime et combien jai aimé ce quil vient de se passer. Elle aussi me susurre-t-elle à loreille.

Jaccélère le rythme et nous jouissons à lunisson dans un cri de plaisir. Je mimmobilise au fond delle, ma queue encore en train de tressaillir sous leffet de ma jouissance, et le vagin de P prit également de petits spasmes, signe de la sienne.

Nous tournons la tête vers nos voisins, tout encore occupés quils sont à leurs ébats. Voyant quon les regarde, G se couche sur le dos, et L sempale sur lui, face à nous et dos à lui, les jambes bien écartées. Nous pouvons ainsi observer avec délectation, cette magnifique pénétration qui nous est offerte. Je sens et je vois dans leurs regards quils aiment ça, ils aiment nous offrir ce spectacle.

Mais P et moi avons envie de nous retrouver un peu tous les deux, seuls, alors après avoir admiré cette scène pendant quelques minutes, P savance vers eux, glisse une main à moitié sur les bourses de G, à moitié sur la chatte de L, lembrasse et les remercie pour ce moment.

« On vous laisse terminer, on se retrouve au bar pour boire un verre tous les quatre ».

« Daccord ma belle, à tout de suite » nous répondit L.

Nous sortons, allons nous doucher et rejoignons le bar pour reprendre des forces et nous remettre de nos émotions, fortes, et délicieuses.

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