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De belles vacances…. – Chapitre 1




Je venais de fêter mes dix-huit ans. Mes parents, pour me récompenser d’une année brillante, et de l’obtention d’un bac avec mention très bien, avaient investi pour un voyage de deux semaines dans un club luxueux, sous un soleil éclatant. De plus, j’avais ma propre chambre, que mes parents avaient trouvé juste de me payer, maintenant que j’étais dans "le monde adulte".

Bien que je les adore, j’ai cependant opté pour un club de jeunes adultes (18-21 ans), afin de faire des activités avec des gens de mon âge. Pourtant, lors du premier jour, je découvris avec surprise le fait d’être la seule jeune fille du groupe. Enfin… surtout la seule du groupe. Après cinq courtes minutes d’attente, le moniteur arriva. Très grand, blond, yeux bleu-marron, il devait avoir à peine deux à trois ans de plus que moi. Ou alors il faisait très jeune. Lorsque je lui demandais, en anglais car il était allemand, pourquoi j’étais la seule, il me dit que c’était simplement parce que les autres personnes susceptibles de joindre le groupe n’étaient pas spécialement intéressées, préférant sûrement bronzer. Puisque nous n’étions pas assez pour l’activité du jour, nous décidâmes d’un commun accord d’aller boire simplement quelque chose au bar. C’est autour d’une célèbre boisson pétillante pour lui et d’un jus d’ananas pour moi que nous fîmes connaissance. J’appris alors qu’il s’appelait Niklas Franz Luis, qu’il avait 21 ans depuis avril, qu’il avait un chien et une petite sur.

Il aimait faire de la musculation et du foot. Lui, sut que j’avais fêté mon dix-huitième printemps en mai, que je venais d’avoir mon bac, que j’avais un grand frère de deux ans mon aîné qui habitait en Espagne, et que je faisais de la danse. Je le trouvais particulièrement amusant et canon. Une fois nos boissons finies, il me proposa d’aller à la piscine. Totalement vide par le fait qu’il y en avait quatre en tout dans l’hôtel, plus la plage, pas un char ne rôdait ici. En premier temps, il fallait se mettre en maillot de bain. Contrairement à lui, moi je le portais déjà. Je n’eus qu’à enlever mon short et mon t-shirt avant de me retrouver en tenue d’été. En attendant qu’il revienne, je m’allongeais nonchalamment sur un des transats à ma disposition, fermant les yeux et profitant du soleil… jusqu’à ce que je reçoive une tonne de gouttes sur mon corps, accompagnées d’un plouf sonore. Ouvrant les yeux brusquement sous la surprise, je vis Niklas, dans l’eau, riant à gorge déployée, les cheveux en pétard mouillés.

Presque indignée, je me levai et fis moi-même un plongeon digne des Jeux Olympiques. Encore sous l’eau, je lui attrapais les jambes, le retournant et le plongeant sous l’eau. Attendant qu’il remonte à la surface, je le vis passer sous mes jambes. Il me souleva et je me retrouvais, morte de rire, sur ses épaules. Lorsqu’il daigna me lâcher, je pus enfin constater ses muscles. Il devait sûrement travailler dur pour avoir autant de muscles, car je pouvais voir des pectoraux bien dessinés et des abdos légèrement visibles. Je me mordus la lèvre avant de me rendre compte qu’il détournait le regard, et qu’il était totalement rouge. Je compris quand je vis les ficelles censées retenir mon soutien-gorge flotter à la surface de l’eau. Dans un premier mouvement de panique, je croisais les bras sur ma poitrine, dont pourtant j’étais fière. Paniquée, ma crainte s’envola en partie lorsque je vis l’érection déformant le short de bain bleu festif de mon moniteur, toujours aussi rouge. Amusée, bien que honteuse, je décidais de jouer le jeu, en retirant mon haut.

Je fis alors savoir à Niklas qu’il pouvait se retourner. Honteux lui aussi, il manqua de s’étouffer en voyant ma tenue, son visage tournant au cramoisi. Je lui dis alors que si ça le gênait, je pouvais remettre mon haut mais que je me sentais plus à l’aise ainsi. Il acquiesça, incapable de prononcer une phrase correcte sur le coup. Je ne l’entendis que murmurer des choses en allemand, comme pour se parler lui-même. Tel un requin, je l’approchais avant de me coller, mes seins contre son torse, son érection frottant mon bas ventre. Je lui tendis mes lèvres, espérant ne pas me tromper en me disant qu’il me désirait autant que moi je le désire. Mon instinct ne s’étant pas trompé, il m’embrassa fougueusement avant de venir sucer un de mes tétons. Je gémissais, fermant les yeux de plaisir, passant une main baladeuse sur son torse, jouant également avec l’élastique de on short, lui arrachant des grognements contre ma poitrine. Lorsque je me décidais enfin à le lui baisser, il commença à masser mon clitoris doucement au travers de mon bas de maillot.

En revanche de ses caresses prodiges, je lui effleurais doucement le gland gonflé. Il accéléra le rythme, passant au final une main dans ma culotte, et insérant deux doigts, qu’il faisait tantôt tourner, tantôt aller et venir en moi. Ne désirant pas être inactive, je me mis à faire de longs allers-retours sur l’aine tendue à l’extrême de mon partenaire. Je savais qu’il aimait ça autant que moi. Lorsqu’il se retira, je manquais de lâcher une protestation qu’il stoppa en m’embrassant. Nous sortîmes de la piscine et il me posa sur un transat pour me faire l’amour. Il m’embrassait partout où sa bouche pouvait à aller. N’étant plus vraiment dans le contexte, je criais en français et lui gémissait en allemand. Je suppose que nous nous disions le plaisir ressenti, bien que ni lui ni moi ne comprenions la langue de l’autre. Je repris à peu près mes esprits lorsque l’orgasme monta en moi. Lorsque je lui dis savoir, j’entendis vaguement un "me toi" avant de jouir et qu’il explose en moi. Nous restâmes dix bonnes minutes, lui dans moi, avant de nous décider à nous rhabiller, juste avant de s’endormir au soleil sur nos serviettes.

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