Tout commença par un banal cambriolage. Le bureau de Sabine de Marsan, directrice de l’Institution Saint-Nicolas fut « visité » dans la nuit. On déroba divers documents à priori sans grande importance mais qui provoqua un émoi considérable chez Mme la directrice.
Mme de Marsan, brune, de petite taille mais avec un corps mince était plutôt jolie pour son âge, 48 ans. Toujours vêtue d’un austère tailleur et coiffée d’un sévère chignon. Ses lunettes accentuait encore plus son coté « Mme la directrice « . Certains élèves dans les couloirs de l’Institution l’avait surnommé « Mme de Fontenay ». Assise derrière son bureau, Sabine réfléchissait, angoissée, ne sachant comment se sortir de ce guêpier. Car elle était bel et bien dans un sacré guêpier. A la tête de cette respectable institution catholique bourgeoise où les familles aisées mettaient leurs rejetons pour leur donner la meilleure éducation, elle savait à quel point le moindre scandale entachant Saint-Nicolas lui ferait tout perdre. Et les documents dérobés dans son bureau promettaient un joli scandale s’ils étaient dévoilés ! Sabine de Marsan avait en effet réussi à obtenir les sujets d’examens au Baccalauréat par le biais de l’imprimeur que, par un heureux hasard, elle connaissait. Elle avait grassement payé celui-ci en échange de son silence. Et voilà que maintenant, ces sujets étaient entre les mains du voleur de cette nuit. Qu’allait il bien pouvoir en faire se demanda Sabine de Marsan, anxieuse.
Les trois jeunes voleurs se posaient exactement la même question. Olivier, un petit gros regarda son ami Daniel, plus grand que lui, plus beau, plus audacieux aussi. C’est lui qui a eu l’idée du cambriolage. Pour faire chier la vieille comme il appelle la directrice. A coté d’eux, Clémence, une jolie blonde avec un visage d’ange.mais un esprit pervers.Les trois amis sont des petits vicieux. Leur grande préoccupation, pendant les cours, est d’essayer de mater sous les jupes des professeurs. Olivier ne se prive pas de mater leurs jambes, surtout les jambes de la prof de philo qu’il trouve à son goût. Il fantasme aussi sur la directrice mais pas de la même façon. Il la trouve « moche » mais il rêve de la défoncer par tous les trous la faisant gueuler sous ses coups de pines. Il partage son fantasme avec ses deux amis. Clémence qui est une petite perverse, et en matière de perversion, les femmes sont pires que les hommes, c’est bien connu, ne rêve que de domination et de soumission.
Sabine de Marsan reçut un mail sur sa messagerie électronique lui demandant de rester à disposition dans son bureau. Sans quoi, tout serait dévoilé dans la presse des le lendemain. Elle resta effondrée devant son ordinateur. Comprenant que pour toute la soirée, elle appartenait au voleur.
18 h. Tous les autres professeurs et les élèves sont partis. Sabine de Marsan attend dans son bureau, guettant le moindre bruit. Son cour bat la chamade dans sa poitrine. Elle sursauta soudain en entendant des pas dans l’escalier. On frappa à sa porte et elle cria d’entrer d’une voix tremblante.Pas rassurée du tout.Elle fut stupéfaite en reconnaissant trois de ses élèves, jamais elle n’aurait pensé ! Voulant reprendre le contrôle de la situation, elle joua de son autorité :
— Comment ! C’est vous qui osez me faire du chantage ! Redonnez moi tout de suite ces documents et peut être que je ne vous mettrais pas à la porte !
Oliver eut un sourire ironique.
— Je ne pense pas que tu sois en mesure de nous ordonner quoi que ce soit, la vieille.
Sabine sursauta sous l’insulte virant au cramoisie.
— C’est plutôt nous qui allons te donner des ordres, renchérit Clémence d’une voix dangereusement douce. Ses yeux sont luisants de perversions.
— Lève-toi ! lâcha la jeune fille d’une voix ferme.
Madame la Directrice obéit et se leva lentement faisant le tour de son bureau. Clémence la détailla sans vergogne.
Sabine est vêtue d’un ensemble blanc. De la jupe en passant par la veste. Ses talons aiguilles la grandissent un peu. Clémence s’approcha et s’empara d’un sein à travers la veste faisant sursauter la directrice qui ne se déroba pas malgré tout. Avec un sourire sadique, la jeune fille malaxa le sein de sa directrice.
— Ils sont fermes tes nibards.
Sabine rougit. Elle ferma les yeux s’abandonnant à la caresse. Mais les rouvrit aussitôt sous une violente douleur. Clémence venait de lui pincer un téton.
Olivier et Daniel retroussèrent la jupe de Madame découvrant un porte-jarretelles qui retenait des bas blancs satinées. Ils écartèrent le slip.La vulve de Sabine apparut et Olivier s’empressa de passer son index sur les petites lèvres. Pendant ce temps, Daniel s’est mis derrière Madame la directrice et lui malaxe le cul. Clémence ouvrit la veste et réalisa alors qu’elle portait une guêpière ! Ce qui la fit bien rire.
— Regardez les garçons ! La directrice porte une guêpière, je ne le crois pas ! T’es une salope finalement.
Fébrilement, elle baissa les balconnets exhibant les seins lourds de la directrice qu’elle entreprit immédiatement de malaxer. Lui suçant les tétons par moment. Sabine est toute rouge, honteuse d’être à moitié nue devant ses élèves. Elle sent une douce chaleur envahir son bas-ventre. Les attouchements de ces pervers ont raison de sa résistance. Sa fente commence à s’humidifier. Olivier lui introduisit deux doigts dans sa chatte et elle donna un coup de reins involontaire. Elle sursauta quand elle sentit Daniel lui enfoncer son index dans son trou du cul. Elle cria :
— Non ! pas ca !
Clémence lui mordilla le téton qu’elle suçait lui intimant l’ordre de se taire. Les deux jeunes hommes commencèrent à la branler faisant coulisser leurs doigts dans ses deux orifices de plus en plus rapidement.
— Elle jute la salope, s’exclama Olivier !
— Une vraie putain, je te dis, renchérit Clémence.
Sabine de Marsan se mit à respirer de plus en plus vite. Elle ne peut rester insensible aux caresses perverses de ses trois élèves qui la manipulent comme une poupée. Elle sent leurs mains partout sur son corps. Doigtée par le cul et la chatte, elle pousse un gémissement. Olivier se releva, les doigts luisant de sécrétions. Il força la directrice à lui sucer son index et son majeur, léchant sa propre mouille. Sabine eut un haut le cour en s’exécutant. Clémence baissa son jean et son slip exhibant une chatte épilée. Olivier força Sabine à s’agenouiller devant Clémence et appuya sur la nuque de la directrice. Ecourée, celle ci protesta qu’elle n’avait jamais sucé une femme ;
— Eh bien, je vais t’apprendre bafouilla Clémence complètement excitée.
Elle agrippa les cheveux de madame la directrice, des mèches s’échappèrent de son chignon impeccable.Elle poussa un petit cri quand elle sentit la langue de Sabine lui léchant timidement ses petites lèvres. Elle donna un coup de reins et appuya plus fermement sur la tête de la directrice qui poussa un cri étouffé. Derrière elle, Olivier lui donna une claque sur ses grosses fesses.
— Qu’est ce que tu attends ! Bouffe-lui le clito !
Sabine mordilla le clitoris de Clémence qui poussa un gémissement traitant sa directrice de salope.
Madame la directrice lécha avec plus de vigueur la fente humide de Clémence. Daniel malaxe les seins de Sabine pendant qu’Olivier continue de lui donner des petites tapes sur ses fesses. Cela dura de longues minutes.Clémence eut finalement un orgasme éclaboussant le visage de Sabine de sa mouille. Haletante, le regard vide, les yeux hagards, Sabine de Marsan fut relevé par Olivier et Daniel et courbée en avant sur son bureau directorial. Ses seins s’écrasèrent sur le bois. Elle sentit que de nouveau des doigts s’engouffraient dans son vagin, écartant sa vulve.On joua de longues minutes avec ses petites lèvres et son clitoris l’emmenant à chaque fois au bord de la jouissance.Les cheveux dans les yeux, remuant des fesses, Sabine supplie :
— Oh.Je vous en pris.Arrêtez.Faites moi jouir, je ferais tout ce que vous voudrez mais faites moi jouir.
Olivier et Daniel sortirent leurs queues de leurs pantalons. Ils bandent comme jamais, dur comme l’acier.Clémence relève Madame la directrice et de nouveau la contraignit à s’agenouiller devant les deux garçons qui ont la bite à l’air. Sabine arrondit les yeux devant la taille de leurs membres. Elle frémit.Clémence appuya sur sa nuque et le sexe d’Olivier lui frôla la figure.
— Allez suce le !
En faisant une moue dégoûtée, Sabine de Marsan avala la bite d’Olivier. Derrière elle, Clémence lui titille le clitoris. Olivier donne des coups de reins faisant coulisser sa bite entre les lèvres pulpeuses de Madame de Marsan. Celle-ci pousse par moment un gémissement.Elle suffoque, la bouche déformée par la bite qu’elle pompe, salivant dessus.Elle a refermé ses doigts manucurés autour de la verge et elle le branle en même temps qu’elle le suce. Elle aperçoit du coin de l’oil, Daniel à coté d’elle qui se masturbe attendant son tour. Sa langue s’enroule autour du gland arrachant des soupirs à Olivier.
— Putain ! Quelle pipeuse, une vraie pro.
Clémence ordonna à Sabine de se mettre à quatre pattes sur la moquette de son bureau. Les seins à l’air ballotent par l’ouverture de la veste. Sa jupe est tirebouchonnée autour de sa taille. Olivier se positionna derrière elle et la tenant solidement aux hanches, il la pénétra arrachant un gémissement à Sabine. Daniel lui fit face et enfonça sa bite dans sa bouche. Clémence regarde, une lueur salace dans le regard, la respectable directrice de l’Institution Saint-Nicolas se faire défoncer par ses deux élèves. Olivier lui donne des coups de reins violents, son ventre vient claquer contre ses fesses ; Sabine de Marsan pousse des petits cris étouffés par la bite qu’elle suce avec frénésie ; Son corps est secoué par les coups de bite de son élève qui la besogne violemment. Daniel lui maintient la tête et s’enfonce avec régularité dans sa bouche, regardant sa bite rentrer et sortir entre ses lèvres rouges. Madame, les narines pincées, salive sur la queue.
Ils échangèrent leurs places. Daniel se retrouva enfoncé dans le ventre accueillant de Sabine, la bourrant sauvagement, ses fesses tressautant à chaque coup de boutoir. Tout en suçant Olivier, elle pousse des gémissements de plus en plus en fort. Le ventre inondé, comblée par la queue de Daniel, la croupe frémissante.Olivier faisant coulisser sa bite de plus en plus vite entres les lèvres. Sentant la sève monter de ses reins, il se retira éclaboussant le visage de Sabine de Marsan de longues trainées blanchâtres qui allèrent s’écraser sur ses lunettes, l’aveuglant. Un jet plus puissant gicla sur son menton.Souillant sa figure de bourgeoise bien mise.Elle halète sous les coups de pines de Daniel qui la baise violement, elle ouvre la bouche, gémissant.Les traits déformés par le plaisir.Elle hurla soudain sous la violence d’un orgasme qui la laissa pantelante, inerte, pendant que Daniel, repu, se répandait sur son dos.
Elle se rhabilla sous le regard ironique de ses trois élèves. Ils sortirent du bureau lui donnant des instructions pour le lendemain matin qui la laissèrent tétanisée.
Le lendemain matin, à 8h30 précise, Madame Sabine de Marsan, la directrice de l’Institution Saint-Nicolas, accueillait les élèves et les professeurs. Bien sur, quelques uns d’entre eux furent étonnés par la jupe courte quelle portait. Sabine de Marsan ne ressemblait plus à la femme austère qu’ils croisaient dans les couloirs. La jupe s’arrêtait à mi-cuisses.Beaucoup s’étonnèrent aussi qu’elle portât des bas résilles…Le fait qu’elle portait des bottes en vinyle surpris également.Ils furent étonnés aussi par cet air crispé qu’elle semblait avoir.Ignorant que ce matin de bonne heure, Clémence l’avait obligée à se mettre des boules de geisha dans sa chatte.Ignorant également qu’elle ne portait aucun sous-vêtement.Sabine de Marsan, elle, ignorait encore que plusieurs élèves seraient mis au courant par Clémence, Olivier et Daniel. Elle ignorait que ce soir, ils ne seraient plus trois mais dix à vouloir profiter de son corps. Et des profs seraient mis au courant aussi.
Sabine de Marsan venait de commencer une nouvelle vie.