Je sens la chaleur de son sexe en moi et la fraîcheur de l’air de cette berge ombragée qui caresse doucement ma peau et mon trou offert dans une position que n’importe quel randonneur trouverait curieuse. C’est divin. Il me baise la bouche et je me dis que ce genre de jeu doit être un réflexe animal bien ancré dans nos gênes pour qu’un débutant dans les relations entre hommes soit déjà aussi spontanément à l’aise à l’idée de se faire sucer par un de ses congénères.

Peu habitué probablement à la bouche gourmande d’un homme ou en manque d’éjaculation depuis trop longtemps, je comprends qu’il s’approche dangereusement de la jouissance. Je lève les yeux pour essayer de comprendre ce qu’il attend et nos regards qui se croisent se comprennent. Il veut jouir.

Je fais glisser ma bouche tout le long de sa queue dure, l’enserrant fermement puis relâchant la pression, il vient buter contre le fond de ma gorge, et à chaque fois, je sens que son sperme s’annonce plus pressant. Je lui caresse les couilles avec ma main libre, l’autre le masturbant en cadence avec ma fellation.

Oh… P….. c’est trop bon… c’est…..

Il manque de mots…

Il s’excite dans ma bouche, soulevant son bassin de plus en plus vite pour me baiser la gueule. Des réminiscences de ses plongées hétéros dans la chatte de Chloé…

Je vais jouir…!!!!!!!!!!!!

Il m’annonce la vague que j’ai déjà ressentie dans sa queue… le flot monte… les veines du pénis gonflent encore… puis c’est la libération et ma bouche est envahie d’une dose de son jus bouillant de beau mâle.

Je desserre les lèvres, et toujours penché sur sa queue que je surplombe maintenant de quelques centimètres, je laisse couler de mes lèvres son sperme épais sur sa queue. Le jus coule sur le pieu encore dressé comme le chocolat sur une glace et vient noyer les poils de son pubis et ses couilles vidées par cette éjaculation violente. Il regarde sa semence se répandre sur sa queue toujours agitée de contractions. Il a l’air complètement ailleurs.

P…… c’était génial… Merci Paul… merci….. je sais pas quoi dire.

Il me touche. Il est sincère, libéré de quelque chose et simplement heureux du plaisir qu’il vient de ressentir…

Je… Je savais pas que ça pouvait être comme ça…

Tu veux dire… de jouir comme ça ?

Oui… en se faisant sucer… dans une bouche….. c’est dément en fait…

Tu as aimé ?

Y a pas de mots….. merci… merci.

Il est toujours allongé, appuyé sur ses avant-bras, moi à genoux entre ses cuisses. Et… et il se redresse… et… sans dire un mot… vient poser ses lèvres sur les miennes. Je chavire. Je ne cherche pas à comprendre. Juste à jouir de l’instant. Un dixième de seconde, je me demande s’il ne vient pas chercher le goût de son sperme sur mes lèvres, mais à la façon dont il embrasse, je comprends que non… que son baiser dit bien autre chose. Je n’ai pas joui et ma queue me fait presque mal. Sans quitter mes lèvres, je sens que sa main droite s’empare de mon pénis qu’elle enserre fermement. Il me contrôle, par la bouche, le sexe et la conscience. Nous respirons à l’unisson. En manque d’air, nos bouches se séparent. Il se laisse tomber sur le sol… nu… repu… et je vois sa queue venir se poser doucement sur sa queue, vaincue par le plaisir. Il n’a plus aucune gêne à se montrer nu… mais peut-être uniquement parce que nous sommes seuls et qu’un lien particulier nous unit désormais.

Je m’allonge à côté de lui. Il pose sa main sur ma queue encore dure.

Paul ?

Oui ?

C’est bizarre non ? Ce qui vient de se passer…

Oui et non…

Tas raison… plutôt inattendu… pour moi en tout cas… mais pas bizarre… pas bizarre du tout en fait… justement… c’était naturel… c’était ce que je voulais… depuis longtemps en fait… je n’osais pas…

Je laisse ses paroles pénétrer mon cerveau.

Paul ?

Merci.

Tu me l’as déjà dit… je le dis doucement pour lui faire comprendre que c’est moi qui le remercie.

non… vraiment… tu vois ces deux dernières heures… elles ont changé ma vie.

je comprends.

Puis il se tait. Je tourne la tête pour deviner ses sentiments. Il semble un peu triste.

Ca va ? Tu regrettes.

Il me sourit.

Non,… pas du tout… en fait si….. de ne pas l’avoir fait plus tôt…

J’ai un doute énorme et génial.

je suis pas le premier mec qui te suce quand même ?

Si…

Je mesure soudain tout l’enjeu et toute la dimension de ce qu’il vient de se passer. Je comprends la confiance qu’il me fait… l’agitation qui a dû lui déchirer le cerveau… je comprends que je ne comprends rien à ce qu’il est en train de vivre, que je ne peux pas, mais que ce n’est pas grave.

Je m’appuie sur un coude pour me tourner vers lui. Je pose ma main sur son ventre et le caresse. C’est incroyablement doux et rassurant.

Je….. merci….. pour ta confiance…

Je sens que je suis ému et que mes yeux se mouillent. Il a besoin de réfléchir… moi aussi…

je vais me baigner.

moi aussi.

Il se lève, et nous courrons vers l’eau, moi la queue dressée, et lui, libéré de sa timidité. Sa nudité resplendit dans le soleil et je sens que mon gland est mouillé avant que j’arrive dans l’eau du lac. Nous jouons dans l’eau comme des gamins. Un groupe de randonneurs passe à côté de l’endroit où nous avons pique-niqué et nous dit bonjour. Deux mecs et deux nanas. Peut-être que les deux garçons nous envient. Je souris au fond de moi. Il faudrait que j’arrête de penser que tous les hétéros vont virer homos simplement parce que cela m’amuse.

Pour ne pas trop gêner Eric qui se lance dans le naturisme depuis quelques minutes seulement, j’attends que le groupe soit suffisamment éloigné pour sortir de l’eau. Nous nous faisons face, exposés au soleil pour nous sécher. J’approche, il pose sa main sur ma nuque et attire mes lèvres sur les siennes pour un nouveau baiser sublime. Je m’abandonne à cette étreinte. Soudain, je sens mon gland toucher le sien… nous bandons tous les deux et nos queues se sont trouvées presque malgré nous.

Eric murmure :

c’est génial.

oui…

Nous nous rhabillons. Difficile de remettre nos chaussures de rando après cet épisode de liberté où nos corps nus étaient en harmonie totale avec la nature. Mais il est temps de redescendre. Cette nuit, nous dormons à l’hôtel de Font-Romeu et nous avons encore un peu de chemin à parcourir. La descente est toujours difficile pour les genoux. J’ai peur d’ailleurs de n’être pas assez concentré sur les pierres à éviter tant mon esprit est ravagé par le souvenir de ce que nous venons de vivre. Eric marche devant moi et je pense plus à son petit cul poilu que je n’ai pas encore osé caresser qu’aux difficultés du chemin. En fin d’après-midi, nous arrivons à l’hôtel sans encombre. Je trouve un message à mon attention à la réception.

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