J’étais avec Valérie, une collègue. Elle est blonde et a de supers seins. On nous avait envoyé à deux chez un client pour une semaine. On logeait dans le même hôtel, mais on avait chacun notre chambre. Elle a un copain et moi une copine. Le premier soir, je l’ai rejoint dans sa chambre pour finir de préparer notre intervention chez le client. Elle était attirante. Elle portait une chemise blanche, sans soutien-gorge. Elle avair une jupe bleue qui descendait jusqu’à ses genoux. Elle avait aussi de beaux collants bien noirs et bien brillants. Elle avait remarqué que j’avais flashé en la voyant. Elle s’est mise à me séduire. Puis, sans prévenir, elle m’a roulé une pelle. Je n’ai pas résisté. Je me suis mis à lui lécher le cou tout en caressant son genou avec ma main qui remontait toujours plus haut. Dès que j’ai atteint son trou, elle m’a déshabillé et a mis ma queue toute raide dans sa bouche. Elle lèchait tout le sexe, avec une instance sur le gland. Elle faisait un va et vient et me dit qu’elle aime mon liquide séminal. Ca faisait longtemps que je n’avais pas baisé. Je n’en peux plus. Elle le remarque, et me masturbe pour que je gicle le plus possible. J’éjacule et je lui en mets partout : sur son visage, dans sa bouche, sur ses cheveux, sur la jupe. Je lui dis que j’ai encore envie d’elle. Elle prend du sperme de sa jupe et de ses cheveux, l’étale un peu partout sur elle et en avale. Elle m’emmène sous une douche chaude. Je suis nu, mais elle est habillée. Je la lèche partout. Elle prend plaisir. Puis je rebande, elle me resuce. Puis je la pénétre. Elle adore ça. Plus on fait nos va-et-vient, plus notre relation est tendre et sincère. Elle jouit une première fois. Je sors ma bite, je la relèche. Puis elle me masturbe avec ses seins. Je suis tout excité. C’est beau une femme sous la douche avec ses habits mouillés qui lui moulent le corps. Je la repénètre, et je lui lache dans sa chatte une grosse giclée de sperme. Puis on a passé toutes nos nuits ensemble. Elle est revenue à son copain, et moi à ma copine. Mais entre nous deux, il y a plus que du cul.
