– Sabrina apporte-moi le dossier Demesmaeker et prend de quoi noter.
Ma belle secrétaire entre en souriant dans mon bureau, vêtue de sa magnifique robe bleue qui moule son superbe
corps de petite pute. J’ai déjà une érection rien qu’à mater ses courbes parfaites.
— Ferme la porte qu’on puisse travailler sans être dérangés, lui-dis je en lui lançant un clin d’oeil appuyé.
Sabrina ferme la porte à clé, s’approche de mon bureau et pose le volumineux dossier Demesmaeker. Ce faisant son
stylo roule sur le meuble et tombe à mes pieds.
Sabrina se met à genoux et se faufile à mes pieds pour se caler sous mon bureau. Elle ouvre ma braguette pendant
que je commence à compulser le dossier Demesmaeker. J’ai intérêt à vite trouver la transaction que je recherche car
je vais rapidement avoir du mal à me concentrer. En effet, deux mains agiles ont déjà défait ma ceinture et sorti ma queue
à moitié rigide puis je sens une langue experte me lécher le gland. Je m’installe plus confortablement dans mon fauteuil en
écartant bien les jambes tandis que Sabrina a déjà gobé ma queue et commence de lents va et vient. Il faut vite que
je trouve ce que je recherche, c’était le paragraphe 10.6.4 ou le 6.10.4 ? A moins que ce soit le 4.10.6 ?
Je ne sais plus, je n’arrive plus à me concentrer ! Une douce chaleur envahit mon bas-ventre et mes instincts de mâle dominant et sadique s’éveillent.
J’essaie de lutter, d’avoir des pensées cohérentes mais Sabrina a pris ma queue en deep-throat et là c’est trop bon, je ne suis plus son
Boss qui a une démarche urgente à faire auprès de la banque mais une queue qui veut sa maxi-dose de plaisir sexuel.
La bête se réveille en moi, je coince la tête de Sabrina avec mes genoux et je lui pince le nez pour l’empêcher de
respirer. Je sens la bave couler sur mes bourses et ma secrétaire commence à s’agiter.
— Ne bouge pas sale pute, fais ton office, si tu te retires je me venge sur ta poitrine.
Ma chienne tient encore la position quelques secondes mais elle n’en peut plus et commence à s’agiter comme une
démente. Je relâche la pression sur sa nuque pour qu’elle puisse reprendre son souffle, puis en lui tenant
fermement la tête je lui impose un va-et-vient violent tout en la traitant de sale pute, de chienne dégénérée, de
stupide femelle maso, de garage à bites, de lécheuse de culs de chiens, de truie, de bouche à bites, etc.
De son côté elle émet une série de "glok-glok" ridicules avec sa bouche et je m’amuse à lui pincer les joues et lui
tirer les lobes de ses oreilles car je commence vraiment à avoir très envie de lui faire mal.
Au bout de bonnes deux minutes de ce traitement, je commence à fatiguer des bras et il est temps de faire payer à
la pute le fait d’avoir de si beaux nichons.
— Mets-toi à genoux à coté de moi ma petite pute maso et sorts tes mamelles que je te fasse regretter d’être une
femme.
Sabrina fait tomber les bretelles de sa robe et la dénoue de façon à dévoiler ses deux magnifiques globes de chair
tendre. Bien sûr elle ne porte pas de soutif, je lui ai interdit, ça fait toujours son effet sur les clients et je
veux qu’elle ait toujours ses nichons facile d’accès.
— Supplie-moi d’être cruel avec tes nichons de salope stupide femelle, je lui dis tout en lui donnant une gifle
cinglante sur la joue.
— Faites-moi très mal aux seins, s’il vous plait, qu’ils soient douloureux pendant des jours et des jours, pour que
je puisse me souvenir à chaque instant du traitement que vous leur avez infligé et que je puisse faire mouiller ma
chatte de salope qui en veux toujours plus.
En même temps elle a soulevé ses nichons par les pointes afin de me dévoiler qu’elle a écrit TORTUREZ LES MOI au feutre sous ses globes appétissants.
Je sors une paire de menottes d’un des tiroirs secrets de mon bureau et je les pose rapidement sur les poignets de
Sabrina qui a mis ses mains derrière sa nuque. Elle a bombé le torse et fermé les yeux tout en m’excitant avec sa
langue qu’elle fait passer de manière suggestive entre ses lèvres.
Les seins de Sabrina portent encore les stigmates de nos derniers jeux: quelques hématomes foncés ainsi que des
traces de griffure rendent encore plus désirables pour moi ses magnifiques mamelles aux larges aréoles. Les tétons
sont en érection, gros et longs et ne demandent qu’à être suppliciés.
Je prends un nichon dans chaque main et je fais rentrer méchamment mes doigts dans la chair tendre en appuyant fort
avec le bout de mes ongles. Sabrina tressaillit, je sais qu’elle commence à ressentir d’agréables picotements dans
le bas-ventre qui vont se diffuser dans tout son corps au rythme de mes tortures sur sa plastique de rêve, jusqu’à
ce qu’elle atteigne l’orgasme. J’ai les seins fermement agrippés dans chaque main, je serre comme un malade et ils
commencent à prendre une teinte violacée, le sang ne circule plus, ce qui doit provoquer d’agréables élancements
dans les mamelles de ma pute. Je commence à la soulever par les seins afin de les approcher de ma bouche et je
me mets à mordiller les tétons tout gonflés pendant que les nichons supportent les 55 kgs de Sabrina qui sait
qu’elle ne doit pas se lever. Elle ne le veut d’ailleurs pas, je le sais, car elle commence à lâcher un petit "oui"
de satisfaction. Je mords alors bien plus fort le téton droit et je sens le corps de ma salope réagir au signal de
douleur que transmet le sein martyrisé à sa propriétaire. Il faut que je fasse souffrir ce sein trop arrogant alors
je le prends dans ma bouche jusqu’à la limite de l’aréole et je le mords puissamment ce qui me procure une
sensation de puissance totale dans la queue et Sabrina se met à haleter de plaisir et de souffrance mélangés. Je
mords le sein plusieurs fois, je le gobe, j’aspire le téton, je le mords à nouveau et ma pute m’encourage en me
disant "oui, plus fort, faites moi mal, mangez-moi le sein". Je deviens fou d’excitation alors je mets toutes mes
forces dans mes mains et je serre les deux pauvres mamelles comme si je pouvais les écrabouiller. Je mords à nouveau
la chair tendre du sein droit qui ne doit pas être joli à voir maintenant puis comme j’ai vraiment décidé de
m’acharner sur celui-là, je relâche l’autre et cette fois de mes deux mains je tire dessus comme un taré tout en
l’écrasant et enfonçant mes ongles dans la chair. C’est désormais lui seul qui supporte tout le poids de Sabrina et
cette dernière est parcourue d’un spasme violent, son corps tremble et elle laisse échapper un gémissement malgré
qu’elle morde ses lèvres jusqu’au sang. Je sais qu’elle a son orgasme alors alors j’essaie de lui donner un coup de
pied dans la chatte et je l’insulte en la traitant de sale pute masochiste dégénérée à qui je vais arracher les
nibards.