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Chroniques Saphiques. – Chapitre 1




L’histoire qui suit est une pure fiction avec un brin de fantastique, ceci est tout droit sorti de mon imagination.

Les Guerres Saphiques.

Il y a bien longtemps dans une galaxie lointaine, très lointaine…non pardonnez-moi, je m’égare çà c’est une autre histoire.

Il y a bien longtemps, bien avant que notre monde ne soit comme nous le connaissons, se trouvait au large d’un grand continent, une île immense. Une flore et une faune magnifiques et sauvages s’y étaient développées. Des montagnes se jetaient dans les mers, des fjords, des forêts luxuriantes, des vallées vertes, des plages de sable blanc … Un vrai petit paradis.

Outre la faune, cette île était occupée par deux peuples distincts. Le peuple de Nostria, et le peuple de Sustria. La particularité de ces deux royaumes, est qu’ils étaient peuplés uniquement de femmes. En quelque sorte des "amazones". On ne trouvait pas trace d’un seul homme dans les rues des citées. On dit que seuls certains d’entre eux étaient gardés captifs pour palier aux besoins de reproduction, en quelque sorte des "bourdons". Les autres étaient utilisés à de basses besognes, esclaves, forçats …

Les Nostriennes étaient gouvernées par la reine Lilithia, les Sustriennes par la reine Saphilia, toutes deux des femmes d’une grande beauté, puissantes, craintes et respectées. Malheureusement, depuis des temps immémoriaux la guerre déchirait et accablait les peuples des deux royaumes. Par quel évènement, pour quelles raisons cette guerre sévissait, peu des habitantes de l’île s’en souvenait encore. La guerre faisait partie de leur vie, mais ce poids était de plus en plus lourd et le mécontentement et la grogne se faisaient de plus en plus entendre. Aussi les deux reines, chacune de leur côté décidèrent de mettre un terme définitif à ce conflit sanguinaire et stérile…

Chapitre 1

Adria montait quatre à quatre les marches qui menaient à l’entrée du palais royale. La reine Lilithia l’avait convoquée en urgence.

" Générale Adria, veuillez vous rendre céans en salle du trône. Lilithia reine de Nostria." Disait le message reçu par pigeon un jour avant.

Que diable pouvait bien lui vouloir la reine, cela faisait deux ans que celle-ci lui avait donné le droit de se retirer pour bons et loyaux services rendus au royaume. Deux ans qu’Adria n’avait pas monté la flanquée de marches du palais. A 48 ans Adria était encore athlétique et une redoutable guerrière, elle n’en fut pas moins essoufflée et trempée de sueur lorsqu’elle arriva aux portes du palais. Au petit matin elle avait quitté à regret son doux foyer et sa couche, réchauffée par sa femme Mina. 

En repensant à cette dernière nuit, un fourmillement vint lui chatouiller l’échine. Une nuit de sexe torride avec sa bien aimée, comme à chaque fois qu’elles devaient se séparer, elles se donnaient et faisaient l’amour comme si c’était la dernière fois. Leur bonheur était une nouvelle fois interrompu par les événements.

Les deux gardes saluèrent Adria reconnaissants leur générale, elles lui ouvrirent les deux lourds battants de la portes en bois cloutée sculptée et relevée de fines dorures. Adria s’engagea dans l’immense salle du trône. Elle fut impressionnée par le faste et la grandeur de cette salle. Ce dallage en marbre blanc qu’elle avait pourtant arpenté maintes fois, ces colonnes du même marbre toutes ces statues de déesses et de guerrières, elle les connaissait par coeur, et pourtant elle restait impressionnée.

Elle arriva devant la dizaine de marches au pied du trône et s’agenouilla aussitôt

.

— Vous m’avez mandé ma reine, Adria pour vous servir.

Levant la tête Adria fut émue de revoir sa souveraine. Elle était toujours aussi belle. Une prestance, une posture, et une sensualité incroyable se dégageait de la reine Lilithia.

Celle-ci posa son regard vert et charbonneux sur la générale. Sa couronne d’or blanc sertie d’émeraudes retenant sa longue chevelure noire, son nez fin à la grecque surplombant une bouche aux lèvres pulpeuses fardées de noir, un visage blanc sévère qui s’illumina à la vue d’Adria.

— Générale Adria relevez-vous, je suis ravie de vous revoir. Montez prêt de moi. Vous êtes venue prestement et je vous en remercie. Comment allez-vous ma vieille amie.

— Pour le mieux votre grâce. Je suis à vous corps et âme.

— Je suis navrée de vous retirer à votre retraite et à votre épouse générale mais j’ai grand besoin de vous, la mission que je veux vous confier pourrait bien mettre un terme à la guerre avec la Sustria si vous parvenez à l’accomplir.

— Je vous écoute ma reine.

— vous assoir prêt de moi. Loumen porte nous du vin des terres bleues.

— Tout de suite votre grâce. La jeune servante, une petite brune aux yeux noirs s’exécuta sur le champ.

— J’ai été informée générale, par l’une de mes espionnes, que la reine Saphilia a entrepris une quête afin de retrouver un objet magique d’une puissance phénoménale, pouvant détruire n’importe quel ennemi. Elle compte envoyer sa meilleure guerrière la générale Darceï pour récupérer l’artéfact. Nous devons l’en empêcher et récupérer l’objet à tout prix.

Loumen revint, un plateau sur les bras chargé de coupes d’argent ciselées et d’une carafe en cristal et argent remplie d’un vin noir et épais. Posant le plateau sur une table de service elle versa deux généreuses rasades de ce vin des terres bleues et les porta à la reine et à la générale. Adria remarqua le petit regard en coin de la reine qui se posa sur le fessier ferme de la jeune servante. Il est vrai que les tuniques en soie blanche des servantes étaient très légères et laissaient plus que deviner les formes des jeunes femmes. La reine n’avait pas changé elle était toujours aussi friande, gourmande, une grande consommatrice de sexe. Adria se souvenait des nombreuses soirées orgiaques qu’avait donné la reine et quelle donnait encore à l’occasion. Et même si Adria était folle amoureuse de Mina, elle avait succombé maintes fois à la tentation de cette multitude de femmes, certaines artistes, d’autre notables, grandes commerçantes, militaires gradées, prostituées…

— Je suis flattée que vous ayez pensé à moi votre grâce, mais ne vaudrait-il pas mieux envoyer des guerrières plus jeunes et plus robustes que moi ? La générale Hérina ma remplaçante me semble toute indiquée…

— Hérina est chef de mes armées aussi s’emploie-t-elle à les diriger, c’est son rôle et elle n’a pas le temps pour autre chose. Nulle autre que vous ici n’a votre experience, votre endurance ainsi que votre intelligence, pour accomplir cette mission. Du reste nous devons envoyer une seule personne, car nous devons agir dans la plus grande discrétion.

— Mais votre grâce je risque de ne plus être à la hauteur surtout si je dois affronter une guerrière telle que Darceï et…

— Refusez-vous de me servir générale ?

La réponse froide et menaçante coupa net Adria.

— Non votre majesté… Bien sûr que non, je suis à vous corps et âme

La reine avala une grosse gorgée de vin et se lécha les lèvres.

— Je vous le demande comme à une amie Adria, en ce sens j’aurais crû que vous agiriez. Mais si je dois vous en donner l’ordre et vous contraindre je le ferais, il en va de l’avenir du royaume.

— Je ne pensais pas que vous me considériez comme une amie votre grâce.

— Ne l’êtes-vous pas ? Ces deux années passées loin de moi ont-elles eu raison de notre passé générale?

— Non ma reine, je …je ne pense pas…

La reine frappa soudainement deux fois des mains et toutes les servantes et gardes disparurent de la salle. Là-dessus elle se leva et se posta devant Adria assise sur un petit tabouret au coussin de velours pourpre. Surplombant la générale de toute sa hauteur, elle commença à soulever doucement sa longue robe noire brodée d’argent, laissant apparaître deux jolis pieds blancs aux ongles vernis de noir dans de riches et fines spartiates de cuir noir, dévoilant deux jambes galbées et banches, des cuisses fermes. Continuant de remonter doucement elle laissa, sous une chaînette de taille en or blanc, parsemée de perles de culture, apparaître une toison noire taillée court et une chatte rose légèrement brillante de paillettes et certainement d’autre chose. Une chatte royale. La reine avança son bas ventre jusqu’à ce que le nez d’Adria touche sa toison noire.

— Prouvez-moi que vous êtes toujours mon amie générale Adria. Prouvez à votre reine bien aimée que vous lui êtes dévouée corps et âme !

Un parfum subtil de fleurs mélangé à un parfum de sexe de femme envahit les narines d’Adria. Un parfum envoûtant et suave qui lui ramena une foule de souvenirs en un instant. Des images de sa reine la chevauchant en tribade, des images de langues, de corps enchevêtrés en sueur, de seins magnifiques, de chaines d’amour avec nombre de femmes, d’odeur de stupre, images de poses lascives, Mina gémissant sous sa langue…

Ce parfum la mit dans un état second et Adria attrapa des deux mains les fesses de sa reine et plaqua sa bouche sur le moule à demi ouverte. Un moment surprise, Lilithia eu un petit cri amusé qui se continua par un "Mmmmh" de satisfaction quand Adria enfonça sa langue dans le vagin offert. Adria dévorait littéralement la chatte de la reine qui commençait à onduler du bassin accompagnant les mouvements de tête et de langue de son amante. Agrippant la chevelure blonde de la guerrière pour l’encourager plus encore dans l’exercice.

— Vas y mon petit général, vas y montre-moi comment tu te bats avec ta langue, la forteresse est bientôt prise, oh ouuiiii, c’est ça attaque mon clitoris, il est vulnérable, ouuuuiiiii, il ne te résistera pas longtemps OHHHH

Un spasme intense s’empara de la reine à l’instant ou Adria lui pistonnait le vagin avec deux doigts alors que sa bouche aspirait son clito. Un flot abondant de cyprine envahit la bouche d’Adria qui le dégusta tel un grand cru.

S’écartant, quelque peu vacillante, la reine pencha son visage sur Adria et l’embrassa sur la bouche. Puis se relevant, reprit instantanément ses esprits et son port de reine et avala d’un trait le reste de sa coupe de vin. Adria, elle, mit un moment à reprendre ses propres esprits.

— Nous sommes donc d’accord générale, vous partirez dès que possible pour récupérer l’artefact. Mes espionnes m’ont confirmé qu’il se trouverait dans les ruines d’un temple au pied des monts touffus. Hâtez-vous générale, et revenez-moi vite et victorieuse. Ah et j’oubliais, allez voir la grande prêtresse au temple des déesses, elle pourra vous en dire plus sur l’objet recherché.

 La maîtresse de service entra et s’en vint pour servir la reine.

— Votre bain est prêt ma reine

— Fort bien. Avez-vous invité la Baronne d’Aréole et son épouse à venir pour mes ablutions ?

— Oui votre grâce. Elles vous attendent au bassin.

Là-dessus la reine se dirigea vers la salle des bains.

Se retrouvant seule Adria entreprit de quitter le palais. Remettant de l’ordre dans sa tête elle dressa une liste de ce qu’elle devrait faire avant de partir. Aller voir la prêtresse, s’équiper en conséquence pour un voyage dangereux, et surtout aller dire au revoir à sa femme Mina. En pensant à cela son coeur se serra.

À suivre…

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