Il y a quelques temps je parcourais les annonces de rencontre dans un journal local. Je tombais sur l’une d’entre elles dont le texte était plutôt évasif ’Couple cherche H, F, CPL pour moments intimes’, sans trop y croire j’y ai répondu en me présentant : 26 ans, 1m75, 70kg mignon et en joignant une photo. Quelques jours plus tard j’ai eu l’heureuse surprise d’avoir François au bout téléphone. Il avait reçu mon courrier et avait soumis ma photo à sa petite amie qui avait dit oui. On fixa un rendez-vous quelques jours plus tard. Je peux vous assurez que je comptais les heures et j’en devenais fébrile tant la situation était unique.
Arriva ce fameux Mardi soir. Je découvris un quartier de Strasbourg que je connaissais à peine, l’endroit était peu recommandable mais tant pis. Je croisais quelques personnes dans l’escalier, en ayant l’impression délirante que tout le monde savait où j’allais et qu’est ce que je venais y faire? François ouvrit la porte. C’était un jeune homme souriant et bien bâti, il m’invita à rentrer. Son appartement était minuscule et assez mal entretenu, signe qu’une femme n’y résidait pas souvent. Je ne me trompais pas car il m’annonça que Florence n’habitait pas ici mais qu’elle passerait dans une demi-heure. Je mis cette attente à profit pour sympathiser et en savoir un peu plus sur eux.
Ils formaient un couple bizarre car ils étaient simplement amant et maîtresse et ne nourrissaient pas d’autres sentiments que la recherche du plaisir. Lui, avait trente ans, c’était un éternel étudiant qui avait à peu près tout raté sauf un étonnant palmarès de conquête féminine. C’était un vrai drogué du sexe qui avec persévérance ramenait à peu près toutes les filles qu’il voulait dans son lit. Elle, avait vingt deux ans, il l’a décrivit belle et intelligente. Commerciale dans le domaine médical, elle gagnait très bien sa vie et n’était pas originaire du coin. Bref, elle avait tous les atouts pour vivre pleinement ses envies? et faire l’amour avec deux garçons en même temps était vieux fantasme.
La demi-heure fini par passer et Florence arriva. Je vis une ravissante jeune femme apparaître, elle était habillée dans un Jean’s moulant avec un chemisier qui dessinait de très beaux seins. Elle était plus qu’intimidée et se demandait se qu’on avait bien plus comploter pendant son absence. On s’est assis dans la cuisine et François nous servit un verre. L’alcool nous mettait à l’aise. On parlait de tout et de rien et je me surpris à ramener régulièrement la conversation au sexe pour éviter que la situation nous échappe. Après un quart d’heure, Florence vida son verre d’un trait et se leva et nous invita à passer dans la chambre. François avait tout préparé, les stores étaient baissés, des bougies diffusaient une lueur agréable et un grand matelas nous attendait.
Il s’est placé derrière elle, a commencé à l’embrasser dans le cou tout en lui caressant les seins. Elle me tendit les bras en m’invitant à les rejoindre. Alors commença le plus doux et langoureux effeuillage de ma vie. Nos mains couraient sur son corps, passant de temps en temps sous sa chemise pour caresser son ventre et ses seins. Elle fermait les yeux, renversait sa tête pour apprécier nos gestes et nous accordait de longs baisers. De ses mains fébriles, elle déboutonnait une chemise, dégrafait une ceinture, caressaient nos torses. Nous l’avons déshabillé très lentement augmentant notre excitation, ses gémissements emplissaient la pièce, c’était divin. Progressivement, nous lui avons retiré son chemisier et son Jean pour découvrir une fine lingerie qui dessinait superbement ces formes. Cette dernière étape franchit, elle se livrait à nous, offerte à nos désirs. Tandis que François caressait ses seins aux pointes érigés, je me mis à genoux et découvrit une toison soyeuse et douce. Doucement, mes doigts passèrent entre ses lèvres intimes déjà humides. De mes doigts trempés, je remontais sur son clitoris où j’entamais une douce caresse. Très vite, ses lèvres se gonflèrent de plaisir. En me penchant, j’ai pointé ma langue sur son bouton d’amour et j’ai longuement savouré ces instants où il roulait et durcissait sous ma langue. Florence s’est mise à genoux, me donnant un profond baiser pour recueillir son fluide. François, par derrière avait passé son sexe entre ses fesses et commençais un doux va et viens en caressant sa vulve de son gland. Tout embrassant ses tétons durcit, je continuais à la caresser en rencontrant de temps à autre le sexe érigé de François, ce contact éveilla chez moi des sensations indéfinissables. Florence s’allongea sur le dos, écartant largement les jambes à François. Alors qu’il l’a pénétré, je m’attardais sur ses seins, et lui tendis mon sexe qu’elle pris en bouche. Sa langue s’attardait sur mon gland alors que sa main me masturbait. C’était agréable car j’étais à la fois acteur et spectateur d’une scène érotique hors du commun. François devait penser la même chose car il n’a pas tardé à jouir tandis que mon sexe étouffait les gémissements de ma partenaire. Il se retira et alla l’embrasser, elle me regardait tant en écartant les cuisses comme une douce invitation. Sans me faire prier, je l’ai pénétré à mon tour, son vagin était serré, soyeux et encore humide du passage de François. Ce détail décuplait mon désir, mes mains couraient sur son corps, attrapaient ses hanches, revenaient sur ses seins ou descendaient sur son clitoris. Chaque coup de rein la faisait gémir et elle s’abandonnait à ce double plaisir. La tension était vraiment trop fort, encore quelques vas et viens et en m’agrippant à ses jambes j’éjaculais puissamment en elle? Après avoir retrouvé nos esprits, on retrouva Florence radieuse d’avoir assouvi son rêve et presque maternelle, elle nous serra très fort dans ses bras en nous embrassant longuement?