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L'envol des tourterelles – Chapitre 21




Ne semblant pas tenir compte de la dernière réponse d’Alicia, qui n’était pourtant pas sans importance, Sophie se mit, en présence de sa victime toujours attachée aux quatre coins de la table, à réexaminer le gode-pénis qui lui avait été offert en cadeau la veille.

« Il est vraiment très réaliste ce gode, se délecta Sophie. Il est en tout point semblable à une vraie bite en érection. Il a un gland tout à fait spongieux et très doux au toucher. »

Sophie se mit à remplir la poche testiculaire avec le liquide spermatique de son père provenant de la fiole qu’elle avait prise au frigo quelques minutes auparavant.

Alicia, toujours solidement sanglée à la table, ne pouvant à peine se mouvoir à part quelques balancements sur ses pieds posés au sol, observait avec une inquiétude de plus en plus croissante cette scène où Sophie mettait la main finale à ce gode qui aurait éventuellement le pouvoir de la féconder malgré elle.

« Fais attention à ce que tu vas faire, Sosoph, recommanda fortement la fille qui se trouvait à la merci de son amie de cur. Ne fais surtout pas de folie, je t’en prie ! »

Semblant toujours ignorer les prières de sa victime, Sophie tournait et retournait dans sa main le faux pénis, toujours à la vue d’Alicia.

« En plus, je trouve que ce modèle ressemble bizarrement à l’organe de Papa. Tu sais comme moi que je l’ai vu de très près et qu’il m’a pénétrée deux fois ?

— Oh, s’il te plaît, Sophie, encule-moi avec. Je ne veux pas le recevoir dans le vagin. Tu me dépucelleras une autre fois, d’accord ? Implora une nouvelle fois celle dont l’inquiétude se transformait graduellement en une effroyable crainte. »

« Nous sommes trop jeunes pour avoir des enfants, poursuivit-elle. Nos études ne sont pas terminées et on s’était pourtant bien entendues que si on devait avoir des gosses, ce serait TOI qui les porterais. Et je ne suis pas en faveur de l’avortement, tu le sais !»

Devant le lourd et inquiétant silence de Sophie qui semblait ignorer les suppliques de son amie, un cri du cur se fit entendre depuis la table :

« T’as pas compris, Sophie ? J’O-VU-LE !! Mes crampes de ce matin me l’ont confirmé. Je ne veux pas tomber enceinte !»

Alicia s’agitait de plus en plus dans ses sangles, tirant à droite, puis à gauche dans l’espoir de pouvoir dégager un membre, se rendant compte que chaque effort demeurait vain.

Feignant toujours l’ignorance, Sophie appuya légèrement sur les testicules dont elle venait de faire le plein. Un jet de sperme gicla hors du méat urinaire de l’instrument.

« Hé ! se réjouit-elle, ça marche vraiment ! C’est un gode qui éjacule du vrai sperme. C’est too much ! »

Portant le bout dégoulinant du faux pénis à la bouche d’Alicia, elle l’invita à faire une dégustation singulière :

« Tu veux goûter ? Il est vraiment sucré le sperme de Papa. »

Ne voulant en rien contrarier sa tortionnaire dont le comportement était devenu non seulement imprévisible mais également dangereux, Alicia obéit sans rien dire. Elle trouva effectivement douces et onctueuses les quelques gouttes qu’elle ramassa avec la langue, en déplorant toutefois les circonstances dans lesquelles l’exercice prenait place.

Se trouvant toujours à la tête de sa compagne, Sophie inclina la table en ajustant deux de ses pattes, de sorte que le corps d’Alicia accusait maintenant une position déclive de vingt degrés par rapport à l’horizontale, tête vers le bas.

« Tu sais, reprit Sophie qui avait toujours la mainmise sur la situation, que j’aurais toujours aimé que mes parents me fassent un petit frère ou une petite sur qui m’aurait tenu compagnie durant mon enfance ? »

Ayant retourné à l’autre extrémité de la table où était toujours exhibée la nudité intégrale du sexe et du cul d’Alicia, Sophie poursuivit son macabre discours :

« Ma très chère Ali, si mon père te voyait dans cette position, je suis certaine qu’il perdrait le contrôle comme il a perdu le sien lorsqu’il m’a sodomisée avant-hier et qu’il a failli me dépuceler complètement.

— Sophie, je t’en supplie ! Arrête ça immédiatement ! Reviens à toi, bon sang !

— Tu as un si beau cul. Malheureusement, la sodomie, ça ne fait pas des enfants forts, ça, tu le sais ! »

S’étant mise à genoux face au derrière d’Alicia qui avait cessé, en désespoir de cause, de se dandiner sur les pieds, Sophie posa les mains sous les fesses de sa conjointe en les soulevant légèrement et approcha sa bouche du sexe chaud et humide. Sa langue se mit doucement à lécher les muqueuses fortement rosées des petites lèvres, chatouilla quelques secondes le clitoris et alla sonder le tunnel vaginal pour buter sur l’hymen encore intact de la vierge.

Alicia se calma quelque peu, un peu obnubilée par les agréables sensations ressenties sur le moment, mais revint rapidement à la dure réalité, se rendant compte qu’elle se faisait préparer pour une pénétration.

« Ton minou est délicieux, ma belle Ali, murmura Sophie, semblant elle-même envoûtée par la vue et le goût des parties intimes de sa copine. »

Se relevant, elle enduisit généreusement de salive le gode qu’elle mit ensuite en contact avec le clitoris d’Alicia. Cette dernière, martelant la table de toutes ses forces, manifesta de nouveau son désespoir :

« Non, Sophie, non ! Pas là ! Je t’en supplie, mon amour ! »

Sophie demeurait impassible. Ayant frotté pendant quelques secondes les petites lèvres et le clitoris de la pauvre qui gémissait de malheur, elle aligna le faux pénis dans l’axe du vagin, prêt pour l’intromission. D’un geste sec, elle l’introduisit d’un seul coup dans le sexe d’Alicia qui, faisant de douloureux adieux à sa virginité, ressentit alors un léger pincement au passage de l’instrument au travers de l’hymen, auquel elle répondit par un léger sursaut et un faible cri de douleur.

Ignorant les prières et les supplications soutenues de sa victime’, Sophie joua dans la grotte d’amour de sa copine avec des mouvements lents de va-et-vient du faux pénis. Son discours prenait une connotation de plus en plus sadique :

« Comment sera cet enfant, d’après toi ? Aura-t-il les cheveux noirs et bouclés comme son père ? Ou les cheveux raides et les yeux pers de sa mère ? Ou les cheveux roux et les yeux noisette de sa demi-sur ? »

Complètement désespérée, Alicia éclata en sanglots :

« Non, arrête ! Je t’en supplie ! Reviens à toi, Sophie, ne fais pas de bêtises ! »

Alicia n’appréciait pas le jeu, elle en était même terrorisée. Sophie, quant à elle, prenait de moins en moins plaisir à la situation. Une tristesse commençait à envahir son cur. Elle décida d’en finir. L’instrument bien enfoncé dans le sexe d’Alicia, quelques coups de pression sur la poche testiculaire suffirent à libérer le contenu du gode au fond de la grotte. Les cris et les pleurs d’Alicia remplissaient la pièce. Le gode fut immédiatement retiré.

Revenue à elle-même et les yeux remplis d’eau, Sophie alla retrouver Alicia à l’autre extrémité de la table. Alicia sanglotait silencieusement, la tête enfouie dans le coussin. La rousse s’arrêta un moment, réalisant, à la vue du corps de sa compagne secouée par les pleurs, la déception du moment.

Sophie caressa les doux cheveux noirs de sa compagne dont le regard rougi et plein de larmes s’était tourné vers elle et, peinant à retenir ses sanglots, lui dit :

« Pourquoi, Alicia, pourquoi tu ne m’as pas fait confiance comme je t’avais plusieurs fois demandé ? Mon père a été vasectomisé il y a maintenant trois ans. Il est stérile aujourd’hui !»

À ces paroles, Alicia se laissa choir de tout son poids sur la table inclinée, laissant ses jambes écartées pendouiller au bout de la table, les pieds toujours solidement reliés à la base des pattes du meuble. Toujours le cul en l’air, elle laissa échapper dans sa détente une vesse silencieuse alors qu’elle sentait déjà le liquide séminal de Jérôme dégouliner hors de sa chatte, légèrement teinté de rose. La tête congestionnée par sa position déclive, elle fut prise de nausées.

« Oh shit !, murmura-t-elle comme pour elle-même, le nez enfoui dans son coussin. »

Sans même se rendre compte que Sophie, reniflant ses larmes, avait commencé à le faire, Alicia lui demanda, sur un ton tout à fait neutre :

« Sophie, détache-moi, je t’en prie. Je n’en peux plus. »

Se relevant péniblement de sa position qui l’avait ankylosée, elle demeura un instant debout, se frottant les poignets. Sans mot dire, Sophie, toujours reniflant et ayant revêtu son vêtement, les larmes sur les joues, lui rapporta son peignoir et lui tendit un verre d’eau ainsi qu’une boîte de Kleenex.

Alicia prit quelques gorgées en observant son amie de cur qui semblait aussi bouleversée qu’elle, s’essuya, enfila son vêtement et prit place à une extrémité du canapé, Sophie occupant l’autre bout.

Les deux filles semblaient perdues dans leurs pensées respectives. L’heure était au bilan : pourquoi cette activité sado-maso avait-elle viré au fiasco ?

Sophie, sur un ton calme et posé, fut la première à prendre la parole :

« Pourquoi tu ne m’as pas fait confiance comme je t’avais dit ? »

Alicia demeurait silencieuse. Les yeux fermés, elle cherchait à rassembler ses idées comme on commence à faire un casse-tête dans une pièce trop sombre.

Première constatation : le produit était stérile, donc, pas de grossesse, ce qui déjà la rassurait. Il restait à gérer la crise émotionnelle.

Alicia poursuivit sa réflexion : Sophie avait parlé de test, puis de confiance. De toute évidence, elle voulait mettre sa confiance envers elle à l’épreuve.

Sophie, de nouveau, se fit entendre:

« Tu voulais que je te surprenne et je l’ai fait ! Et tu étais d’accord pour que je te fasse souffrir. Alors qu’est-ce que j’ai fait de pas correct ? »

« Oh oui ! Quelle surprise, se dit Alicia. » Elle ne s’attendait vraiment pas à cette mise en scène. Pour la souffrance, elle n’était pas physique, mais psychologique. Cela en soi constituait aussi un élément de surprise. Et souvent ce type de souffrance est plus douloureux. Se faire plonger dans l’angoisse au point de devoir paniquer devant un stress psychologique fait souvent plus mal et dure beaucoup plus longtemps que des coups de fouet sur les fesses, des mamelons tordus ou d’agressives dilatations anales.

Oui, Alicia avait énormément souffert. Mais contrairement à la définition du masochisme, elle n’avait pas pris plaisir à cette souffrance.

Sophie était déçue du comportement d’Ali mais elle dut reconnaître en elle-même qu’elle l’avait vraiment poussée à bout. Aurait-elle fait mieux si les rôles avaient été inversés ?

« Tu n’avais pas pensé une seule seconde que je te jouais probablement la comédie ? reprit la rousse. Qu’il y avait sûrement un élément dans toute mon histoire qui ne fonctionnerait pas ? »

Toujours silencieuse et perdue dans ses pensées, Alicia tira ses conclusions : Oui, Sophie avait joué la comédie. La pauvre victime s’était bêtement laissé emporter par les talents de comédienne que possédait sa copine. Non, Sophie n’avait en aucun temps perdu le contrôle de sa position de domination. Rien n’avait été improvisé dans son scénario.

« Tu as refusé de te battre, Alicia. Tu aurais dû te rappeler que je t’avais maintes fois répété de me faire confiance. À la fin, tu me donnais l’impression que je te violais ! Tu n’as pas réussi le test, laissa tristement tomber Sophie avant d’enfouir son visage dans ses mains. »

Alicia reconnut intérieurement qu’elle avait échoué. Combative au naturel, elle avait renoncé à engager un combat d’idées. Ne se fiant qu’à ses sens, qu’à sa conscience, sa raison et son imagination, elle avait balayé du revers de la main cette confiance sur laquelle Sophie comptait pour la voir sortir victorieuse de ce simulacre de fécondation artificielle.

Il lui restait un choix à faire : affronter Sophie en lui reprochant, pour justifier l’épreuve qu’elle lui avait imposée, d’avoir manqué de confiance envers sa propre confiance, ou tout simplement lui exprimer son repentir.

À la vue de sa nouvelle compagne de vie visiblement déçue de la tournure des événements, elle opta pour la dernière option :

« Je ne sais pas quoi dire, ma biche. Je suis vraiment désolée. J’ai gâché ton plaisir et le mien. Je m’en veux tellement ! Me pardonneras-tu ? »

Sophie demeura silencieuse, levant simplement les yeux vers son amie repentante.

«… au nom de notre amour ? risqua Alicia se citant elle-même dans l’épisode de la veille.

— Je ne t’aime plus, Alicia ! Tu n’es plus mon amie ! lui répondit sèchement Sophie, sur le ton d’une fillette dont on vient de briser la poupée préférée. »

Le sang d’Alicia ne fit qu’un tour. L’improbable se présentait brutalement à elle.

« Oh non ! Sophie ! implora Alicia, une fois de plus sur le bord des larmes. »

Sophie la dévisagea longuement. Son expression changea pour un air taquin et espiègle :

« Ben non, c’t’une joke ! lui répondit-elle, sautant dans les bras de celle qui s’en allait sombrer dans un désespoir, certain que je te pardonne !

— Oh toi ! Ma comédienne adorée ! Ne me refais plus jamais ce coup, j’ai pensé mourir ! »

Une fois de plus, c’est dans une étreinte et un baiser passionnés que les deux amoureuses convinrent de tout simplement tourner la page.

« Je t’ai poussée à bout, Alicia. Tu n’étais pas dans ta position naturelle. Normalement, c’est moi qui aurais dû être attachée à cette table.

— J’aurai bien l’occasion de me venger, madame la fausse inséminatrice !

— Je regrette pourtant d’avoir gâché ton dépucelage. Ça ressemblait plus à un viol.

— Laisse tomber, la rassura Alicia.

— Non ! je ne laisse pas tomber ! »

Ce disant, Sophie agrippa Alicia par son vêtement et la coucha sur le canapé. Cette dernière, bien que plus forte, se laissa faire, amusée par cette agression ludique. D’un geste passionné, la rousse continua en ouvrant le peignoir de sa partenaire, lui leva les jambes et, la tenant par les cuisses, laissa sa bouche et sa langue remonter ces dernières jusqu’au conin d’Alicia qui recommença à éprouver d’excitantes sensations.

« Je ne suis plus très propre, chérie, je crois que j’ai saigné un peu.

— Peu m’importe, je veux te faire jouir, maintenant, répondit une Sophie soucieuse de se racheter. »

Sophie balaya de la langue les grandes lèvres de sa conjointe, avant de la fourrer dans son tunnel d’amour. Elle reconnut en effet le goût ferreux du sang mêlé à la douce saveur du sperme de son père, qui avait repris son écoulement hors du vagin.

Appréciant ce mélange particulier de saveurs, elle laissa sa langue travailler sur le clitoris d’Alicia qui avait commencé à se tortiller de plaisir sur le canapé, émettant des gémissements de plaisir qui confortèrent Sophie dans ses manuvres.

« Oh, Sophie, ma belle biche d’amour. Oui ! Encore, continue, c’est bon ! Wow… »

Laissant son doigt prendre la relève sur le clito et vers le point G, Sophie remonta vers les seins d’Ali qu’elle se mit à lécher et à téter comme jamais sa compagne n’aurait pu l’imaginer. Alicia ajouta au mélange contenu dans son trou d’amour une cyprine abondante qui s’écoula sur son vêtement, faisant apparaître un rond foncé sur le tissu.

Les lèvres de Sophie se portèrent de nouveau à la rencontre de celles d’Alicia, se fusionnant dans un baiser de feu qui ne voulut jamais prendre fin, les deux amoureuses s’enlaçant alors que Sophie gardait un doigt dans le tunnel d’amour d’Alicia pour lui masser le point G et lui faire connaître des sensations aussi intenses que nouvelles.

S’abandonnant à son premier orgasme en couple, la bouche d’Alicia quitta celle de Sophie pour exprimer vers le plafond des cris de jouissance que Sophie n’avait jamais entendus auparavant, cette dernière ayant entrepris de couvrir le cou de sa compagne de baisers passionnés.

Les deux corps vibraient à l’unisson, celui de Sophie excitant frénétiquement les parties les plus érogènes du sexe de son Ali, cette dernière connaissant une jouissance extrême qui provoqua l’apparition d’une chair de poule suivie de la présence de plaques rouges sur tout son épiderme, alors que tout son corps était pris de secousses incontrôlées.

Cinq minutes d’intenses sensations venaient de s’écouler. Les deux filles reprirent leur souffle, complètement enlacées et nues sur le canapé, Sophie maintenant étendue sur Alicia, front contre front.

« Oh, ma belle biche, tu as été divine ! Je t’aime, s’exprima Alicia, les yeux mouillés.

— Je t’aime aussi, gros minet ! Je suis heureuse de m’être rachetée. Tu as joui comme une cochonne !

— C’est toi la cochonne ! T’as pas honte de sucer à la fois mon sang et le sperme de ton père ?

— Tant que ça reste dans la famille, pour reprendre l’expression, j’y vois pas de problème, répondit une Sophie enjouée et ravie. »

S’étant défaites de leur étreinte, elles se relevèrent, toujours nues, gardant leurs yeux pétillants d’amour et de bonheur. Silencieuse, Sophie sembla soudain devenir prise d’un doute affreux :

« Attends un peu, dit-elle, songeuse. Est-ce bien Papa… ou son frère jumeau… qui a été vasectomisé ? »

Comme si ce n’était pas assez, Sophie vient semer un nouveau doute dans cette sordide histoire. Alicia sera-t-elle assez solide pour affronter cette nouvelle réalité ?

(À venir : La grande demande)

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