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Confessions chez mon psy – Chapitre 3




6-Atterrissage

Pfffiiou ! Quelle séance !

Cette fois ça avait été vraiment chouette. Je ne sortais pas surexcitée comme la dernière fois mais plutôt relaxée, assouvie, sexuellement comblée par ce rendez vous avec Patrick. Javais tout déballé, tout raconté, avec les mots qui me venaient, ils étaient crus parfois mais il faut appeler une chatte une chatte et une bite une bite non ? Là, maintenant, jétais comme sur un petit nuage, il faut dire que je nai pas été complètement honnête avec Patrick, enfin rien de grave, et je crois quil ne sest rendu compte de rien.

Avant de venir javais mis dans mon vagin un uf vibrant. Cest un petit sex-toy quon sintroduit dans la chatte avec un peu de lubrifiant et quon peut garder au chaud jusquà ce quon actionne les vibrations par une télécommande. Cest trop chouette, ça ne gêne pas la déambulation, mais lexcitation commence très vite, en fait dès que lon croit sentir les regards se poser sur soi. Donc sur le chemin qui menait chez Patrick, jai croisé plein de monde, dans la rue, dans le métro, et introduire la sexualité en cachette dans lespace public a ravivé mon goût pour la transgression et lexhibition. Mais jai tenu le coup et résisté à la tentation dactiver luf grâce à la télécommande attachée à mon trousseau de clés. Elle ressemble à un petit bip comme on en fait pour les portes de garage, impossible de savoir ce que déclenche les trois petits boutons qui chacun correspond à un niveau de vibration et dintensité différent.

Arrivée chez Patrick je me suis installée confortablement et je lui ai tout lâché sur lhistoire du taxi, et là quel délice ! Au fur et à mesure que je mexcitais à lui raconter mon délire, je jouais avec la télécommande qui actionnait toutes les pulsations de luf glissé dans ma chatte. Cest comme si je métais branlée devant lui, mais sans quil le sache, derrière un paravent ou en lui bandant les yeux, et mon excitation était décuplée par le fait quil ne sen rendait même pas compte.

Jétais là, sur le divan à moins dun mètre de lui, je lui racontais une scène de cul torride et je prenais mon pied en me branlant. Jai même réussi à contrôler mon uf pour arriver à lorgasme au moment crucial de mon histoire qui sest terminée en apothéose. A ce moment jai eu un gros frisson intérieur qui a traversé tout mon corps, je me suis retenue de crier et jai joui en silence. Cest rare, en général jaime bien gueuler mon plaisir à la terre entière ; mais là, quel pied de déguster cet orgasme incognito, ni vue ni connue, cet orgasme je lai chapardé, volé, rien que pour moi. Patrick na rien vu je crois, jai du me taire et fermer les yeux dix secondes peut être, et jai continué ensuite comme si de rien était.

Je me demande comment il aurait pris ça si javais montré mon plaisir sur son divan ? Peut être que ça laurait excité et quil aurait eu envie de me baiser lui aussi Non pas lui quand même, il faut que je me mette quelques limites, une limite au moins, ne pas baiser avec mon psy.

7-Capitulation

Clarisse avait rendez vous à 10 heures. Javais passé une mauvaise nuit, incapable de prendre une décision face au problème qui me taraudait depuis une semaine. Cétait évident que jétais troublé par cette patiente, mon trouble sest développé très vite au fil des séances de travail avec Clarisse, il mapparaît que je suis envahi, en sa présence, délans inhabituels, que je pourrais qualifier de désir sexuel. Je me sens comme « appelé » par sa quête de sexe, jaimerais « remplir » à tout prix la fonction de lamant de passage en mesure de la combler sexuellement. Jai aussi plaisir à être en sa compagnie, la dernière fois quand elle est arrivée en retard, je me suis surpris à être irrité, déçu. Cette femme est pour moi extrêmement stimulante, sa capacité à parler aussi librement des ses pulsions, sa confiance en moi, ses doutes et ses questions, tout revêt une intensité particulière. Je me sens réellement séduit lorsque je suis en sa présence, à la fois ému par ce quelle dégage de sensualité, de sexualité et désireux de la combler et de laider dans sa démarche de sevrage.

Comment Clarisse peut-elle provoquer un tel affect, le fait-elle délibérément ? Je ne le crois pas, au contraire je pense que cest malgré elle que cette situation se produit et je me dois dy mettre un terme dans son intérêt, par respect de la confiance quelle ma témoignée. Cette décision est difficile, cest la première fois que cela marrive et je sens que je ne dois pas aller plus loin au risque de ne pas en sortir indemne.

Pour moi, pour elle, je dois renoncer, je vais le lui annoncer ce matin et lui recommander un de mes confrères, une femme peut être la comprendrait mieux ou en tout cas serait à labri de ce que je ressens aujourdhui.

La voilà, jentends son pas sur le palier qui se dirige vers ma porte, elle sonne, cest elle ; je ferme les yeux et rassemble mon courage pour accomplir ce que je viens de décider, je vais laccueillir.

— Bonjour Clarisse, comment allez vous ?

— Bonjour Patrick, très bien et vous ? Elle est somptueuse aujourdhui, habillée plus sexy que jamais, elle porte une robe rouge très courte et très décolletée qui donne de ses seins un aperçu majestueux. Son rouge à lèvres assorti et le maquillage de ses yeux sont plus prononcés que les fois dernières, elle est vraiment provocante et me regarde lair amusé avant de se propulser de sa démarche chaloupée vers le divan ou elle sallonge directement.

— Clarisse, il faut que je fasse le point avec vous avant de commencer la séance. En fait je pense que nous allons interrompre nos rendez vous, laissez moi vous expliquer.

A ce moment elle sest redressée et ma jeté un regard noir malgré ses yeux bleus, la tension était palpable, jai cru quelle allait me gifler.

— Je ne pense pas être en mesure de continuer à vous prendre en charge, la franchise et la confiance que vous maccordez témoignent de votre volonté de vous inscrire dans une réelle démarche thérapeutique, cependant vos récits sont très troublants et je ne suis pas insensible à ce trouble. Je pense donc quil serait préférable de vous recommander à un confrère.

Cette fois la gifle est partie sans que je lai vu venir, cest pourtant bien ce que javais redouté il y a juste un instant, Clarisse est sur moi, elle me frappe à coup de pieds et de poings, elle me griffe, essaie de me mordre, je me protège comme je peux en mettant mes bras devant mon visage et en cherchant à la maîtriser.

— Salaud, enculé, tu ne vas pas me laisser tomber comme ça crois-moi.

Elle crie, elle hurle même, si mon bureau nétait pas insonorisé le voisinage serait sans doute effrayé par le flot dinsultes quelle propage. Jarrive enfin à saisir ses poignets et me relève en maintenant ses griffes loin de ma figure, mais loin de renoncer elle continue à me donner des coups de pieds et à hurler. Je la pousse vers le divan et la bascule dessus avec la ferme intention de limmobiliser, le poids de mon corps sur le sien jarrive en effet à réduire ses mouvements mais pas ses cris.

— Clarisse, calmez vous voyons, je vais vous expliquer, calmez vous.

Ses jambes entourent alors mon bassin et son corps se fait plus souple, je tiens toujours ses poignets mais elle ne présente plus la même résistance et je me rends compte quau contraire elle semble mattirer vers elle, les cris cessent, je la regarde dans les yeux et si lintensité du regard na pas diminué ce nest plus tant la haine que le désir que jy vois.

— Patrick, baise-moi, prend-moi, là, maintenant, tout de suite, jen ai envie depuis le début, viens Patrick, viens, jai envie de toi

Surpris par le retournement de situation je lâche ses mains et tente de me redresser mais cest elle qui magrippe désormais et me retient sur elle, ses mains me caressent, le cou, les épaules, le dos, sa bouche cherche la mienne et la trouve, nos langues semmêlent très vite dans un baiser passionné. Jai totalement perdu le contrôle de la situation et je me laisse aller, submergé par le désir et lenvie de faire lamour à cette femme si belle et en demande de sexe. Elle glisse sous moi et arrive à me retourner sur le dos pour me chevaucher, avec des gestes habiles elle défait ma ceinture et descend la braguette de mon pantalon, mon sexe est là, dans limpossibilité de sépanouir encore mais dur déjà, prêt à bander complètement, elle le sort brutalement, cest presque douloureux mais rapidement la caresse sensuelle de sa bouche vient effacer linstant désagréable. Elle suce ma queue du bout de sa langue, la caresse de ses lèvres tout le long, de sa base jusquau gland gonflé de sang, elle lavale à présent, de plus en plus, complètement, je sens le bout de mon sexe dans sa gorge, cest délicieux, je râle de plaisir. La caresse dure plusieurs minutes puis Clarisse lâche ma bite et me regarde lair satisfait, elle se redresse, et une fois debout devant moi enlève sa robe pour apparaitre en lingerie de dentelle rouge uniquement vêtue dun soutien gorge, dun string et de bas maintenus par un porte jarretelle assorti. Le strip-tease na pas duré longtemps, elle fait maintenant glisser le string et va sassoir dans mon fauteuil jambes relevées et écartées. Je me redresse à mon tour sur le divan et commence à me déshabiller tout en regardant la superbe femme offerte devant moi ; Clarisse commence à se caresser et très vite introduit ses doigts dans son vagin pour en extraire un petit objet en forme de gélule, une grosse gélule rose quelle me montre fièrement.

— Je nen aurais pas besoin pour jouir cette fois, je veux ta bite, ce sera bien plus agréable.

Un instant je demeure interdit, mais dun éclair je comprends son attitude lors de notre dernière séance, elle avait bien eu un orgasme sur mon divan, grâce à ce petit objet certainement, Clarisse me tire de mes pensées en se mettant à genoux cuisses écartées sur le fauteuil les bras sur le dossier, elle me tourne le dos et mexpose ses fesses rebondies, ce postérieur délicieux mest offert et je mapproche pour le caresser.

— Baise-moi, baise-moi fort Patrick, je veux sentir ta bite au fond de ma chatte et dans mon cul aussi.

Mes mains remontent le long de ses hanches, glissent sur la peau douce jusquà ses aisselles, caressent les épaules, le cou, redescendent pour se saisir des seins que je fais sortir des bonnets du soutien gorge dans lesquels ils sont encore emprisonnés. Sous mes doigts les tétons roulent et durcissent, sensibles à la caresse Clarisse feule doucement, mon corps est tout contre elle et ma queue dure et chaude est tout contre ses fesses, blanches et fermes, je sens Clarisse qui lattrape dune main et impatiente la dirige vers sa chatte dans laquelle je pénètre sans effort. Elle pousse un cri, son corps se met en mouvement en cadence avec le mien et elle se branle sur ma queue autant que je lui fais lamour. Je continue de lui caresser les seins, elle tourne sa tête vers moi et sa bouche trouve la mienne pour un long baiser, mon sexe continue de fouiller le sien, doucement, puis plus vite, cest bon, cest fort, intense, je contrôle mon plaisir pour le faire durer encore, je la pénètre à fond, mon pubis cogne contre ses fesses, elle gémit de plaisir.

— Cest bon Patrick, cest bon, encule moi maintenant, viens jouir dans mon cul, fais toi plaisir.

Je nai jamais été un accroc du sexe anal, mais face à cette invitation je nai pas pu résister, jai sucé mon doigt pour lhumidifier de salive et lai glissé dans son trou du cul, jai constaté avec surprise quelle était déjà bien ouverte et accueillante de ce côté, jai attrapé ma queue et lai présentée pour la sodomiser en douceur, elle est rentrée lentement mais jusquà la garde et jai commencer à aller et venir dans le fourreau de chair. Clarisse se masturbait dune main, je la tenais fermement par les hanches et le rythme de mon va et vient saccélérait, crescendo, je sentais mon plaisir monter et entendais son souffle saccélérer et ses gémissements se faire plus rauques. Elle allait jouir, je devais me retenir jusque là, jallais plus vite, serrais plus fort encore ses hanches de mes deux mains, mes doigts senfonçaient dans la peau blanche et élastique, mon sexe cognait dans son cul, au fond, allez, vas y pensai-je dans ma tête. Je fermais les yeux pour retenir mon sperme encore quand jai senti tout son corps se contracter, sa main se crisper sur sa chatte, elle a lâché un cri fort, elle a gueulé même, alors seulement jai largué mes giclées de sperme au fond delle et crié ma jouissance moi aussi avant que nos deux corps ne seffondrent sur le fauteuil encore lun dans lautre.

Je ne sais pas combien de temps jai mis à reprendre mes esprits, nos deux corps en sueurs étaient blotti lun contre lautre, javais oublié ou jétais, qui jétais, mes règles, mes principes, ma déontologie ; javais pris mon pied comme rarement et cette femme superbe était là lovée dans mes bras. On était loin de limage de la salope accroc au sexe qui se faisait défoncer sans vergogne, jaurais voulu que ça dure, recommencer encore, ne plus la quitter.

8-Sur mon nuage

Jai quitté le cabinet de Patrick après la pause déjeuner, il a décommandé ses rendez vous de la matinée et on la passé ensemble, à faire lamour, trois fois de suite. Quelle bête de sexe, je ne me serais pas doutée, à son âge je pensais que les hommes étaient moins endurants. Bon daccord je ne sais pas vraiment quel âge il a, il faudra que je lui demande, mais plus vingt ans en tout cas.

Cest très étrange ce quil ma fait, pas la partie de jambe en lair, non ça cétait du déjà vu ; enfin attention du haut de gamme quand même, et différent malgré tout. Il est doux, tendre, délicat, et viril en même temps ; je nai pas connu tant de mecs qui maient autant fait jouir, et pourtant Dieu sait si jen ai connu ! Je ne réalise pas ce quil ma fait pour me mettre dans cet état, jai limpression quil ma transformée, guérie, sevrée. Ça fait quatre heures quon sest quitté et je nai pas eu envie de baiser une seule fois, jai juste un désir, quil me rejoigne ce soir comme il la promis et quon fasse encore lamour.

Je suis sur un nuage, je plane complètement encore sous le charme et sous le coup du plaisir quil ma donné. Et maintenant ce qui est fou cest quil me manque, lui, pas juste nimporte quelle bite de nimporte quel mec, Patrick. Le corps de Patrick, la queue de Patrick, les mots de Patrick, ses caresses, ses câlins, ses baisers, jaime tout je laime. Zut, cest ça, je laime, je ne savais pas ce que ça voulait dire en fait, je navais ressenti que le désir de sexe jusquà aujourdhui et maintenant autre chose. Cest plus fort, plus grand, plus intense encore, je suis amoureuse pour la première fois dun mec qui me fais lamour comme un dieu, pourvu que ça dure et quon reste longtemps ensemble sur mon petit nuage

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