Je la regarde un peu mieux, elle est aussi grande que moi, je ne peux la détailler plus, son manteau de cuir cache toute sa ligne, je ne peux dire qu’une chose, c’est qu’elle est assez mince. Nous marchons en nous promenant dans les immenses couloirs de la station. Plusieurs hommes et femmes nous suivent sans nous doubler. Il faut dire qu’à chaque pas, ma jupe se soulève un peu derrière, dévoilant le bas de mes fesses. Carole me regarde.
Excuse-moi, mais je trouve que tu as une drôle de démarche.
J’ai mis au point une démarche qui fait un peu valser ma jupe, à chaque pas, je donne un micro coup de rein en arrière, ma jupe se soulève, et les personnes qui me suivent peuvent voir un peu de mes fesses.
C’est pour ça qu’il y a tout ce monde derrière nous.
Et oui, tu vois, c’est efficace.
Comment tu fais pour supporter ce froid.
J’ai froid, mais j’aime ça, ça m’excite, c’est ce qui me le fait supporter, tu devrais essayer.
Comment ça ?
En t’habillant comme moi, juste une jupe et un corsage, avec en hiver un blouson comme le mien, bien chaud, le haut est toujours plus délicat.
Ok, je le ferais, mais il faudrait que tu m’accompagne les premières fois, tu pourras.
Bien sûr.
Nous arrivons sur le quai de la ligne A. Quand le train arrive, je me débrouille pour entrer dans les premiers et je monte lentement les escaliers donnant à l’étage. Je remarque un homme qui a ralenti quand il est arrivé derrière moi. Ceux qui sont restés en bas lèvent la tête et se régalent. Arrivée en haut des marches, je me penche un peu en avant. Je fais semblant de chercher une place, il n’y en a pas. Je fais demi-tour pour redescendre l’escalier en levant bien la jambe pour bien dévoiler mon pubis glabre. Je remonte de l’autre côté. Les mêmes personnes se déplacent et lèvent la tête quand je monte. Carole me suit comme mon ombre à deux ou trois mètres derrière. Je trouve une place, je l’attends.
On se met là ?
Il n’y a qu’une place.
Tu t’assoie et je m’assois sur tes genoux, d’accord ?
Ok.
Carole écarte les pans de son manteau en s’asseyant, je m’assoie sur ses genoux, mais elle a parfaitement compris ce que je voulais faire et serre bien ses jambes. De ce fait, je suis obligée de m’assoir légèrement en travers. Elle pose négligemment sa main sur une de mes cuisses. Nous discutons de tout et de rien, comme si nous nous connaissions depuis toujours. Sa main se balade négligemment sur ma cuisse sous les yeux des cinq personnes assisent à côté de nous. Personne ne réagit. Les stations défilent.
Pourquoi n’avons-nous pas pris la ligne 1 à Châtelet ?
Parce que les métros n’ont pas d’escaliers.
Ok, je commence à te cerner.
La station La Défense arrive, nous descendons et allons prendre un café dans un des bars du coin.
Tu sais, je me suis fait quelques souvenirs.
Ah bon ?
J’ai pris des photos.
De moi ?
De ton cul bien sûr.
Montre.
Elle me fait voir les photos qu’elle a pris avec son smartphone quand je montais les marches du train. Pour une fois, je vois ce que voient les autres et ça m’excite encore plus. Sur certaines, on voit même ma vulve humide.
Je dois dire que tout ça me fait envie, j’ai envie de te brouter la chatte, surtout que je l’ai souvent sous le nez.
Je ne demanderais que ça.
Ok, tu as le temps cet après-midi ?
Oui, tu sais bien que je ne fais rien.
J’aimerais qu’on approfondisse.
Ok, on va chez moi.
Attend, j’ai besoin d’aller aux toilettes.
Elle se dirige vers les toilettes et en ressort trois minutes plus tard. Quelque chose semble être différent, je ne le réalise que quand elle s’assoie, son manteau s’ouvre sur des jambes nues. Elle a enlevé son pantalon.
Tu l’as mis où ?
Dans la poubelle des toilettes, il était vieux, en plus il avait une tâche à l’entre-jambe.
Tu veux tester ce que ça fait de se balader le cul nu par cette température ?
Oui, mais avec mon manteau, je pense que j’aurais moins froid, je veux tester si je peux supporter.
Ok, allons-y.
Nous sortons du troquet et marchons un instant sur l’esplanade de la Défense, il y a une légère brise qui fait un peu voler ma jupe, mais qui s’engouffre sous le manteau de Carole.
MMMM, c’est assez agréable ce froid sur tes fesses et ton sexe, j’aime, je crois que je vais devenir accro.
Tu vois, je ne suis pas complètement folle.
Elle me sourit.
Allez, rentrons.
Nous repartons direction Marne-la-vallée. Je recommence mon exhibition et Carole prend discrètement des photos avec son smartphone. Le sachant, je fais exprès d’en montrer le maximum. Arrivées à Châtelet-les-halles, nous descendons pour prendre la 4 direction Mairie de Montrouge. Nous descendons à Saint-Germain des Prés pour aller chez moi. J’habite au cinquième dans un immeuble du dix-huitième avec ascenseur à l’ancienne, totalement ajouré. Nous montons dedans, quand il démarre, je déboutonne tous les boutons de son manteau et lui enlève. Elle est en corsage blanc qui couvre à peine le haut de ses fesses, le cul nu dans l’ascenseur, qui monte lentement, sans rien cacher du bas de son corps. Moi, je remonte ma jupe, dévoilant, comme elle, le bas de mon corps.
Tu veux que quelqu’un nous voit comme ça ?
Oui, en fait, j’espère bien qu’à un étage il y ai quelqu’un qui te voit passer, moi, tout le monde me connait ici, ils ont l’habitude de mes jupes courtes. J’y habite depuis toujours, c’était l’appartement de mes parents, ils me l’on laissé il y a quatre ans, ils en ont acheté un autre plus petit, mais plus standing dans le seizième, ça te classe un personnage ça !!!!
Tu as des problèmes avec eux ?
Oui, ils se la pette un peu trop.
Tu es fille unique ?
Oui.
Ça simplifie tout.
Pas forcément, mais ce n’est pas le problème.
Nous ne rencontrons personne avant d’arriver à mon étage. Nous entrons chez moi. En hiver, je mets le chauffage très fort, car j’aime me balader nue chez moi, bien sûr, sans tirer les rideaux.
A poil.
Nous ne sommes pas arrivées au salon que nous avons enlevé tout ce qui nous reste de fringues, il faut dire qu’il n’y avait pas grand-chose. Je peux enfin regarder Carole, c’est une très belle femme, belles fesses, beaux seins, belles jambes, en définitive pas si fine que ça, vraiment ce qu’il faut là où il le faut, j’adore son corps. Elle repère le divan et se jette dessus sur le dos. Je me jette sur elle, en lui présentant ma moule et me jetant sur la sienne. Nous nous activons sur le sexe de l’autre avec délice. Je l’aspire, la mordille, la suce, la bois. Elle m’aspire, me mordille, me suce, me bois. Elle se tortille sous mes caresses, je me tortille sous ses caresses. Nous finissons par jouir à l’unisson. Je me sens bien, j’ai l’impression qu’il va se passer quelque chose avec cette femme. Je me laisse aller sur elle, mes bras enserrent ses jambes pour les réunir, son clitoris émerge à peine de ses lèvres. Ma bouche se pose sur son pubis, je fais glisser mes lèvres vers sa vulve fermée. Ma bouche arrive sur son clitoris bien caché par ses lèvres sur lesquelles je dépose de temps en temps un baiser. Nous sommes collées l’une à l’autre, peau à peau, nous respirons lentement pour récupérer et s’imprégner du corps de l’autre. Je me redresse, me lève, la fait se lever pour l’embrasser. Nous échangeons un baiser torride.
En face, toujours Guillaume qui est constamment assis devant la fenêtre de son salon, il a soixante-douze ans et reste chez lui toute la journée, il ne sort que rarement. Il me fait un signe de la main avec un grand sourire. Je lui réponds.
Qui est ce ?
Guillaume, il est à la retraite et regarde toujours ce qui se passe en face assis là, devant sa fenêtre. Il adore me voir me balader à poil.
Ça, je comprends.
Je l’ai toujours connu, il venait de temps en temps chez nous avec sa femme qui était beaucoup plus jeune que lui. Il connaissait très bien mon père, il avait été son prof de math au lycée. Sa femme l’a quitté il y a quelques années parce qu’il ne gagnait pas assez d’argent, elle est partie avec un autre homme plus jeune.
La salope.
Comme tu dis.
Carole lui fait un petit signe, il lui répond.
Il doit se taper de belle branlettes en te regardant.
Jamais, je ne l’ai jamais vu se branler devant moi.
Là, je dis bravo.
Et si on mangeait un peu.
Ok, tu as de quoi ?
Ne t’en fait pas.
Je prépare à manger rapidement, vers treize heures, nous avons fini. Nous sommes toujours nues et guillaume n’a quitté sa fenêtre que le temps de se préparer un sandwich. Carole me prend dans ses bras et me serre contre elle.
Tu sais que tu me plais de plus en plus toi, je suis toute chose là, collée contre ton corps.
Je dois dire que moi aussi j’aime bien sentir ta peau.
C’est tout ?
Et aussi ton joli petit minou que je brouterais bien maintenant. Laisse-toi faire.
Je m’accroupie devant elle, pose mes mains sur ses fesses et l’attire à moi. Ma bouche se pose sur ses lèvres, ma langue les titille, remonte pour lécher son clitoris qui pointe, et s’excite dessus. Elle jouit très vite.
OOOOOHHHHH oui, oui, oui.
Je bois son jus d’amour avec délectation. Quand j’ai fini de la boire et de la nettoyer avec ma langue, je me redresse et l’embrasse passionnément. Nos corps sont collés l’un à l’autre, nos peaux s’unissent, se frottent, s’imprègnent. J’ai un sentiment de plénitude, je suis bien. Nous allons prendre une douche. Une fois sorties de la salle de bain, Carole me prend dans ses bras.
Et si on draguait en duo ?
Oui, pourquoi pas, mais il faut que tu ais une tenue adéquat.
Ok, allons palier à ça.
/