Chapitre unique.

Comme presque tous les samedis où je ne vais pas à la Fac’, je venais de faire un long footing dans le bois de Vincennes afin de m’entrainer pour le marathon de Paris qui doit avoir lieu au mois d’avril.

J’avais fait plusieurs fois une boucle et j’arrivais presque à la distance voulue en longeant le lac Daumésnil pour regagner l’appartement familial J’étais assez satisfait de ma performance.

De retour à la maison, j’avais salué rapidement mon père et ma belle-mère qui se trouvaient au niveau inférieur du duplex Ils revenaient des habituelles courses du samedi, c’est qu’il en faut des vivres pour la semaine avec quatre adultes et deux adolescents à nourrir !

Chaque fois que je rentre d’une telle sortie, je suis un rituel qui me fait ingurgiter, quelques soit la saison, un bon litre d’eau minérale et ensuite je passe à la salle de bains qui se trouve entre ma chambre et celle de ma demi-sur pour y prendre une douche destinée à évacuer les toxines et la transpiration.

Je restais parfois plus d’une demi-heure sous la douche Ce qui était le cas ce samedi Je revoyais la rédaction d’un contrôle effectué la veille et je pensais m’en être bien sorti.

Soudain la porte vitrée s’est ouverte sur Naomi, la fille de l’épouse de mon père.

J’avais oublié de verrouiller la porte donnant dans sa chambre

– Pousse-toi un peu, il y a de la place pour deux !

– Mais t’es folle, ça ne se fait pas !

– Ne sois pas prude, tu sais bien comment une femme est faite je ne suis pas différente !

– Mais tu es ma demi-sur !

– Et alors je ne risque rien ! Viens, je vais te délasser !

Nous étions tous les deux sous le jet de la douche, elle, en sous-vêtements minimalistes et moi, entièrement nu ! Elle s’est agenouillée devant moi et aussitôt, elle a embouché mon sexe jusqu’au fond de sa gorge. Sa bouche faisait comme une ventouse et je n’ai pas tardé à bander ferme sous cette caresse

Je me laissais faire, donnant le rythme avec ma main droite posée sur la tête de Naomi Et c’était bon Une délicieuse fellation comme rarement j’en avais eu !

Au bout de quelques minutes, Naomi s’est relevée, elle a ôté ses derniers vêtements et en me tournant le dos elle me dit :

– Baise-moi prends-moi par-derrière

– Tu crois qu’on n’a pas assez déconné comme çà ?

– Bof j’en envie et à te voir, tu en as envie aussi !

J’avais devant moi, une jolie jeune fille de 19 ans, brune de peau avec des cheveux noirs coupés à la garçonne avec une taille fine et de mignonnes petites fesses sur lesquelles j’ai posé mes mains Elles étaient souples et fermes à la fois…

Ma bite dressée devant mon pubis est venue à leur contact puis je l’ai glissée dans sa fente cherchant à entrer dans le sexe qui s’offrait Hélas, Naomi était plus petite que moi, et à moins de fléchir les jambes pour être à la bonne hauteur, je ne pouvais pas entrer.

– Viens Essuyons-nous et allons sur ton lit !

Cette coquine m’avait donné envie de la baiser et si c’était ce qu’elle voulait, je n’allais pas la priver de ce plaisir. Elle s’est allongée sur le lit, les bras et les jambes ouverts comme dans une invitation muette Sa chatte couverte de quelques poils noirs était entrouverte et je voyais son coquillage rose nimbé de cyprine.

Toute inhibition est tombée Sans penser à autre chose, je me suis allongé sur le corps de Naomi et mon sexe est entré dans le sien sans que j’aie à le guider

Aussitôt, elle a noué ses jambes sur mes reins en me disant :

– Baise-moi bien à fond ! J’ai envie de sexe !

Je n’allais pas me priver d’une telle occasion J’avais toujours trouvé Naomi sympa’ depuis qu’elle et sa mère étaient entrées dans la maison mais de là, à baiser avec elle quelques années plus tard, je ne l’aurais jamais imaginé !

J’allais et venais dans sa chatte à longs traits, je faisais entrer ma bite au plus profond et j’avoue qu’elle était très réceptive

Quand le plaisir nous a emportés, j’ai lâché quelques belles giclées de foutre contre sa matrice dans un rugissement contenu

Il nous fallait rester discrets

Dix minutes plus tard, Naomi retraversait la salle de bains en direction de sa chambre

Effectivement, j’étais délassé mes muscles étaient détendus et je m’étais vidé les couilles !

Après le déjeuner, j’ai reçu un message sur mon portable

C’était Naomi qui me faisait passer la phrase suivante : « Quand tu veux on recommence »

Related posts

Ma cousine Nina – Chapitre 1

historiesexe

Une excitation inattendue ! – Chapitre 6

historiesexe

Sue Hélène – Chapitre 2

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .