Avec cette chaleur estivale, je me remémore un souvenir d’été qui se déroule trois ans après la soirée avec Malika (je continuerai bientôt cette soirée s’il y a eu des amateurs).
J’étais à l’époque en couple avec un jeune homme, Eric, que j’avais rencontré à l’Université et que j’avais eu le privilège de dépuceler (oui, j’étais sa première fois à vingt ans !). Il était plutôt timide et c’est surtout moi qui lui apprenais tout ce qui était en rapport avec le plaisir sexuel. Je dois dire qu’il était plutôt bon élève et plutôt très bien pourvu par la nature : un corps de rêve et un sexe délicieux, pas très grand mais large comme je les aime.
Pour notre premier été, nous étions partis en vacances en Crète, où nous avions loué un petit appartement pendant deux semaines. Naturellement, nous passions beaucoup de temps à la plage. Notre guide de vacances nous avait recommandé une plage paradisiaque et précisé qu’il y avait peu de monde en général puisqu’il s’agissait d’une plage naturiste. Eric n’était pas très chaud à l’idée d’y aller mais, au bout de quelques jours, ma force de persuasion l’emportait. Nous partîmes très tôt, vers neuf heures du matin pour éviter la chaleur. Arrivés là-bas, il fallait marcher environ quatre kilomètres entre le parking et la plage. Je réalisai alors pourquoi la plage était peu fréquentée. Au bout d’une petite demi-heure de marche, un panneau représentant un maillot barré nous attendait, nous faisant un peu plus entrer dans l’ambiance.
Sur la plage, il y avait en effet très peu de monde, et plutôt des personnes âgées avec le corps déjà très bronzé. Eric, pas très à l’aise à l’idée de se retrouver nu, mindiqua une petite crique derrière des rochers à l’extrémité ouest de la plage. Main dans la main nous nous dirigeâmes vers cet endroit qui était en effet très peu exposé, avec seulement quelques mètres carrés de sable, entourés de rochers et avec un accès à la mer. Le rêve absolu !
A peine arrivés, j’enlevai mon tee-shirt, mon short et mon string, me retrouvant toute nue, pour la première fois en plein air. J’étais habituée au topless et finalement enlever le bas n’est pas très différent. Eric me regardait avec désir mais n’osait pas enlever son maillot ; sa timidité m’amusait et me donnait envie de le provoquer. Aussitôt je prenais l’écran total et commençait à en passer sur mon corps. Après les bras et les épaules, j’en passais abondamment sur mes seins encore blancs en ce début d’été. Je dois reconnaitre que je forçais un peu le trait et les caressais d’une façon très sensuelle qui n’avait rien à voir avec la protection de ma peau Sous ces douces caresses, mes tétons commençaient à durcir. Je glissais ensuite sur mon ventre puis sur mon bas ventre. Reprenant un peu de crème, je commençai à passer la crème sur mon sexe intégralement lisse, en fixant Eric du regard. Je caressai délicatement mes lèvres pour éviter tout coup de soleil à cet endroit sensible, en poussant quelques gémissements.
Cela ne laissait pas Eric indifférent vu la bosse qui déformait alors son caleçon.
Puis, je me retournai, et lui demandai de me passer la crème dans le dos. En commençant par les épaules, il descendait vers mes reins et je pris sa main pour la descendre encore plus sur mes fesses : « tu ne veux pas que j’ai un coup de soleil ici quand même ? Sinon, pas de levrette pendant les vacances ». Sa bosse grandissait encore pendant qu’il me caressait les fesses et aventurait sa main dans mon sillon fessier. Une fois bien crémée, ce fut mon tour de m’occuper de lui. Après avoir enduit son torse de la protection solaire, je lui dis coquinement : si tu enlèves ton caleçon, je vais te passer la crème sur ta queue ». Cela a visiblement ôté ses complexes puisqu’il descendit son bas sans hésiter libérant sa queue déjà bien dure. Le fait de le voir nu en plein soleil, en bord de mer était réellement excitant et après avoir rempli ma main de crème je commençai un lent va et vient sur son sexe turgescent, ce qu’il semblait particulièrement apprécier. Après quelques minutes de va et vient délicieux, j’enduisais ses fesses de crème et sautais dans l’eau sans l’attendre.
Il me rejoignit tout de suite et un long câlin dans l’eau claire et chaude de Crête s’ensuivit. Collés l’un à l’autre, je repris mon va et vient, mais cette fois dans un seul but érotique. Masturber son homme dans l’eau est très excitant, essayez si vous ne l’avez jamais fait ! En même temps, Eric me caressait les seins et m’embrassait de sa langue passionnée. Au bout de quelques minutes, il jouissait dans l’eau, son sperme étant tout de suite dissous dans l’eau de la Méditerranée.
Après ce petit plaisir, nous profitâmes longuement de l’eau. Quel bonheur de se baigner entièrement nue, cela me procurait des sensations nouvelles et je dois bien l’avouer une certaine excitation. Retour sur la plage, nous nous allongeâmes tous les deux nus sur la même serviette, moi lovée dans les bras d’Eric. Le soleil, le bruit de la mer et un réveil matinal eurent pour résultat que nous nous endormîmes tous les deux pendant une bonne heure. Au réveil, j’ouvris les yeux, et le décor avait bien changé : nous n’étions plus du tout seuls et trois hommes s’étaient allongés à quelques mètres de nous, entièrement nus, et vêtus de leur seules casquette et de lunettes de soleil. Eric était encore légèrement assoupi et me caressait les seins sans même avoir ouvert les yeux. Rouge de honte, j’enlevai sa main de ma poitrine généreuse, et en lui donnant un coup d’épaule, le réveillai en lui disant que nous n’étions plus seuls. Je sentais son sexe bien dur contre mes fesses et j’étais terriblement gênée de la situation.
Je me souviens mot à mot de la discussion qui a suivi :
— Ne joue pas la prude, tu te doutais bien qu’il y aurait d’autres personnes sur une plage naturiste. Tu te mets toute nue et tu pensais que des hommes n’allaient pas venir te mater, sexy comme tu es. Allez laisse-moi te caresser, je suis sûr qu’ils n’attendent que ça.
— Mais Eric, on ne peut pas faire ça ici, rentrons à la maison et je ferai tout ce que tu voudras, c’est promis
— Pas question. C’est toi qui mas convaincu de venir, et maintenant que nous sommes là, on joue le jeu à fond. Tu sais bien que naturisme et exhibitionnisme vont souvent de pair. Et tu as la plus belle paire de seins que je connaisse, je suis sûr qu’ils n’en ont jamais vu d’aussi belle.
— Arrête, c’est une torture, tes caresses sont très excitantes mais je ne veux pas faire ça ici
— Allez, je te sens toute chaude, tes tétons gonflent, je suis trop excité, tu ne peux pas me laisser comme ça ; viens me sucer
— Non non non
— Allez, montre leur à quel point tu es une belle coquine
— (Hésitante) bon juste une petite fellation et on part, c’est promis ?
— C’est promis
A la fois gênée et excitée par la situation, je glissai entre les cuisses d’Eric et je le décalottai timidement avec ma langue, parcourant son gland et l’humidifiant. Son goût salé par l’eau de mer eut un effet libérateur et me donna envie de l’engloutir entièrement. Ma salive glissa le long de son sexe et ma bouche l’avala progressivement. J’oubliai totalement les hommes aux alentours, me concentrant sur le plaisir que je procurais à Eric. Mon homme prenait visiblement un plaisir fou et, chose rare chez lui, me faisait part de sa satisfaction et tenait des propos salaces à voix haute en anglais. Je découvris là sur cette plage crétoise un Eric coquin et exhibitionniste. Ma bouche étant occupée par son délicieux bâton d’amour, ma main droite malaxa ses testicules toutes dures pendant que ma main gauche caressa son petit trou comme il aimait tant que je le fasse.
Au bout de quelques minutes, j’ai vu qu’Eric faisait des gestes aux hommes de s’approcher et je sentis rapidement l’ombre de deux d’entre eux. Le troisième restait plus en arrière mais se caressait en nous observant. Levant la tête, j’observai deux géants, beaux hommes et musclés, la queue à la main à moins d’un mètre de nous. Je ne savais pas du tout quoi dire ou quoi faire, continuant ma pipe et laissant à Eric le choix de décider de la suite. Il devait lui-même hésiter car il ne dit rien pendant quelques minutes avant de leur dire en anglais qu’ils pouvaient me caresser mais que toute pénétration était interdite.
Les règles ainsi posées, un des deux hommes vint derrière moi, s’agenouilla et commença à caresser mes fesses de ses deux mains, avant de les embrasser goulument. Il saliva dans mon sillon fessier et je sentis la salive arriver sur mon sexe. Cette sensation mélectrisa et j’écartai légèrement les jambes pour lui faire comprendre qu’il pouvait descendre s’occuper de mon sexe avec sa langue. Il ne se fit pas prier et me lécha de sa langue puissante et chaude.
L’autre homme s’était mis à ma gauche et continuait à se masturber en caressant mes seins. Il parlait assez mal anglais mais je compris qu’il me disait que j’avais une belle poitrine de salope (je me souviens de son « bitch’s boobs » qu’il a répété au moins dix fois).
Il jouit assez rapidement sur mon flanc gauche et je sentis son sperme chaud et visqueux glisser sur ma peau. Cette vision de moi couverte du sperme d’un autre fit jouir Eric qui, sans ma prévenir comme il avait l’habitude, jouit dans ma bouche une petite quantité vu qu’il avait déjà joui une heure avant. Je continuai quelques va et vient pour lui faire profiter au maximum de sa jouissance. J’avalai ainsi les dernières gouttes qui sortaient de sa queue et je m’écroulai sur le dos, épuisée mais tellement excitée de ce qui venait de se passer. Eric et un de nos nouveaux amis me soulevèrent, recouverte de leurs semences, et me portèrent jusqu’à l’eau où ils me jetèrent dans un grand rire général. Nous restâmes longtemps dans l’eau tous les quatre, moi nue lovée dans les bras d’Eric à parler et à rire de notre aventure.
