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Les douze servitudes d'Hélène – Chapitre 26




Les 12 servitudes d’Hélène : êta aux Jeux d’Apollon (suite)

Elles n’étaient plus que cinq sur la scène, sans doute les cinq plus belles femmes du Monde Grec… Mais une seule resterait en fin de compte et deviendrait pour un an l’épouse Du Dieu Apollon, telle était la tradition ou plutôt la croyance absolue de ce peuple grec. Malgré l’épuisement d’une journée entière d’épreuves et d’efforts physiques, les cinq ultimes prétendantes savaient que le plus dur était à venir. Déjà, 45 autres femmes avaient échoué devant renoncer au Dieu de la Beauté pour vivre un an de servitude au service de La Cité Sacrée au cours de laquelle rien ne leur serait épargné, leur échec étant assimilé à un sacrilège

Les cinq beautés ultimes étaient regroupées au centre de la scène, dans un amphithéâtre plein à craquer, sous le regard d’une foule d’hommes tendus et des trois juges portant La Parole Du Dieu… Une musique lancinante emplissait l’espace sous le ciel étoilé sans nuage. La nuit tissant son noir rideau sous une magnifique lune orangée faisant guise dun lampadaire géant. Même sil fallut de larges vasques qui furent embrasées afin d’éclairer encore mieux ce qui allait suivre. A la lisière de la scène, de hautes barres de métal lisse sortaient lentement du sol comme par magie, bénéficiant en réalité d’un mécanisme élaboré de multiples et immenses roues de bois dentelées telles des crémaillères et ces engrenages cachés dans les entrailles du théâtre, comme bien d’autres aménagements permettaient aux autorités de la Cité Sacrée de préserver la réputation étrange et fascinante de leur site auprès de toutes les autres cités grecques Maïa, la rousse macédonienne fut la première à s’approcher de l’une de ces barres… Elle la saisit à deux mains, vint se coller à elle, puis l’enserra entre ses cuisses, se hissant à la force de ses seuls bras avant de se renverser, ne se tenant que par la pression exercée par ses cuisses sur la barre de métal… Les mouvements de la rousse sculpturale s’accéléraient, la lascivité du début cédant peu à peu la place à une frénésie aussi impudique que tournoyante. Sans jamais lâcher la barre, avec laquelle elle restait en permanence en contact, de la main, du pied… la rousse Maïa glissait sur cette hampe rigide comme s’il s’agissait d’un immense sexe érigé, lui offrant une danse des plus indécentes… Progressivement, les quatre autres jeunes femmes vinrent à leur tour enserrer, pour chacune delles, une de ses barres de métal se présentant devant elles, s’unissant à cette hampe pour ne plus former qu’un improbable couple à la fois d’acier froid et dur et de chairs chaudes et frémissantes…

Dionée d’Athènes, la beauté brune se montrait la plus féline et délicate, mettant en valeur les formes époustouflantes d’une croupe à la peau naturellement hâlée. Léto offrait, quant à elle, une série de mouvements reptiliens appris des prêtresses d’Aphrodite, elle tournait autour de la barre, l’enserrait, ne faisait plus qu’une avec elle, alors que la spartiate Xena semblait moins à l’aise, ayant quelque difficulté à donner à son corps des attitudes moins martiales, tandis que êta se livrait à des frottements si érotisant, quils ne pouvaient être perçues autrement que comme des mouvements les plus lubriques qu’aient jamais pu admirer les centaines de mâles présents. Le spectacle offert par les cinq prétendantes était fascinant, hypnotique ! Cinq corps sublimes se mariaient avec volupté et indécence chacune à leur barre, sans jamais perdre totalement le contact avec le froid métal. Chevelures tournoyantes, corps aux positions débridées, seins dressés, les cinq jeunes femmes se livraient totalement et la moins à l’aise demeurait Xéna qui, soudain, sembla vouloir tenter d’imiter les acrobaties de ses concurrentes et dans une tentative de retournement, glissa sur la barre, heurta le sol et perdit le contact avec elle. Brusquement la musique cessa et les danseuses stoppèrent leur démonstration, profitant de ce soudain répit pour tenter de retrouver leur souffle. Xéna frappait le sol du poing, consciente qu’elle venait de déshonorer Sparte ! Déjà, la tête basse, elle se redressait maladroitement et s’apprêtait à quitter le site des épreuves pour regagner la honteuse bâtisse où étaient regroupé le troupeau des perdantes, le cheptel d’esclaves qui seraient pour toute une année offert aux habitants de la Cité Sacrée.

Elles n’étaient plus que quatre ! Les barres disparurent lentement dans le sol, la musique ayant repris recouvrant ainsi les bruits grinçants des crémaillères et laissant les quatre femmes nues, leurs corps luisants encore de transpiration… Elles se tenaient bien droites, fières de savoir qu’elles étaient toujours en lice, pour l’honneur de Leur cité et la plus grande gloire d’Apollon. Cette fois, c’est au rythme des tambours que furent amenés les instruments destinés à la prochaine épreuve des Jeux. Poussés par des gardes, il s’agissait de quatre longs "cheval d’arçon". Sur chacun d’eux, une prétendante fut attachée, le corps penché en avant, la croupe ainsi bien exposée au public, les poignets liés aux extrémités, contraintes à se tenir ainsi penchées, les reins creusés et la croupe saillante. Derrière, d’autres machines furent amenées, équipées d’un mécanisme dont l’utilité apparaissait clairement : Il s’agissait d’un système de roue actionnant un long et épais olisbos d’ivoire. Une fois les quatre jeunes femmes en place, les olisbos furent placés dans le prolongement de leur croupe et actionnés. Les machines étaient actionnées par des esclaves dont le visage était entièrement couvert d’une cagoule, car il était interdit à ceux qui n’étaient pas des citoyens libres d’accéder aux Jeux d’Apollon. Ces esclaves étaient donc considérés comme de simples outils et privés de toute autre activité que d’actionner avec régularité la chaîne entraînant le mécanisme… Présentés un peu de profil, la croupe et le visage des quatre jeunes femmes étaient tournés vers le public et les trois jurés… Leurs superbes croupes offertes aux olisbos dont le mouvement commençait à trouver son rythme et c’est avec une parfaite harmonie que les quatre femelles furent pénétrées exactement au même instant par les épaisses verges d’ivoire, débutant ainsi un va-et-vient régulier dabord lent, enfonçant les olisbos dans les sexes offerts en rythme parfait…

Tous avaient les yeux rivés sur les quatre visages et leurs réactions à cette pénétration incessante qui faisait de leurs sexes des réceptacles permanents de verges aux dimensions impressionnantes. Verges Divines ? Nul n’aurait osé spéculer sur la taille d’Un Pénis Divin, mais hors normes, incontestablement ! Toutes rompues aux choses du sexe, les quatre prétendantes réagissaient avec volupté à cette pénétration d’une force rarement atteinte. Leurs visages offraient l’agréable spectacle de femelles livrées à une splendide virilité. Mais le temps passait, ce qui était au début une délicieuse sensation devenait peu à peu une sourde brûlure qui enflammait leur intimité, non de plaisir mais d’une sourde et permanente douleur. D’abord enivrées par l’action, elles peinaient maintenant à supporter ce qui leur était imposé… Avec une cruelle et terrible régularité sans faille, les olisbos allaient et venaient entre les cuisses, glissant à merveille, lubrifiés par les ondes de plaisir qui s’écoulaient entre les cuisses de chacune… Les quatre concurrentes avaient donc un seul ennemi commun : le temps ! En effet, c’est au fil du temps qui sécoulait doucement que l’épreuve dévoilerait toute sa vicieuse difficulté… Même si pour linstant les quatre prétendantes devaient ne pas cesser d’offrir bonne figure tandis que leurs sexes échauffés devenaient l’épicentre d’une onde de souffrance et de plaisirs mélangés qui les submergeaient et les emportaient… Ainsi, les lèvres humides, les yeux fixes car il leur était formellement interdit de les clore, ne fut-ce qu’un bref instant, les reins creusés, secouées par les allées et venues incessants des verges d’ivoire qui les fouillaient si profondément, elles haletaient, gémissaient, criaient de plaisirs, jouissaient à pleine haleine… C’est ce plaisir si puissant qu’elles devaient exprimer, car ce qu’elles offraient Au Dieu Apollon en cet instant, c’était leur jouissance hors norme à nen plus finir…

Elles avaient donc toutes déjà joui à plusieurs reprises, mais le rythme régulier tel un métronome ne ralentissait pas… Le public était tendu. Esprit tendu, mais les sexes aussi car tous ces hommes étaient fascinés par ces pénétrations et ces quatre visages qui exprimaient des sensations si puissantes qu’ils n’avaient jamais su en provoquer chez leurs partenaires, épouses, hétaïres, pornaïs ou courtisanes… Haletantes, les lèvres tremblantes, leurs corps pris de brusques convulsions, les quatre jeunes femmes jouissaient encore et encore, subissaient, criaient de plus en plus avec une voix rauque et gutturale d’abandon total… Des cris qui déchiraient la nuit illuminée de flammes, dans une ambiance de plus en plus frénétique

Et soudain, un cri ! Un cri dominant tout, suivi de suppliques… Maïa, la belle macédonienne agitait sa crinière rousse en tous sens, bavant, pleurant, suppliant… Elle hurlait qu’elle n’en pouvait plus, suppliait qu’on la libère, implorait pour que cesse enfin cet incessant et terrible va-et-vient entre ses cuisses. La forte douleur insoutenable quelle ressentait avait pris le dessus sur ses multiples orgasmes. Alors sur un signe du plus âgé des trois juges, la musique cessa et un coup de trompe retentit, entraînant l’arrêt immédiat des efforts des esclaves cagoulés qui mettaient en mouvement les verges d’ivoire. Ce mouvement cessa donc et les olisbos se retirèrent doucement. Les trois jeunes femmes laissèrent retomber leur tête, s’abandonnant enfin à l’épuisement qui les avait envahies depuis si longtemps… Seule Maïa sanglotait, tandis qu’on la libérait et qu’elle était traînée hors de l’arène pour rejoindre le troupeau des esclaves… Libérées à leur tour, les trois dernières femelles furent menées devant les juges… Il ne restait plus que Dionée d’Athènes, digne beauté brune qui demeurait hautaine, même dans les situations les plus scabreuses, la blonde et callipyge Léto de Cythère éduquée dans l’adoration d’Aphrodite et êta, l’amnésique sans cité qui n’avait été sélectionnée que pour son incomparable et irréelle beauté, mais pouvait cependant se dire digne des plus fervents adorateurs d’Eros… Trois beautés qui tentaient maintenant de marcher aussi dignement que possible malgré leurs sexes enflammés par le terrible traitement qu’elles venaient de subir… Ce fut comme un soulagement pour elles que de s’agenouiller enfin aux pieds de l’estrade sur laquelle trônaient les trois juges…

— Vous n’êtes plus que trois ! Vous avez affronté et traversé les épreuves, voyant autour de vous des femelles indignes échouer Mais deux dentre vous, encore ne sont pas à leur place

(A suivre)

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