Mon chéri.

Jécris cette lettre pour de dire que jai vu L de loin. Je nai pas voulu le revoir sans toi, tu devine pourquoi ?

Tu te souviens de L, celui avec qui nous étions à une fête avec beaucoup dautres. Nous avions assez bu, aussi tu laissé ta voiture pour revenir la chercher demain matin. L pouvait conduire, mais il avait laissé les clés de son auto sur le tableau de bord. Il lui fallait revenir le lendemain avec le double des clés. Cest un autre couple qui acceptait de nous conduire dabord chez L, puis chez nous.

Je ne sais comment je me suis retrouvée assise entre toi et L. Je sais que le couple qui nous emmenait était asses porté sur la chose : lui, narrêtait pas de fourrager sous la culotte de son amie.

Ça me donnait des idées sans que je fasse quoi que ce soit. Finalement, je trouve des lèvres sur mon cou. Et encore dautres. Je ne sais plus qui membrasse ainsi. Je te sens bien à mon coté droit et L à mon coté gauche. Ainsi vous avez lintention de me déshonorer, ce qui nest pas pour me déplaire, au contraire. Je sens vos doigts qui défont la bride de mon chemisier qui ne fait pas longtemps obstacle en descendant sur mes genoux. Je sais quil ne cachait pas grand-chose, mais tout de même me faire ça sans que je sois au courant. Sans que je le demande

Mon soutien gorge prend le même chemin. Mes seins sont daccord de sentir les deux mains venir les caresser. Je sens les tétons grossir sous les caresses. Ils bandent comme rarement : jai à mon service deux mains étrangères qui me font du bien, qui me font même mouiller : jai envie. Je ne vais pas le crier à tous les toits.

Vous ne dites rien et pourtant je reçois vos deux mains sur mes genoux. Cette fois jagis, je vais à la recherche de vos deux bites. Mon Dieu quelles sont dures. Vous bandez autant lun que lautre. Je les masse pour quil ny ait pas de jaloux. Mon con inondé mindique de ne pas résister. Je sens vos mains monter lentement, trop lentement vers le haut. Je commence à avoir envie delle sur ma chatte et mon cul. Cest bien ce que vous cherchez, non.

Et vous arrêtez tout, nous arrivons chez L qui nous invite pour un dernier verre. Je suis dépoitraillée, tant pis je sors ainsi, il ny a personne dans la rue.

Dans lascenseur, tu te place derrière moi. Je sens ta bite contre ma raie des fesses. Tu mexcite encore un peu. L, reste devant. Cette fois il prend mes seins à pleine main. Il me pelote comme rarement. Enfin sa bouche est sur la mienne. Nos langues se caressent longuement pendant que ta bouche reprend ses baisers sur ma gorge.

Lascenseur stoppe à létage demandé. Nous sommes vite dans lappartement de L. Je supposais avoir un instant de répit. Je reste entre vos mains. Rien ne pourra me laisser seule, même si je le voulais, vous avez trop envie de moi, de mon corps. Vous pouvez faire de moi ce que vous voulez, jai envie de tout.

Je me retrouve assise sur un divan confortable, vous deux à mes cotés. Vous tenez à continuer les amusements de la voiture. Je ne tiens plus, je vais mourir denvie de jouir. Cette fois, vos mains sont sur ma chatte. Elles semblent se connaitre puisquelles se partagent le travail. Je ne sais même pas qui me touche et où. Jai simplement repris les bites qui me semblent plus grosses que tout à lheure.

Enfin, je sens un doigt qui vient sur mon petit clitoris qui attend ça depuis un bon moment. Je ne suis pas sûre que ce doigt tappartienne. Il commence à me faire du bien, cest le principal. Lautre enfin arrive sur lanus. Je suis tellement trempée que même mon cul est mouillé. Le doigt me caresse à peine lanus quil est déjà dedans. En même temps je reçois un vrai baiser, pas un volé, non, un profond comme je les aime : ta bouche peut-être ?

Jai sorti vos deux bites. Je les branle rien que pour mon plaisir, il faut bien que je rendre le bien être quon me donne. Quelquun défait la fermeture de la jupe qui tombe sur une simple pression. Le string suit vite le même chemin. Nue maintenant, je suis prête à subir votre commun assaut. Jai encore vos bouches sur les tétons, ils bandent de plus en plus.

Enfin les doigts agissent normalement pour me faire jouir. Je me laisse aller et pourtant, lorgasme ne vient pas. Je sais quil me faut vos bites. Oui je veux vos bites ensemble, seulement ma pudeur naturelle minterdit de le demander.

Cest toi sans doute qui comprend. Vous vous levez tout deux, vous êtes vite nus. Je le sens en reprenant vos bites qui me donnent vite les couilles. Un de vous deux me fait venir sur ses cuisses. Je me laisse faire. Il minstalle facilement sur sa queue. Je la laisse entrer. Jai un vide en moins au fond de mon ventre. Je sens entre mes fesses lautre bite qui cherche mon trou. Je bouge assez pour quil trouve facilement.

Mon bas ventre en plein de bites. Elles sagitent en va-et-vient efficace. Cette fois, je pars en un grand orgasme. Je me laisse aller au plaisir, cest la seule chose qui compte, et en plus tu es daccord. Je crois que tu me baises alors que L mencule, je ne fais que le croire. Je vous lasse me baiser à deux, cest bon, cest ma première fois. Je ne pensais jamais jouir autant, du con et du cul à la fois. Cest dégoutant pour certaines, alors que pour moi cest le summum.

Voilà le souvenir que javais de L. Pourquoi je laurais hélé, pour baiser encore une fois avec lui, sans toi ? Pas question, tu sais que nous partageons tout, même ta queue est à moitié à moi. Mon con est à toi aussi. Je nallais pas le lui donner.

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