De retour dans la maison familiale elle ne raconta, on s’en doute, qu’une faible partie de sa visite aux parents de son amie et de sa promenade. Sitôt qu’elle le put elle monta se coucher, épuisée par ses émotions et ses orgasmes, elle en rajouta d’ailleurs quelques une au cours de la nuit… des rêves qu’elle n’avait pas le souvenir d’avoir visités auparavant la réveillant de temps en temps. Petit déjeuner, Cheval, déjeuner, cheval, maison…. Interminable…. Préparation du dîner, c’est son tour, si fastidieux, elle pense à autre chose…. que va-t-il lui faire…. elle entend ses propres mots : "faites-moi tout….", elle imagine, en coupant les tomates, ce membre qu’elle a vu, touché, branlé, que peut-elle y faire…. que peut-il lui faire avec ? Elle a vu des images… des bouts de vidéos…. comment peut-on oser faire des choses pareilles…. Comment a-t-elle pu le branler, elle n’a pas protesté…

Elle a aimé en fait, elle aurait même… goûté… à ce qui coulait sur ses doigts…. alors, ce soir …. ?

Servir, desservir la table, vaisselle, "Je vais faire un tour marcher, profiter de la fraîcheur du soir"…. Enfin, elle est trempée, encore, elle sait où elle va et pourquoi…. Entrouvre la porte de l’étable, entre en catimini…. Elle va lui faire une surprise…. Elle ouvre ses vêtements, sa chemise, son pantalon, il n’aura qu’à glisser sa main, si forte, ses doigts, elle ne se reconnaît plus, elle se mettrait nue pour un peu…. Elle sursaute, il est là. Il la regardait se préparer pour lui… "Bonsoir Flo", il s’approche derrière elle, et la caresse, de son cou à ses fesses, sa main glisse entre ses fesses, elle laisse faire, elle a le ventre en feu…., il la retourne vers lui. Brusque, abaisse son pantalon, sans un mot, rapide. Abaisse sa culotte, elle se tient devant lui, sexe exposé. Il lui murmure: "Je vais manger ta petite chatte, la lécher, la fouiller, et tu vas me sucer…."Elle le laisse enlever son jean et sa culotte, aide en levant la jambe au bon moment, le laisse lui écarter les jambes, donne son sexe qu’il prend dans la bouche. Il la lèche, la fouille, suce son clitoris, le mordille légèrement, il boit, aspire tout son sexe, elle ferme les yeux, manque de tomber dix fois, les ouvre, regarde cette tête entre ses cuisses, jouit, crie presque, frémit, secouée au-delà de l’imaginable. Soumise à son plaisir d’abord, puis posant ses mains sur la tête, la poussant vers elle, vers son entre cuisse, comme pour dire : "fouille-moi, mords, prend ma chatte…." puis elle le dit, le crie presque : "fouille, lèche, bois" et puis "encore, encore, fais moi jouir encore….mon con est à toi" Elle jouit dans sa bouche, elle lui donne à boire ce nectar qui a trempé sa culotte toute la journée. Il se lève, et sans qu’il dise rien elle tombe à genoux, l’aide à ouvrir son pantalon, à sortir son membre "Donne le moi….". Au dernier moment elle hésite, elle sent un parfum si fort, il doit guider son membre vers sa bouche, la guider doucement : "dépose un baiser sur le bout….", entrouvre tes lèvres, embrasse le", "prend le comme une glace…", elle obéit, elle ouvre les lèvres, en prend un tout petit peu, ouvre les lèvres un peu plus, et soudain quand sa bouche est assez ouverte elle sent es mains de l’homme qui poussent sa tête, par derrière, et la forcent à prendre un peu, et de plus en plus de ce membre qui remplit sa bouche…. "Suce", "Pompe" elle obéit, il gémit…. pousse de nouveau sa tête, elle sent les doigts qui se crispent dans ses cheveux, il joue avec sa tête, il se sert d’elle…. puis la laisse doucement, le membre sort de sa bouche. "Regarde-moi". Elle regarde, par delà ce sexe gonflé, elle voir le regard de l’homme, elle sent ce qu’il y a d’obscène dans le moment, et cherche le sexe pour le reprendre, les yeux vers lui, quand elle enfonce le sexe dans sa bouche elle garde le contact des yeux le plus longtemps possible…. Elle en prend le plus possible dans sa bouche, il la pousse, le gland presque dans sa gorge, elle a peut, mais se soumet…. Il use encore de sa tête et de sa bouche , les mains dans ses cheveux il attire et repousse cette bouche qui le suce maintenant. Il se branle avec sa bouche, elle suce, elle sent qu’il va jouir, elle craint mais garde la biote dans sa bouche "je veux goûter". Il décharge, gémit, crie, elle en prend une partie, le reste coule de sa bouche, elle suffoque à moitié, manque d’avaler de travers….

elle sent le sperme. Elle reste là pour en reprendre encore. Avale. Regarde l’homme le bout de son membre dans sa bouche. "J’aime ta bite" dit-elle lorsqu’elle lâche le sexe de son partenaire. "J’aime ton sperme". Elle reprend ce qui a coulé sur son menton, du bout des doigts, et le lèche.

Il la regarde…. "Tu seras une dévergondée ma belle" "On va passer de bons moments ensemble". Oui, elle veut être une dévergondée, et bien plus que cela, elle veut… tout ce qui est possible. Il la lève, l’embrasse à pleine bouche, sa bouche à elle encore collante de sperme et sa bouche à lui où elle peut deviner le goût de son propre sexe. Elle se presse contre lui, sent son sexe sur son ventre, elle se donnerait….. "Pas aujourd’hui ma belle, …demain…. ", Déçue elle prend le membre dans sa main, se frotte le ventre avec, comme pour essuyer les gouttes de sperme qui pourraient s’y trouver. Il lui murmure dans l’oreille, il la fait frémir, elle obéit, elle est à lui, toute…. "Si tu veux, tournes-toi, je t’encule…." elle se tourne…. Il avance, la pousse un peu les mains contre le mur…. il se frotte contre ses fesses, et comme son sexe durcit lui demande d’écarter ses fesses si elle veut vraiment lui donner son petit cul…. elle obéit. Il guide son sexe, le pose contre l’anus. "Dis moi que tu veux que je t’encule, dis moi que tu veux que je te la mette maintenant". Elle le lui dit, qu’il l’encule, qu’elle veut sa queue, qu’elle veut qu’il la lui mette. Il pousse, elle gémit, retient des cris, des petits cris…. douloureux, il l’ouvre…. la pénètre…. elle sent enfin une queue la prendre… se donne, crie douloureusement. Il la prend, l’encule, essaie de ne pas être brutal, de résister à la tentation de la prendre en force…. Elle crie il la prend, et très vite, sans qu’elle ait éprouvé le moindre plaisir il décharge…. sa queue enfoncée complètement, il vide ses couilles dans son ventre. Elle sent les spasmes, le sperme qui coule en elle. Elle a mal, elle lui donne son cul, elle est à lui….

Un peu plus tard quand il s’est retiré, elle le lui dit… "Je suis à toi, toute à toi, je te donne tout, fais ce que tu veux, je ferai tout." "Ma bouche, mes mains, mes seins, mon con, mon cul, tout est à toi….."

Il la fait répéter, après une mise en garde…. "Je te prendrai au mot si tu répètes, ce que tu vas me donner, je le considérerai comme mien, tu seras à moi, je ferai selon mon bon plaisir…. Pense que je pourrais proposer à des amis de prendre leur plaisir avec toi, et pire…."

Mais elle a passé la ligne…. elle est prête à tout, dès ce soir-là….

Depuis que du sperme coule de son cul, depuis qu’elle s’est retournée, à écarté ses fesses, et laissé lhomme profiter d’elle, elle est prête à tout. L’idée qu’un homme qu’elle ne connait pas, ou seulement de vue vienne la prendre l’excite.

C’est le lendemain soir qu’elle va faire le sacrifice de sa virginité…..

Depuis qu’elle a quitté l’étable elle n’a pensé qu’à ça. Quand elle entre dans l’étable le lendemain soir, elle est parfumée, excitée, transfigurée…. Il l’attend de nouveau il est arrivé avant elle. Son chien est attaché dans un coin. Daemon, assis patient. Il n’en dit rien, elle le voit à peine. Il la regarde, elle le regarde, et sans baisser les yeux se déshabille, nue, retire sa culotte et la lui donne, se caresse les seins et laisse ses mains descendre jusqu’entre ses cuisses, ses doigts caressent son sexe. "Tout est à toi". Il va la prendre brutalement, il la retourne contre le mur comme la veille, lui écarte les jambes avec ses pieds, sort son sexe, et le glisse entre les lèvres trempées, Il lui murmure un mot dans l’oreille "Maintenant" et il la prend, il enfonce son membre en elle, comme une brute, sans tendresse comme elle aurait aimé, il la baise…. Elle crie, et elle s’abandonne, sans plaisir, supporte, passivement, déchirée dans son corps et son âme…. Il la baise, brutalement, sa queue va et vient, cogne au fond parfois… elle se rend compte que ses sensations changent, elle ne pense plus, elle sent sa queue, qui la pilonne, son ventre qui cogne sur ses fesses, sa queue qui cogne qu fond… elle sent une chaleur qui monte, gonfle, elle commence à crier autrement, à gémir, elle l’encourage, le traite de tous les noms, le salaud qui la prend comme ça….

Elle lance ses fesses en arrière pour qu’il aille plus loin au fond. "Encore… vas-y plus fort…. aaahhhhh" elle crie….elle crie si fort qu’il lui met la main sur la bouche…. et elle jouit…. il se retient , il veut en profiter, faire durer, il sent les spasmes, se retient. Mais il la baise, la baise, la baise, à fond, tiens, tiens, tu en veux, tu es une salope, une chienne ma belle.Et il finit par atteindre le point de non retour. Il décharge, il jouit, grogne, rauque…. Vide ses couilles. Il sent le sperme monter et se déverser dans le con qu’il a besogné….

Elle crie de nouveau, jouit de nouveau…. secoue la tête frénétiquement…. la croupe projetée vers lui, vers ce membre qui la fouille, qui cogne au fond de son con.

Quand ils seront calmés, assise sur une botte de paille, son jean sous elle parce ça gratte, elle le regardera, reconnaissante du plaisir, en colère d’avoir été prise si brutalement, repensant furtivement à ce qu’elle a promis, ce qu’elle a donné…. Qu’est-ce elle a jouit… qu’est-ce qu’il l’a fait jouir…. "j’en reprendrais bien encore un tour….. se dit-elle, même aussi brutal…." c’est donc ça… je suis une femme….

"Tu te souviens de ce que tu as accepté….?"

"Tu iras jusqu’au bout ?"

Elle se souvient, elle ira jusqu’au bout de sa promesse, et elle pense, sans oser se le dire, que deux ou trois hommes comme ça…. elle n’ose pas penser à ce que ça pourrait lui faire.

Elle répète : "Oui sois sans crainte, je ne me défilerais pas si tu faisais ce que tu dis…"

Elle le regarde, effrontée…. ouvre les cuisses. Le regarde.

"ça ne commencera peut-être pas comme tu le penses….Flo"

Il se rajuste, s’approche et l’embrasse sur le front. Il sort, la laissant nue, seule, se rhabiller….

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