Bonjour, je m’appelle Emma et je vais vous raconter une aventure qui m’est arrivée il y a quelques temps. J’étais au lycée et je découvrais encore ma sexualité. C’est à cette époque que j’ai su que j’étais lesbienne. Je ne le cachais pas et la plupart des gens le savaient et l’acceptaient, y compris ma sur jumelle, Océane. On se ressemble comme deux gouttes d’eau. Je vais nous décrire, comme ça vous pourrez mieux nous imaginer.
Je suis assez petite, environ 1m65 et je n’ai pas beaucoup de courbes, je me trouve ni trop grosse ni trop mince. Je suis rousse, j’ai les yeux verts et pas mal de taches de rousseurs sur le visage. Ma sur est comme moi, à la différence qu’elle a plus de courbes et que ses seins sont juste parfaits. Ils sont assez gros mais pas trop, ronds et bien fermes. Mais assez parlé, passons au récit.
L’histoire commence un vendredi soir d’octobre. Je rentre d’une journée difficile et je n’ai qu’une envie, un bon bain chaud. Je dépose mes affaires à l’entrée, enlève mes chaussures et vais à la cuisine pour me servir quelque chose à boire. Il n’y a personne dans l’appartement, mes parents rentrent souvent tard et ma sur doit être avec son copain. Je compte bien profiter de cette solitude pour me reposer. Je me dirige donc vers la salle de bain en pensant au bon moment que je vais passer. Mais quand j’ouvre la porte, je me fige.
Ma sur est assise sur le rebord de la baignoire, nue, les jambes grandes ouvertes en train de s’épiler la vulve ; je la trouve magnifique sans ses vêtements. On reste là, toutes les deux… sans bouger… Après plusieurs longues secondes, je m’excuse, ferme la porte et vais rapidement dans ma chambre. On s’était souvent vues nues quand on était plus petites mais jamais depuis que je suis lesbienne. Je reste assise sur mon lit durant de nombreuses minutes à me repasser ce moment en boucle dans ma tête. Je ressens à la fois honte et excitation. Une fois qu’elle a fini, ma sur vient me dire que la salle de bain est libre et retourne dans sa chambre comme si rien ne s’était passé. J’y vais, me déshabille et rentre dans mon bain.
Une bonne demi-heure plus tard, je sors de la baignoire, mais avant de me mettre en pyjama, je me regarde dans le miroir mural. Je me trouve jolie malgré mes formes moins prononcées que celles de ma sur. Je repense à ce moment et commence à mouiller. Je chasse cette pensée de ma tête, me prépare et vais à la cuisine. Entre temps, mes parents sont rentrés et nous ont préparé le repas, des spaghettis à la bolognaise. Nous mangeons tous ensemble comme si de rien était, mais à chaque fois que nos regards se croisent, nous baissons les yeux.
Après le repas, je passe à la salle de bain puis je vais me coucher. Je n’arrive pas à trouver le sommeil car le souvenir de la soirée revient encore et encore, je n’arrive pas à oublier ma sublime sur dans sa tenue d’Eve. Je me rends compte que je recommence à mouiller. Je n’en peux plus, je me mets sur le dos, passe une main sous mon pyjama et pose deux doigts sur ma chatte qui est déjà bien humide. Je tourne plusieurs fois autour de ma vulve puis m’arrête sur mon clitoris. Je le pince et le roule entre mes doigts, l’excitation monte rapidement. Pour être plus libre, j’écarte la couverture et retire mon bas de pyjama.
Une fois que mon clitoris est bien gros, j’enfile les deux doigts dans mon vagin, le plus profond possible puis je fais des va-et-vient de plus en plus rapides. Pendant ce temps, mon autre main est venue masser mes seins qui durcissent sous les caresses. Quand je sens que je vais partir, mon pouce vient sur mon clitoris et accompagne mes doigts dans leur mouvement.
Soudain, tout mon corps se contracte, j’étouffe un cri et un jet de cyprine sort de ma chatte et mouille mon lit. Je suis surprise, c’est la première fois que j’éjacule. Je m’empresse de trouver un t-shirt sale pour essuyer mon matelas avant que quelqu’un le voie. Une fois le lit sec, je me rhabille et me recouche, ma sur m’en aura fait voir de toutes les couleurs aujourd’hui.
Le lendemain, il ne se passe rien de particulier. Je paresse dans mon lit toute la matinée, je lis un peu et regarde une série sur l’écran qui est accroché au mur en face de mon lit. L’après-midi, j’ai rendez-vous avec ma meilleure amie, Julie, pour aller faire du shopping. Je pars vers 14 heures et la retrouve devant le grand centre commerciale près de chez nous. Elle est blonde assez grande et avec quelques kilos en trop mais elle reste jolie avec des formes bien prononcées.
Nous parlons de nos vies en faisant les magasins, nous allons dans plusieurs magasins de chaussures puis un magasin de bijoux et pour finir, nous allons voir les habits.
Quand on arrive dans un magasin de lingeries, je repense aux évènements de la veille. Comme c’est ma confidente, je décide de lui raconter ce qu’il s’est passé. Je lui dis que j’ai vu ma sur toute nue et que ça m’a excité et lui demande si elle ne trouve pas ça bizarre d’être excité par sa propre sur. Elle me répond qu’il n’y a pas de raison de trouvé ça bizarre, c’est une jolie fille et je suis lesbienne donc c’est normal.
Après nos achats, nous rentrons chez elle. Elle habite dans un petit appartement au deuxième étage d’un immeuble assez calme. Elle va dans la cuisine et nous ramène du jus d’orange avec des biscuits, puis s’éclipse. Une minute plus tard, j’entends un bruit derrière moi et me retourne. Julie surgit de l’autre pièce en sous-vêtements.
— Alors, ça t’excite ?!
Je rougis comme une pivoine. Elle éclate de rire et repart pour finir de se changer et vient manger le goûter avec moi. Je lui dis que ce n’est pas drôle mais je dois avouer qu’elle m’a fait de l’effet. Nous finissons notre goûter, discutons encore un peu puis, vers 17 heures, je décide de rentrer chez moi.
Sur le chemin de retour, je passe devant un sex-shop. Je l’ai souvent vu sans y prêter attention mais les évènements de ses derniers jours me donnent envie d’aller y faire un tour. Je pousse la porte et découvre un nombre incalculable de sex-toys, accessoires et lingeries sexy. Je rentre dans le magasin, regarde un peu ce qu’il y a et me dirige vers les sex-toys pour filles. Il y en a de toutes les sortes et de toutes les tailles, pour les plaisirs solitaires ou lesbiens. Je n’ai jamais utilisé de sex-toy alors je décide de commencer doucement avec un vibromasseur de taille moyenne et un tube de lubrifiant. En allant vers la caisse, je repère des paires de menottes couvertes de fourrure. J’en prends deux paires roses en me disant que ça pourrait pimenter mes relations futures. Je paie le tout et rentre chez moi pour aller essayer mon nouveau jouet.
Peut-être une suite…