Mon oncle allait s’en aller si tôt qu’il avait juter comme il le faisait avec mes cousines, mais je devais profiter de la situation pour en apprendre plus.

-Attends!

Il n’osait pas me regarder comme s’il était honteux.

-Tu n’as pas aimé?

Il se retourna un peu emprunté

-Que va dire ton père?! Mon dieu, j’ai sali sa fille!

D’abord surprise, je ne pus bientôt plus retenir le fou rire qui montait en moi.

-Sali ? Tu rigoles, depuis plusieurs mois, il me lime dans tous les sens! Si tu savais … Une queue d’âne en rut, et une endurance d’athlète! Mon père m’a Sodomisé bien avant toi!

Paul semblait estomaquer, puis sembla se ressaisir et dit de manière laconique

-Nous ne sommes que des porcs!

Je pris une pose des plus suggestives et ajouta taquine

-Et nous de vraies cochonnes!

Mon oncle sembla retrouver de la vigueur car déjà son chibre donnait des signes de renaissance. Il tendit les mains vers mes seins, mais je me détournais

-Attends! Je voudrais en savoir plus sur ma mère.

-Ta mère?

-oui! Jusqu’à présent je l’ais toujours vue comme une femme un peu collet monter travaillant dur mais depuis peu j’arrête pas d’entre des choses notamment par mes cousines ou même toi qui me laisse penser qu’elle cache quelque chose de plus.

-Et bien elle était notre voisine durant notre enfance, on a quasiment grandit ensemble. Elle s’est développée plus vite que les autres filles du village, et comme on était souvent fourrer ensemble dans les champs…il est arrivé ce qui devait arriver. On a flirter, on s’est tripoté et puis elle a finit par tomber amoureuse de ton père. Mais même fiancés on était toujours le trio, et quand elle a eut 18 ans, on est allé boire dans la grange de ses parents, la Température a vite montée et sans trop savoir comment on s’est retrouvé en train de la prendre tous les deux en même temps.

Cette nuit là on s’est fait surprendre par son frère (ton oncle Richard), ce cul serré de merdeux l’a menacé de tout dire à ses parents, sauf si cette dernière rentrait dans le "droit chemin" à partir de là ta mère est devenue elle aussi un cul serré, sans doute à force d’entendre Richard lui parler de damnation à longueur de journée…d’ailleurs je ne sais pas comment elle fait pour travailler avec lui.

Je savais qu’oncle Richard n’était pas apprécié du "clan" de papa, d’ailleurs il m’avait toujours fait un peu peur, je l’aurais bien vu dans le rôle du prêtre dans Quasimodo, même si physiquement il n’était pas trop moche…mais je comprenais maintenant pourquoi mon père s’arrangeait toujours pour ne jamais croiser Richard.Mais ces révélations apportaient d’autres questions : quand ma mère âgée de 18 ans obéit à son frère, je pouvais comprendre, mais pourquoi aujourd’hui semblait elle toujours telle une enfant à suivre ses prérogatives? Mais hélas mon oncle n’était pas la personne à questionner à ce propos. Mais j’aurais bien le temps de faire mon enquête, mon oncle qui à l’évocation de ses souvenirs avait reprit toute sa forme m’attrapa par le bras droit et me poussa sur le lit de Nathalie. A plat ventre, la tête enfouie entre les peluches de ma cousine, mon oncle Paul me besognait l’entre cuisse avec sa langue. Il s’en servait avec habileté comme d’un petit penis. Me pénétrant de toute part jusqu’à me faire hurler de plaisir. Il était un peu rude dans ses gestes, mais il avait une façon très terrienne de me malmener.

-Oh putain c’que t’es bonne! Prend ma queue entre tes grosses mamelles de salope.

Un peu échevelée et encore sous le coup de ma dernière jouissance, je suivis le mouvement. Attrapant ma poitrine, je mit la verge de mon oncle entre mes deux seins laiteux et commençait un va et vient le long de son membre luisant de mes secrétions. Je n’arrivais pas à quitter des yeux le gland, sentant qu’à tout moment il allait m’éjaculer sur le visage. N’aimant pas particulièrement ça, j’approchais le visage afin de tout prendre dans la bouche.

Les lèvres entrouverte je posais la bouche sur son gland et aspira son sperme aussi promptement que ma respiration pouvait le permettre. Ce qui aurait été plus facile si à coté de cela il ne m’agrippait pas les cheveux essayant de m’enfoncer son sexe en entier. N’étant pas une poupée docile, je me déplaça le laissant de finir d’éjaculer sur le couvre lit de Nathalie. Il était là debout prés de moi, les yeux mi clos, lâchant un râle de jouissance.

Je m’essuyais la bouche sur une des peluches de Nathalie.

Je me levais réajusta le peu de vêtement qu’il restait sur moi, déposait un baiser sur les lèvres de mon oncle et lança tout simplement

-Merci Oncle Paul, c’était bon! Bonne nuit!

J’allais sortir quand il me mit la main sur l’épaule

-On le refera ?

C’était drôle, il avait l’expression d’un gars dragué dans un bar et qui pourtant semblait plus qu’un p’tit coup rapide. C’est moi qui avait pris l’initiative avec mon père et encore moi avec mon oncle, j’avais un petit coté amazone, et ça devait leur plaire, je pris donc les choses en mains.Je m’avançais et d’un coup l’embrassa avec fougue. Au début un peu raide, il se détendit et commença à me peloter les seins. Je m’écartais de lui et dit d’une voix ferme et sans appel :

-Oui, mais à ma façon, et selon mes règles! C’est clair?

-Oui. Répondit il un peu décontenancer.

Je tournais les talons et alla prendre une douche rapide, avant d’aller me coucher.

Il devait être 9h du matin quand je fus réveillée par une bonne odeur de café. D’un pas léger je me rendis en cuisine, mes cousines étaient là en train de boire leur café au lait

-hey bonjour vous deux! Vous êtes rentrées tard dis donc!

-ouais si tu savais…

Leur échange de regard aussi complique que coquin laissait présager de bonnes histoires.

Je fis la bise à Amélia que je n’avais pas vu depuis mon arrivée.

-Alors? Je vous écoute!

J’eus droit à toute leur soirée et en détail.

Elle était allée en boite de nuit avec des copains de fac.

Nathalie s’est fait draguée par un type dont le visage ne lui était pas étranger, mais dont elle n’arrivait pas à se souvenir.

-Le gars m’emmène dans un coin reculée, où plein de couples étaient en train de se peloter, ni une, ni deux, le soulève le derrière de ma jupe écarte mon string et m’enfonce direct 2 doigt dans le cul! 2, d’un coup! Il me roule une pelle pendant qu’il me lime et là "bing" j’me souviens d’où je connais ce type…

Amélia était en train de pouffer de rire tandis que Nat. ménageait son effet

-…Le principal de notre lycée…j’sais pas si tu te souviens on t’avais parler de lui… le type qui nous convoquait parfois dans son bureau et qui nous donnait des coups de règles sur les fesses quand on faisait l’école buissonnière. C’était trop bizarre! Mais en même temps il connaît son affaire il m’a fait jouir en 2 minutes. Et le pire c’est que lui il savait qui j’étais, à la fin il m’a glissé à l’oreille "c’est mieux qu’une règle non?!"

Mes cousines éclatèrent de rire en pensant à tout ce qu’elle aurait pu faire du temps du lycée si elles avaient su cela plus tôt!

-Hey ça te dit qu’on aille au resto ce soir Aurélia ?

-ça serait cool!…ah mais j’ai pas de tunes sur moi…dommage!

Nat et Amélia eurent encore un échange de regard complice

— On sait comment tu peux gagner ce qu’il te faut…

Je montais me préparer à la fois intriguée et assez excitée. Que me préparait elle encore?

À suivre…

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