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Trompée et contente – Chapitre 2




Voilà trois mois que nous partageons notre ménage à trois, Léo, Vivianna et moi. Bizarrement, je n’éprouve que de l’excitation, pas de jalousie ni de honte ni de haine. J’avoue que j’aime vivre ainsi, et Vivi et moi nous nous entendons très bien. Cependant, hors notre trio, je n’ai jamais essayé de tromper mes deux chéris. Car je dois avouer que j’aime Vivi autant que Léo. Pourtant, l’occasion ne tarda pas à se présenter.

Je suis architecte d’intérieur. Un jour, mon patron Philippe vint me voir en me disant que j’allais,devoir guider un stagiaire durant deux semaines. J’acceptais avec plaisir, surtout que j’étais chargée de travail et qu’un coup de main m’aiderait bien. Le lundi suivant, donc, je reçus Marcus, mon stagiaire. J’eus le souffle coupé. Grand brun ténébreux d’environ vingt-trois ans, soit six ans mon cadet. Avec des yeux comme des diamants noirs. Quelques mois plus tôt je ne l’aurais jamais regardé; mais puisque les choses avaient changé entre Léo et moi…je décidai donc, pour peu qu’il soit d’accord, de coucher avec Marcus. Aussi au déjeuner, que nous prîmes ensemble dans un beau restaurant sur les Champs-Elysées, je déridai la conversation. "Es-tu marié, Marcus?" Il me regarda en souriant. "Non. J’ai une copine depuis quelques mois maintenant. Elle s’appelle Ophélie. Elle est gentille.’ Je lui lance une pique: "Gentille? C’est tout ce que tu trouves comme qualités à ta copine?" Il éclate de rire: "Oui. Enfin, c’est la petite ménagère un peu sexy, occupée de faire des enfants et de savoir comment se portent ses plantes vertes. Pas vraiment la tigresse superbe qui fait monter au plafond de désir, et pas trop intelligente non plus. Et surtout, pas jalouse." Je lève un sourcil, et décide de provoquer l’incident. Je le regarde, aguicheuse. " Pas jalouse? Elle aurait matière à jalousie?" Marcus me rend un regard sexy et la tension monte d’un cran. "Une fille aussi innocente ne saurait combler tous mes voeux. Mais toi? Mariée, des enfants?" Je lui explique franchement et il est surpris: "Wow! Ca c’est une vie!" Je le coupe: "Écoute Marcus, tu es infidèle à ta copine, j’ai envie de toi, ça peut se faire non?"

Rendez-vous est pris pour le soir dans un hôtel. Le soir donc, vêtue d’une robe moulante noire et de jarretelles, sans soutien-gorge et en string transparent, je m’y rends. Marcus m’ouvre. Il est déjà nu et je m’étonne: ’Tu perds pas de temps beau brun…" Il réplique sèchement: "Ferme ta gueule. " Je suis choquée. " Marcus, ne me parle pas comme…" Il me saisit par le bras et me lance sur le lit. Déjà il est sur moi, remonte ma robe et me pénètre avec violence. Je suis tellement étonnée et vexée que je ne dis rien. Il me lime comme on ne l’a jamais fait. "Alors, petite chienne, tu voulais te faire baiser? Tiens, prends ça, ça va te calmer, salope…tu dis rien? T’es le genre de pétasse qu’on humilie hein…T’adores qu’on te soumette…Bouge pas connasse, que je gicle…oh, oh…aaaaaaaaahhh! Tu le sens mon sperme dans ton trou? C’est fou ce que tu mouilles, trois coups de zizi ça te fait jouir, attends de voir, j’en ai pas fini avec toi."

Il se lève, je me retourne, son foutre coule sur les draps. La sonnette retentit, il va ouvrir et deux hommes entrent, l’un grand et blond et l’autre plus petit et brun. "Comme t’es une cochonne Belle, j’ai invité des copains." Le blond siffle un grand coup: "T’avais pas menti Marcus, elle est vraiment bonne ta chienne, cette chance." En un tournemain, tous sont nus. Ils sont virils et aussi bien montés que Marcus. Le petit brun, Tony, m’arrache la robe qui se déchire. Il se jette sur moi pour me pétrir les seins tandis que Luc, le blond, me pénètre déjà. C’est reparti, Tony commence d’effectuer une branlette espagnole tandis que Luc doucement va et vient. "Allez les gars, mettez-lui en plein la vue." Marcus s’approche, je le suce, je suis proche de la jouissance. Luc se fait pressant, il gicle. Marcus m’éjacule dans la bouche, j’avale contente. Tony descend de mes seins, me crache sur l’anus, et me pénètre le cul tandis que Luc essuie son membre dans ma bouche. Marcus se rhabille déjà. Luc le suit. Tony gicle; maintenant j’ai du sperme qui coule de tous mes trous, un vrai égout séminal. Lui aussi se rhabille une fois que je lui ai nettoyé la queue à grands coups de langue. Rompue de pornographie, je me rhabille avec ma robe à moitié déchirée et repars chancelante vers le taxi. Le conducteur m’observe, rit gras, commente: "Eh bien! Je croyais pas que les putes de luxe fréquentaient cet hôtel. Combien pour la pipe? " "Je suis pas…m’indigne-je." "C’est ça ouais, et moi je m’appelle Zorro. L’adresse où tu vas c’est chez toi? Et t’as sans doute un maquereau qui t’attend?" "Non, un fiancé, réponds-je folle de rage." Prise au piège, je le vois qui rit. "Il veut pas savoir que sa chérie a passé la soirée à se faire mettre par trois types, hein ma jolie?" "Il s’en fout; on est libertins". Mais je suis encore surexcitée de ma soirée et je pose ma main sur son sexe. Il conduit en me regardant avec gourmandise lui déboutonner le pantalon. Je me penche, je suce, je lèche, je branle la bite somme toute énorme. Il jouit. Une partie atterrit sur le volant. Je lèche tout en lui jetant des regards sexy. Il se gare dans une petite ruelle, descend, j’ai compris, je passe à l’arrière, l’attends à quatre pattes sur la banquette. Il me fourre, me prend en levrette, fou de désir sous sa moustache. Il doit avoir soixante ans, il n’est pas beau ni laid, mais je m’en moque, tout ce que je veux, c’est de la bite. Il me jouit dans le dos, on repart.

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