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I – Liaisons dangereuses – Chapitre 52




Au petit matin façon de parler car il est déjà presque neuf heures , je suis le premier à me réveiller, le lit est baigné par la lumière naturelle qui traverse la baie vitrée et Jenny dort encore paisiblement ; elle est à mes côtés, allongée sur le ventre avec le visage tourné vers moi et un de ses bras sur mon torse. Le drap recouvre à moitié la belle rondeur de ses fesses et quant à moi, une bosse, preuve d’une petite érection matinale, se dessine sur le tissu.

Je repense alors à la soirée d’hier, et en parcourant la chambre des yeux, je me remémore tout ce que nous y avons fait à divers endroits ; contre la baie vitrée, sur le bureau en face du lit, sur le sol moquetté, dans la salle de bains et la douche, etc. Cette rémanence de toutes ces succulentes sensations ressenties transforme ma petite érection matinale en une gaule tout ce qu’il y a de plus vigoureuse, le tout entretenu par mon regard attiré irrémédiablement par les fesses de Jenny.

Doucement, j’attrape le drap du bout des doigts et le relève pour découvrir ce fessier que je connais si bien et que je prends toujours autant de plaisir à admirer. Cette zone de sa peau est parfaitement lisse, comme celle du reste de son corps, et arbore un teint légèrement plus clair ; je ne résiste pas à l’envie d’approcher mes doigts pour effleurer son épiderme, suivant ses courbes délicieuses et m’arrêtant en bas de son dos avant de faire machine arrière. Jenny se met à bouger mais sans se réveiller, elle tourne sa tête de l’autre côté en ramenant son bras, auparavant posé sur moi, contre elle. Du coup, me voilà libre et je me redresse lentement pour me mettre à genoux près d’elle ; le drap glisse de mon corps et laisse apparaître ma verge fièrement dressée. Je l’empoigne et commence à me masturber tranquillement tout en admirant ma belle assoupie avant de prendre la décision d’ôter complètement le tissu de son corps.

Elle est maintenant entièrement nue et je ne peux m’empêcher de me dire, une énième fois, qu’elle est quand même sacrément bien foutue. C’est certes un jugement purement physique et manquant peut-être un peu de finesse et d’objectivité mais je ne pense pas qu’en voyant une telle beauté comme celle que je peux admirer à cet instant, beaucoup d’hommes feraient la fine bouche et trouveraient quelque chose à reprocher à ce magnifique tableau.

Je vais me positionner au-dessus de ses jambes en prenant bien soin d’être le plus précautionneux possible afin de ne pas la réveiller, et me voilà avec une vue diablement excitante. Ses jambes légèrement écartées laissent apparaître sa jolie vulve parfaitement lisse blottie au creux de ses cuisses ; ce n’est pas si souvent que j’ai l’occasion de l’admirer dans cet état car en général, quand Jenny est nue avec moi à ses côtés, c’est qu’il y a de l’action, mais là, elle est endormie, tout comme son sexe dont les lèvres sont bien refermées. Force est de reconnaître que son minou est mignon comme tout quand on lui fout la paix et je ne peux m’empêcher de rester un petit moment à la mater tout en me caressant lentement la queue qui est, de son côté, parfaitement réveillée.

Je me penche vers elle pour aller sentir sa peau en commençant par ses cuisses avant de remonter petit à petit jusqu’à arriver à ses fesses. Son odeur exhale celle du gel douche avec lequel j’ai personnellement et minutieusement enduit chaque parcelle de son corps hier lors de notre soirée charnelle ; je porte la même odeur étant donné qu’elle a bien sûr fait de même avec moi. Je sens mon cur battre de plus en plus rapidement dans ma poitrine au moment où je dépose mes lèvres sur ses fesses, embrassant délicatement et à de nombreuses reprises son auguste fessier. Ma queue ne décolère pas, elle est toujours copieusement bandée et une preuve de l’excitation que je ressens en ce moment perle de mon gland ; je viens récupérer ce liquide du bout de mon doigt et j’approche ce dernier du sexe apaisé et offert qui me fait face. J’en enduis soigneusement ses grandes lèvres, n’hésitant pas à aller me masturber de temps à autre pour récupérer encore un peu de mon fluide corporel et ainsi continuer mon office.

Jenny se met alors à grogner en bougeant doucement son corps, elle ne paraît pas réveillée cependant, bien que je pense qu’elle n’en soit pas loin ; ses mouvements, involontairement lascifs, lui font écarter un peu plus les jambes et j’ai alors un meilleur accès à son intimité qui s’est légèrement entrouverte. À partir de là, je mets mes doigts au chômage technique pour un temps et je dirige ma bouche vers son abricot ; je place le bout de ma langue recouvert d’une petite dose de salive entre ses nymphes rosées, je glisse parfaitement sur son sexe et continue mon petit manège en faisant s’introduire ma langue de plus en plus à chaque passage entre ses lèvres vulvaires.

Son minou est à présent luisant de ma salive mais du bout de la langue, je peux sentir une légère saveur salée, signe qu’il commence à se réveiller, tout comme sa propriétaire qui ondule un peu plus son corps. D’un mouvement presque instinctif, elle accentue quasi imperceptiblement la cambrure de ses reins ; je relève alors mon visage et vois le sien, encore à moitié endormi. Elle a les yeux à peine entrouverts et finit par les diriger vers moi, je lui lance un petit sourire et après les quelques secondes dont son cerveau a besoin afin de remettre les pièces du puzzle dans l’ordre, elle me fait un petit sourire pincé.

À partir de ce moment, elle se met à ronronner tout en se cambrant bien plus et en écartant encore ses jambes. Je m’allonge confortablement entre ces dernières et continue à déguster ce succulent petit-déjeuner ; cette fois, je rajoute mes lèvres dans la danse et me mets à embrasser son sexe en passant clairement ma langue jusqu’à l’introduire en elle. J’aspire ses lèvres intimes une par une, les lissant avec soin tout en savourant le goût de son excitation qui huile à présent toute sa vulve. Ses ronronnements se transforment, au fur et à mesure, en gémissements soufflés et son corps répond à cette avalanche de sensations en se gondolant sans arrêt.

Après quelques instants à bien prendre soin de réveiller chaque millimètre de son sexe qui a, à présent, une apparence à laquelle je suis bien plus habitué, c’est-à-dire une belle chatte rosée et luisante de mouille n’attendant plus que de se faire prendre, je remonte vers le visage de ma belle en parcourant sa peau de mes lèvres jusqu’à arriver à destination.

— Bonjour ; lui susurrai-je au creux de l’oreille.

— Hmmmmmmm, bonjour ; me répond-elle en étirant un sourire.

— Tu m’excuseras mais j’ai pas pu résister, le tableau était trop tentant.

— T’as pas à t’excuser, sauf si tu décides de t’arrêter.

— Tu as vraiment l’impression que j’ai envie de m’arrêter ? Lui dis-je encore plus bas en collant mon sexe tendu dans sa raie fessière.

Elle pousse alors un gémissement interminable en accentuant l’appui de son cul, elle se cambre tellement à présent que j’en profite pour passer ma main en dessous d’elle et ainsi aller agacer son clitoris avec mes doigts. Ses gémissements se font plus sonores alors qu’elle se met à caresser les draps sensuellement d’une de ses mains, l’autre empoignant un oreiller avec ses doigts crispés autour du tissu.

— Prends-moi Flo, prends-moi, maintenant… dit-elle entre deux gémissements.

J’attrape un oreiller et le cale sous ses hanches puis je guide mon sexe jusqu’à sentir la moiteur de sa chatte tremper mon gland, moiteur à laquelle s’adjoint la chaleur de son fourreau au moment où je la pénètre entièrement. Nous poussons un long feulement à l’unisson, je suis presque allongé sur elle, ne m’appuyant que sur mes coudes pour lui éviter d’avoir à supporter tout mon poids et je me mets alors à la prendre comme elle me l’a demandé. Mes mouvements sont amples mais lents, je savoure chacun de mes allers-retours en couvrant son cou et sa nuque de baisers, j’ai l’impression d’avoir la queue dans un écrin de coton soyeux et chaud tant les sensations que je ressens sont fantastiques.

Je change ensuite de rythme, faisant des mouvements plus rapides mais moins amples, ma peau se met à claquer contre la sienne et le matelas vibre sous les appuis que je mets. Elle couine de plus en plus, m’en demandant encore et encore ; en bonne gourmande qu’elle est, elle réclame que j’y aille plus fort et, bien entendu, je m’exécute avec ardeur, pilonnant sa chatte fermement, ce qui la contente grandement si j’en juge par ses couinements qui se transforment maintenant en petits cris plus sonores. Je finis par ralentir, m’immobilisant entièrement en elle et reprenant ma respiration tout en inondant toujours son cou de baisers. Elle fait de même, les yeux fermés et ses mains se remettant à caresser les draps au lieu de les serrer.

— Flo.

— Oui ?

— Tu l’aimes mon cul ?

— Oh que oui ! Dis-je en passant ma main sur ses fesses.

— Vraiment ?

— Plus que tout.

Elle relève alors son visage et place ses lèvres à quelques centimètres de mon oreille.

— Alors prends-le ; me lâche-t-elle tout bas avant d’aller délicieusement me lécher le lobe de l’oreille.

Sa caresse me provoque un frisson dans tout le corps et je lâche un long gémissement de plaisir.

— Le truc c’est que je n’ai pas réveillé ce côté-là avec ma bouche.

— Alors fais ce que tu as à faire ; lance-t-elle en libérant mon oreille.

Je me retire d’elle et sans attendre, je vais me remettre dans la même position que tout à l’heure. Elle écarte amplement les jambes et je passe d’abord ma langue sur son sexe trempé avant d’aller effleurer son périnée pour arriver à son anus. Je passe le bout de ma langue tout autour de son petit trou avant de le lécher plus franchement, ce qui semble la contenter si j’en juge par ses gémissements qui reprennent de plus belle. Puis, je cale mon majeur dans sa chatte et vais ensuite lentement appuyer sur sa rondelle qui finit par céder sous cette pression digitale et par s’écarter pour me laisser la pénétrer ; je vais et je viens entre ses fesses, tournant mon doigt doucement pour bien détendre son anus. Cette pénétration suffit à la faire gémir mais quand elle m’a glissé à l’oreille ce qu’elle voulait, je ne crois pas qu’elle pensait qu’à mon doigt.

Après quelques instants à continuer ce jeu, je dépose de la salive sur son petit trou et fais de même sur mon gland puis je me redresse ; je lui fais resserrer ses jambes afin qu’elles soient bien collées l’une à l’autre et positionne mes genoux de part et d’autre. Je me masturbe quelques instants pendant lesquels elle vient agripper chacune de ses fesses pour bien les écarter, m’offrant ainsi un accès facile à son anus brillant de salive. Je m’approche encore et place mon gland gonflé de plaisir au bord de son cul, je maintiens fermement ma queue et appuie lentement jusqu’à voir son trou s’agrandir, petit à petit. Jenny pousse de petits cris en saccades à mesure que mon pieu, inébranlable, avance dans son fondement ; une fois en elle, je me mets à la sodomiser, d’abord en douceur puis plus rapidement quand je la sens se détendre.

Je remplace ses mains par les miennes pour bien écarter ses fesses alors que les siennes vont de nouveau se crisper autour des draps déjà froissés. Les yeux fermés, elle savoure cette sodomie en poussant des couinements sonores à chaque fois que ma queue se retrouve bien profondément en elle, couinements qui se rapprochent et s’amplifient de plus en plus à mesure que j’accélère mes mouvements. J’ai les yeux calés sur son cul que j’écarte amplement de mes mains, mes doigts enfoncés et crispés sur la peau de ses fesses, je suis hypnotisé par ma bite ramonant son anus qui m’enserre délicieusement. Mon dard est de plus en plus dur, la veine se dessinant sur le dessus de celui-ci de plus en plus gonflée, je sens que je ne suis pas loin de craquer.

Je m’allonge de nouveau au-dessus d’elle pour m’approcher de son visage.

— Je vais jouir Jen’.

— Hmmmmm oh oui, vas-y, jouis en moi, vas-y ! me murmure-t-elle.

Cette permission me fait accélérer encore la cadence et amplifier les chocs que subit son cul, elle gémit plus fort, ma peau claque contre la sienne ; c’est moi qui finis par couvrir ses gémissements pourtant déjà élevés par un râle puissant alors que je m’immobilise au moment où je sens ma jouissance jaillir en elle. Je donne de petits coups brefs pour parfaire mon éjaculation, je suis à présent complètement étendu sur elle et je sens ma queue tressaillir alors qu’elle est toujours dans son cul.

Nous reprenons tous les deux notre respiration, mes lèvres naviguent sur elle en effleurant sa peau, de son cou à ses joues, jusqu’à ce qu’elle tourne légèrement le visage pour m’offrir sa bouche que je n’hésite pas une seule seconde à recouvrir de la mienne.

On s’embrasse tendrement de longues secondes sans bouger autre chose que nos lèvres.

— Désolé Flo mais tu pourrais te décaler s’il te plaît, tu commences à être lourd ; me dit-elle en paraissant un peu étouffée.

— Quoi ? Moi j’suis lourd ? Dis-je, faussement offusqué.

— Ouais, t’es lourd ! Insiste-t-elle.

Il est vrai qu’à partir du moment où j’ai joui, j’ai laissé reposer mon corps sur elle sans faire gaffe. Je me décale donc et une fois libérée, Jenny pousse un soupir de soulagement et se positionne sur le côté. Je viens me placer derrière elle, mon corps épousant le sien ; je l’enlace de mes bras et nos jambes font de même, mon sexe à présent ramolli est comprimé entre mon bas-ventre et ses fesses. Nous sommes tournés vers la baie vitrée et la magnifique vue qu’elle nous offre ; comme paysage au réveil, on a connu pire !

— J’espère que t’es pas fâchée que je t’ai réveillé ; lui dis-je.

— Ben en général, j’aime pas qu’on me réveille mais vu la manière dont tu t’y es pris, je me voyais mal te hurler dessus.

— Ça va alors.

Nous regardons en silence, pendant de longues secondes, la lumière matinale de Montréal.

— Alexa va pas mal le prendre qu’on soit parti sans rien dire ?

— Non, t’inquiète, elle a l’habitude, je faisais souvent ça quand on sortait à l’époque.

— Oui, c’est ce que j’ai cru comprendre.

— Je comptais l’appeler de toute manière, je m’excuserais à ce moment-là.

— Tu vas lui dire quoi ?

— Ben que je suis rentré à l’hôtel avec toi.

— C’est tout ?

— Oui, elle a pas besoin de détails, elle sait très bien qu’on est pas rentrés pour boire une tisane et faire dodo.

— D’accord.

— Tu préfères que je lui dise autre chose ?

— Non non, du tout, mais comme quand tu m’as présenté à elle, tu lui as juste dit qu’on bossait ensemble.

— Ben évidemment, j’allais pas lui dire « Alexa, je te présente Florian, il bosse avec moi et accessoirement, il me baise aussi de temps à autre ! ».

— Vu comme ça en effet.

— Ça, je lui ai dit après coup vu qu’elle est venue me demander d’elle-même si on couchait ensemble.

— Je suppose qu’elle s’en doutait, n’est-ce pas ?

— Oui. Elle te trouve à son goût d’ailleurs.

— Elle n’est pas mal non plus.

— C’est clair, elle est bien foutue, et encore plus avec les formes qu’elle a pris durant sa grossesse. Je pense que si elle n’avait pas été en couple, y a des chances qu’elle soit rentrée avec nous à l’hôtel.

— Elle est fidèle, c’est bien pour son mec mais dommage pour nous.

Jenny pousse un petit rire.

— Par contre, t’as pas été cool avec le jeune qui t’a collé hier soir.

— Pourquoi tu dis ça ?

— Ben il t’a dragué toute la soirée et t’es rentrée dans son jeu donc il devait se dire que c’était dans la poche. Au final, tu lui as mis un bon gros vent.

— T’aurais préféré que je reparte avec lui plutôt qu’avec toi ?

— J’ai pas dit ça Jenny, je dis juste que quand tu t’es levée et que t’es partie, il avait l’air bien déçu.

— Il est jeune, il s’en remettra.

— Et si c’est pas indiscret, tu lui as dit quoi à l’oreille avant de partir ?

— T’es bien curieux !

— Ça va, c’est pas un secret, si ?

— Non.

— Alors ?

— Je lui ai juste dit que ce soir, je ne rentrerais pas seule mais que ce ne serait pas avec lui.

— Dès le départ, t’avais aucune intention d’aller plus loin, pas vrai ?

— Aucune en effet.

— Pourquoi tu l’as laissé te draguer et espérer alors ?

— Hmmmm, je sais pas, je l’ai trouvé mignon dans sa manière de faire, et puis il était subtil aussi, ça change des mecs qui te demandent de les sucer dès la deuxième phrase d’approche.

— Subtil, subtil… Quand il t’a mis la main sur la cuisse et qu’il t’a embrassé dans le cou, niveau subtilité, on a déjà fait mieux !

— Il l’a fait au bon moment et puis il aurait pu me toucher les fesses, les seins ou bien vouloir me rouler une pelle direct aussi, mais non, donc je confirme qu’il a été subtil.

— Mouais, si tu le dis.

— Je rêve ou t’es jaloux ?

— Moi ? Pas du tout !

— Ouais ouais, c’est ça ! Vu la manière que tu avais de me regarder quand j’étais avec lui hier, permets-moi d’en douter !

— Allez va, c’est bon, je vais pas rentrer dans ce genre de débat parce que de toute manière, on sera pas d’accord.

— Ahahah ! Tu dis ça surtout parce que tu sais que j’ai raison !

— C’est ça patronne, vous avez raison.

Jenny se met à ricaner. En effet, elle a raison, mais j’ai pas des masses d’explications à lui donner pour appuyer mon propos donc c’est pour ça que j’ai préféré botter en touche plutôt que d’aggraver mon cas en me cherchant des excuses toutes plus bidons les unes que les autres !

— Bon, va peut-être falloir penser à se préparer hein, on doit libérer la chambre pour 10 heures grand max et il est presque moins le quart ; dis-je en regardant l’écran de mon téléphone.

— Pas envie de bouger ; dit Jenny en grognant.

— Va bien falloir pourtant.

— Porte-moi jusqu’à la douche s’il te plaît.

— Et puis quoi encore ! T’es pas handicapée que je sache donc lève ton cul et marche !

— Alleeeeeeez ! Je suis ta patronne après tout et tu dois faire ce que je dis !

— T’es peut-être ma patronne mais dans mon contrat, il n’est pas marqué que je dois être ton larbin.

— Il n’est pas marqué non plus que tu dois me baiser et pourtant, tu te gênes pas pour ça hein !

— Dans le fait de baiser, y a une notion de plaisir commune qu’il n’y a pas dans celui de te porter.

— Et la galanterie alors ?

— Appelle le gamin d’hier, il se fera un plaisir de te trimbaler où tu veux dans la chambre.

— Ouais ben je commence à regretter de pas être rentrée avec lui !

— C’est ça, allez !

Je m’écarte d’elle et je lui mets une claque sur la cuisse.

— Maiiiiiis, tu sais que je marque rapidement, arrête !

— Ouais, je sais, on va d’ailleurs faire un peu rougir ton p’tit cul blanc !

Je la bascule sur le ventre pour l’immobiliser fermement et commence à lui mettre une petite fessée. Elle se met à crier avant de commencer à se débattre pour se sortir de mon emprise et s’ensuit alors une sorte de combat rapprochée à base de coups d’oreillers, de petites pincettes, griffures et autres claques, le tout ponctué d’éclats de rire ; l’espace d’un moment, nous nous sommes comportés tous les deux comme des gamins !

Après ce petit intermède festif, nous sommes allés nous doucher chacun de notre côté ; non pas que nous soyons fâchés, loin de là, mais on a pas mal traîné au lit et nous avons fini par nous faire rappeler à l’ordre par une femme de ménage. Ce qui était plutôt marrant d’ailleurs vu que lorsqu’elle est entrée dans la chambre, nous étions à poils en train de se chamailler ! Bref, il a donc fallu qu’on se dépêche pour se préparer et ranger toutes nos affaires, et se dépêcher est une notion assez abstraite quand on est tous les deux dans la même douche !

Ces derniers moments passés tous les deux dans cette chambre d’hôtel résument parfaitement où en est ma relation avec Jenny : nous sommes des amants étant donné que nous couchons ensemble, nous sommes de vrais amis compte tenu du fait que l’on prend aussi du plaisir à avoir le genre de délire qu’on vient d’avoir, mais rien de plus.

Il manque un entre-deux, un lien entre l’amitié et le sexe, un lien qui a du mal à se faire malgré le fait que tous les ingrédients soient, à première vue, réunis.

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