Un dominant ayant pris contact avec le maître, celui-ci après discussion accepta de lui prêter la soumise. Il faut dire que ce dominant avait de très bonnes idées et semblait pouvoir corriger la soumise comme le maître le désirait.
Le dominant, que nous appellerons Monsieur, prit contact par SMS avec la soumise, celui-ci se montra tout de suite très sévère et directif. Il lui demanda comment elle aimait être prise, si elle aimait servir d’urinoir et qu’elles étaient les punitions qu’elle avait déjà reçues.
Il lui expliqua ensuite comment lui voyait leur rencontre, voulant abîmer les seins de la soumise, avec des pompes à tétons, des coups de bambous et en mettant les seins sur un lit de punaises.
La soumise après avoir répondu à Monsieur envoya une copie, de l’échange, à son maître. A chaque échange avec Monsieur, elle agira de la même façon.
Avant leur rencontre Monsieur exigea que la soumise exécute ses ordres, dorénavant il l’appellerait truie !! Elle devait mettre une culotte, la souiller en ne s’essuyant pas après avoir pissé, mettre un soutien-gorge le plus serré possible, et ce jusqu’à leur rencontre.
Le premier jour, il lui envoya un SMS.
[SMS]
<Quand tu iras pisser, tu te frotteras la chatte contre la poignée de la porte. Je veux que ta chatte pue la grosse truie !!
>Bien Monsieur
La soumise lorsqu’elle alla pisser, un peu honteuse, réalisa ce que lui avait demandé Monsieur, elle se mit sur la pointe des pieds et frotta sa chatte sur la poignée de la porte, cela la fit mouiller. De peur de se faire surprendre, elle cessa rapidement ce semblant de masturbation et nettoya la poignée avec du papier toilette.
Pendant sa pause repas une notification sur le téléphone portable de la soumise, la fit sursauter, c’était Monsieur.
[SMS]
<Ton soutien-gorge te serre ?
>Oui
<As-tu des trombones, gomme, stylo sous la main ?
>Trombone oui, stylo oui, gomme non
<Prends plusieurs trombones dans le bonnet du soutien-gorge, place-les de façon qu’ils génèrent une gêne voir une petite douleur. Tu les garderas jusqu’à ce soir. En fin de journée je veux voir les traces sur les seins. Donc applique-toi bien, pour que les trombones soient bien placés afin de meurtrir tes petites mamelles de grosse truie !! C’est compris grosse vache ?
>Oui Monsieur
La soumise fit ce que lui demandait Monsieur, son maître ayant exigé qu’elle obéisse en tout point aux ordres de Monsieur.
Elle chercha des trombones, les mit dans son soutien-gorge, elle fit en sorte de sentir une gêne dès le départ, ce qui selon elle lui ferait une douleur en fin de journée. Cette discussion et les ordres de Monsieur, l’avaient excitée, elle commençait déjà à mouiller, Monsieur devrait être content cela allait souiller d’autant plus sa culotte.
Le soir venu, Monsieur s’enquit des trombones, voulut savoir si cela avait fait mal à la soumise qui acquiesça.
[SMS]
<Tu aimes ça grosse truie
>Oui Monsieur
<Bien !!! Tu gardes ta culotte pour la nuit
>Bien Monsieur
<Tu es très obéissante, c’est bien. Mais cela ne va pas empêcher que tu vas prendre des raclées !!
>Oui Monsieur
<Comment cela se passe dans ton porte mamelles ?
>Monsieur puis-je retirer mon soutien-gorge ?
<Pourquoi ?
>Cela fait un peu mal et me gêne
<D’après toi, grosse truie, que vais-je répondre !!!
>De le garder ?
<Oui évidemment, tu le gardes !! Pour que tu comprennes que tu es une esclave !!
La soumise passa la nuit avec sa culotte et le soutien-gorge remplit de trombone. La nuit ne fut pas très sereine, les trombones la gênaient, puis dormir avec un soutien-gorge n’était pas dans ses habitudes. Une fois levée, elle fut soulagée de le retirer.
Une notification vint troubler son petit-déjeuner, Monsieur lui envoyait un nouveau message.
[SMS]
<Aujourd’hui, tu me demanderas l’autorisation pour aller pisser ou chier.
>Bien Monsieur. Mon maître rajoute que je devrai filmer ma merde à la sortie de mon trou.
>Puis-je aller pisser Monsieur
<Non pas pour l’instant. Tu iras pisser au même moment qu’une collègue. Je veux que tu l’entendes pisser. Je veux un compte rendu après.
La soumise attendit qu’une collègue aille pisser et la suivit. Elle n’aima pas du tout pisser en même temps que cette collègue, cela la dégoûta quelque peu.
[SMS]
<Monsieur, je suis allée pisser en même temps qu’une collègue, je n’ai vraiment pas aimé.
>Décris-moi cette truie
<Jeune, blonde, 1m70 environ, gros cul, gros seins, très gros jet pas très discret
>Bien. Tu essaies de pisser avec une autre collègue
<Oui Monsieur
La soumise reprit son travail, pensant relativement souvent à ce que lui demandait Monsieur, cela la faisait mouiller de penser à ce dominant inconnu qui lui donnait des ordres et la traitait de grosse truie. Aucune envie de pisser ne vint perturber son travail en cette fin de journée, elle eut peur de décevoir Monsieur et son Maître.
En rentrant chez elle, elle demanda l’autorisation à Monsieur de chier, il lui accorda ce droit. Elle prépara sa caméra, un pot dans sa douche, puis se filma poussant un gros colombin dans le pot. Une fois la vidéo faite elle l’envoya à son maître et à Monsieur.
Le maître en réponse à cette vidéo demanda à la soumise d’envoyer des encouragements à Monsieur pour que celui-ci la punisse de belle manière.
Elle envoya donc ce SMS à Monsieur
[SMS]
<Je veux que pendant votre visite mes seins, mon cul et ma chatte soient meurtris et bleus.
>Ca va être le cas, ton cul va être zébré avec boursouflures !!
Le lendemain pendant la journée, ne voulant pas décevoir Monsieur, la soumise alla pisser en même temps qu’une de cette jeune collègue. Elle fit son rapport à Monsieur.
[SMS]
<Monsieur, je suis allée pisser en même temps qu’une collègue, jeune, brune, petite, menue, petit cul, petits seins. J’ai dû tendre l’oreille pour l’entendre pisser, jet très discret. Cela m’a plus excité car je devais être plus attentive.
>Bien, je suis heureux que cela t’excite. Tu t’es touchée grosse truie ?
<Oui Monsieur
>Bien. Tes mamelles sont-elles en manque de coups ?
<Oui Monsieur.
>Regarde-les bien, la semaine prochaine, elles seront différentes.
Le reste de la semaine se passa sans autres ordres que de celui de souiller des culottes. Plus le jour de la rencontre avec Monsieur approchait, plus la soumise sentait l’adrénaline, la peur, monter, un nud au ventre commençait à la titiller, ainsi que de la mouille. Le jour de la rencontre, la soumise était plus traqueuse qu’à l’ordinaire, Monsieur la terrorisait quelque peu. Elle se prépara comme l’avait demandé son maître, nue et plug au cul. Dès son arrivée Monsieur pris les commandes, cela ne lui convenait pas de voir la soumise nue.
— Va mettre une culotte et un soutien-gorge, grosse truie. Vite !!
La soumise apeurée, pris plus de temps que nécessaire à mettre ses dessous, ce qui fît que redoubler la colère de Monsieur. Il la mit à quatre pattes sur le lit, lui baissa la culotte et lui asséna une fessée magistrale. Puis il entreprit de faire bleuir les seins de la soumise, il lui demanda de se mettre à genoux seins vers la caméra, pour que le maître profite bien de la vue. Et méthodiquement, lentement il administra les coups de badines sur les seins, il alternait de l’un à l’autre. La soumise voulut tenir le coup, elle résista le plus possible à la douleur mais non à l’excitation, elle sentit la cyprine mouiller sa vulve, plus les coups tombaient plus elle mouillait.
Le dominant se rendit compte de l’excitation de la soumise, il cessa les coups sur les seins, se chargeant de maltraiter son cul tout en godant fort, son vagin, profondément, la défonçant. La soumise n’y pouvant plus demanda :
— Maître, puis-je jouir ??
— Non ! Tu ne jouiras que lorsque, je te permettrai !!
La soumise essaya de ne pas jouir, le dominant sadique continuait à la goder cherchant lui à la faire jouir et il y parvint.
— Soumise, je t’avais dit de pas jouir. Pour cela je laisse Monsieur te punir comme il se doit !!
Monsieur fit mettre la soumise sur le dos, chatte vers la caméra, jambes écartées. Il demanda à la soumise de compter les coups qu’il allait lui asséner sur la chatte. 20 coups de cravache seraient la punition due à la jouissance.
La soumise décompta les coups 1, 2, 3………………10 les coups redoublèrent de violence la soumise résistant aux coups. 11, 12, 13,14……………………18, 19, 20. Des larmes coulèrent sur le visage de la soumise, un sourire sadique apparu sur le visage de la soumise.
Monsieur entraîna ensuite la soumise dans la salle de bain fît maître la soumise à genoux, il lui pissa sur les traces de coups ainsi que dans la bouche. La soumise avala avec délectation ce nectar doré.
De retour dans la chambre, Monsieur entrepris de « massacrer » la chatte de la soumise. Face caméra pour que le Maître ne puisse pas en manquer une goutte.
Le fouet dans ses mains est vraiment inquiétant. Le premier coup siffle. La vulve est zébrée d’une ligne rouge. La soumise se sent coupée en deux. Ça fait très mal. Les coups pleuvent, de plus en plus fort d’autant que la soumise referme ses cuisses ce qui accentue la colère de Monsieur et par conséquent la violence des coups. Il a recommencé, la soumise ne savait pas combien de fois, elle n’était plus là pour le sentir. Elle a émergé du brouillard. Tout son corps brûlait.
Monsieur fait mettre la soumise à quatre pattes cul toujours tourné vers le maître. Monsieur voit la vulve turgescente trembler. Il prend sa badine et pose le bout sur la rondelle offerte de la soumise. Elle fait un mouvement en avant pour se dégager, surprise par l’initiative offensante de Monsieur. En un instant elle comprend où il veut en venir. Suit alors un léger mouvement en arrière, imperceptible. La badine ne bouge pas, maintenue fermement par Monsieur. Au fur et à mesure qu’elle appuie plus fortement elle relâche sa respiration. Le bout de la baguette s’enfonce lentement dans la rondelle de la soumise. Celle-ci commence à avaler la partie en cuir. Monsieur qui n’a pas encore bougé, enfonce d’un coup franc et long, 20 centimètres de l’engin dans le fondement de la pauvre soumise. Elle ressent comme un déchirement en elle. Elle est empalée sur l’objet de la punition. S’ensuit un mouvement de plus en plus rapide, d’avant en arrière. Elle pousse de petits cris, partagée entre souffrance et plaisir.
Quand le comte s’aperçoit qu’elle commence à apprécier la punition qu’il est droit de lui infliger, il retire d’un coup sec la badine de son cul. Elle pousse un cri.
Oh non, Monsieur, je vous en supplie j’ai encore envie.
Non, salope.
La tige souple fend l’air dans un long sifflement. Une marque rouge apparaît rapidement sur la peau de la soumise. En quatre ou cinq gestes, des zébrures se dessinent. Sous chaque coup, la soumise gémit entre ses dents, cela dur depuis un moment déjà. Elle ne sait pas de quoi, de la sodomie ou de la flagellation, elle retire le plus de plaisir. Elle ne peut s’empêcher de placer sa main sur sa vulve et de commencer à la caresser. Un doigt finit par s’égarer entre les lèvres, puis il remonte sur son clitoris. Elle l’appuie et le fait tourner de plus en plus vite autour du bouton. Une décharge électrique lui parcourt le corps.
Monsieur, à la vue de ce corps, de ce cul offert voit son sexe gonfler, prêt à saillir cette chienne. Il amène la tête, de la soumise sur son sexe qu’il enfourne dans sa bouche. La soumise l’avale goulûment, prenant soin de bien écarter ses mâchoires afin de ne pas blesser le membre avec ses dents. Elle a la pratique suffisamment exercée pour ne pas tomber dans de telles erreurs. Elle passe sa langue sur le gland de Monsieur allégrement comme si elle suçait un cornet de glace. Sa tête va-et-vient. Elle y met toute la bonne volonté qu’elle a pour ce genre de service pour lequel elle a été dressée. Monsieur ne peut s’empêcher de regarder son cul. Le plaisir lui montant petit à petit, son corps commence à se contracter. Il se congestionne. Sa respiration se fait de plus en plus haletante. Les seins de la soumise frottent contre ses cuisses. Elle est arc-boutée sur son membre. Elle aspire le liquide séminal qui prélude à l’éjaculation, qui elle tarde à venir. Elle en a les mâchoires crispées, une crampe irradie sa douleur dans son visage. Elle ne lâchera pas le morceau tant qu’il ne sera pas arrivé au terme de son orgasme.
Monsieur la repousse vivement et gicle en trois salves sur son visage enjoué. La soumise se retourne vers son maître et s’aperçoit que celui-ci a également pris son plaisir.
Très satisfait de cette prestation le maître exprime sa satisfaction :
— Très bien soumise, je suis fier de toi. Merci Monsieur pour ce bon moment, tu reviens quand tu veux.
Effectivement Monsieur va revenir mais ceci est une autre histoire