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Cousine perverse – Chapitre 1




Je mappelle Christian en en ce début dété 76 je venais juste davoir 16 ans. Lannée scolaire qui venait de se terminée avait été assez chaotique et marquée par de nombreuses punitions et tours de colles. Mon père travaillant à létranger et ne revenant quépisodiquement à la maison, cest ma mère qui soccupait de notre éducation à moi et à ma sur Clarisse qui avait 17 ans.

Ma maman était très investie dans la vie religieuse de la paroisse et jamais il navait été question pour nous dentendre parler de sexe. Ma mère men avait juste fait une allusion en me disant que cétait sale et que seul le moment de faire des enfants dans un couple pouvait déroger à cela. Ormis ma grande sur je navais jamais vu de fille nue. Une seule fois un camarade avait amené à lécole une revue sur laquelle on voyait des femmes nues. Javais été troublé de voir ces femmes à la poitrine opulentes et avec pour certaines un sexe recouvert de nombreux poils. Je me souviens davoir senti mon sexe durcir dans mon slip et je ne mexpliquais pas pourquoi. Je ne métais jamais masturbé et jignorais tout de ces choses. Etant dans une école catholique ces sujets étaient tabous et mes camarades étaient aussi peu évolués que moi.

De retour à la maison je pensais à ces photos et encore une fois je sentis mon sexe durcir et une sensation bizarre me traversait le ventre. Jenlevais mon short et mon slip et je me regardais dans la glace qui se trouvait sur la porte de mon armoire. Mon sexe devait mesurer environ 11 cm et quelques petits poils bruns se trouvaient sur mon pubis. Mes testicules étaient bien descendus car on me lavait dit lors dune visite médicale scolaire. Pour moi ces organes navaient quune fonction cétait de faire pipi. Pourtant jétais vraiment dans un état bizarre et plus je touchais mon sexe plus javais limpression quil durcissait. Cest alors que ma mère que je navais pas entendu arriver surgit dans ma chambre. Je me retournais et me retrouvais face à elle avec le zizi en érection. Ma maman entra alors dans une colère terrible :

— petit dégoutant, sale garçon, quest ce que tu es en train de faire ?

— Mais maman je ne sais pas pourquoi mon zizi est tout dur.

— Est-ce que tu as fait sortir un liquide en te caressant ?

— Non maman je nai rien fait de cela.

— écoute Christian je tai déjà expliqué que ton zizi servira le jour ou tu seras marié. En attendant je vais te punir pour te faire passer cette sale manie. Mets toi entièrement nu je reviens de suite.

Connaissant la sévérité de ma mère je mexécutais sans tarder. Lorsquelle revint dans la chambre elle avait à sa main le martinet qui servait à nous remettre dans le droit chemin. Les lanières étaient en cuir et leurs morsures terribles.

— Penche-toi en avant sur ton lit et écarte les jambes au maximum. Tu sais très bien que si tu as le malheur de bouger, je doublerai la punition.

Je me mis donc en position. Mon armoire se trouvant en face je me voyais avec ma mère derrière moi prête à mappliquer une punition dont je navais pas compris tous le sens.

— Ecarte tes jambes mieux que ça je veux voir ton anus.

— Je rectifiais la position. Mon sexe maintenant pendait. Et soudain je senti la morsure des lanières sur mes fesses. Je poussais un cri. Jévitais de bouger car je savais ce qui mattendait dans ce cas. Certains coups passaient entre mes cuisses et les lanières venaient frapper mes testicules et ma verge. Je criais, pleurais mais rien à y faire les coups continuaient à sabattre. A bout dune trentaine ma mère mis fin au supplice. Je repliais les bras et mallongeait sur le lit. Comme à chaque fois après ces séances ma mère nous prenait notre température pour voir si nous avions supporté la punition. Je sentis donc sa main écarter mes deux fesses douloureuses.

— Christian ! en plus tu nes pas propre tons anus est graissé par du caca. Tant mieux pas besoin de vaseline.

Avant de prendre ma température ma mère mintroduisit assez profondément un doigt dans lanus pour voir si je nétais pas constipé. Son doigt tournait dans tous les sens Cest alors que mon zizi qui frottait contre le lit se remis à durcir. Je sentis alors le thermomètre pénétrer mon fondement. Jétais pris de panique et je narrivais pas à me maitriser. Au bout de deux minutes ma mère retira le thermomètre souillé.

— 37°, cest bon, je vais toutefois te mettre un suppositoire laxatif car tes selles me semblent dures. Maintenant lève toi et rhabille toi.

Jétais figé. Mon sexe ne ramollissait pas. Ma mère mattrapa par un bras et me remis debout.

— Mais cest impossible, ton sexe est encore dur. Cette fessée na pas suffit. Je suis certaine que vu ton âge tu commence à avoir de mauvaises pensées. Je vais te faire passer tout cela. Ne bouge pas je reviens.

Quelques minutes plus tard, ma mère réapparue. Elle tenait une corde et une culotte en caoutchouc. Elle avait également un sac plastique. Viens ici je vais te mettre cette culotte comme un bébé et tu seras attaché pour la nuit.

-Mais maman jai 16 ans. Je te jure je ne ferai plus durcir mon zizi. Je ne le voulais pas cest venu tour seul.

— Tais-toi. Tu nes quun petit pervers. Allez enfile cette culotte.

Je me retrouvais donc avec cette culotte comme un bébé.

— Allonge-toi sur le dos dans ton lit.

Je mexécutais en pleurs et totalement humilié. Mon lit disposant de montants je me retrouvait attaché par les mains et les pieds.

— Maman sil te plait je ne ferais plus durcir mon zizi. Cest parce que javais vu un livre avec des dames nues. Pardon maman.

— Je savais que tu avais fait quelque chose de mal.

Cest alors que je vis ma mère enfiler des gants pour faire la cuisine et sortir du sac un énorme bouquet dorties. Elle écarta prestement ma culotte en caoutchouc et glissa les orties à lintérieur. Immédiatement je sentis des milliers de piqures et je me mis à hurler. Ma mère se saisit de mon slip qui trainait au sol. Le fond de celui-ci était orné de taches brunes. Comme je ne changeais pas de slip chaque jour celui-ci avait été porté plusieurs fois et taché par des passages successifs aux toilettes avec un anus parfois mal essuyé. Elle me le mit dans la bouche et avec un morceau de scotch elle minterdit tout rejet.

Elle redescendit sa main gantée dans la culotte en caoutchouc et répartit les orties jusquentre mes fesses. Tout mon bas ventre était en feu. Javais limpression que mon anus ma verge et mes testicules étaient percés par des milliers daiguilles. Ma mère quitta la chambre en me disant quelle espérait que ce traitement me ferait oublier mes pensées « malsaines ».

Je me retrouvais seul dans le noir. Je ne comprenais toujours pas pourquoi il était interdit de regarder des femmes nues dans un livre et pourquoi il était pêché de se toucher le zizi quand il durcissait. Je ne sentais plus les piqures des orties. Soudain une autre douleur aux intestins se fit sentir et je pensais au suppositoire que ma mère mavais mit. Je fus pris de panique en pensant aux conséquences fatales qui allaient se produire. M es intestins gargouillaient de plus en plus et je sentais une envie de faire caca se profiler. Il était impossible pour moi quà 16 ans on puisse faire dans sa culotte. Cela faisait deux jours que je navais pas été aux toilettes. Je serrais les fesses comme je pouvais et cela réveillait les piqures dorties. Javais tout fait pour me retenir mais à un moment je sentis mon anus se relâcher et un flot de caca se répandre dans ma culotte en caoutchouc et se frayer un passage jusquà mes testicules et mon sexe. Javais limpression que cela ne sarrêterai jamais. La culotte gonflait et tout mon bas ventre était souillé. Je finis par mendormir.

Cest maman qui me réveilla en rentrant dans ma chambre le matin. Elle sétait calmée.

— Cest pour ton bien que jai fait cela. Lorsque tu seras marié il sera assez tôt pour toi de découvrir certaines choses. Ma mère me détacha et me dit daller à la salle de bain me laver.

Je me dirigeai honteux vers la douche. Jenlevai ma culotte en caoutchouc. Javais plein de caca mélangé avec les orties collé sur les fesses et sur les parties. Je pris ma douche et je nosai presque plus toucher mon zizi.

En sortant dans le couloir jentendais ma mère au téléphone. Le haut parleur était mis et je pouvais suivre la conversation. Elle téléphonait à sa sur Eliane. Cette dernière était aussi très puritaine et avait 2 filles jumelles, Christine et Virginie qui allait sur leurs 17 ans.

La conversation dévia sur moi.

— Tu sais Eliane jai des problèmes avec Christian il a reconnu avoir regardé des revues cochonnes avec ses copains. Je lai surpris en érection en train de tripoter son sexe. Je lai puni au martinet et alors que je voulais voir sil nétait pas constipé il a eu une deuxième érection. Il a donc passé la nuit attaché avec une culotte en caoutchouc remplie dorties. Je sais que tu es comme moi et que notre éducation ne tolère pas de déviance hors mariage.

— Ne men parle pas. Moi aussi jai des problèmes de ce genre avec Virginie. Je lai surprise nue dans son lit en train de se caresser le sexe. Je pense être intervenue à temps avant quelle nait eu un orgasme. Son vagin était trempé. Pour la punir après lui avoir attaché les mains je lui ai mis une couche avec de la moutarde à lintérieur. Elle a hurlé mais je nai pas cédé. Je suis comme toi et je ne veux pas quelle découvre la sexualité avant le mariage.

— Tu te souviens que notre sur qui habite Versailles nous avait proposé de les prendre en vacances. Henriette est encore plus sévère que nous et je pense quun séjour chez elle leur fera le plus grand bien. Si tu es daccord je lappelle et dans ce cas ils prendront le train ensemble pour allez chez elle.

— Pas de problème je te laisse gérer. Je pense que ce séjour leur fera le plus grand bien.

Quelques jours plus tard je me retrouve avec ma cousine Virginie,qui avait mon age,dans le train en direction de Versailles. Ma cousine était une jolie blonde qui commençait à avoir des formes de femmes. Sa robe dété laissait deviner des seins qui commençaient à prendre du volume. A lépoque il y avait toujours des trains à compartiments et nous nous retrouvâmes seuls dans le notre. Notre conversation porta sur beaucoup de sujets sans importance. A un moment Virginie me déclara

— Je crois que si nous allons chez tante Henriette cest à cause de notre comportement.

— Je répondis par laffirmative en lui disant que javais surpris une discussion téléphonique sur nous deux.

Virginie devint alors toute rouge.

— Tu sais donc ce que jai fait.

— Plus ou moins. Jai entendu parler de caresses, dorgasmes (ni ma cousine ni moi ne savions à quoi correspondait ce mot) et de sexe trempé. Je sais aussi que tu as du porter une couche avec de la moutarde sur ta fente. Si cela peut te consoler jai été attaché avec une culotte en caoutchouc remplie dorties. Maman mavait auparavant mis un laxatif et jai été obligé de faire caca dans ma couche pendant la nuit.

— Quest ce que tu avais fait toi ?

— Javais regardé un livre avec des femmes nues. En rentrant à la maison jy ai repensé et mon zizi est devenu tout dur. Cest alors que maman ma surpris. Après la fessée elle ma mis un doigt dans lanus pour voir si jétais constipé et mon sexe à encore durcit.

— Moi jai voulu faire ce quune copine mavait dis à lécole. Il parait que lorsque lon se frotte la fente avec les doigts à un moment ça devient bizarre et quon frissonne de partout. Je ne lai pas su car maman ma arrêter avant.

Avec du recul je maperçois maintenant que ma cousine et moi étions totalement ignorant de toutes les choses qui se rapportaient au sexe. Et si on avait pu imaginer le reste de nos vacances

A notre arrivée à la gare de Lyon ce nest pas tante Henriette qui était là mais notre cousine Isabelle. Nous ne lavions pas vu depuis ses 17 ans. Elle en avait aujourdhui 23. Elle était grande, fine et élancée. Ses magnifiques cheveux roux encadraient un visage sur lequel ressortaient des taches de rousseurs.

— Bonjour les enfants ! Je vois que vous mavez reconnu. Votre tante Henriette sera absente pendant votre séjour. Des obligations professionnelles lobligent à rester à létranger. Elle ma donné carte blanche pour moccuper de vous.

— « Carte blanche ? » je regardais ma cousine Virginie et maperçu que son regard était aussi interrogatif que le mien.

Après ¾ dheure nous arrivons devant un immense portail que notre cousine ouvrit à laide dune télécommande. Une longue allée nous mena jusquà une magnifique demeure entourée par des murs de plus de 3 mètres de haut. Nous étions à lété 76 et la chaleur était étouffante. Après larrêt de la voiture, nous sortîmes nos valises. Isabelle nous dit de partir à la découverte du parc et de revenir impérativement à la maison pour 15 heures. Nous nous sentions libre mais une étrange impression semparait de nous.

Ne voulant pas dhistoires, à 15 heures pile nous faisions retour dans la maison.

— Cest bien nous déclara Isabelle. Vous êtes ponctuel. Sachez que vos mères respectives mont mises au courant de vos petites déviances. Mais contrairement à ce quelles pensent les principes religieux nont pas le droit de citer ici. Je vais donc vous mettre tout de suite dans le bain.

Pour commencer je ne suis pas une bonniche et je ne laverai pas vos affaires. Dailleurs vu les températures exceptionnelles vous serez nus en permanence.

— Mais ! Isabelle on na pas le droit de faire ça.

— Ici jai tous les droits. Allez à poil et en vitesse.

Virginie et moi étions tétanisés. Un martinet sorti de je ne sais où nous cingla les cuisses. Je navais jamais été nu devant une fille et encore moins ma cousine. Il en était de même pour elle.

— Cela sera ainsi pendant votre séjour et moi-même je serais souvent nue. Je ne répéterais pas deux fois.

Voyant quaucune autre issue ne soffrait à nous je commençais à me dévêtir. Virginie en faisait de même. Elle ôta sa robe dété. Bien que ses seins sétaient développés elle ne portait pas de soutient gorge. Moi-même jôtais mon tee shirt. Elle portait une culotte petit bateau.

— Plus vite. Les slips maintenant.

Isabelle ne plaisantait pas. Nous quittâmes donc se dernier rempart protecteur. Je découvrais pour la première fois une adolescente nue. Ma cousine avec quelques poils blonds autour de sa fente et une paire de fesses magnifiques. Quand à moi je me retrouvais devant ces deux filles totalement nu avec mon sexe pendant sur deux testicules.

— Bien ! Je vais maintenant vous poser quelques questions pour jauger votre sexualité et ensuite je vous ferai subir un examen plus approfondi. Lun et lautre répondez moi : est ce que vous connaissez la signification du mot orgasme ? Clitoris ? Vagin ? Sperme ? Cyprine ? Sodomie ?

Je regardais Virginie qui tout comme moi ne connaissais rien de tout ce vocabulaire.

— Cest catastrophique déclara Isabelle. Il va falloir remédier à tout cela. Vous arrivez à un âge et contrairement à ce que pensent vos mamans ou vous devez découvrir le plaisir charnel. Je vous préviens toutefois que chaque désobéissance donnera lieu à une punition. Nous allons descendre au sous sol pour un examen corporel. Je vous remets aussi ces deux livres vous y découvrirez des photos et tous les mots correspondants aux actes présenté. Vous devrez les employer durant nos petits « divertissements ».

Arrivé au sous sol Isabelle se saisit dune clef quelle portait autour du cou. Elle ouvrit une porte qui donnait dans une vaste pièce en grande partie carrelée. Il y avait la une grande douche et toute sorte de mobilier. Une table avec des étriers, des chevalets recouverts de cuir. Plein dustensiles médicaux : seringues ; brocs ; canules. Une multitude de crochets étaient fixés au sol et au plafond. Dans une partie de la pièce se trouvait une cellule grillagée séparée en deux parties. Chaque cellule était équipée dun lit et dun WC. Ce nest que bien plus tard que je compris que ma tante avait des murs particulières et que sa fille y participait activement.

— Vous dormirez ici nous déclara Isabelle. La journée sera partagée entre sortie dans le parc et initiation sexuelle. Tout au long de votre séjour je ferai de nombreuses photos. Si vous révélez quoi que ce soit à vos parents ces photos arriveront dans vos écoles respectives.

— Virginie tu seras la première examinée. Grimpe sur cette table. Place tes pieds dans les étriers et tes jambes dans les gouttières. Christian je vais te placer des bracelets aux poignets et tu seras attaché au plafond pendant lexamen de ta cousine. Je placerai une barre décartement entre tes pieds.

Tout dun coup un violent coup de martinet cingla les fesses de ma cousine qui ne grimpait pas assez rapidement sur la table dexamen. Une fois sur la table je vis Isabelle lui passer des sangles en cuir autour des jambes et de la taille. Ses mains furent attachées au dessus de sa tête. La table possédant une partie arrondie à sa base les fesses de ma cousine ressortait dans toute leur splendeur. Virginie sanglotait. Il était évident que cétait la première fois quelle subissait un examen gynécologique.

Isabelle manuvra un dispositif qui écarta les étriers. Je contemplais ma cousine totalement ouvert à ma vue. Soudain je sentis une chaleur menvahir le bas ventre et le phénomène que ma mère réprimait se produit à nouveau. Mon sexe se mit à durcir et se dresser.

— Mais il bande ce petit cochon déclara Isabelle. Cest du propre, si ta mère te voyait.

A ces mots je revis ma nuit de punition et une peur sempara de moi. Sans que je puisse me retenir je me mis à faire pipi. Mon sexe étant dressé le jet montait avant de retomber sur le carrelage. Virginie me regardait et elle aussi fus prise de peur car elle savait très bien que ce qui ce passait en ce lieu nétait pas bien. Elle ne pu non plus se retenir. Un flot durine coulait entre ses jambes. Isabelle tira rapidement une cuvette qui se trouvait sous la table.

— Petite sale tu aurais pu te retenir. Nous règlerons cela par la suite.

Isabelle enfila un gant en latex quelle enduit de vaseline. Elle commença alors une inspection détaillée du sexe de ma cousine.

— Effectivement dit elle tu es vierge. Ton hymen est quasiment fermé. Tu ne mettais pas de tampon ?

— Non maman ne voulais pas. Je ne portais que des serviettes.

Elle dirigea ses doigts de façon à dégager le clitoris. Je voyais ce petit bouton qui semblait se gonfler. Isabelle pratiqua des petits mouvements circulaires et je vis le corps de ma cousine se raidir. Elle essayait de soulever son bassin mais les sangles de cuirs la retenaient à la table. Virginie venait de fermer les yeux et commençait à haleter. Isabelle continuait son mouvement avec le pouce et venait dintroduire son index dans lanus de ma cousine. Son corps semblait pris de spasmes.

— Non dit elle je nai pas le droit de faire ça. Maman ne veut pas.

De sa main restée libre je voyais Isabelle se caresser sous sa petite jupe. Elle navait pas de culotte. Elle fermait les yeux et soupirait. Virginie se débattait tant que les sangles lui permettaient. Ses jambes se raidissaient dans les étriers. Au bout dun moment elle commença à frémir.

— Oh oui Isabelle comme ça cest bon. Je ne sais pas ce qui se passe mais cest formidable. Continue narrête pas. Soudain un cri sortit de sa bouche. Ah !!!! je jouis. Sa tête se soulevait et je crus deviner ses yeux qui roulaient dans leurs orbites. Isabelle qui était experte avait réussi à coordonner son orgasme avec celui de Virginie. Elle aussi se mit à crier et au même moment un jet durine jaillit entre ses jambes.

Puis ce fut le silence. Jétais toujours attaché avec mon sexe en érection. Après quelques instants Isabelle détacha Virginie. Elle descendit toute tremblante de la table et son regard croisant le mien elle me dit :

— Christian jai honte mais je nai jamais connu un tel moment.

— La voix dIsabelle coupa court. A nous deux jeune homme. Je vais te détacher et tu viendras à la place de ta cousine. Si ta maman te voyait en érection tu serais puni. Allez en place.

Je me retrouvais également sanglé sur la table.

— Voyons voir ce sexe. Nous allons le mesurer. 11,5 cm. Comme tu nas pas fini ta croissance cela me parait normal. Ton prépuce na pas lair de vouloir se dégager entièrement. Nous allons remédier à cela mais comme ça risque dêtre un peu douloureux je vais te faire une petite piqure anesthésiante dans la verge. Il est incroyable quun garçon de ton âge ne soit pas décalotté. Une glace placée au plafond me permettait de suivre ce que faisait Isabelle. Elle se saisit dune seringue toute prête et après mavoir nettoyé la verge avec un désinfectant elle me piqua. Je sentais le produit se répandre dans mon sexe. Après un petit moment je vis la main dIsabelle se positionner autour de mon gland. Je ne sentais rien. Et soudain dun coup sec elle tira mon prépuce en arrière. Ca y est jétais décalotté. Elle nettoya ensuite la matière blanche qui se trouvait à la base de mon gland. Mes sensations revinrent très vite et je regardais maintenant dans le miroir ce sexe dressé et décalotté. Isabelle avait maintenant passée sa main autour de ma verge et faisait de délicat mouvement de va et vient. Virginie qui se trouvait attachée à ma place regardait avidement ce qui se passait. Le premier orgasme de sa vie semblait lavoir transformée.

Tout comme pour Virginie, Isabelle mintroduit un doigt dans lanus. Elle appuyait par lintérieur de mon rectum à un endroit qui me procurait des sensations. Elle continuait en même temps ses mouvements sur mon sexe. Je ressentis alors des frissons bizarres me prendre le bas du corps et se répandre partout. Je fermais les yeux et commençais à haleter. Mon corps se raidissait et les sangles qui me retenaient me procuraient des sensations bizarres. Tout à coup je sentis quelque chose arriver dans ma verge. Je me mis à crier alors que des jets puissants et blanchâtres sortaient de mon sexe par saccades. Je pensais avoir eu au moins huit expulsions de ce liquide qui était en fait mon sperme. Cétait le premier orgasme de ma vie. Mon corps se détendit. Je navais jamais rien connu de pareil. Isabelle me détacha et libéra également Virginie.

— Bien dit elle. Cela suffira pour une première fois. Vous allez maintenant regagner chacun vos cellules pour la nuit. Virginie vient ici tu vas prendre un petit médicament.

Je vie ma cousine retirer un cachet dune plaquette qui en comptait 28 et le donna à Virginie en lui disant quil fallait en prendre un par jour pour éviter de se retrouver avec un bébé dans le ventre. Nous regagnâmes nos cellules ou un repas était à notre disposition. Isabelle après nous avoir enfermés quitta la pièce en nous disant à demain. Mon sexe pendait au dessus de mes testicules.

— Tu crois quon a fait quelque chose de mal me demanda Virginie.

— Si nos mères le savaient nous serions punis mais cétait tellement bon.

Après une bonne nuit de repos nous nous réveillâmes en même temps. Nous ne savions pas de quoi la journée serait faite. Au bout dun certain temps je fus pris dune envie de faire caca. La cellule était séparée par une double rangée de grille évitant tout contact mais les deux WC se trouvaient de chaque bord en vis-à-vis. Je ne mimaginais pas en train de me soulager en face de ma cousine. Je remarquais que Virginie se tenait le ventre et commençait aussi à se tortiller.

— Ca ne vas pas lui demandais je ?

— Jai envie de faire caca me répondit elle et je nai jamais fait ça devant quelquun.

— Moi non plus répondis je.

— Comment allons-nous faire ?

— Tu sais Virginie maintenant que lon sest vu nu on pourrait essayer de le faire en même temps cela sera peut être moins gênant.

Daccord. De toute façon on ne pourra pas se retenir éternellement.

Nous voilà donc assis chacun face à face sur les toilettes. Je mis ma main sur mon sexe pour le diriger vers lintérieur de la cuvette et je commençais à faire pipi. Le bruit du jet déclencha aussitôt la même chose chez ma cousine. Puis simultanément nous nous mîmes à pousser. Nous nous regardions et cette situation me troubla quelque peut et je sentis mon sexe durcir un peu. Virginie poussait maintenant très fort et quelques pets sortirent la faisant devenir toute rouge de honte.

— Rassure toi lui dis je cest normal. Je laissais moi aussi échapper quelques gaz. Un fou rire nous pris. Et cest en même temps que nos intestins se vidèrent dans la cuvette en faisant du bruit en touchant leau. Nous navions pas de papier toilette et lun et lautre nous sommes retrouvés avec une tache brunâtre entre les fesses. Cest à ce moment quIsabelle pénétra dans la pièce.

— Mais ça sent mauvais ici. En plus vous vous êtes salis. Il fallait bien écarter vos fesses. Vous allez prendre une douche mais avant pour vous apprendre à être propre je vais vous punir.

— Virginie mets toi à quatre pattes et toi Christian lèche lui lanus pour le nettoyer. Puis vous ferez linverse.

Nous étions sidérés. Un fouet siffla et nous zébra chacun les fesses à trois reprises. Virginie se mit promptement à quatre pattes et je vins me placer derrière elle. Je lui écartais les fesses. Je sentais cette odeur de caca et de transpiration et je me résignais à lui lécher lanus. Alors que le bout de ma langue la pénétrait légèrement je sentis ma cousine frémir et pousser un petit gémissement. Alors que je mappliquais je vis sa main se diriger vers son sexe et commencer à le caresser. Elle commença à trembler mais un coup de fouet la ramena à la réalité.

— Petits sales on ne jouit pas sans mon autorisation.

Après ce nettoyage je me mis moi aussi en position. Alors que ma cousine me léchait entre les fesses je sentis mon sexe durcir mais je nosais pas le toucher pour ne pas subir de représailles de la part dIsabelle. Nous primes ensuite une douche ensemble et Isabelle nous annonça que le moment était venu de perdre notre virginité. Un refus commun nous attira chacun une dizaine de coup de fouet.

Isabelle nous fit rentrer dans ma cellule. Elle me demanda de mallonger sur mon lit. Elle sortit alors un tube de vaseline et men enduit la verge qui se dressait tel un cierge. Elle badigeonna ensuite le sexe de ma cousine et lui demanda de venir se positionner à cheval sur moi. Ma cousine se positionna donc à califourchon. Elle était magnifique avec ses seins dressés. Je lui dis de ne pas avoir peur et que cétait bien que cela nous arrive ensemble.

Isabelle sempara de mon sexe et après lavoir dirigé vers lentrée de celui de Virginie elle commença à lui appuyer sur les épaules. Je sentais ma verge pénétrer ma cousine. Cétait délicieux. Un liquide chaud coulait le long de mon sexe. Ma cousine était trempée.

— Allez vas y doucement dit elle à Virginie.

Je sentais son corps descendre et mon sexe entrer en elle. Soudain je sentis une résistance. Arrête me dis Isabelle tu arrives sur son hymen. Cest la peau qui barre laccès du vagin chez une fille vierge. Javais pris Virginie par la taille et son regard croisait le mien.

— Vas y me dit elle, je suis prêtre à te recevoir.

Toujours sous le contrôle dIsabelle je soulevais mes fesses et donnais un léger coup de rein. Un petit cri de Virginie et je sens mon sexe glisser dans ce fourreau. Cest délicieux et incroyable. Ma cousine commence immédiatement à bouger. Jai limpression quelle a déjà oubliée sa douleur. Une de ses mains descend vers son sexe et se met à caresser son petit bouton. Elle commence à gémir. Pendant ce temps Isabelle sest mise nue et nous regarde en se caressant.

Virginie se lâche complètement : vas y prend moi fort fais moi jouir, je vais venir. Elle avait bien appris les termes des revues quIsabelle nous avait remis. Mes sensations sont décuplées. Viens maintenant tout de suite !!!! Et la je me lâche. Mon inexpérience naurait pas pu me faire tenir plus longtemps. Virginie hurle au moment ou ma semence se répand en elle. Je crie également et nous sommes rejoints par Isabelle qui fait de même.

Après plusieurs minutes passées à récupérer, ma cousine se soulève. Mon sexe commence à se ramollir et je constate quun mélange de sperme et de sang coule jusquà mes testicules. Nous retrouvons rapidement nos esprits et Isabelle nous quitte après nous avoir fait regagner nos cellules respectives. Après son départ nous nous contemplons nus à travers nos barreaux.

— Cétait magnifique Virginie quand je pense que nos mamans ne voulaient pas que lon connaisse cela.

— Cest inouïe. Et si on le refaisait maintenant en nous regardant car on ne peut pas faire autrement.

Et nous sommes repartis dans plusieurs orgasmes successifs en nous masturbant jusqu’à nous endormir épuisés. Il est vrai que si le manque dexpérience amène rapidement à lorgasme, lavantage de la jeunesse cest de pouvoir le faire plusieurs fois dans la journée.

Le lendemain nous entendons la porte souvrir et nous voyons Isabelle apparaitre. Elle est nue.

— Bonjour, vous avez bien dormi je pense. Est-ce que vous avez été aux toilettes ?

— Nous répondons que non.

— Bon nous allons voir tout cela car aujourdhui vous allez découvrir la sodomie.

Une fois sortie de nos cellules Isabelle nous installe lun et lautre sur un chevalet garni de cuir. Nos pieds et mains sont alors attachés à ce chevalet.

— Vous allez avoir un lavement commun.

Isabelle installe alors un bock de 4 litres duquel part un tuyau double avec une canule à chaque extrémité. Nos anus sont légèrement lubrifiés et les canules introduites. Le débit est ensuite réglé et nous sentons leau se répandre dans nos intestins. Au bout dune vingtaine de minutes le supplice arrête et Isabelle nous détache et nous fait accroupir dans la douche pour nous vider. Malgré une certaine honte nous laissons nos intestins se vider lun devant lautre et sous le regard dIsabelle qui se masturbe. Elle demande ensuite à Virginie de venir se mettre sur la table gynécologique. Celle-ci obéit sans sourciller attirée maintenant par une nouvelle pratique quelle va découvrir. Elle se retrouve de nouveau sanglée avec les jambes écartées au maximum et les fesses ressortant bien du bord de la table. Elle lui introduit alors un uf en plastique relié par un fil à une télécommande. Virginie soupire longuement en sentant cet objet prendre place dans son vagin maintenant débarrassé de son hymen. Isabelle me demande ensuite de prendre place sur une marche qui se trouve au pied de la table. Mon sexe est à nouveau tout dur. Isabelle appuie sur un bouton et je sens cette marche qui monte. Mon sexe se trouve maintenant au niveau des organes génitaux de ma cousine. Ses jambes sont tellement écartées que sa vulve est entrouverte et que je distingue son anus légèrement foncé.

— Tu bandes comme un jeune cerf. Tu vas donc prendre ta cousine dans lanus. Isabelle dépose une noisette de vaseline sur lorifice anal de Virginie et y introduit un doigt. Elle me lubrifie également le gland et la verge.

— Vas y pénètre là.

Je positionne mon gland contre son anus et je commence à pousser tout doucement. Virginie se crispe. Cest le moment que choisi Isabelle pour activer luf vibrant. Ma cousine se relâche alors et je profite de cet instant pour forcer le passage de cette petite rondelle. Mon sexe entier la pénètre alors et je ne constate aucune réticence. Je ne bouge plus. Cest alors quIsabelle fixe une sangle élastique à la table. Celle-ci passe derrière mes fesses et me ramène vers ma cousine en mempêchant de me retirer. Je commence alors des vas et viens et je me sens à chaque fois ramené vers Virginie. Mon sexe est complètement enserré dans ce fourreau anal. Je ressens les vibrations de luf vibrant à travers la mince paroi anale. Malgré les sangles ma cousine commence à se trémousser. Soudain elle se lâche verbalement : Va y Christian, encule moi , défonce moi, crache moi ton jus dans le cul. Je ne la reconnais plus.

— Vas y vient en moi mon amour. Inonde-moi. Je vais jouir AH !!!!

Je ne tiens plus et dans un dernier moment jexplose. Je trésaille sous lexpulsion de mon sperme. Cest Inouï.

Isabelle qui sétait introduit un vibromasseur dans le vagin atteint également lorgasme. Elle hurle et ses sphincter se relâche. Elle se vide littéralement en urinant et en faisant caca puis elle sécroule.

Quelques minutes plus tard mon sexe est à nouveau dur. Isabelle sen aperçoit et ordonne à Virginie de se mettre à genoux devant moi et de prendre mon sexe dans la bouche. Celle-ci sexécute et conseillée par Isabelle fait des mouvements de haut en bas en serrant ses lèvres. Sa main caresse mes testicules. Je suis aux anges et je sens à nouveau le plaisir monter en moi.

— Je vais jouir, criai-je.

Jexplosai dans la bouche de Virginie. Qui avalait goulument mon sperme. Cétait merveilleux.

A partir de ce jour Isabelle nous laissa dans la même cellule. Virginie et moi avons alors découvert tous les secrets de lamour.

Mais les vacances se sont terminées et cest avec une grande tristesse que nous avons retrouvés nos mamans.

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