Voici un de mes souvenirs les plus coquins et les plus acidulés, et j’espère qu’il va vous plaire… C’est une histoire qui m’est arrivée dans mon lycée, à l’époque où j’étais encore jeune et naïve mais déjà très très coquine…

Cette année là j’étais déléguée de classe, et à ce titre j’avais tout un tas de petites tâches à accomplir, comme emmener à l’infirmerie les malades par exemple. Un jour, donc, tandis qu’on était en train d’attendre un prof dans un couloir, un de mes camarades a commencé à se plaindre d’avoir mal au ventre.

D’un air très sérieux j’ai passé le bras sous celui du garçon, qui se nommait Thibaud, prétendant le soutenir alors qu’il était bien plus lourd et plus grand que moi (c’était un sportif plutôt barraqué), et cette delicate attention a eu l’air de lui plaire énormément.

J’étais légèrement vétue car c’était le retour de la très belle saison; je portais une jupe noire et un chemisier rose, tous deux légers et près du corps, ainsi que des sandales à talon.

Je n’avais pas boutonné mon chemisier jusqu’en haut, et de là ou il était, mon malade, qui s’appelait Thibaud, pouvait voir à merveille ce qui se cachait dans mon décolleté.

D’ailleurs il ne s’en privait pas, d’après ce que je pouvais constater.

L’infirmerie était près de la cantine, dans un bâtiment séparé du corps principal du lycée, Et la route qui y menait était relativement déserte. Simplement, au lieu de l’y emmener, j’ai pris le chemin des anciens vestiaires, à côté du couloir de l’infirmerie, vieille pièce désormais désaffectée et servant à entreposer des chaises en rab pour la cantine.

Je n’avais rien fait dans ce lycée, jamais, et à mesure qu’approchait la fin de l’année l’envie grandissait de dévorer tous crus les garçons qui, tels que ce Thibaud, avaient baladé leur tête bêtasse toute l’année sous mes yeux…

D’abord sans comprendre, mais sans trop résister non plus, il m’a suivie, ne pensant plus à se tenir le ventre. Il n’y avait aucune lumière dans la pièce, les stores étaient baissés.

’Tu veux que j’essaie sur toi un massage que je connais?’ je lui ai demandé d’un ton neutre.

Il a hoché la tête, n’ayant pas l’air de tellement savoir ce que je sous entendais par là. Je précise qu’en ce temps là, je me faisais une règle de me livrer à mes débauches débutantes en dehors du milieu de mes congénères élèves, afin que ma réputation ne souffrit de rien, et je savais que je passais tantôt pour une allumeuse, tantôt pour une petite bourge coincée.

Le paradoxe était amusant.

Thibaud s’est maladroitement allongé là où je lui avais fait signe de s’installer, et je me suis mise à genoux près de lui pour commencer mon fameux massage.

J’ai commencé par débusquer son plexus solaire et j’ai effectué de petits ronds à ce niveau, priant pour que ça lui fasse quelque chose, car malade il ne me serait d’aucune utilité.

Il soupirait d’aise tandis que je m’activais, apparemment conquis, sans que ses yeux oublient de mater de temps à autre mon décolleté.

’pas mal ton massage,’ a t’il dit avec enthousiasme.’je me sentais tendu, tu vois, comme si j’avais un noeud dans le ventre, c’était super désagr…’

Je l’ai interrompu d’un doigt sur ses lêvres.

Je commençais à me rendre compte que nous étions déjà partis depuis un moment. Bientôt il nous faudrait retourner en cours, moi tout au moins, mais je ne pouvais pas repartir sans avoir été baisée.

La perspective de retourner en cours sans avoir eu ma dose de sexe me paraissait inhumaine. A vrai dire c’était surtout cette impulsion qui était responsable de ma présence ici.

J’ai posé ma main sur sa queue et je l’ai regardé, sans retirer mon doigt de ses lèvres. J’ai bien vite été certaine qu’il n’allait pas protester et je me suis mise en devoir de défaire les boutons de son pantalon.

’Mais t’es folle…’ a t’il commencé, sans aller plus loin.

Une fois sa queue débarrassée de son étui de tissu, j’ai commencé à le branler rapidement et energiquement, d’une poigne à la fois ferme et très légère. La paume de ma main était déjà lubrifiée par quelques ’perles de rosée’ qui ornaient son gland.

Il n’avait pas une queue aussi énorme qu’on aurait pu le penser, mais elle n’était déjà pas mal. De l’autre main j’ai déboutonné mon chemisier, je ne portais pas de soutien gorge dessous et j’étais excitée de sentir le frottement du lin à même mes seins et la peau délicate de mes têtons.

J’ai rejeté la tête en arrière et j’ai carressé mes seins, attendant que sa main remplace la mienne. Mais quand j’ai rouvert les yeux, il gisait toujours dans la même position, et dans ses yeux on lisait une grande surprise.

D’abord sans rien dire, je me suis penchée et je l’ai embrassé, un peu de force. Il s’est laissé faire mais tout juste.

’Allez, Thibaud….’ ai je soufflé…’On n’a pas des masses de temps… j’ai toujours revé de me faire défoncer ici, dans ce bahut, au moins une fois…tu m’excites trop avec ton petitmal de ventre. Montre moi ce que tu sais faire!’

Je caressais toujours sa queue, ses couilles, insinuant même mon index vers son anus et le caressant doucement ainsi que les mecs aiment parfois quand ils savent faire taire leurs pires a-prioris.

Je me suis penchée et j’ai gouluement avalé sa queue, jusqu’à la gorge, mes lèvres pressées contre sa hampe bien gonflée de désir. Lentement, je suis remontée, libérant peu à peu sa bite de mes lèvres, la laissant luisante de ma salive. Arrivée à son gland, je n’ai pas pu me résoudre à ne pas le sucer un peu plus longtemps, jouant du bout dardé de ma langue avec ses moindres petits plis de peau, son frein bien tendu qui réagissait aux titillages de ma langue diabolique.

Je l’ai regardé droit dans les yeux.

’j’ai trop envie de ta queue’, je lui ai dit.’ je ne te choque pas trop j’espère? Je crois pas que je vais pouvoir supporter le cours de Dupont si je me fais pas baiser avant…’

Je me suis penchée sur sa queue à nouveau, je l’ai embrassée, caressée ànouveau du bout de ma langue, tout en le fixant droit dans les yeux. Il avait du mal à soutenir mon regard.

’je te ne plais pas’, j’ai demandé.

Il s’est rassis, et a répondu d’une voix presque inaudible:

’nan, c’est pas ça, mais en fait…’

Il a hésité encore un petit instant avant de m’avouer, d’une petite voix timide, qu’il était encore puceau.

Cette révélation m’a stupéfaite, car thibaud était bien le dernier que j’aurais pensé puceau dans ma classe. L’avoir sucé ainsi m’avait déjà faite bien mouiller, et je ne me déclarais pas vaincue.

’quel dommage, moi qui avais tellement envie de jouir…’

Je me suis laissée roulers sur le côté, et j’ai retiré ma petite culotte, la glissant dans une des maxi-poches de son pantalon baggy.

Ensuite j’ai largement écarté les cuisses et je lui ai montré ma chatte blonde dont l’épilation mettait à nu mes lèvres et ma fente brulante et trempée.

J’ai glissé l’index dans mon vagin et je l’ai enfoncé en gémissant.

Ce spectacle n’a apparemment pas laissé Thibaud indifférent. Il s’est relevé et s’est approché de moi, la queue à la main. Désirant à nouveau être dans ma bouche, il a mis son gland juste à côté de mes lèvres gonflées de désir. je l’ai englouti à nouveau.

Aucune queue ne m’avait jamais parue si bonne, aucune couille plus gonfée ni plus prête à exploser. ’Viens…’ a t’il murmuré soudain.

Je me suis soulevée et je suis venue m’empaler sur sa grosse queue bien tendue. J’avais un peu peur qu’il jouisse très vite si je continuais à le sucer, mais je pensais la même chose s’il me pénétrait.

Mais ça m’était égal, j’étais tellement excitée que j’avais l’impression qu’une minute me suffirait cette fois.

Je me suis mise a monter et descendre sur sa bite, me pénétrant parfois juste avec son gland, sortant sa queue entièrement de moi avant de la recevoir à nouveau, alternant les mouvements rapides et les mouvements lents.

En même temps je caressais mes têtons durcis, les pinçant par moments, les écrasant de mes paumes. J’ai rejeté la tête en arrière et j’ai caressé mon clitoris bien gonflé. Je sentais que ma chatte était de plus en plus pleine de mouille, chaque va-et-viens me brûlait de plaisir, me donnait envie de crier. Le visage de Thibaud trahissait également une excitation intense, je sentais qu’il allait bientôt jouir.

Je me suis vite levée et j’ai remplacé sa queue par mes doigts, me penchant pour le prendre dans ma bouche. Affolé par ce traitement, il a joui brusquement, et à voir la quantité de sperme qui jaillissait de sa queue , c’était vraiment bien la première fois que ça se passait avec une nana.

J’ai tout avalé, me délectant du lieu dans lequel je me livrais à cette débauche, puis j’ai relevé la tête et je l’ai regardé en souriant, essuyant ma bouche du revers de la main.

Excitée par ce qui venait de se passer, je n’ai plus tardé à jouir moi aussi, me tordant sur le sol dur et poussiéreux. Je me sentais comblée et prête a assister au cours d’histoire-géo.

Thibaud se tenait toujours par terre, comme ahuri par ce qui venait de se produire. Je l’ai doucement pris par la main et je lui ai dit:

’Ca va mieux le ventre??’

Il a souri, sans répondre. Les yeux dans le vague, il semblait dans les nuages, déconnecté de la réalité.

Reprenant mes esprits pr deux, je lui ai tapé sur l’épaule, retrouvant brusquement le ton de la copine de classe pour lui dire:

’Faut qu’on se grouille!! Ca commence a faire longtemps qu’on est partis, pour l’infirmerie.’

Hagard, il m’a suivie. Je n’avais pas récupére ma petite culotte dans sa poche, comptant la lui laisser en guise de souvenir. J’étais encore plus excitée par l’idée de retourner en cours les fesses à l’air, le haut de mes cuisses maculé de mouille…

Pendant les mois qui ont suivi j’ai fait bien plus avec Thibaud que ce que notre timide première fois aurait pu laisser supposer.

Mais je vous raconterai ça une prochaine fois.

En tous cas, sachez que pour une petite lycéenne salope il n’y a rien de tel que de baiser dans son école!

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