La cérémonie du mariage fini, bénie par le prêtre du château, les deux époux étaient à table, ils regardaient et écoutaient les ménestrels, les acrobates, les danseurs et danseuses.

Beths navait pas encore eu son cadeau de mariage, à ses cotés était les deux plus jeunes concubines, Nadin à sa droite, Seb à la droite de Nadin, la comtesse à gauche du comte.

— Ma mie je sais que vous attendez avec impatience votre cadeau, jespère quil est prêt et vous fera autant plaisir qua moi il me plait de vous loffrir !

Il fit un signe au valet de pied, qui tira un rideau et apparu Marion, juste vêtue dune chemise de lin, qui ne cachait rien de ses formes plantureuses, cette fille était vraiment une beauté.

— Voici votre cadeau de noce ma mie, elle est à vous pour toutes les nuits quil vous plaira et les miennes avec vous, cest elle qui va vous préparer pour la nuit de noce avec dames Morin votre mère, je tiens quelle soit aussi présente pour vous et votre plaisir !

— Mon époux quel charmant cadeau que voilà, avait vous déjà défloré cette jouvencelle ?

— Pour votre plaisir ma mie, hier soir avec dames Morin nous avons fait en sorte que la jouvencelle devienne femme, pour votre plaisir, lidée mest venue de vous la donner en concubines, je sais que vous laimez et que vous aimerez lavoir dans votre couche !

— Vous avez trouvé le plus gentil et aimable des cadeaux ! Viens là ma chérie, viens tasseoir contre moi, tu seras ma concubine, tu dormiras toutes les nuits dans ma couche et portera toi aussi les enfants du comte tout comme moi, ses surs et sa mère !

— Madame vous pouvez vous retirer avec vos dames de compagnies, elles vous prépareront le temps que la soirée finisse, je veux vous dépuceler dés ce soir et qui sait faire un héritier!

— Monsieur je me dois donc de vous faire un cadeau au moins égal au votre, souffrirez-vous dattendre quelques jours ?

— Ma mie, jattendrais le temps quil faudra !

La soirée finie le comte rejoint sa femme, il la trouve en pleins ébats avec les deux autres femmes, comme il lavait demandé, Morin la tête entre les cuisses de sa fille, Marion entre les cuisses de Morin et Beths entre les cuisses de Marion, les langues aspirant la cyprine et les clitoris dardant la jouissance, voilà déjà plus dune heure que les trois femmes sans donne à cur joie.

Le comte laisse tomber ses vêtements au sol et rejoint sur le lit les trois femmes, toutes savent que cette nuit est réservée à Beths et à son dépucelage, cest sa nuit de noce, elles ne sont la que pour redonner de la vigueur au vit du comte et du plaisir à Beths.

Marion prépare le vit du comte avec une fellation digne de la pire pute des bas font, suçant le vit pour le faire devenir dur comme le fer, sa mère continu à faire jouir Beths de la langue attendant de donner sa fille au comte.

Moch caresse sa sur ses seins, son ventre, ses fesses, elle jouit déjà depuis plus dune heure quand il présente son vit face à son abricot de pucelle, il entre en elle comme la veille en Marion, avec délicatesse, poussant le gland contre lhymen qui se déchire provoquant un petit cri de sa sur.

Il sactive en elle depuis plusieurs minutes, les deux autres femmes la caressent et lembrassent, Marion mange goulûment les gros seins, la mère caresse le clitoris.

Il vient enfin en elle, lengrossant comme la veille Marion, sa première fille est fête le jus quil vient de déverser est déjà dans la matrice.

Il vient en deux jours dengrosser toutes les femmes de la maison, dans neuf mois il y aura 1 garçon et quatre filles de plus au château, suivront de nombreuses autres héritières, presque 4 chaque année, la fille que porte sa propre mère naîtra chez le sieur Jack.

Toute la nuit il va prendre Beths, ce nest quau matin quelle sendort et quil prend Marion et Morin avant de sendormir le pieu fiché dans le ventre de sa mère.

Mais quel est ce cadeau promis par Beths au comte, celui ci se demande bien ce que cela peut être, un cheval ? un chien? De ces énormes molosses quon voit dans le château ou dans les appartements des femmes, qui soit dit en passant ne servent pas qua mordre car quand le seigneur oubli de venir voir ses femmes de quelques nuits, les chiens le remplacent avantageusement, bien que la pine du comte soit grosse, celle des chiens ne lest pas moins et cest avec délice que les femmes se laissent monter.

Certaines femmes aiment beaucoup les chevaux aussi (mais tout cela sera une autre histoire pour linstant restons sur Moch)

Il reçoit une missive de sa sur Mule, lui demanda de lui rendre visite de toute urgence, elle était au mariage et est repartit aussitôt avec son époux le sieur Bertrand.

Moch prend son plus beau cheval, une escorte de dix hommes darmes, les contrées et les routes ne sont pas sure pour un seigneur et le voilà en route.

Il y a trois jours de cheval, le soir il fait halte dans une auberge de son comté, y passe la nuit en compagnie dun page quil a pris soin de prendre avec lui pour le servir, il ne prend pas de donzelle pour voyager, celle ci ne savent que très mal monter à cheval et le retarde chaque fois.

Moch ne rechigne pas de temps en temps à passer sa nuit avec un jeune page et de se faire sucer ou de le sodomiser, selon son bon vouloir, ces plaisirs ne sont pas les mêmes que ceux quapporte une femme mais les pages sucent mieux et lanus est moins dilaté, celui la, est son favori, jeune et grassouillet il sait lever le cul, pour enfourner le vit du comte jusqu’à la garde, il se laisse prendre des heures et ne pleurniche pas, ne rechigne pas à sucer et à nettoyer le vit de son maître comme il se doit de le faire après la sodomie.

Le lendemain il passera la nuit dans le château dun de ses vassaux, un vieux baronnet qui a une jeune femme de 18 ans et une fille de 16 ans dun premier mariage sa première femme est morte en couche.

Il arrive au château de son vassal il fait encore grand jour, il laisse sa garde aux écuries et entre au donjon, il est accueilli à bras ouvert par le vieillard et son épouse, on lui présente Hortense la fille, la mère, Aneth jeune femme brune lui fait les yeux doux comme il se doit car sil veut, il peut utiliser son droit de cuissage avec tous ses sujets et un jeune homme dans sa couche, plairait bien a la donzelle, la pucelle est moins souriante et donne limpression de ne pas beaucoup aimer le comte.

Elle est très belle, bien grosse comme il faut, des seins énormes, un ventre bien rond et un cul de poulinière, elle plait bien au comte qui demande à son père sil veut la marier.

— Si fait mais je ne trouve pas de mari, cette pucelle me fera mourir, je nai pas dhéritier et elle ne veut pas prendre un mari !

— Il faut la dépuceler, elle aura dautres idées !

— Messire si le cur vous en dit et si vous lengrossez grand bien lui fasse, comme ma femme qui sera dans votre couche ce soir si tel est votre plaisir, moi je suis bien trop vieux !

— Alors messire je passerais quelques jours au retour de chez ma sur et engrosserais vos deux donzelles car pour ce soir, rien nest sur, que la mère prépare la fille pour la nuit et son dépucelage, je dormirais avec les deux ce soir !

— Messire vous êtes un bon seigneur, je ne sais comment vous remercier de tant de bonté !

Le repas du soir fini le comte regagna sa chambre ou les deux femmes attendaient dans le lit, la plus vielle préparait la plus jeune, lèchent le sexe et enfournant ses doigts dans lorifice, prenant soin de ne pas la dépuceler mais la faisant jouir et mouiller comme jamais, elle se doutait que le comte devait avoir une belle trique, malgré que les deux femmes avaient lhabitude de dormir ensemble, la jeune donzelle avait un peu peur de perdre son pucelage.

Cela fut vite fait, Moch se fit bien durcir le vit par la plus vieille, allant jusquà lui éjaculer dans la bouche, pendant quil caressait et suçait lautre, quand il présenta son vit devant la fente juvénile, la donzelle en avait tellement envi quelle senfourna seule sur la trique énorme.

Elle sentit à peine la douleur et monta vite dans les décibels, le comte lui ravageant la moule de son pieu, il lengrossa du premier coup, giclant sa semence à même son utérus, elle sendormit presque aussitôt le second coup de pine pris.

Laissant tous loisirs au comte de prendre et reprendre lautre femme toute la nuit sans débander, il lui fit déborder le vagin de sperme, son ventre et ses tripes étaient plaine du foutre du comte, elle sendormit avec des rots de sperme chaud, jamais de sa vie elle navait eu autant de sperme en elle. Épuisée, elle se laissait prendre à volonté montant le cul bien haut, écartant les fesses de ses mains ou offrant sa vulve à tous les coups de boutoir de son amant.

Son vieux mari ne la prenait quune fois le mois et ne giclait que très rarement, si ce nétait ce brave corniaud quelle faisait venir quelques soir dans sa chambre et qui lui labourait les flancs de ses griffes et lui défonçait la chatte de son vit énorme elle ne serait pas ce quest le sperme.

Le comte partit le lendemain avec la promesse de revenir au retour de sa visite chez sa sur.

Il arriva le soir chez mule, il faisait presque nuit quand il vit les tours du château, sa sur lui fit un accueil chaleureux et lui expliqua pourquoi elle lavait fait venir.

— Cher frère, mon époux me laisse parler en son nom, il lui faut de laide, son cousin ne trouve pas femme et na pas dhéritier il faut laider !

— Jai ce quil lui faut à 50 lieux dici, une jouvencelle à peine dépucelée dhier qui cherche un époux, voilà la chose faite ma sur ! Mais dites-moi, voilà presque plus dun an que vous êtes mariée et toujours pas grosses ?

— Je vous parlerais de cela plus tard mon frère, venait allons parler à mon époux.

La chose fut faite et le mariage arrangé pour le cousin dans les plus brefs délais, il le fallait bien, le comte ayant craché sa semence dans le ventre de la donzelle, il se pourrait bien quelle soit pleine, il réclama son droit de cuissage et informa quil le prendrait à son retour chez lui et le soir des noces, le cousin en fut ravi (quel con)

Le soir même mule vient dans la chambre du comte, accompagnée dune très jeune soubrette, elle veut lui parler.

— Messire, je pense que mon mari ne peut avoir denfant, sa semence ne doit pas être bonne, jai emmené cette jouvencelle pour vous cette nuit et sil ny en a quune cest que je me proposais de rester aussi, si vous pouviez mengrosser cela serait un bien pour moi.

— Ma chère sur voilà qui sera mon plaisir, je resterais le temps quil faudra pour cela, mon plus cher désir est de vous engrosser si vous le désirez.

Ils furent tous les trois vite au lit, la jouvencelle nétait plus pucelle et pas farouche, elle connaissait tous les secrets des alcôves et se donna comme une véritable femme de plaisir, Mule au début réservée, prenant exemple sur la jouvencelle se déchaîna et pris tant de coup de bite cette nuit là, quelle en perdit le compte, comme la jouvencelle qui partit au matin le cul en feu, tellement la grosse pine du seigneur lavait ramonée.

Moch passa la journée au lit avec Mule, la prenant chaque fois quil se réveillait, son mari était parti chez son cousin, il fallait en profiter, il se rendit vite compte quil avait perdu une bonne baiseuse quand il avait laissé partir Mule, sans la dépuceler mais ce nétait que partie remise, il viendrait la voir plus souvent et la baiserait autant quil voudrait.

Il ne partit du château que 15 jours plus tard, le jour du retour du mari de Mule, elle était enceinte et cela était très bien, son mari serait heureux davoir un fils et si cétait une fille Moch reviendrait en faire un autre. Il allait passer un mois chez son vieux vassal pour engrosser sa femme.

Merci de me lire

Barbebleue.

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