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Jours de grève – Chapitre 3




Jeff a rejoint Thierry, ils discutent tous les deux quelques minutes, puis je le vois revenir seul, trousseau de clés à la main. En arrivant il dit :- c’est bon mon ptit gars, on va pouvoir prendre une bonne douche

— cool

Il ouvre la porte des vestiaires, me demande d’entrer et de laisser entrouvert le temps qu’il ramène le trousseau à Thierry. Je remarque que c’est une porte qu’on peut ouvrir de l’intérieur sans clé. L’endroit est sombre et glauque, que du béton partout. J’avance vers le vestiaire commun, je connais l’endroit, nous y venons avec le lycée en cours de sport pour les sessions de rugby et l’athlé. J’entends la porte claquer :

— c’est moi mon bonhomme

— par ici, je suis dans le vestiaire principal

Jeff me rejoint, m’enlace et m’embrasse. Et on commence à se déshabiller, on est quand même là pour une douche à la base. Une fois nus, il m’enlace à nouveau, il rebande instantanément et moi de même. Il s’écarte de côté et me mets une petite claque sur les fesses en disant :

— allez petit fauve, à la douche

Il se dirige vers les douches communes et je le suis.

En s’approchant d’un robinet il dit :

— j’espère que la vanne est pas coupée…

Il tourne le robinet, c’est bon l’eau jaillit. Il laisse un peu couler et tend la main vers moi. Je lui prends la main, et là je ne m’y attendais pas il m’attire fortement à lui sous la douche. Le choc, elle est gelée!

— wow putain quelle est froide…

Il éclate de rire :

— désolé c’était trop tentant 

Le choc du froid passé, j’essaie de lui toucher les flancs pour me venger. Il crie :

— ah non pas ça je suis chatouilleux…

— t’as commencé…

Je suis rapide, réflexes de judo, et j’arrive à le chatouiller. Il avait pas menti, il est sensible. On se chahute quelques instants, il finit par reprendre le dessus mon rugbyman balaise, il m’attire à lui, me bloque entre ses bras et m’embrasse. L’eau coule sur nous, et je crois qu’il est encore plus mignon sous la douche. Je le caresse, dans le dos, ses fesses, ses cuisses, je remonte, son bide, ses seins, partout des poils mouillés. Lui fait de même :

— hmm mon petit nounours poilu, qu’est-ce que c’est bon d’être avec toi là, on oublierai tout

— oui c’est très agréable, j’adore te caresser

— et j’adore ça aussi… Moi j’aime ces petites fesses de judoka aussi.

Il insiste sur mes fesses, prend une fesse dans chaque main et malaxe. Il tâte mes cuisses, il sent mes muscles. C’est vrai que 7 ans de judo, surtout à l’adolescence, ça fait les muscles des cuisses, du cou et des épaules. Il passe un doigt entre mes fesses, ça me fait frissonner surtout quand il frôle mon anus, il remonte, il s’amuse avec les poils au creux de mes reins. Il desserre son étreinte, il se tourne pour fermer le robinet et prendre du savon au distributeur fixé au mur. Il fait mousser et en dépose sur mon corps. Je trouve ça excitant. Il recommence l’opération plusieurs fois sur moi puis sur lui jusqu’à ce qu’on soit bien couvert, et il rigole en me déposant la dernière dose sur le nez :

— t’es beau comme ça…

— tu t’es pas vu…

Je prends un peu de mousse des deux paumes et les lui pose sur ses joues en rigolant aussi. On se savonne mutuellement, ça mousse. C’est très agréable, nos corps glissent l’un contre l’autre. Il me serre dans ses bras et me savonne le dos puis descend sur mes fesses. Comme tout à l’heure il passe entre mes fesses et cette fois s’arrête sur mon anus. Avec un doigt il masse mon petit trou. Je serre sûrement par peur de ce qui va arriver ensuite.

— détends toi, je vais faire doucement

J’essaie de me relâcher. À force de masser et de réessayer il parvient à faire pénétrer le bout de son doigt. Je gémis car la sensation de glisse me procure déjà du plaisir. Il enfonce petit à petit son doigt puis je sens un deuxième doigt s’introduire maintenant. J’accepte en respirant et en me détendant un peu plus.

— c’est ça mon bébé, détends toi bien, relâche et laisse moi t’écarter.

L’effet du savon commence à se faire sentir :

— ça pique un peu avec le savon Jeff

— ah attends je vais rincer, tourne toi vers le mur et remets l’eau.

J’obéis, je tourne le robinet, l’eau est toujours aussi froide. Ça le fait rire. Je me positionne pour que l’eau coule bien sur mon dos. Il fait partir le savon de mon dos et mes fesses en frottant bien avec sa main. Il introduit un doigt dans mon anus pour bien laver. Et puis c’est bizarre c’est chaud, je tourne la tête pour voir par dessus mon épaule, il est accroupi, sa tête au niveau de mes fesses, il est en train de me lécher. J’ai à peine le temps d’être surpris que je gémis déjà.

— hmmm… Jeff qu’est-ce que tu fais… ahh c’est bon… hmm

Sa langue s’introduit maintenant dans mon anus. Quel délice. Il s’interrompt et je sens à nouveau le doigt, il va plus profond c’est manifeste. Il caresse bien l’intérieur et m’arrache des gémissements plus francs. Il mets aisément deux doigts maintenant. Ça dure cinq bonnes minutes. Je transpire et j’ai des frissons en même temps. Il se relève et se colle à moi, il m’embrasse dans le cou, me lèche, ça me rend dingue. Je sens sa bite entre mes fesses. Ça glisse bien, il imprime un mouvement de va et vient. Je suis terriblement excité. Il pose ses mains sur mes seins et me frotte les tétons, puis je sens son gland forcer un peu mon anus :

— accueille moi en toi mon bébé, j’ai envie de toi, je vais te pénétrer en douceur, n’aie pas peur mon amour

Je me laisse totalement aller, presque étourdi par le plaisir qu’il me procure déjà. Soudain mon anus cède.

— j’entre en toi mon bébé, pousse en serrant ton sphincter, tu vas voir je vais pouvoir m’enfoncer sans te faire mal

C’est très étroit mais je sens sa bite m’envahir. J’ai l’impression que sa bite s’est allongée tellement la progression est lente. Il va et il vient pour faciliter l’avancée. C’est bon, j’ai mal mais c’est supportable et puis surtout ça m’excite parce que je sais que c’est Jeff, homme de mes fantasmes, je suis à lui, il me donne tant. Il pince maintenant mes tétons et m’envoie au septième ciel. Je creuse mon dos naturellement et je m’aperçois que c’est encore meilleur. Je gémis tellement c’est bon.

— oui mon bébé, c’est bon, je suis bien en toi, tu aimes ça?

— oui… hmmm… tu me fais tellement de bien… hmm, j’adore ça, continue…

Il accélère et me pilonne carrément. Je tiens plus sur mes jambes, je finis par m’appuyer complètement sur le mur. Il pose ses mains sur mes hanches pour bien me maintenir et me pénétrer encore plus fortement. Des larmes de plaisir s’échappent de mes yeux. Ma respiration est cadencée par ses mouvements. Il accélère et puis se met à trembler, je sens son sexe se contracter, il jouit en moi dans un râle d’épuisement. 3, 4, 5, 6 jets. Il m’inonde littéralement. Je ne peux plus bouger. Lui non plus, il reste en moi quelques instants.

— ouah bébé, tu m’as tellement excité, ça faisait longtemps que j’avais pas jouit aussi fort, t’étais si serré et humide

Je ne peux sortir aucun mot tant je suis essoufflé et tant je plane. Je me rends compte que du sperme coule de ma bite alors que je ne bandais pas. Je reste le cul tendu, Jeff s’extrait lentement, il est encore bandé, il ne sort pas complètement et renfonce sa bite. Je gémis à nouveau.

— je débande pas bébé, j’ai encore envie de te faire du bien… tu veux?

Sans attendre ma réponse il reprend un peu de rythme et je sens son sexe dur coulisser encore plus facilement grâce au sperme. C’est divin. Il se retire :

— viens, on va se mettre sur le banc, tu vas t’allonger sur le dos et je vais te pénétrer de face, j’ai envie de voir ton visage d’ange prendre du plaisir.

Je m’exécute et m’allonge sur un banc. Jeff me tire un peu vers le bord et relève mes jambes. La position est inconfortable mais très vite je sens la queue de Jeff sur mon anus, il n’offre plus beaucoup de résistance, ça rentre comme dans du beurre, il avance sans retenue et un frisson m’envahit, la sensation est excitante. Mes tétons durcissent instantanément. Arrivé en butée, il commence un va et vient voluptueux en me regardant droit dans les yeux et avec passion. À chaque coup ses yeux semblent me demander "ça va bébé il est bon celui-là ?", "celui-là encore mieux ?"… Il prend plaisir à me faire gémir et haleter. Petit à petit il accélère, on ne se lâche plus des yeux, je me noie presque dans son regard. Je reprends un peu mes esprits et attrape ses tétons, je les titille et les pince.

— bébé si tu fais ça je ne réponds plus de rien.

Je continue mon traitement, sa réponse ne se fait pas attendre, il accélère le rythme et je l’encourage :

— vas y Jeff… hmm… plus fort 

— bébé tu me rends dingue

Après quelques instants à ce rythme, essoufflé, il calme un peu et ses coups deviennent plus vifs, plus incisifs. Je revois toute sa virilité s’exprimer, il me tient fermement, ses muscles ressortent à chaque coup, il est en sueur et moi aussi. Je prends ses tétons entre deux doigts comme une cigarette, je les tire vers moi et caresse les bouts avec le pouce. Son regard devient presque suppliant et je le vois lever les yeux au ciel. Il ralentit ses assauts et il se met à trembler. Je ne tarde pas à sentir sa queue se contracter et m’envoyer quelques jets de sperme. Il finit par s’écrouler sur moi épuisé. Il débande cette fois et sa queue ressort naturellement. Il vient caler sa tête dans le creux de mon épaule et je le serre dans mes bras. On reprend tous les deux notre souffle petit à petit. Après quelques instants il se redresse et dit avec un large sourire aux lèvres :

— merci mon bébé

Il me tend sa main pour m’aider à me relever et il m’attire à lui pour m’embrasser langoureusement. Je ne veux plus le lâcher :

— mon bébé, je viens de vivre un moment fabuleux, j’imaginais pas que tu sois aussi endurant pour une première 

— c’est toi qui a tout fait et tu m’as mis en confiance, merci

Il rougit et m’embrasse furtivement.

— bon mon petit monsieur, maintenant que vous êtes dépucelé vous allez peut-être pouvoir prendre votre douche tout seul…

Il éclate de rire et repart sous la douche. Je le suis en rigolant aussi.

— et lavez bien votre cul, je crois que vous avez du sperme à l’intérieur 

— ah bon? vous croyez?

Et on continue à rire, tout en se douchant chacun de notre côté. Tout à coup il devient sérieux :

— oups on a juste oublié un détail, les serviettes…

— merde, comment on va faire ?

— je vais aller voir dans le bureau des entraîneurs 

Il part nu, je le regarde s’éloigner, moi je continue ma douche en repensant à ce que je venais de vivre. 

Tout à coup, je suis sorti de ma rêverie par une voix inconnue :

— qu’est-ce que tu fais là toi?

C’est le jardinier, je sais plus où me mettre, je bafouille tout en essayant de cacher mon intimité :

— euh… excusez-moi je vais partir…

— ça me dit pas pourquoi tu traînes ici à cette heure-ci et comment tu es entré?

Il me dévisage et me toise de haut en bas, le regard menaçant. Je suis rouge pivoine. Enfin j’entends au loin la voix de Jeff.

— laisse Thierry, il est avec moi…

Jeff entre dans le vestiaire une serviette autour de la taille.

— ah pardon, je croyais que c’était encore un de ces jeunes qui entrent et qui mettent le bazar

— non ne t’en fais pas

Jeff s’avance vers moi et me tend une serviette. Il se tourne ensuite vers Thierry et lui dit :

— c’est bon, on a terminé, on va faire vite

— bien je vous laisse 

Le jardinier se tourne vers moi et me tend la main :

— excuse-moi de t’avoir effrayé petit

Il me serre la main et je sens comme une caresse de son pouce. Il me fait un clin d’il. Puis il tape sur l’épaule de Jeff en disant :

— à bientôt entraîneur 

— à plus tard Thierry

On le regarde s’éloigner, je suis perturbé mais soulagé. Je m’adresse à Jeff :

— la honte, tu crois qu’il a compris ce qu’il s’est passé entre nous

— j’en ai bien peur oui, mais j’en fais mon affaire, j’irai lui parler

— il m’a regardé bizarrement en partant, il m’a même fait un clin d’oeil

— t’inquiète pas mon bébé, il a dû faire ça pour dire au revoir

Je ne lui parle pas de la caresse du pouce et me fie à son jugement. On finit de se sécher, on se rhabille sans traîner et on se dirige vers la sortie, vérifiant qu’on ne laisse rien derrière nous. Jeff emporte les serviettes. Juste avant de pousser la porte, il s’arrête et me prend dans ses bras tendrement et il me dit :

— mon bébé on vient de vivre un moment fabuleux, je n’oublierai jamais

— moi non plus, je n’ose pas encore y croire

Puis il m’embrasse et on se dit au revoir.

— tu prends mon bus en fin de journée ?

— oui je finis à 16:00 les vendredis

-super, passe une bonne journée mon bonhomme je dois filer

— à ce soir entraîneur 

Il rigole puis nous partons chacun de notre côté. Je traverse le stade pour rejoindre mon lycée, lui rejoint son bus et démarre. Je me retourne, il me fais un signe en partant. Je le salue en retour. 

J’avance vers le portail principal du stade et j’aperçois le jardinier en train de fumer sa clope. Il m’aperçoit également, il est assis sur la barrière qui entoure la pelouse du stade. Je suis obligé de passer près de lui pour sortir. J’essaie de ne pas le fixer pour éviter qu’il me parle. Râté :

— alors petit, pas trop mal au cul?

Je deviens rouge et n’ose pas lever les yeux. Il éclate de rire et continue.

— t’en fais pas, je vais pas t’embêter, tu sais j’en vois des choses ici dans ce stade. Et c’est un bon gars l’entraîneur.

J’ose lever les yeux et esquisse un léger sourire de complaisance. Il tire à nouveau sur sa clope et me détaille du regard de haut en bas.

— il a bon goût, un beau gaillard comme toi… c’était ton entraîneur de rugby quand t’étais petit?

— non pas du tout, simplement mon chauffeur de bus.

Je le regarde plus franchement, il est grand, 1m85/1m90 à vu de nez, une carrure imposante, cheveux blonds-roux, barbu, ses sourcils sont très fournis, il a les yeux clairs. Il est en tenue de travail : un pantalon vert, un t-shirt blanc avec le logo et la devise de la ville. Ses bras sont poilus avec des brins d’herbes par ci par là.

— je dois y aller, pour pas être en retard en cours.

— vas y file, vous revenez profiter des douches quand vous voulez…

Il rigole, je souris et je m’éloigne.

— au revoir monsieur

Il porte sa voix :

— appelle moi Thierry.

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