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Marie – Ange & Démon – Chapitre 18




Excusez-nous, mais on se demandait si tout allait bien.

Je me réveille d’un coup. J’aperçois Roger sur le pas de la porte et les deux gars qui en profitent pour mater par-dessus son épaule. Il insiste :

On avait peur que vous accouchiez…

J’entends comme dans un rêve Fred dire:

Non, Marie a de gros besoins sexuels actuellement.

Un silence. Personne ne bouge. Les deux jeunes se remplissent les yeux. Roger aussi semble sidéré de me voir ainsi sur son bureau.

Je n’y arrive plus… vous pourriez m’aider… jeunes hommes… Abdou… Juan… vous avez certainement envie après la prison… ce serait nous rendre service… s’il vous plaît…

Le salaud. Je vois le regard des garçons briller. Il mate ma chatte que Fred vient de libérer.

Chérie, tu veux commencer par lequel ?

En plus, il m’implique. Je comprends que depuis le début Fred a préparé son coup. Pendant un moment, je l’ai vu discuter avec les deux gars. Peut-être qu’il leur proposait déjà… Non, je ne crois pas, j’aurais remarqué un changement. En tout cas me poser cette question c’est montrer que je suis d’accord.

Je ne réponds pas. Après tout, le mal est fait. Quoi que je fasse, je passerai pour une nympho. Alors, autant en profiter.

Abdou. Avancez. Ne soyez pas timide.

Abdou n’est pas timide du tout. Il avance vers moi. Il enlève son maillot, descend son pantalon. Il ne porte pas de slip. Il bande.

J’n’ai pas de capote.

Tu peux y aller elle est clean et tu ne risques pas de l’engrosser.

Fred rit de sa blague qui détend l’atmosphère. Juan, lui aussi commence à se déshabiller.

Abdou se place entre mes cuisses. Je suis vraiment une salope, à aucun moment je n’ai eu l’idée de cacher mon intimité. Je suis exposée, offerte, pute qui attend ses clients.

Il hésite à peine. Il remarque qu’il entre en pays conquis. Il commence à se faire du bien.

Mets-la à fond. Elle aime ça et ça l’a fait jouir.

Il n’est pas sourd et s’exécute. Me voici baisée par ce black qui me regarde droit dans les yeux. Il doit y voir la perversité, le vice, en tout cas le plaisir qu’il me donne.

Approche, elle va te sucer.

Fred en parfait organisateur guide Juan vers moi. Il bande aussi. En tournant la tête, je gobe son gland. Il sent fort, mais c’est une odeur de mâle. Je suis tout excitée aussi à l’idée d’être leur première femme après la prison. J’imagine qu’ils ont dû se branler en regardant des photos pornos à moins qu’ils s’enculent pour libérer toute leur tension sexuelle.

Je peux ?

Demande Roger, resté en retrait et qui regarde les deux hommes profiter de moi. Sa main est proche de ma poitrine et il quémande cette autorisation à mon mari.

Roger. Elle est super sensible des seins. Vous avez vu comme ils sont gonflés.

Oui. Ma femme a été pareille pendant ses grossesses.

Il pose une main. Puis l’autre. S’engaillardit. Il me caresse d’abord doucement. Juan, bon prince, se décale pour lui laisser plus de place. Alors Roger se penche et vient me sucer les tétons.

Putain, salope ! Elle a plein de lait.

Pendant ce temps, Abdou se vide dans mon vagin alors que son copain ne se prive pas de lâcher sa sauce dans ma gorge.

Tous deux reculent. Roger reste seul. Il passe d’un téton à l’autre, ses mains enveloppent chaque lobe l’un après l’autre et le presse comme on presse une poire à lavement. Lorsqu’il s’écarte pour respirer, mon lait continue de gicler par saccades. Lorsqu’il se relève, il est radieux, se lèche les lèvres. Cela continue de dégouliner de partout :

Ça me rappelle quand je tétais les seins de ma femme. J’adorais ça. Putain ça me fait bander.

Sur ce, il défait son pantalon, va entre mes cuisses.

Putain les mecs vous lui avez balancé de la purée.

Et il m’enfile d’un coup sec. Sa bitte est dure et longue.

Merci Fred, ça fait un moment que je rêvais de ta femme. Plus d’une fois, j’ai bien failli la coincer contre une palette et lui fourrer ma bitte. J’ai toujours pensé que sous ses airs de grenouille de bénitier elle cachait un tempérament de feu.

Les trois hommes regardent ce papy me baratter comme un jeune dieu. Son mandrin déclenche des bruits de "floc, floc" qui remplissent le bureau. On n’entend que cela, comme si mon vagin faisait caisse de résonnance. Pas de doute que mes bébés se demandent ce qui peut bien faire ce bruit !

C’est extraordinaire. Trois hommes viennent de me prendre. Plusieurs fois j’ai joui, mais de voir Roger me pourfendre ainsi est magnifique.

Fred. Je peux me finir dans son cul ? Je suis sûr qu’elle aime ça.

Va mec. Je t’en prie. Attends, on va t’aider.

Fred et Juan se saisissent chacun d’une jambe pour la lever, les transformant en un V qu’il suffit de suivre pour atteindre mon trou du cul sorti de son anonymat et caché sous ma fente.

Les mecs votre foutre a coulé. Ça va être facile. Tenez-la bien.

Évidemment que ces deux salauds me tiennent bien. En réalité ils ne me tiennent pas, je n’ai pas besoin d’être forcée, juste soutenue afin que Roger ait accès à mon trou.

Il entre comme dans du beurre. Mon cul est depuis des mois le théâtre d’opérations favori de mon mari, prolongeant ainsi la tradition initiée par le boucher, puis Fred et tous ceux à qui il m’a prêté.

La tige glisse dans mon trou sans fin. Seules ses couilles stoppent sa progression.

Je le savais ! Je le savais !

Répète en litanie Roger qui doit réaliser un fantasme.

Il m’inonde et c’est bon. Je me suis finie à la main, comme une nymphomane, sous les yeux de tous, tapotant mon clito et caressant mes seins qui se remettent à gicler.

Deux jours que Fred ne me touche pas. Alors que je lui demande pourquoi il me punit ainsi, il me répond :

C’est pour que tu sois bien salope avec nos amis. Eux aussi doivent attendre. Ils vont être bien chauds.

Évidemment lorsque nous arrivons au hangar les trois hommes brûlent d’impatience, mais on sent leur inquiétude : "et s’ils ne voulaient pas recommencer ?" doivent-ils penser.

Elle n’a pas baisé pendant deux jours. Elle est toute chaude. Elle est toutes à vous…

Fred retrouve son rôle d’organisateur. Les hommes sont invités à me déshabiller. Leurs mains m’explorent partout me faisant déjà gémir. Puis c’est à eux de se mettre nus. Ils bandent comme des ânes et c’est bon de se savoir désirée. Je suce chacun longuement. Tous trois en profitent pour jouer avec mes seins faisant jaillir mon lait.

Et puis Fred fait assoir Roger sur le canapé. Il me guide pour que je m’empale sur lui. Je suis si ouverte que je le sens à peine. De sa bouche il fait "son bébé" comme il dit. Il me tète et cela m’excite. Une autre bitte se présente contre mes fesses. Je comprends que Fred invite un des jeunes… Juan, c’est lui.

Vas-y elle adore deux bittes en même temps.

Le gars trouve facilement mon cul, car je sens les mains de Roger tirer sur mes fesses pour montrer au grand jour mon petit trou. A-t-il déjà enculé une femme ? Un homme peut être en prison ? En tout cas, il force le muscle et bientôt son gland puis toute sa queue me prend le cul.

Maintenant c’est mieux. Je me sens vraiment bien possédée. Mais je sais que l’imagination de Fred est sans borne. Il fait le tour du canapé avec Abdou. Un Abdou dont la bitte sombre montre son envie. En s’appuyant contre le dossier du canapé cette bitte est à ma portée. Portée de bouche.

Les souvenirs reviennent. Combien de fois Fred et ses complices m’ont-ils possédée par tous les trous offrant à celle qui était leur chienne des punitions que je souhaite à toutes les femmes.

Fred surveille son bel agencement. Il se déshabille. Lui aussi bande. Il se plaque contre Abdou lui faisant sentir sa virilité. Il lui parle à l’oreille. Abdou fait un "oui" de la tête. Alors Fred disparaît, je sens aux vibrations de sa queue que je gobe au mieux que quelque chose se passe. Et puis Fred réapparaît. Il se plaque à nouveau contre le jeune homme. Celui-ci se cambre. En le faisant, sa queue se retire un peu, mais elle me revient d’un coup, répercutant le coup de Fred qui vient de l’enculer profond.

Quatre hommes pour moi. Un cinquième pourrait venir enculer Juan que je pourrais encore mieux sentir. Quatre hommes qui jouissent. Trois en moi, un dans les profondeurs du cul d’Abdou.

Ce n’est que le début. Tout le monde est déjà prêt pour une seconde fois.

Chaque soir Fred m’amène. Le presbytère qui couvre la plus grande partie de nos locaux est très vaste et comprend plusieurs accès jusqu’aux dépendances même de l’église et de son clocher. Toutes ces parties sont inhabitées et fermées au public en dehors des offices. Nous pouvons y accéder et ils veulent m’essayer un peu partout et dans toutes les positions.

Dès le deuxième jour, alors que nous sommes sur le point de nous séparer, Fred leur raconte en ma présence et avec tous les détails, l’épisode qui m’avait conduit à recevoir la fessée. Sans oublier, bien entendu, la résolution que j’avais fini par accepter : à savoir « Fred a le droit de me pisser partout ».

Cela les amuse beaucoup. Ils se montrent surtout particulièrement intéressés. Je comprends très vite ce qu’il me reste à faire pour éviter une nouvelle correction. Une correction inutile et publique qui plus est…

Je déclare que je suis prête à me laisser pisser partout, à savoir dessus et dedans sans condition, en tout lieu et toute occasion et ce sur simple demande.

En fait, il suffit que mon partenaire ait le culot de me demander une chose pareille.

Je suis persuadée qu’ils n’oseront pas. Erreur, contre toute attente, ils me prennent au mot.

Et bien dans ces conditions ma princesse, on va tous te pisser dessus !

Mais vous n’y pensez pas. Ici ! C’est impossible ! Les douches sont hors d’usage.

Je vois Roger sourire d’un air entendu.

T’inquiète chérie, j’ai la solution. Cela fait un moment que l’on a tous une grosse envie de pisser sur la Présidente. Pas vrai les gars ?

Allez, suit nous dans la sacristie et fous-toi complètement à poil…

Je sais que l’endroit sera désert au moins jusqu’au lendemain. Résignée, j’enlève tout. Eux restent habillés. Ils me regardent avec lubricité, excités par ce qui va suivre.

Je ne suis pas étonnée lorsqu’ils m’entraînent dans l’église en ouvrant leur braguette. Et, c’est agenouillés devant l’autel qu’ils commencent à m’uriner dessus. Ils s’y mettent à trois en même temps, à tour de rôle, le quatrième filmant et photographiant la scène. Je suis complètement trempée. J’ai sous les yeux la photo qui doit illustrer ce texte. Je peux donner tous les détails.

L’urine coule entre mes seins le long de mon ventre rebondi jusqu’à se perdre dans ma touffe, qui complètement imprégnée, goutte comme si je pissais.

Roger, lui, me pisse dans l’oreille gauche son protégé Juan vise mes narines et ma bouche, mais son jet manque de puissance et vient atterrir directement sur mes nichons que je soulève à pleines mains. Fred s’est placé derrière moi et ce salaud me pisse dans les cheveux. J’en ai très vite dans les yeux.

C’est terriblement cochon, toute cette perversité, ma soumission, la pensée que je vais être vue dans cette situation, tout cela finit par m’exciter. Je me triture les seins dans tous les sens, incline la tête en arrière. Tout cela n’échappe pas à Roger.

Regardez-moi cette salope. Putain, elle prend son pied.

Il me tend un cierge bénit et aussitôt je me l’enfile dans le cul sans cesser de triturer mon clitoris tout turgescent, le gland bien sorti et gros comme jamais… Tout cela ne dure que quelques minutes.

La suite est beaucoup moins agréable : nettoyer, frotter, éponger pour finir enfin dans la douche du presbytère. Une tout autre sorte de douche qui, Dieu soit loué, fonctionne à la perfection.

Le lendemain, cela se termine encore par une séance pipi, mais cette fois-ci à l’extérieur. Ils me font allonger à l’abri des regards dans un coin du petit jardin de notre curé. Je suis installée, à moitié allongée sur un vieux fauteuil en rotin tout déglingué. Là encore, je peux revivre la scène à partir de l’une des nombreuses photos prises à cette occasion.

Ils m’ont enfoncé un entonnoir jaune dans la bouche et je ne peux rien faire d’autre que d’avaler leur pisse qui coule à flots. J’ai l’impression d’étouffer, impossible de me détourner. Je m’efforce d’en recracher un maximum, mais ils sont trois et j’en ingurgite l’équivalent d’un bon verre plein. Finalement, je dois reconnaître que cela s’avère bien moins désagréable que ce que j’imaginais. Roger prend des photos, filme et commente pour les futurs mateurs.

Hier, vous avez pu voir notre Présidente, Marie, se faire pisser dessus, dans l’église même où elle se trouve être une fidèle paroissienne et membre attitré de la chorale.

Aujourd’hui, cette même salope de jeune mariée que nous venons de copieusement baiser et enculer nous permet en remerciements d’uriner dans sa bouche.

Il marque une pause avant de poursuivre.

Moi, je vais lui pisser au cul. J’ai toujours rêvé de pisser au cul d’une femme mariée pendant que son mari travaille. Pas vraie Marie ? L’occasion est trop belle…

Les autres ayant fini leur affaire, il joint le geste à la parole, et me faisant agenouiller dans l’herbe, la tête entre mes avant-bras repliés en appui sur le sol, il m’enfonce l’entonnoir bien profond dans le derrière…

Et puis Fred part.

Marc revient. Lui ne m’accompagne pas, mais l’habitude est prise. Je vais seule au hangar. Roger est devenu le nouvel organisateur.

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