Cul et chatte à l’air, les seins à moitié sortis de sa guêpière de cuir noir, la reine s’adressait à son miroir :
Miroir, mon beau miroir, qui est la mieux foutue du royaume ?
Pas toi !
Quoi ? Qu’est-ce que tu dis ? Tu veux que te fourgues à la brocante ?
Tu me poses une question, je te réponds qu’une fille est mieux gaulée que toi.
Montre-moi cette pute, tout de suite !
Voilà il s’agit de Blanche-Beige.
Sur la surface lisse du miroir apparaissait une splendide jeune fille au teint laiteux et à la lourde chevelure brune. Ses traits fins, ses grands yeux bleus et sa denture parfaite en faisaient certainement la plus jolie môme du royaume.
La souveraine bouillonnait intérieurement. Pour ne rien arranger, la beauté se tourna et montra un postérieur dont elle écarta les fesses, exhibant un sillon anal et une chatte poilue dont l’abricot proéminent semblait vouloir engloutir les pieux les plus vigoureux.
La reine est une grosse mocheté ! Une raclure ! Une grosse merde !
Se tournant face à la reine, elle poursuivit la litanie de ses insultes :
Je te pisse au cul et je te chie dans la bouche !
L’effrontée ! Je ne supporterai pas une telle insolence !
La reine quitta la jeune peste des yeux et rabattit les tentures devant le lourd miroir incrusté de pierreries. D’un pas rendu alerte par la fureur contenue, elle regagna ses appartements et donna des ordres pour qu’on lui envoie un chasseur.
Moins d’une heure s’écoula avant qu’un maître-louvetier ne se présente à elle :
Tu trouves et tu élimines la nommée Blanche-Beige. Pour preuve de l’accomplissement de ta tâche, tu m’apporteras son cur que tu disposeras dans le coffret que voici. Si tu réussis, ta fortune est faite ; dans le cas contraire, c’est ton cur que je ferais arracher. J’espère avoir été claire ?
Oui, ô Reine, il en sera fait selon tes désirs.
Alors, pars sans plus attendre accomplir ta mission.
Jetant avec regret un dernier coup d’il au beau corps de la reine uniquement vêtue de chaussures à haut-talons nouées aux chevilles, d’une guêpière noire et de bas assortis avec porte-jarretelles, le chasseur prit congé de sa belle souveraine.
La magnificence de Blanche-Beige l’avait précédée, et ce fut un jeu d’enfant que de la retrouver, surtout pour un maître-chasseur rompu aux traques les plus difficiles. L’homme aborda Blanche-Beige à proximité de sa maison. Il demanda à s’entretenir avec elle pour une question la concernant. La charmante fille accepta et convia le visiteur à pénétrer son domicile en attendant mieux. L’intérieur était confortable et intime, une véritable invite à faire davantage connaissance avec la délicieuse occupante des lieux.
Le chasseur estima qu’il serait dommage de gâcher une telle occasion de sauter la plus jolie fille du royaume, aussi décida-t-il de jouer franc-jeu avec Blanche-Beige, trahissant la reine au passage.
La reine m’a ordonné de te tuer, mais je t’épargnerai si tu me permets de profiter de ton corps.
C’est-à-dire ?
Je te saute, et en échange je te laisse la vie sauve.
Oh oui ! Tu veux m’enculer, me fourrer la chatte et me livrer à ton gourdin juteux ? Il n’y a qu’à demander.
Blanche-Beige entreprit de se mettre à poil sans plus de manière, ne gardant sur elle qu’une tenue minimaliste s’apparentant à bien des égards à celle qu’affectionnait la reine au quotidien.
Quelques nuds bleus et mauves ainsi qu’une frange d’étoffe de même couleur aux épaules et au ras de la foufoune apportaient toutefois une note de douceur et de fantaisie à la tenue de cette délicieuse fille ; ses manières juvéniles et son regard profond achevaient de lui conférer ce charme un peu enfantin qui la distinguait de la reine à la froide beauté.
Une fois Blanche-Beige dévêtue, le chasseur se déshabilla à son tour, prêt à honorer la fille à poil qui se tenait devant lui. « Humm, elle a des gros nichons, cette belle salope ; je vais m’amuser un peu avec avant de la fourrer. » se dit-il.
L’homme tendit les mains et se saisit des gros michemards qui pendaient sous son nez. Les seins massifs lui emplissaient les mains et débordaient allègrement de toute part. Les opulents nichons se révélaient à la fois fermes et doux au contact. Le chasseur se mit en devoir de leur porter quelques bons coups de langue avant de se pencher vers l’entrejambe de Blanche-Beige. Il lui écarta les jambes et découvrit le nid broussailleux dont il débusqua l’abricot fendu et tentateur. D’une pression de la main, il s’assura de sa consistance ; le sexe se révélait à la fois ferme et doux au toucher, tout comme les seins.
Il ouvrit la bouche et entreprit de lécher la conque à grands coups de langue. La craque palpitait, comme animée d’une vie propre. Le liquide qui commençait à en sourdre trahissait l’excitation de Blanche-Beige qui referma brusquement les cuisses sur son lécheur, manquant l’étouffer.
Suce, lèche, bouffe-moi, espèce de porc !
Vas-y doucement je peux à peine respirer.
Blanche-Beige resserra son étreinte sans tenir compte des plaintes de son partenaire.
Ta gueule et passe ta langue, je veux te remplir la bouche avec ma mouille !
Un peu surpris d’entendre de tels propos sortir d’une aussi jolie bouche, le chasseur s’exécuta et entreprit d’astiquer le manchon de la fille avec savoir-faire. Il se retrouva bientôt avec une cyprine abondante en bouche. Il déglutit le liquide et sentit la pression des cuisses se relâcher. Bien décidé à bénéficier du même traitement, il tendit son membre noueux à Blanche-Beige qui s’extasia devant les dimensions de l’engin.
Elle s’agenouilla et, avec un art consommé de la pipe, engloutit le zobi qu’elle s’enfonça jusqu’au fond de la gorge. Le chasseur lui chatouillait la luette au passage de son gros gland imprégné de plaisir. À chaque fois que Blanche-Beige recrachait le dard massif pour reprendre haleine, un lourd filet de matière glaireuse reliait le membre à la jolie bouche de la suceuse. Les couilles n’étaient pas oubliées : Blanche-beige les triturait de sa main libre, séduite par la fermeté des noyaux et l’élasticité du scrotum qu’elle s’amusait à tirer avec insistance.
Elle finit par recevoir deux puissantes décharges de sperme bien crémeux et nourrissant dans la gorge. La belle salope appréciait l’offrande à sa juste valeur, aussi lécha-t-elle le membre épais sur toute la longueur pour récupérer le résidu de foutre qui collait encore à la bite.
Désireux de tenir sa parole, le chasseur laissa Blanche-Beige prendre la fuite ; elle s’engouffra donc dans la forêt de plus en plus sombre au fur et à mesure que la nuit tombait. La végétation dense n’arrangeait rien, et elle butait parfois contre quelque obstacle invisible.
Merde, j’ai filé un bas !
Un peu plus loin, elle heurta une grosse pierre à demi sortie du sol.
Putain, et maintenant, j’ai pété un talon ! Tout ça à cause de cette reine de mon cul. Si je l’attrape, celle-là…
Mais dans son malheur, Blanche-Beige eut sa part de chance. Cette clémence des évènements se matérialisa sous forme d’une bâtisse en bois dressant sa masse imposante au milieu d’une clairière.
Une maison ! Sauvée ! Mais qui peut bien habiter un tel endroit ?