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Des bites pour la grosse cochonne… que j'ai épousée – Chapitre 1




Chômage technique. Le chantier était arrêté à 12 H 45 pour cause de découverte d’une bombe de 39-45. Il y en a beaucoup dans la région. Je n’avais plus qu’à rentrer.

"Le week-end va être long" me dit Damien. C’est le jeune blondinet d’une trentaine d’années qui est en charge de l’équipe 1, composée de deux gars, tous travailleurs étrangers, mais en règle, hein, attention, on ne rigole pas avec ça. Il y a sept Africains, un Ukrainien et un Kosovar, tous jeunes aussi.

— Tu me rejoins après ? On va aller boire un coup ?

— OK. Il te faut combien de temps ?

— Bon là, on sécurise, on rentre, on se douche… On mange un morceau. D’ici une heure trente, ça te va ?

— Ça marche !

Je file chez moi à six kilomètres du chantier. Nous déménageons à peu près tous les trois mois à mesure qu’il avance. La boîte nous a trouvé un gîte, paumé en pleine campagne. Ma femme me suit. Elle travaille à distance. Elle est traductrice pour une maison d’édition.

La voiture est là. Il y a un scooter aussi, tiens ?

Je me gare. L’entrée est de l’autre côté de la maison, dans la cour. Je pousse le portail, monte la petite pente, j’arrive devant la porte ; elle est fermée mais elle n’a pas été poussée à fond, je n’ai qu’à appuyer un peu pour ouvrir, sans bruit.

Le rez-de-chaussée est composé d’une très vaste pièce de vie, salon-salle à manger, cuisine.

Sur le canapé, en levrette ma femme est en train de se faire sauter par un jeune gringalet. Ils me tournent le dos. Ils ne m’ont pas vu.

Régine arrive à la cinquantaine. Elle n’est ni belle ni moche, très brune, sans cheveux blancs encore.

Sa peau est laiteuse. Elle a des gros seins, fermes et un cul un peu rond avec quelques attaques de cellulite. Elle est désirable encore.

Pourtant notre vie sexuelle est lamentable. Moi je suis du genre gros demandeur. Je baiserais bien tous les jours. Mais sorti du missionnaire ou de la levrette (rarement encore), elle ne veut rien faire.

Une fois par moi, j’arrive à tirer mon coup, alors j’en profite. Je n’insiste plus guère depuis qu’elle m’a rembarré. C’étaient il y a quelques années, un triste dimanche après-midi d’automne. Il pleuvait, on n’était pas sorti. Sur le canapé on regardait un truc con à la télé… alors je l’avais chauffée… enfin j’avais essayé. Elle avait dit plusieurs fois non et, comme j’essayais de forcer un peu, elle m’avait lancé : "Tu penses qu’à ça. Fous-moi la paix. Tu n’as qu’à regarder un film porno sur internet en te branlant, si ça te manque tant "! Je l’avais prise au mot. J’avais ouvert le PC, maté un film, giclé. Depuis très souvent, le soir, quand elle ne veut pas, je me mate un boulard en me pignolant ostensiblement. Autant pour lui montrer que je n’ai pas forcément besoin d’elle que pour la chauffer, des fois que…

Et là je la trouvai en train de se faire monter par un autre. Et elle jouissait la salope. Etait-ce simulé ou non ? Jamais elle ne gémissait comme cela avec moi. Il faut dire que le mec y allait de bon cur. A sa chevelure rousse et sa peau tachée, je n’eus pas de peine à reconnaître le fils des proprios de la supérette du patelin le plus proche.

Habitué à mater du X, je me rendis compte que la scène assouvissait un fantasme. Fantasme numéro 1 : Voir ma femme se faire baiser m’excitait. J’en avais tellement vu sur des films de cul de ces gaillards bien montés (c’est quand même plutôt mon cas) qui offrent leur femme au premier venu ou à leur meilleur pote que c’était sans doute ma première pulsion. J’avais une furieuse envie de les rejoindre, d’ouvrir mon froc et de libérer mon épaisse quéquette mais j’étais aussi blessé dans mon amour-propre, parce qu’elle préférait ce blanc-bec et qu’il la fasse jouir. Je me mis à bander… non je n’allais pas leur laisser la satisfaction de s’éclater sans moi ou, du moins, sans mon consentement… et puis je réfléchis… des fantasmes, voire des frustrations, j’en avais accumulé plein d’autres… et si j’en profitais ? Pourquoi en satisfaire un au risque de ne plus pouvoir me permettre les autres… je pris mon parti, je ne perdais rien à essayer. Et puis cela me donnerait peut-être l’explication que j’attendais. Pourquoi moi qui suis endurant et viril, je n’arrive plus à me faire désirer d’elle ?

— Putain qu’est-ce qui se passe ici !

Cette apostrophe brisa aussitôt le charme. Le petit con se retira et mit la main sur son sexe. Ma femme, paniquée, me dit :

— T’énerve pas Christian, je vais t’expliquer !

— Y a rien à expliquer. Tu me fais cocu avec le premier godelureau boutonneux venu ! J’ai pas besoin dessin.

J’envoyais deux grandes mandales dans la gueule du type qui roula par terre, je pris ses vêtements et les jetai par la fenêtre côté route : "Barre-toi connard. Si je te recroise, je te massacre".

Il partit sans demander son reste et se démerda pour se rhabiller vite fait au bord de la route qui n’est guère passante.

Je m’approchai de ma femme terrorisée dans le canapé. Je lui envoyai un mollard dans la gueule :

— T’es qu’une sale grosse pute, je veux plus te voir !

— S’il te plaît… pigna-t-elle, je peux tout t’expliquer.

— Tu prends tes affaires, tu fous le camp.

— Mais…

— Maintenant !

Je montai chercher une valise et la lui jetai.

Son travail paie bien mais il est aléatoire. Elle est rémunérée à l’uvre. Pas de traduction, pas d’argent… et avec pour seule famille sa vieille mère qu’elle assiste financièrement, à 600 kilomètres, elle était piégée. Je le savais. Elle était dépendante de mon fric au moins pour un moment. Se débrouiller seule, elle le pourrait même s’il lui avait fallu plusieurs semaines pour se retourner, mais pouvait-elle faire cette analyse à ce moment précis ? Je ne crois pas. J’abusai de la situation.

Je me fis violent, la pris par le bras avec force :

— Tes fringues là-dedans, tu dégages immonde truie !

— Je t’en prie.

— Quoi ? Tu te refuses à moi et tu te donnes au premier minable qui passe ?

— C’était la première fois. Je le ferai plus.

— La première fois ? Tu crois que je vais gober ça. Je t’ai vu danser comme une chienne sous ses coups de bite, tortiller du cul, gueuler comme une truie… T’es clairement pas à ton coup d’essai et c’est pas moi hélas qui t’ai appris à te conduire comme une catin… T’es une salope… j’vois que t’as le sexe avec les autres dans le sang… ça te fait jouir de me faire cocu… Barre-toi.

— Je t’en supplie ! Je vais tout te raconter… Je ferai tout ce que tu voudras !

Enfin ! Nous y étions. Elle avait mis le temps.

— Tout ?

— Oh oui, tout.

— On va voir. Tu n’auras droit à aucun faux pas. Dès que tu refuses, tu prends la porte.

Et je la pris par la main et sortis de la maison. Fantasme numéro 2 : Voir une femme montée par un animal.

— Tu m’emmènes où ?

— Un test, voir si tu vas vraiment tout faire.

— C’est quoi ?

— Tu vas sucer la bite de l’âne du voisin.

— Tu n’es pas sérieux ?

— Ou tu suces cet âne ou tu dégages. J’en ai marre de me taper du porno sur écran de ta faute… Tu m’as habitué à du hard mais du hard virtuel, alors maintenant c’est du vrai. Je vais continuer à me taper des queues mais en te regardant. Tu es ma nouvelle star du X. TU vas être l’objet de tous mes fantasmes… Tous…

Elle suivit sans rien dire, assez docilement d’ailleurs, plus que je ne m’y serais attendu… Malheureusement le champ était désert. Où ce con de voisin avait-il pu mettre son baudet aujourd’hui ? J’hésitais. Descendre sur la route en cul-de-sac, atteindre la maisonnette du voisin, lui demander son âne… Et pourquoi pas le voisin lui-même ? Depuis un mois et demi que nous étions là, je commençai à avoir des doutes sur la moralité du bonhomme, d’autant que les langues du pays y allaient bon train… oui, le voisin accepterait sûrement de se livrer à mon petit jeu. Mais si on y allait, sans être sûrs de sa présence, le temps qu’on le trouve, qu’on joue avec l’âne, s’il était décidé… je serais en retard pour mon rendez-vous avec Damien.

— Qu’est-ce qu’on fait ? A l’intonation de sa voix, j’avais presque l’impression qu’elle était déçue.

— Tu perds rien pour attendre. Il est pas là mais dès qu’il ramène son bestiau, je veux te voir à quatre pattes dessous. Et le voir te gicler sur ta petite tronche de pute.

Je filai dans la chambre, prit un vieil impair, une paire de tennis et dis à ma femme de les passer.

— Suis-moi. En attendant, tu vas quand même morfler. Tu veux de la bite, je vais t’en donner !

— Toute nue sous l’impair ?

— Ta gueule.

Il ne fallait que quelques minutes pour rejoindre Damien et son équipe. Dans la voiture, je lui dis :

— Ouvre ton impair !

— Pourquoi ?

— Montre ta chatte.

Elle obéit. Je regardai à la dérobée la toison noire assez fournie et, dès que la conduite me le permit, j’y fourrai un doigt.

— Salope ! T’as bien mouillé. Il t’a fait jouir le petit puceau. Elle était bonne sa queue ?

-…….

— T’es sourde ? Je te parle traînée ! Elle était bonne sa queue ?

— Oui… dit-elle timidement.

— Qu’est-ce qu’il a de plus que moi ?

— Rien, rien…

— Tu te fous de ma gueule ?

— Il… il est jeune… et svelte… toi tu as grossi ces dernières années… trop gros… et…

— Et ?

-… et il sent bon…

— Et moi, je pue ?

— Tes eaux de toilette m’écurent.

— Et tu ne me baises pas pour ça ? Tu pouvais pas me demander d’en changer ?

— Et puis tu t’occupes que de toi quand tu baises. Tu rentres et tu t’agites pendant 20 minutes sans te soucier de ce que je ressens.

— Ben là tu vas en ressentir des trucs… On va voir si on va se préoccuper des desiderata de Madame !

Nous étions parvenus à destination. Damien et les mecs n’étaient pas encore arrivés. Comme il y avait eu un sinistre dans le gîte où ils devaient loger, la boîte leur avait trouvé en urgence un local communal pour les accueillir provisoirement. C’était une ancienne école rurale aménagée à la va-vite. Au rez-de-chaussée, une vaste pièce faisait pièce de vie. Lui étaient contigus les sanitaires, un vestiaire et des douches collectives. Pas de baignoire. Deux piaules à l’étage pour huit mecs.

— Planque-toi dans la caisse. En les attendant.

Ils arrivèrent au bout de dix minutes environ.

— T’es déjà là ! me dit Damien.

— Comme tu vois.

— Je me douche et j’arrive.

— J’ai une surprise pour toi et les gars.

— Quoi ?

— Vous allez tous à la douche là ?

— J’suppose, vu la chaleur… les hommes vont peut-être aller boire d’abord. Pourquoi ?

— Y a combien de temps qu’ils n’ont pas tiré de coup ton équipe là ?

— Oula ! Des plombes sans doute. Pourquoi ?- Me dit-il en riant- tu nous as amené une pute ?

— Mieux que ça, ma femme !

— Putain, t’es trop con ! Comme si j’allais te croire ! Si elle t’entendait, elle serait heureuse, tiens !

— Vrai. Elle est dans la bagnole.

— Ben voyons… et moi j’ai le pape installé dans ma camionnette ! Allez, j’vais me doucher, à toute… dit-il en riant à gorge déployée comme si je venais de lui faire une de ces blagues graveleuses dont je suis coutumier.

Et il partit au petit trot. Il n’y avait pas de temps à perdre. Les mecs étaient déjà tous torse nu en descendant de l’utilitaire, dégoulinant de sueur comme s’ils sortaient d’un sauna, ils seraient à poil dans deux minutes.

— Sors de là, catin !

Ma femme me suivit.

Dans la salle commune, l’ukrainien et deux blacks étaient en train de boire. Les cinq autres étaient déjà dans le vestiaire. Jy allais tout droit.

Deux autres blacks étaient en train de le quitter pour les douches. Damien, le Kosovar et le dernier black avaient enlevé godasses et chaussettes. Ils en étaient aux pantalons et slips. On voyait que ces gars avaient l’habitude de vivre ensemble, sans fausse pudeur.

L’arrivée de ma femme les figea sur place.

Damien écarquillait les yeux.

— Putain ! Je le crois pas ! Il l’a fait ce con !

Les trois hommes qui étaient restés à boire apparurent derrière nous.

— Allons, les garçons approchez-vous. C’est la récréation… écartez-vous bien que tout le monde en profite !

Ils se mirent spontanément en arc de cercle. On était un peu serré. Ceux qui étaient nus s’étaient caché le sexe des deux mains.

Je me plaçai derrière ma femme et j’ouvris l’impair d’un coup sec.

— Allez-y messieurs, elle est à vous. Baisez-la comme vous voulez !

Mais personne n’osa s’approcher. Cependant, sous les slips, les quéquettes se tendaient.

— Elle est à vous les gars ! C’est open bar ! Allez-y. Baisez-la par tous les trous ! Elle attend que ça !

Et je la poussais dans les bars des deux gars qui se trouvaient le plus près d’elle.

Alors, tout en me regardant incrédules, ils osèrent mettre leurs mains… puis les doigts… Je vis une main sombre caresser la touffe, écarter les lèvres, frotter le clitoris. Ma femme gémit…

Les autres hommes achevèrent alors de se dévêtir.

Plus hardi, l’ukrainien commença à palucher ma femme, qui se laissait faire, alors que tous les autres essayaient de palper ce qu’ils pouvaient.

Damien, queue dressée également, était resté en retrait près de moi.

— Pourquoi tu fais ça ?

Je lui racontai.

— Ils vont te la massacrer !

— Pourquoi "Ils". Tu veux juste te toucher en regardant ?

— Non… non… si tu permets… j’aime les gros seins et les gros culs…

— Je ne permets pas… j’exige…

— Putain… et dire que j’ai pas de capotes !

— Ben, a priori vous n’en avez pas besoin. Tu m’as dit que personne n’avait tiré son coup depuis longtemps… et tu n’as emmené personne chez le toubib récemment…

— Non, c’est vrai. Ils sont pétants de santé… Ils font des heures sup même avec la chaleur…

— Alors je crois qu’on peut y aller ! D’ailleurs rate pas ton tour. Ça a l’air de s’accélérer.

De fait, les mecs les plus robustes avaient soulevé ma femme qu’ils tenaient parallèlement au sol ; les roplopos attirés par la force gravitationnelle pendaient lourdement vers le bas en se balançant au gré des coups de bites pour autant que les mains qui essayaient de les agripper le leur permissent.

Deux gars tenaient les jambes comme pour un écartèlement tandis qu’un mec debout se cramponnait aux hanches pour se propulser et bien enfoncer son marteau-pilon tout au fond du vagin. Un black à la bite démesurée se faisait sucer.

On organisa ainsi une tournante pendant laquelle chacun put venir la tirer de la sorte. Puis, deux colosses la prirent en sandwich. Accrochée au cou du plus petit qui la soutenait de ses bras monstrueux, elle offrit sa croupe au Kosovar qui avait des velléités de sodomie. Las ! Sans lubrifiant, le pénis, de proportion pourtant modeste, ne rentrait pas.

On mit donc ma femme à genoux sur le sol. Elle se plaignit de la rugosité et l’un des Africains lui offrit immédiatement un coussin qu’il alla chercher sur un fauteuil. Il revint triomphalement avec ce douillet accessoire d’une main et, de l’autre, une plaquette de beurre. Une noix entre les miches bien blanches et un cornichon à des boules en plus, et le "sandwich" fut prêt. La bite kosovare, bien graissée par ce lubrifiant naturel au lait de Normandie, entra dans le fion et disparut jusqu’à ce que les couilles fassent butoir. Un mec s’allongeait pour se faire sucer, un autre prenait le cul en bouledogue et le rythme s’organisa.

Damien, à son tour, bourra le cul bien à fond. Il exprimait avec tous les jurons de sa connaissance, son bonheur ineffable, lorsqu’un jeune type en costard sombre, de son âge à peu près, blond comme lui mais avec une petite moustache destinée à le vieillir sans doute, et maigre comme un capelan fit irruption dans le gangbang en disant :

— Bonjour. Dit-il d’un ton cassant – Inspection du travail ! J’avais un rendez-vous avec Monsieur Damien Opagniez.

A suivre

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