Durant les vacances de noël, seule avec mon père, je le piégeai afin qu’il me baise. Après de nombreux doutes il avait fini par accepter le fait qu’avant

d’être sa fille j’étais une femme et une vraie folle de sexe.

Depuis comme des accrocs l’un de l’autre, il m’avait baisé partout dans la maison, me sodomisant sur la table de la cuisine, me pénétrant dans le

Couloir, sous la douche. Comme des chiens en rut, il me culbutait partout où il le pouvait et j’adorais ça.

Cela faisait déjà une semaine qu’on vivait cette relation quand notre attention diminua et nous nous sommes fait surprendre!

Ce matin là, papa était dans le salon au téléphone avec maman, elle était en train de lui parler de l’état de santé de sa tante. En me voyant il me fit un p’tit Signe, en guise de bonjour. Un peu vexée qu’il ne m’offre pas toute son attention, j’avais entamé une approche à quatre pattes, comme un chat je

Rampais vers son entre jambe. Avec un sourire il se laissa faire.

Je plongeais la main sous son caleçon posant ma main sur sa queue. Tendrement je la gardais conte ma paume, puis je commençais à aller et venir

Doucement, j’écartais la pièce de tissus et approcha ma bouche. Je lui jetai un regard plein de défis et de promesse, et je posai les lèvres sur ses bourses,

Lui mettant de petits coups de langues, chaud et humide tandis que ma main continuait les vas et vient sur sa hampe qui prenait de l’ampleur. Maintenant

Je lapais carrément ses bourses, puis les suçotant, les aspirant tour à tour presque entièrement en bouche. Je sentis que ça lui faisait beaucoup d’effet

Car il écarta un instant le téléphone et se mordit la lèvre alors que sa queue bander au maximum bougeait seule à cause des contractions.

Je me relevais et prit sa queue en bouche, elle était si impressionnante que je ne pus prendre que le bout. Je posa la bouche sur le gland et me mit à

Aspirer doucement, en continuant de malaxer les burnes de mon père.

Je l’entendis couper court à la conversation le souffle presque couper. Il posa alors sa main sur ma tête m’enfonçant sa queue tout au fond de la gorge

Tandis que de long jet me tombais au fond de la bouche, je crus défaillir.

Il lâcha son emprise et je toussotais en reprenant mon souffle

-"t’es dingue j’ai faillis étouffer!"

-"ah ah je croyais que tu voulais jouer! Et j’ai gagné!"

Prise au dépourvu je resta un instant muette puis entrant dans le jeu je dis :

-"ça non alors!"

-"si"

-"non"

-"si je te dis!"

Il s’était levé et m’avait prise par les épaules. Très excitée par ce petit jeu je recula petit pas par petit pas, jusqu’à ce que mon dos touche la baie vitrée

Du salon. Ce contact froid me fit frissonner.

La situation devait lui donner des idées car il glissa une de ses jambes entre les miennes et commençait à me caresser les seins avec enthousiasme :

-"attend et si on nous voit?!"

-"mais non, il faudrait que quelqu’un fasse le tour de la maison, entre dans le jardin et s’approche pour nous voir, or nous n’attendons personne, en tout

Cas personne qui se donnerait la peine de faire le tour!"

Il m’embrassait dans le cou quand il me dit d’une voix autoritaire :

-"tourne toi!"

Dans le jeu je me retournais, mes gros seins pesant sur la vitre, les mains posées à plat sur le verre de la fenêtre.

-"écarte les jambes!"

-"cambre moi ce beau petit cul!"

-"plus que ça!"

J’étais là dans le salon, mes seins coller à la baie vitrée du salon, les jambes écartées, le cul bien exposer face à mon père, il descendit lentement ma

Culotte à mes genoux. J’allais la retirer, mais il me maintient les hanches.

-"laisse la comme ça!"

J’avais remarquer que mon père adorait me prendre habiller, son plus grand délire était de me sodomiser juste en écartant un peu ma culotte, il me

Disait souvent qu’un jour on le ferait dans un lieu public. Moi je mouillais comme une folle en pensant à ça.

J’étais donc là ma culotte baissée au niveau de mes genoux, mon débardeur relever au dessus de mes seins, collés a la vitre froide, les jambes

Largement ouverte.

Il se baissa, prit mes fesses à pleine main, les écarta et se mit à me lécher la chatte. De grands coups de langues, qui devinrent plus précis, il m’enfonçait

Sa langue dans le vagin, puis donnait de petits coups de langue sur mon clitoris, ce qui me fit l’effet d’une décharge électrique.

Encore sous le coup je ne le sentis pas m’humidifier l’anus, et se relever.

D’un coup il entra son gland se qui me fit prendre encore plus d’appuis sur la baie vitrée, le visage coller à la fenêtre je voyais le jardin au travers de la

Buée provoquée par mon souffle.

Je vis quelque chose bouger, mais un peu troublée par ce que me faisait mon père je ne réagis pas tout de suite.

Quand je me rendis compte qu’une personne était dans le jardin, et qu’elle se rapprochait de la vitre je voulus en avertir mon père mais il venait de

M’agripper les hanches et me donna un violent coup de butoir, les jambes flageolantes, je n’arrivais plus à dire un mot.

Il allait et venait dans mon cul si violemment que je ne pouvais que rester coller à la vitre au risque de tomber.

Mon père le visage enfouis dans mes cheveux ne vit rien de ce que je voyais.

La silhouette se rapprochait, je vis qu’il s’agissait d’un homme, je ne l’avais jamais vu il semblait assez jeune, 17,18 ans peut être.

Il avança tellement qu’il se retrouva quasiment face à moi au travers de la vitre, il posa les mains au niveau de mes seins. Et je voyais une bosse poindre

Dans son pantalon. Il semblait très exciter.

Et bizarrement je trouve toute cette situation encore plus émoustillante.

C’est alors que le garçon sortit sa queue, moyennement longue mais très épaisse. Il commença à se branler tandis que mon père me sodomisait

Sauvagement ignorant du petit spectacle que ce garçon m’offrait.

Soudain me père releva la tête et vit le garçon en train de se branler.

Il s’arrêta net, surpris de ne rien avoir vu.

Puis voyais que le garçon semblait dans de bonne disposition et que moi ça ne me dérangeais pas il me murmura à l’oreille :

-"tu es une belle salope, hein, tu aimes être mater…"

-"hum oui!"

-" on va lui jouer le grand jeu!"

Il me plaqua de plus belle sur la vitre, me malaxant les seins pendant qu’il reprenait ses va et vient dans mon con.

Il allait me changer de position pour permettre à notre spectateur d’en voir plus quand ce dernier toqua à la fenêtre, le sexe tellement bander qu’il en

Avait le gland rouge vif.

-"ouvre!"

-"t’es sur?"

-"oui oui !"

Je fis coulisser la fenêtre.

-"bonjour, je suis le petit fils de vos voisins, est ce que je peux…participer?"

Il était vachement directe le gars!

Mon père était toujours en moi et j’étais quand même un peu gêner

-"p’pa…" a peine avais je dit cela que je m’en voulais, le gars resta inexpressif quelques secondes, puis vira au rouge:

-"ahhhh" son ton était méprisant puis il sembla se raviser "je ne dirais rien si je peux aussi participer!"

Ça y était on avait le droit à du chantage

-"non non c’est un surnom!" essayais je de rattraper.

-"ouais tu parles!"

Le gars avait toujours sa verge à l’air et cette révélation semblait lui donner encore plus d’ampleur, elle cognait contre son ventre.

Je savais au soupir que venait de faire mon père que pour lui c’était d’accord.

Je réfléchis un instant et me suis dis que finalement deux queues c’était toujours une expérience comme une autre.

-"d’accord! Mais tu te protèges!"

Je crois qu’il n’avait pas espérer une réponse positive, il resta un instant tout con, puis tapota ses poches:

-"ahh j’en ais pas!"

Mon père montra le meuble du salon sur lequel se trouvait un boite largement entamée.

Le gars se déshabilla mit sa capote et s’approcha :

-"ferme les rideaux!" dis je "j’ai pas envie d’avoir un autre visiteur!"

Il les ferma et s’approcha, il avait l’air maladroit, mon père lui avait reprit son manège encore plus dur que jamais, se délectant de ce triolisme

Improviser.

Je m’enquis de mon nouvel "amant"

-"tu as quel age?"

-"j’aurais 18 ans dans un mois! Madame!"

-"ah ah, j’ai 19 ans! Pas de madame entre nous!"

-"oui mada…euh.mademoiselle!"

-"han…hum…" mon père se déchaînait, je sentais que si le gars ne se pressait pas je n’aurais pas la forme d’être limer par un second amant.

-"je suis …hum….Sabrina…et toi?!"

-"Vincent!…euh…je…je fais quoi?!"

Mon père glissa sa main sur mon ventre pour écarter de ses doigts ma fente et dit :

-"prends là ici!"

Le voyant très troubler je pris sa verge et le dirigea vers mon ventre.

-"vient!"

Il frissonna en entrant son gland, mouillée comme j’étais on aurait pu en glisser deux comme lui en moi.

Prenant de l’assurance il prit un de mes tétons en bouche et se mit à téter comme un bébé, il ne devait pas avoir beaucoup d’expérience, mais ce

Mouvement de sussions me mit très vite en train, et je le prit par la taille pour qu’il me pénètre plus profondément, en sentant les mouvements de mon

Père au travers de la fine paroi vaginale, il eut un mouvement de recule, mais le tenant fermement il resta en moi, je lui mordillais l’oreille les mains

Sur ses épaules, lui murmurant des :

-"hum oui…prends moi, plus fort, vient…humm…"

Il n’en fallut pas plus pour qu’avec toute la fougue de sa jeunesse me se mette à me limer comme un fou.

Je sentais en moi coulisser ses deux pines, mes pieds ne touchaient quasiment plus le sol, je n’étais retenue que par mes deux amants.

Je sentais leur tressaillement chaque fois que l’un sentait la bite de l’autre en moi, jamais je n’avais été aussi bien empalée prise de toute part, limée à en

Perdre le souffle.

Très vite mon père m’éjacula en dedans, et se retira, me laissant peser de tout mon poids sur Vincent, ce dernier vacilla avant de tomber sur le sofa, je

Posais mes mains sur son torse et commença à prendre le dessus, bougeant le bassin, puissamment, le piégeant presque sous mes cuisses. Haletant il

Malaxait mes seins jusqu’à ce que je sente ses muscles se contracter. Il allait jouir…Ne voulant pas être en reste, je fis des mouvements de plus en plus

Frénétique, glissant ma main vers mon clitoris pour venir plus vite et plus fort.

-"han…haaa….huum…ouiiiiii"

Et vincent de dire sobrement :

"Je…je viens…humf…"

Juste le temps de reprendre mon souffle et je me relevais de dessus lui.

Flageolantes, j’allais vers mon père qui s’était assis dans le fauteuil pour mater mes ébats avec vincent. Je sentais son jus me couler de l’anus vers mon

Entrejambe. Il me prit tendrement sur lui, je me lovais au creux de son cou.

-"tu as aimé?!"

-hum…oui!"

-"alors on recommencera hein vincent!!"

Vincent s’était redressé

-"avec plaisir!…quelle journée!" Il avait un large sourire "qui aurait pu dire que j’allais autant m’amuser chez mes grands parents!"

Les yeux dans le vague vincent dit :

-"comment vous en étés venus à…faire ça entre vous?!"

-" c’est une longue histoire ça!" dis je énigmatique…

-"mais on a tout notre temps!"

À suivre.

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