JEUDI

Drrrr ! La montre bracelet vibre au poignet de Marc. Dun geste machinal celui-ci arrête le mécanisme, se retourne et continue de dormir en enlaçant Marjorie Des coups frappés contre la porte le font sursauter. Un coup dil à sa montre

— Merde ! Sept heures moins cinq ! Eh Luc ! Réveille-toi !

Il secoue son copain dont les bras et les jambes sont emmêlées avec Line.

— Hein ? Quoi ?

— Grouille-toi ! Jai pas entendu mon réveil.

Les filles grognent, veulent sagripper à leurs compagnons qui se dépêtrent à la hâte.

— Excusez-nous, nous sommes en retard, à tout à lheure.

Pas le temps dune toilette même rapide. Ils enfilent leurs vêtements et courent rejoindre léquipe des responsables.

— Tas bien dormi ? demande Line.

— Oh oui !

— Tas pas mal euh dans euh Là, précise-t-elle en touchant les fesses de sa cousine.

— Non, pas du tout

Marjorie frémit au souvenir de lintense jouissance qui la enveloppée quand Bernard taraudait son cul, aussi forte que lors dune possession normale, presque meilleure

— Et toi ? soupire-t-elle.

— Euh un peu.

— Dis, tu le referas ?

— Je sais pas Je préfère lautre coté

Les deux filles se font face. Ensemble elles portent les doigts, Line à la poitrine de Marjorie, et celle-ci sur le ventre de sa cousine.

— Quest-ce quelle te faisait Lucille ?

Line rougit et retire la main du sein quelle effleurait du bout des doigts.

— Elle elle

— Elle te caressait ?

— Ou oui.

— Tu la caressais ?

— Ou oui.

— Tu veux pas faire pareil avec moi ? Sil te plait, insiste-t-elle en introduisant un doigt fureteur entre les cuisses.

Leurs figures se rapprochent, les lèvres se joignent

— Aah ! soupire Line en reprenant sa respiration.

Finies les hésitations ! Quelle était bête de ne pas en profiter la veille au matin ! Elle reprend la bouche de Marjorie et patouille la poitrine de sa cousine pendant que ses cuisses sécartent devant une main curieuse

Un brouhaha leur fait reprendre conscience. Elles se lèvent dun bond, heureuses de leur nouvelle complicité et la séance de toilette est le prétexte à de tendres caresses trop vite interrompues.

Lors des cours de ski du matin, les deux filles mal reposées des frasques nocturnes accumulent erreurs sur erreurs et se font réprimander, Line par Lucille et Marjorie par Luc. Au repas de midi, Bernard les informe que le lendemain matin il organise une petite compétition pour décerner des médailles aux plus habiles et que les leçons de laprès-midi représentent la dernière chance de progresser. Marjorie rougit car elle a limpression que le directeur la fixe en proférant cette mise en garde. Cela ne lempêche pas de sattirer les reproches de Luc en faisant fautes de carres sur fautes de carres qui se terminent immanquablement par une chute.

Le soir au repas Bernard annonce à nouveau la compétition qui se déroulera dans les toutes premières heures. La remise des médailles gagnées le matin aura lieu juste après le repas du soir. Après la compétition, tout le monde est convié pour une ballade à ski hors piste et un pique-nique sur la neige pour profiter du beau temps prévu. « Hors piste », le mot magique fait bruire la salle. Les adolescents se regardent entre eux excités.

— Reposez-vous bien cette nuit, la journée de demain sera longue et cest valable pour tous, même pour les moniteurs, insiste-t-il en fixant Luc et Marc. Bonne nuit à tous

Marc veut embrasser Line dès leur arrivée à la chambre. La jeune fille le repousse.

— Pourquoi ?

— Tas pas entendu Bernard ? Tout le monde doit être en forme pour demain.

— Juste un baiser

— On verra tu viens Marjorie ?

Les filles senferment dans la petite salle deau. Les garçons se déshabillent et se glissent tout nu sous les couvertures. Ils sont confiants. Une fois au lit, les deux cousines se laisseront faire enfin, ils espèrent.

— Eteignez sil vous plait, leur intime la voix de Line.

Luc se précipite vers linterrupteur et revient en courant senfouir sous les draps. Il voit deux ombres graciles savancer vers la couche.

— Ecartez-vous !

Les garçons rampent sur le dos pour libérer la place. Ils sont satisfaits de sentir la peau nue sous leurs doigts. Malgré les ordres de Bernard, leurs compagnes ne souhaitent pas renoncer aux joies du sexe !

— Oh ! On sest trompée, déclare Line.

Remue ménage sous les couvertures qui se calme lorsque Marc peut patouiller les fesses de Marjorie et Luc appuyer le ventre contre celles de Line. Les deux filles se font face. Elles se bécotent doucement pendant que des mains cajoleuses parcourent leurs épaules, la poitrine, le ventre plat et se perdent parmi les poils du pubis.

Luc insère sa queue entre les cuisses, frottant de la hampe les lèvres du sexe. Pour éviter de gémir, Line colle sa bouche sur celle de Marjorie. De son coté celle-ci souvre aux caresses digitales de Marc sur son petit trou.

— Est-ce que je peux là ? lui murmure-t-il à loreille en introduisant un bout de doigt.

— Quest-ce quil dit ? interroge Line.

— Rien réplique sa cousine qui reprend les lèvres et enfonce la langue.

Marc comprend quil a le champ libre. Il trempe le doigt dans le vagin et le ressort enduit de cyprine dont il tartine le pourtour et lentrée de lanus. Il dépose le surplus sur la verge. Il est prêt ! Marjorie soulève une cuisse pour permettre le passage. Marc cherche de la pointe du dard et trouve lentrée convoitée. Au dernier moment il hésite. On ne sait jamais avec ces presque vierges, elle serait capable dameuter tout le chalet si elle se rétractait.

— Tes sûre que tu veux ? murmure-t-il.

— Pousse !

Le gland passe le barrage musculaire.

— Ouch !

— Quest-ce que tas. Il te fait mal ? sinquiète Line

— To Toccupe ! Aaah !

Luc est vexé que Marc soit allé plus vite que lui. De la main il écarte les cuisses de Line, ses doigts ouvrent lorifice du vagin, vites remplacées par une queue impatiente.

— Aaah !

Les deux filles sont poussées lune contre lautre à chaque coup de rein de leur pourfendeur. Elles continuent léchange de salive dans leur bouche. Leurs mains vont à la découverte du sexe opposé.

Line pousse une exclamation étouffée par le baiser en découvrant quel orifice Marc honore.

— Tu tu aimes ça ? arrive-t-elle à proférer quand sa cousine la laisse respirer.

Marjorie pour toute réponse insiste sur le clitoris de sa cousine. « Bah ! Puisque ça lui fait plaisir » pense Line. Elle enfonce le majeur dans le vagin. Elle rougit de sentir le sexe masculin déformer le conduit voisin. Elle introduit un deuxième doigt et tente de saisir la tige.

— Ouiii ! soupire Marjorie.

Malheureusement, Line sous lemprise de la jouissance montante ne peut continuer. Elle a peur quun mouvement involontaire fasse mal à sa cousine et retire les doigts de la grotte et sactive sur le clitoris.

Létreinte est longue car les garçons retiennent leurs coups de reins et évitent daccélérer la cadence. Enfin les gémissements samplifient, les deux filles doivent sagripper lune à lautre pour mieux résister aux assauts de leurs cavaliers jusquà lexplosion finale Ils sendorment sans se délier

Au milieu de la nuit Marjorie est réveillée par une gêne dans le postérieur. Elle tente de se retourner mais ne peut, coincée par la queue de Marc en pleine érection. Elle se libère en avançant le bassin. La gêne disparaît. La jeune fille se retourne vers son compagnon et samuse à caresser la hampe raide. Marc gémit et se retourne dans son sommeil, privant Marjorie de son jouet. Elle se colle dans le dos du garçon et sendort en entortillant les doigts dans les poils du torse.

A suivre…

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