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J'ai surpris ma tante – Chapitre 1




Je vis dans une petite ville de province et j’ai 20 ans. Cette histoire a commencé il y a un an.

Je vis toujours chez mes parents qui sont tous les deux instituteurs. Dans la même ville vivent mon oncle, entrepreneur, et ma tante qui ne fait rien car son mari est très riche. Mon oncle qui a 45 ans est très sympa et nous avons la même passion : la photo animalière. Ma tante, 47 ans elle, est très désagréable, très snob et son côté bourgeois est vraiment exécrable. Elle méprise sa sur jumelle, lune est le double de lautre, qui a épousé un modeste instit. Avant leurs mariages, les surs étaient inséparables, elle saimaient dun amour que seuls les jumelle connaissent. Aujourdhui Huguette ne manque jamais une occasion pour nous rabaisser et me faire remarquer que je ne suis qu’apprenti chez un fabriquant de meubles alors que sa fille est en fac. Vous avez compris que j’adore mon oncle et déteste sa mégère de femme qui pourtant m’excite énormément. Elle est châtain clair, voyez aussi ma mère dans cette description, mesure 1m73 alors que je ne fais que 1,70, plutôt plantureuse avec de gros seins. J’adore la reluquer à la piscine car elle n’a pas une once de cellulite et a des cuisses fantastiques. Très souvent je me masturbais en pensant à elle.

Cette histoire a commencé un dimanche où mon oncle était venu m’aider à bricoler des étagères dans mon labo photo. Il devait rester manger à la maison et ma tante nous rejoindre après la messe. Car en plus elle est plutôt bigote et fait partie de plein d’associations caritatives. A un moment, mon oncle me dit : " J’ai oublié ma ponceuse à bande, tu peux pas aller la chercher et en même temps ramener mon appareil photo, comme cela on pourra faire des essais cette après-midi."

Aussitôt demandé, je prends mon vélo et pars chez mon oncle.

Comme il n’y a personne dans la maison, je passe par derrière et monte à son bureau pour prendre l’appareil photo. Et là, surprise, alors que j’allais descendre à l’atelier, j’entends des bruits à l’étage alors que je sais la maison vide car ma tante est à l’église. Curieux, je monte discrètement à l’étage et tends l’oreille. Les bruits proviennent de la chambre de ma cousine que je croyais en fac à Paris. Je m’approche sur la pointe des pieds de la porte et constate qu’elle n’est que poussée. Visiblement, aux bruits, ma cousine s’envoie en l’air avec son copain. Plutôt que redescendre, je pousse légèrement la porte pour voir ce qui s’y passe. Je fais cela très doucement. J’ai une vision trois quart arrière du lit. Et là, la surprise , c’est Henri le meilleur copain de mon oncle qui est en train de pistonner ma cousine . Je suis estomaqué car il a 40 ans et elle 19. Je vois d’ici le scandale si ça se sait. Je continue de regarder car c’est drôle de voir Henri avec ses fesses poilues et son crâne tout dégarni souffler comme un phoque. En disant :"ah c’est bon, taime ça hein, te faire ramoner par ma grosse bite, dis que je te bourre bien salope "

Et alors là, re-surprise car c’est la voix de ma tante que j’entends :" oh oui mon chéri, continue, plus fort, ne t’arrêtes pas, plus profond, comme ça oui c’est bon, continues ".

J’en suis resté comme deux ronds de flan, c’était ma tante qui baisait alors qu’elle devait être à la messe.

L’occasion était trop belle, j’ai pris l’appareil de mon oncle et j’ai commencé à mitrailler la scène. Ma chère tante, les cuisses écartées et les jambes sur les épaules d’Henri, ma tante se faisant prendre en levrette avec ses gros seins qui se balançaient au rythme d’Henri qui se déchaînait, ma tante avec la bitte d’Henri entre les seins mais qui refuse de le sucer. Pas content Henri. Et point dorgue, ma tante écartelée qui se fait sucer et qui en redemande.» oui, oui, continue, cest bon, plus vite ta langue, j’arrive, t’arrête pas c’est trop bon." Si ce nétait la voix de ma tante puis le nom de hi guette qui raisonnais au file de la baise, jaurais pu pensais que cest ma mère qui se faisait niquer par Henri. Oui, ma tante aurait pu se venger de linstit de mon père en offrant sa jumelle à Henri.

J’ai pu faire des gros plans fantastiques de sa jouissance. Et Henri têtu qui réclame son du :"je t’ai bien sucée et prise tout ton jus dans la bouche, tu peux me faire pareil quand même " Ma tante a fini par céder :"d’accord je te suce mais tu ne jouis pas dans ma bouche !

"Ok, daccord mais suce moi vite ma chérie j’en peux plus "

Là, j’ai fais les plus belles photos, ma très chère tante à quatre pattes qui prend la bitte d’Henri du bout des lèvres, je vois son beau fessier remuer. Et toujours Henri qui s’énerve :"mais suce bon dieu, fais pas semblant ". Et le voilà qui prends la tête de ma tante et appuie dessus pour l’obliger à avaler sa queue. Maintenant c’est lui qui rythme le mouvement. En fait, il lui baise la bouche. "Ah c’est bon, ta langue, plus rapide, oui, enfonce là bien, comme ça, oui continue je viens " Et là, il lui appuie la tête contre son ventre et se cambre en râlant .Ma tante se redresse furieuse et recrache le sperme qu’elle avait dans la bouche tout en s’essuyant avec un revers de main.

"T’es dégueulasse, Henri, tu sais bien que je déteste ça, je déteste le goût, si j’avais su je t’aurais pas sucé"

En attendant, moi j’ai pris deux rouleaux de photos fantastiques.

Je me suis alors retiré aussi doucement que j’étais arrivé. J’avais bien sur une trique d’enfer et arrive dans la cuisine je me suis masturbé et j’ai éjaculé sur la table de la cuisine. Je suis parti en laissant la trace de mon passage.

Je suis rentré très vite à la maison, ai donné son appareil à mon oncle qui est parti faire des essais de macros dans le jardin, et me suis précipité dans le labo pour développer les deux pellicules. Et ça n’a pas traîné, en une demi-heure, javais 48 photos de ma tante qui ne m’intimidait plus du tout.

J’en ai choisi une, que j’ai fait sécher, et je suis descendu rejoindre tout le monde qui se demandait où j’étais passé. Ma tante était à, de retour de la messe, un peu en retard car elle était restée discuter avec le cure, dit-elle.

Je la trouvais superbe dans son tailleur gris très bon chic bon genre et son chemisier qui mettait ses seins en valeur. Je bandais comme un âne avec le cur qui battait la chamade. Je suis parti au wc et après quelques va et vient, re-grosse éjaculation.

Elle continuait à m’exciter et quand je la regardais, je ne pouvais m’empêcher de la voir sur le lit avec les cuisses écartées. J’en pouvais plus. Quand elle s’est assise dans le canapé, j’ai cru que j’allais encore éjaculer dans mon pantalon.

A un moment, elle s’est levée et est allée aider ma mère dans la cuisine. De dos, je voyais sa CROUPE, la même que celle de ma mère, et pourtant je faisais une fixation sur la sienne même si je me disais quen voyant la celle de lune jai vu celle de lautre c’était intenable, j’avais l’impression que tout le monde me regardait et que j’étais tout rouge.

Je me suis levé à mon tour et suis parti à la cuisine, elles préparaient les toasts . Le premier plateau fini, ma mère l’a apporté au salon et je suis resté seul dans la cuisine avec ma tante, qui tout d’un coup me dit :"alors Marc, tu pourrais nous aider, toujours aussi fainéant à ce que je vois. Tu ferras rien de bon dans la vie si tu ne te secoues pas un peu ". Alors là, je ne sais pas ce qui m’a pris mais je lui ai répondu :

"tiens au fait, ya le curé qui m’a donné ça pour toi «.

Et je lui ai tendu la photo que j’avais dans ma poche avant de quitter précipitamment la cuisine et retourner au salon.

J’attendais son retour avec impatience.

En attendant son retour, mon cur battait à deux cents pulsations au moins. Comment allait-elle réagir ?

Enfin, elle arriva avec le deuxième plateau de petits fours. Bien sûr, je scrutais son visage. Si je n’avais pas su qu’elle venait de voir une photo d’elle allongée se faisant sucer la chatte, les cuisses largement écartées, par Henri le meilleur ami et employé de son mari, je n’aurais rien remarqué.

Dieu qu’elle était belle dans la plénitude de ses 47 ans très bien conservée. Avec son visage plein, parfaitement fardé, son chignon de femme BCBG, ses grandes lunettes, elle me faisait bander comme ce nétait pas possible. Quand elle passa le plateau, je pris mon courage à deux mains et la regardais droit dans les yeux avec un sourire que j’espérais convaincant. C’est elle qui baissa son regard et je remarquais que le plateau tremblait un peu trop.

Elle était donc sur des chardons ardents et n’en menait pas plus large que moi. Cela me rassura complètement.

Pendant tout le repas, je n’arrêtais pas de la regarder et dans ma tête, je remplaçais déjà Henri. Je fixais sa bouche et ne pouvais m’empêcher de l’imaginer suçant ma queue. J’ai donc passé tout le repas avec une trique d’enfer. A un moment où elle me regardait à la dérobée, j’ai même osé sucer mon majeur de façon suggestive .Elle a de suite détourné son regard mais elle avait rougi.

A partir de ce moment, je crois que j’ai passé une année à bander en pensant à son corps que je désirais comme un fou.

Toutes les occasions étaient bonnes pour la détailler et de la déshabiller du regard.

A la fin du repas, mes parents proposèrent une promenade en foret. Au cours de cette promenade, ma tante se débrouilla pour être à côté de moi et se laissa légèrement distancer du groupe. Moi, je ne faisais rien, j’attendais la suite avec une grande curiosité.

"Qu’est ce que c’est que cette histoire, Marc ? C’est toi qui as pris cette photo ? "

"Bien sûr ma tante et il y en a beaucoup d’autres "

"Et que veux tu ? De l’argent ? Combien ? Tu sais bien que c’est ton oncle qui est riche, pas moi. Et d’ailleurs tu vas me faire le plaisir de me les donner sinon je dis tout à ta mère

A ces mots, jai accéléré l’allure. C’est elle qui m’a rattrapé et qui m’a dit : "Alors que décides-tu? "

"Il est hors de question de vous donner ces photos ma tante, elles sont trop chouettes. Depuis le temps que je me masturbe en pensant à vous, maintenant au moins j’ai les photos "

"Petit saligaud. Et tu crois que je vais rester comme cela? Que veux-tu à la fin ?

"Ce que je veux ma tante c’est remplacer Henri et vous faire tout ce qu’il vous a fait. Après je vous rendrais toutes les photos et les négatifs."

"Tu es fou ou quoi? Je suis ta tante, la sur de ta mère, et je pourrais être ta mère. C’est hors de question "

"Bon, on verra bien tantine (elle déteste ce terme), mon oncle est très jaloux, vous le savez. En plus ça mettrait Henri dans une drôle de situation, vous ne croyez pas ?"

Le groupe devant avait fait demi-tour et la discussion s’arrêta là.

De retour à la maison, mon père et mon oncle s’installèrent devant la télé et les deux femmes discutèrent dans la cuisine. En tendant l’oreille, je me suis rendu compte qu’elles ne parlaient pas du tout de mon affaire.

Pendant le repas du soir, j’étais assis face de ma tante et j’avais tout le loisir de la dévisager. Je savais que ce que je faisais était dégueulasse mais je ne pouvais pas résister à cette envie tenace que j’avais dans le bas ventre. Ras le bol des bonnes conduites qui nous font rater tant de choses. A un moment où elle parlait avec mon oncle, j’ai tendu la jambe en la regardant et glissais mon pied que j’avais déchaussé entre ses genoux. Instinctivement, ses cuisses se sont resserrées et elle m’a regardé. Si son regard avait pu tuer je ne serais pas là à vous narrer mon histoire. Mais elle n’a rien dit. Aussi, plusieurs fois au cours du repas, j’ai laissé mon pied s’égarer. Sans grand succès il faut l’avouer. A la fin du repas, jai laissé tomber un couvert et me suis baissé pour le ramasser après l’avoir légèrement poussé du pied sous la table. Là, j’ai cru que j’allais décharger dans mon pantalon. La fourchette étant assez loin sous la table, j’ai poussé naturellement ma chaise et me suis mis à quatre pattes. J’avais sous les yeux les cuisses de ma tante serrées l’une contre l’autre. Alors j’ai glissé mon bras très rapidement entre la jupe et ses cuisses que j’ai pu palper. Pas très longtemps, mais qu’elles étaient douces et charnues. A en rêver.

Quand je me suis relevé, j’étais estomaqué de l’audace que j’avais eue. J’étais complètement en dehors du repas. Il était temps de participer à la discussion générale pour ne pas éveiller de soupçons. Ma tante discutait comme si rien ne c’était passé. Quelle maîtrise elle avait !

Ces petits intermèdes ne m’avaient pas calmé loin s’en faut.

Après le repas, tout le monde participe pour débarrasser la table, les hommes au transport et les femmes au lavage pour les couverts fragiles. Peut-être encore une occasion d’en profiter pensais-je de suite. J’étais toujours sur un nuage, inconscient des risques que je prenais. Ma tante était au lavage des couverts fragiles car ma mère est un peu brusque pour ne pas dire plus. Moi, j’amenais les couverts et toutes les occasions étaient bonnes pour frôler ouvertement ma tante. A chaque fois, elle se dégageait en me fusillant du regard. A mon dernier voyage, elle était seule dans la cuisine, les mains dans l’eau de vaisselle. Je déposais rapidement les objets dans l’évier et vins me coller dans son dos. Je me frottais contre ses fesses et elle ne pouvait plus ignorer l’état de mon sexe. Dans le même temps, j’avais passé mes bras sous les siens et pris ses seins dans mes mains. La situation me fait encore bander aujourd’hui. Ses seins étaient bons, comme de la bonne pâte à pétrir. Encore durs mais d’une souplesse que les jeunes n’ont pas. C’était merveilleux mais malheureusement bref car elle s’est retournée, m’a repoussé en disant :" Ca suffit Marc, tu exagères, n’importe qui peux entrer " Tiens donc, c’est ça qui la tracasse, se faire surprendre "M’en fou, de toute façon je vous aurai. Ce soir je vais encore me masturber en pensant à vous mais bientôt c’est vous qui me ferrez juter "

"T’es complètement fou mon pauvre Marc, tu rêves ou quoi. Vas donc fréquenter les filles de ton âge"

La discussion s’arrêta car ma mère entra "Encore là vous deux, toujours à vous chamailler je suppose, tu sais, Huguette (ma tante ), Marc n’est pas doué pour les études mais son maître d’apprentissage est très content de lui. Je suis sûre qu’il aura un bon métier "

Quand tout fut rangé, mon oncle et ma tante nous quittèrent. J’en profitais d’ailleurs, lors des bisous d’adieu, à embrasser la chère Huguette presque sur la bouche.

Je montais directement dans ma chambre et m’installais très confortablement pour une séance de masturbation devant les photos qui me faisait rêver. Malheureusement, jétais dans un tel état d’excitation qu’après trois ou quatre aller-retour de ma main sur mon sexe je déchargeais déjà. Jamais je n’avais produit une telle quantité de sperme, j’en avais plein la main. Dommage que ma tante n’ai pas profité de ce bon jus fabriqué pour elle.

Le lendemain, je partais pour trois semaines de stage. Dieu que ces trois semaines furent longues. Je n’arrêtais pas de penser et de me branler en me remémorant cette journée fantastique. J’en arrivais à croire qu’elle sortait de mon imagination.

Enfin le jour du retour est arrivé. Pendant tout le temps du voyage dans le train, je ne pensais qu’à ma tante et étais dans un état d’excitation extrême. J’avais ma main dans la poche et mon sexe était dur comme une barre d’acier.

A l’arrivée, surprise, c’est ma tante qui est là. Pas un bonjour, pas un bisou, rien.

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