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De l'initiation à la finalité – Chapitre 23




Installation chez Didier

J’arrivai chez Didier vers 10 heures, il m’attendait derrière le portillon de son pavillon, il m’entraîna à l’intérieur et m’enlaça, il écrasa ses lèvres sur les miennes, je m’abandonnai et nous échangeâmes un baiser enflammé qui me laissa pantelant.

Didier s’écartant de moi me dit ’Alors ça y est tu viens vivre

    définitivement près de moi.

– Presque…

– Comment ça presque ?

– Parce que nous avons beaucoup de choses à nous dire avant.

– Quoi par exemple.

– Qu’attends-tu de moi au juste ?

– C’est simple, je t’aime et tu viens vivre avec moi, tu vas

    devenir ma femme, c’est tout.

– D’accord, mais comme je te l’ai souvent dit, je ne suis pas

    une femme et vivre avec quelqu’un veut dire arrêter de

    travailler.

– Oui et alors ?

– Ca veut dire que tu dois m’entretenir.

– Oui c’est bien comme ça que je voyais les choses. Pas toi ?

– Je voulais être sur.

– Il n’y a aucun problème j’ai toujours vu ça comme cela.

– Bien voilà déjà un point de régler.

– pourquoi il y en a d’autres.

– Oui, avant d’arrêter de travailler, il faut que je donne ma

    démission.

– Oui ?

– Bien pendant ce temps même si nous vivons ensemble, il ne

    faudra pas prendre l’habitude de faire l’amour n’importe

    quand, je ne me vois pas aller au boulot avec le cul ouvert.

– Cela va de soit, pendant ce temps nous ne ferons l’amour que

    le week-end. Cela te va-t-il ?

– Oui, très bien, il y a aussi mes meubles et mon appartement,

    étant donné que je n’aurai plus de quoi le payer je dois

    donner congé.

– Bien sur en ce qui concerne tes meubles, tu n’as qu’à les

    vendre.

– C’est vrai…

– Alors tu vois qu’il n’y a aucun problème. Hein ?

– Tu as raison, donc je peux venir puisque tout est réglé.

– C’est cela même.

– Pourrais-tu venir m’aider à faire mes valises ?

– Bien sur mais après déjeuner et après que tu m’ais fait une

    des superbes pipes que ta merveilleuse bouche sait faire.

– D’accord mais alors d’abord buvons pour sceller ce jour où

    vraiment je t’appartiens.

– Tu as raison, la pipe ce sera après manger’.

Je sortis du sac que j’avais avec moi une bouteille champagne et nous installant dans la salon nous bûmes tout en plaisantant, Didier était visiblement très heureux et moi aussi, je voulais vraiment vivre avec lui, l’être que j’aimais de toutes mes forces.

Une fois la bouteille vidée, nous nous installâmes à table où nous déjeunâmes.

Le repas fut succulent et vers 2 heures nous sortîmes de table, je préparai un café à mon homme et lui dis de se mettre dans le salon.

Quand je rentrai avec le plateau, il était assis dans un fauteuil, je posai sa tasse sur la table et m’agenouillai devant lui.

Je défis sa ceinture et déboutonnai sa braguette, quand j’ôtai son pantalon, je vis que son slip déjà bien tendu arborait une tâche humide annonciatrice.

Je le baissai et me retrouvai face à une verge en érection, je commençai à caresser le pénis érigé.

Celui-ci réagit aussitôt, il grandit encore, l’entourant de mes doigts je me mis à le masturber lentement.

Au bout de quelques instants de ce traitement, Didier qui avait fermé les yeux tendait son ventre vers moi.

J’arrêtai mes attouchements manuels, penchai ma tête vers ce magnifique priape et du bout de la langue, je me mis à lécher le gland turgescent.

Mon amant laissa échapper un gémissement, ouvrant tout grand la bouche j’enfournai l’objet de ma dévotion et commençai à monter et descendre dessus.

Je suçai cette merveilleuse pine une demi-heure m’arrêtant chaque fois que je sentais les prémices de l’explosion, mais mon mec n’y tenant plus, prit ma tête entre ses mains et l’immobilisa et se mit à donner des coups de reins violents se servant de ma bouche comme d’un cul.

Soudain plaquant mon visage contre son pubis, il éjacula en râlant, une énorme giclée de foutre pulsa au fond de ma gorge et je l’avalai avec délice continuant à flatter la bite qui tressautait dans ma bouche.

Quand Didier me relâcha il me dit ’Tu suces vraiment comme une

    déesse, ta bouche est fantastique, tu m’as bien fait jouir

    ma petite femme.

– C’est normal mon chéri, je dois tout te donner.

– Merci ma chérie, allez viens allons chez toi chercher tes

    affaires, faisons vite, ta pipe m’a mis en appétit, j’ai

    très envie de ton petit cul’.

Je baissai les yeux et vis le fabuleux membre de Didier de nouveau dressé, je lui dispensai une légère caresse et nous partîmes.

Nous revîmes environ 3 heures après, je n’eus pas le temps de dire ouf que Didier me prit dans ses bras et m’amena dans la chambre à coucher.

Une fois dans la pièce, l’homme m’enlaça, ses lèvres écrasèrent les miennes et nous échangeâmes un baiser passionné

Quand il abandonna ma bouche, j’avais le souffle court et le rouge aux joues, Didier me dit ’Déshabille-toi, depuis l’autre

    jour je ne fais que rêver de ton cul, vite montre le moi’.

Je m’exécutai et quand je fus nu, mon amant me dit ’Déshabille-moi maintenant’.

J’obéis, quand je baissai son slip, son sexe érigé maculé de sperme séché pointa vers le plafond.

Posant ses mains sur mes épaules l’homme me força à me mettre à genoux puis il s’approcha de moi jusqu’à ce que on pénis bute contre mes lèvres, j’ouvris tout grand la bouche en engloutis l’objet de ma dévotion.

Je me mis à faire monter et descendre mes lèvres sur le priape tout en le mordillant et en le caressant de ma langue.

Au bout de quelques instants de ce traitement, la respiration de mon homme s’était accélérée, il creusait les reins chaque fois que j’embouchai son membre jusqu’à la garde pour me l’offrir totalement.

Au fur et à mesure de mes attouchements buccaux sur son phallus, Didier se mit à gémir, ses reins se soulevaient pour venir à ma rencontre, il posa sa main sur ma nuque et rythma le tempo auquel il voulait être sucé.

Je ne savais plus depuis combien de temps je pompais ce sexe dur, j’avais mal aux mâchoires à force de les garder grandes ouvertes.

Soudain mon homme me repoussa et me fit allonger sur le dos, il me fit ouvrir les cuisses, écarta mes fesses brûlantes de ses mains et commença à me masser les fessier tout en glissant un doigt sur ma raie.

Ce contact m’électrisa, sous ses caresses légères mon postérieur devint brûlant, j’écartai les cuisses au maximum et poussai un soupir de bien-être.

Sa bouche avide prit possession de ma raie et de mon anus, sa langue pointue vint aussitôt darder ma pastille, je ne pus retenir un râle face à ce baiser lingué qu’elle échangeait avec mon antre et auquel je m’abandonnai avec langueur.

Sous ses coups de langue experts mon trou s’ouvrit, je poussai un gémissement langoureux et creusai les reins pour m’offrir plus encore à ses caresses buccales qui me transportaient au septième ciel.

La langue de mon mec me pénétrait comme un petit phallus m’arrachant chaque fois des gémissements, j’étais tout à mon plaisir, je me tortillais sur le lit le cul en feu.

Patiemment Didier m’ouvrit complètement le sphincter, sa langue râpeuse allait et venait sur ma corolle, je me sentais fondre tant ce traitement était bon.

J’étais totalement en transe, je voulais qu’il me baise et je lui dis ’aaaahh je t’en supplie, encule-moi ahhh’.

Mon amant, sourd à mes supplications, continua à me travailler le cul jusqu’au moment où ne tenant plus, je me mis à onduler au rythme de trois de ses doigts qui me possédaient.

Je n’étais plus que frémissements, ma tête rejetée en arrière ballottait de droite au gauche en cadence avec les allées et venues au fond de mon fondement.

Quand, jugeant que les prémices avaient assez duré, il stoppa ses doux sévices sur mon corps pantelant.

Mon homme se mit à genoux entre mes cuisses, il prit mes jambes et les posa sur ses épaules, il m’approcha de lui jusqu’à ce que son pénis bute contre mes fesses

Il les écarta et positionna sa hampe contre l’orée de mon canal affamé et lentement me pénétra.

Je poussai un petit cri quand le gland vermillon déflora mes chairs, mon mec m’enfessa avec une lenteur calculée procédant par de petits coups de reins

Quand il fut entièrement en moi, il ressortit sa verge turgescente et de son bout durci commença à m’assouplir la pastille.

Quelques instants de ce traitement et mon cul se décontracta, céda et s’ouvrit complètement, alors Didier me pointa et d’un violent coups de reins m’empala me faisant frémir, puis se mit à me posséder lentement me faisant gémir chaque fois que le pénis s’enfonçait en moi jusqu’à la garde.

Ses lents va et viens dans mon canal enflammé achevèrent de me faire perdre pied, sous l’effet de ses coup de boutoir mes gémissements se transformèrent en râles de bonheur.

J’allai à la rencontre de ses assauts pour être sur que toute la hampe entre en moi, la verge érigée sortait presque entièrement de ma grotte et replongeait lentement jusqu’aux tréfonds de mon cul en fusion.

De temps en temps mon homme sortait totalement sa pine de moi, me caressait tout le long de la raie et me renfilait d’un grand coup de reins.

Je me mis à onduler tendant mon arrière-train vers la biroute qui me donnait tant de plaisir, je mordais les draps pour ne pas hurler de jouissance.

Je voulais qu’il me prenne plus fort, qu’il me fasse mal, qu’il me casse le cul, je le suppliai de me défoncer mais sourd à mes cris mon amant continuait de me besogner avec une régularité de métronome.

Je me sentais partir encore plus à chaque va et viens de ce pénis qui me forait les reins, je ne savais plus depuis combien de temps il était en moi, mais je voulais qu’il y reste le plus longtemps possible tant le plaisir qu’il me donnait était grand.

Dans mon trou bien dilaté le phallus coulissait sans aucune gène, la bouche grande ouverte je râlai sans discontinuer tout en soulevant ma croupe de la couche pour venir à la rencontre du membre qui me ramonait le prose.

Tout mon corps était secoué de frissons de désir, je griffai les draps tant le bien-être que me procurait ce priape roide était intense.

J’avais perdu toute notion des choses, je ne vivais plus que pour et par la bite qui me forait les reins, je voulais qu’elle reste indéfiniment fichée entre mes fesses.

Je me tordais comme un damné sous les coups de queue qui me portaient au septième ciel, mon mec me limait maintenant à une vitesse folle, j’avais rejeté la tête en arrière et tout à mon plaisir je hurlai sans discontinuer.

Je sentais la pine raide bouger en moi et je me dis que si mon amant continuait à me baiser de la sorte, il allait me déchirer le cul mais je ne voulais pas qu’il s’arrête, c’était trop bon.

Didier me pinait avec des ’HAN’ de bûcheron, le désir avait pris entièrement possession de mon corps, je décollai de sur la couche chaque que mon homme s’enfonçait au plus profond de mon puits d’amour tant il me pilonnait le derrière violemment, j’avais planté mes ongles dans ses épaules.

Peu à peu je me sentais m’envoler, je planais littéralement sous les virils coups de bite que mon amant m’assenait, son ventre musclé claquait contre mon derrière à me faire mal.

En cet instant seul comptait pour moi cette queue roide qui me démolissait la corolle, j’avais le cul complètement éclaté, entre les bras de mon homme j’étais tel un pantin désarticulé, de ma bouche ne sortait plus qu’un ’aaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhh’ continu.

J’avais atteint le point de non-retour, je sombrai dans l’univers cotonneux de la jouissance où seul comptait la pine qui me limait de toute sa longueur, m’ouvrant encore plus le cul chaque fois qu’elle plongeait au plus profond de moi.

Mes fesses étaient bouillantes et j’avais l’impression que de la lave en fusion coulait dans mon rectum sous les coups répétés de mon mec qui me rendaient fou, perdant toute retenue je me mis à délirer.

Un orgasme foudroyant me balaya, je hurlai mon plaisir à plein poumon tendant ma croupe vers le pénis qui me forait pour accentuer la pénétration et je retombai lourdement sur la couche sombrant dans l’inconscience.

Quand je revins à moi, je me rendis compte que mon homme n’avait pas pris son plaisir, il continuait à me bourrer en de larges coups de boutoir, son ventre claquait contre mon derrière en fusion.

Chaque fois qu’il m’enfilait je faisais un bond en avant tant il me besognai avec vigueur, ce qu’il me faisait était si bon que je voulais qu’il me casse le fion.

Mon corps n’était plus que jouissance, un brasier énorme brûlait en moi et seul cette queue pouvait l’éteindre, je voulais sa liqueur qu’il m’inonde le cul.

Didier me possédait avec des ’HAN’ de bûcheron, sous ses coups répétés, je me tordais comme un damné sous lui me cambrant au maximum et écartant les jambes à me faire mal pour me donner plus encore.

Je ne vivais que pour et pat le pénis qui me fourrait me donnant un intense plaisir et je me remis à délirer.

C’est à cet instant que s’enfonçant au plus profond de mon fondement, Didier déchargea en râlant.

Ses jets de foutre m’inondant le tunnel me provoquèrent un orgasme dévastateur, mon corps se tendit comme un arc sous mon amant, je griffai les draps et un hurlement strident pulsa de ma gorge, puis je retombai lourdement sur le lit, baignant dans le plaisir.

Je sentis la verge sortir de mon cul et mon homme se lever de sur moi.

Quand je rouvris les yeux, mon mec était allongé à mes côtés et regardait tout en me caressant les fesses, il me dit ’Tu baises

    comme une déesse.

– Tu m’as fait jouir superbement.

– C’est normal, tu es l’amoureuse idéale, tu respire le sexe

    et le plaisir, ton cul est tellement accueillant et chaud,

    c’est fantastique quand on est en toi on n’a plus envie de

    sortir.

– Arrête tu vas me faire rougir, n’oublie quand même pas que

    pour bien baiser il faut être deux, donc ta bite y est pour

    quelque chose, se faire ramoner par un engin pareil ne se

    néglige pas, ta bite est fabuleuse, elle me fait monter à

    chaque fois au septième ciel.

– Merci mais tout le mérite te reviens.

– Je ne suis pas d’accord.

– O.K je ne dis plus rien.

– AH AH AH !!, et si au lieu de me faire ton air de chien

    battu, tu me refaisais l’amour comme tu sais si bien le

    faire, ta petite femme est toute en chaleur, son petit trou

    a grand besoin d’être rafraîchi par ton abondant lait.

– Et bien si ma petite femme veut que je la bourre bien, elle

    n’a qu’à faire son travail de femme car c’est à elle de me

    rallumer.

– Si ce n’est que ça, allez allonges-toi sur le dos que je

    redonne à cette pauvre bite un aspect plus flatteur’.

Je me penchai sur le phallus au repos et après quelques coups de langue il reprit ses monstrueuses dimensions, Didier me refit l’amour, nous nous levâmes pour dîner frugalement et nous retournâmes au lit où mon homme me baisa jusqu’au petit matin.

Le lendemain nous passâmes une bonne partie de la journée au lit à faire l’amour.

Le lundi matin, j’allai voir la DRH pour lui dire que je démissionnai, elle me demanda pourquoi, je lui dis que j’avais trouvé autre chose dans le sud mieux payé, je devais un mois à l’entreprise.

Pendant mon mois de préavis nous ne fîmes l’amour que le samedi mais toute la semaine Didier inventait toujours de nouvelles positions pour que je le suce tous les soirs.

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