Depuis quelque temps Sophie, ma femme, accepte de me prendre avec un gode ceinture, « à contrecur » mais pour me faire plaisir… Et moi j’adore ! Se sentir soumis à ses assauts. Le plaisir anal… Bref je suis fan.

Ce soir où nous n’avons pas nos filles, je lui propose une petite séance photo, pour laquelle je choisis ses « vêtements », elle accepte, et je monte au dressing.

Une fois devant l’armoire je fouine pour habiller ma belle, et mes yeux se posent sur la boîte à sex-toys.

Et l’idée de la faire poser avec un gode ceinture a commencé à furieusement me faire bander.

Quelques instants plus tard ma belle porte : guêpière, bas, bottes, gilet jean et… chapeau de cow-boy !

Après quelques clichés, je lui manifeste mon désir de la voir poser avec le gode ceinture. Contre cette idée, elle se laisse quand même harnacher sans même bouger, et cela m’excite encore plus.

Après quelques photos elle me glisse à l’oreille : « tu veux que l’on en prenne avec le gros ? ». Sur cette ceinture le gode est amovible et j’avais déjà passé un gros gode-ventouse noir, qui après quelques efforts avait trouvé sa place.

Je monte le chercher en vitesse. A mon retour, je retrouve ma femme, branlant doucement le gode, en regardant la télé rester allumée. Nous faisons quelques photos, et je lui dis :

— Si tu savais comme tu m’excites avec ta belle queue…

Je m’approche pour lui retirer. Elle m’embrasse fougueusement. Sa langue envahit ma bouche de façon inhabituelle et je sens une tension palpable…

Son gros gode tapote l’intérieur de mes cuisses et je bande contre son ventre.

J’ai envie qu’elle me prenne…

— Ecoute ma chérie, je sais que tu n’aimes pas trop ce genre de rapports, mais j’ai très envie que tu me prennes avec un gode ceinture…

— Si tu veux.

Je n’en crois pas mes oreilles, elle qui me le refuse si souvent.

— Très bien ma chérie, je retourne chercher le petit gode pour le remettre sur la ceinture.

Elle me saisit par les bras pour m’arrêter et me lance :

— Il est très bien celui-là !

— Il est trop gros…,

Je regarde se balancer cette énorme bite noire. Je l’avais déjà testé seul mais là c’était différent.

— On va bien lubrifier, et je vais aller doucement, si cela ne va vraiment pas on changera.

Elle a un petit sourire de satisfaction, je crois que c’est ce que je lui fais quand elle me refuse que je la sodomise.

Je prends donc le lubrifiant et je commence à branler ce gros membre, bien plus long que le mien, en prenant soin de lui écraser le clitoris à chaque mouvement. Nos respirations s’accélèrent jusqu’à ce qu’elle me dise : « tu m’excites ».

Je glisse alors un doigt à hauteur de sa chatte : elle était trempée comme jamais je ne l’avais vu !

Je reprends ma branlette sur ce gros chibre. L’un de ses bras m’entoure pour que sa main se pose sur mes fesses. Elle les malaxe, les écarte, les caresse, ses doigts courent dans ma raie pour effleurer mon petit trou.

Et sans que je m’y attende elle glisse son index dans mon sphincter, le forçant légèrement, mais je n’exprime de peur qu’elle change son attitude. C’est quelque chose qu’elle ne fait jamais de sa propre initiative !

Elle le retire puis m’écarte d’elle. Ensuite elle pousse du revers du bras tout ce qui traîne sur la table. D’une main elle tient sa grosse queue noire de l’autre elle m’indique avec un sourire malicieux « met toi là !».

Je lui tourne le dos face à notre grande table en bois. Elle se colle à moi appuyant son gland sur mes fesses. Puis sa main sur ma nuque elle m’incite à me coucher face sur la table, je pose mes coudes sur la table tendant ainsi mon postérieur et naturellement son gland frotte déjà mon anus.

— Tu vas doucement ma chérie…

— Oui oui

— Hey j’avais dit doucement !

Elle m’avait déjà glissé le gland à l’intérieur. Je ressens une douleur assez vive, mais mon excitation la rend largement supportable.

D’une seule poussée très lente elle m’en glisse au moins la moitié dans le cul.

D’habitude elle me lime assez rapidement, mais là je la sens différente, petit retour et je la sens pousser à nouveau plus loin. Je glisse ma main entre ses cuisses sa chatte était béante, détrempée.

— Cela t’excite, hein, cochonne ? Tu as envie de me la mettre à fond ? ».

Amusée par ma question elle m’a répondu :

— Oui, mais c’est toi la cochonne ! Tu as un joli petit cul !

Elle continue à pousser cette bite factice jusqu’à ce que je sente son ventre contre mes fesses. Il était entier dans mon anus. Ce chibre doit mesurer au moins 24 centimètres. Il me provoque un genre de lourdeur dans le ventre.

Elle recule très lentement également. J’ai l’impression qu’il n’en finit pas de sortir. Le gland marqué et les veines très prononcées me font ressentir chaque centimètre.

Je glisse de nouveau une main sous mon ventre pour toucher son sexe, le mien… pour participer à ce moment d’abandon. Elle m’ordonne :

— Garde les mains sur la table !

Puis elle pousse sur le gode le plongeant dans mon fondement avec force, cela m’arrache un gémissement. Elle ressort une grande longueur puis me remet un grand coup de reins.

C’est magique. Sans que je puisse le contrôler je lui dis :

— Baise-moi comme une salope ! Baise-moi comme tu aimes être baisée.

Instantanément elle se met à me limer comme une vorace, avec de grands allers-retours.

Puis elle s’arrête, change la position de ses pieds. Elle me caresse la nuque et d’un coup et vient taper mes fesses avec son ventre. Puis de nouveau, et ce claquement devenu régulier me galvanise. Elle me lime ainsi pendant quelques minutes. Je sens l’orgasme proche mais je n’y parviens pas. La diction coupée par les coups de boutoir je lui dis :

— C’est magique mais je n’arrive pas à jouir !

Elle m’effleure aussitôt le bout du gland de la main. Instantanément je me répands sur le carrelage. Malgré une érection presque absente (c’est toujours comme ça quand j’ai un objet dans le cul) j’éjacule une quantité impressionnante de sperme.

Quelques instants plus tard, toujours plantée dans mon cul elle m’embrasse sur le dos :

— J’ai adoré. J’ai réussi à jouir sans rien d’autre que le gode qui appuyait sur mon clito.

Merci ma chérie pour cette délicieuse sodomie profonde et tu sais bien que, pour toi, je suis toujours ouvert…

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