Arrivés en bas du petit chemin nous fîmes quelques pas sur la plage, allant pratiquement jusqu’à la mer, mais en restant là où le sable était encore sec. Devant nous s’entendait le léger clapotis de petites vagues. La lune jouant avec elles faisait miroiter les flots comme autant de petites ampoules. Nous nous mîmes sur le dos, pour admirer un ciel constellé d’étoiles, et nous restâmes un moment sans rien dire, sans doute tous les deux perdus dans nos pensées secrètes. Et puis je sentis que lentement maman bougeait, et bientôt sa tête m’empêcha de voir les étoiles.

— "Yves… j’ai envie de t’embrasser… "

Dans un premier temps je ne compris pas et je me soulevai légèrement pour présenter mon front à ses lèvres.

— " Non… reste allongé… laisse-moi faire "

Et je sentis soudain ses lèvres se poser sur les miennes.

— " Mais… maman… "

Cette fois ce furent ses doigts que je sentis sur mes lèvres.

— " Non… ne dis rien, laisse-toi faire… "

Et de nouveau, ses lèvres, sa langue qui cherchait à forcer le barrage des miennes. Je sentais son parfum, cette odeur envoûtante qui m’avait bercé dès ma plus tendre enfance… J’écartais légèrement les lèvres, pour lui laisser un petit passage… je ne savais plus où j’étais, je ne savais plus ce que je faisais. Mais c’était tellement bon !

Je la laissais m’embrasser, mais cependant sans répondre à son baiser. J’avais peur ! En même temps peur que cela s’arrête, et peur qu’elle me le reproche, si je répondais à son baiser.

Enfin elle se redressa un peu, et plantant ses yeux dans les miens :

— " Tu m’en veux ? "

— " T’en vouloir ! Non ma petite maman je ne t’en veux pas, mais je ne voudrais pas que tout à l’heure, ou demain, ou même beaucoup plus tard, toi tu t’en veuilles, toi tu le regrettes . Ou encore pire, que tu m’en veuilles à moi de m’être laissé faire. "

— " Non mon chéri, non… j’ai envie de toi, je te veux, et je te jure que ni ce soir, ni demain, ni plus tard, jamais je ne le regretterai. Ce soir j’ai envie de faire l’amour, de te faire l’amour, parce que c’est toi, parce que je sais que tu es doux et tendre, et j’ai besoin de tendresse.

Par contre, cette soirée, ce sera la première… mais aussi la dernière. "

Vaincu par ses paroles, je répondis à son baiser quand je sentis de nouveau ses lèvres sur les miennes.

Ah, ce baiser ! Elle m’embrassait, je crois, comme jamais femme ne m’avait embrassé.

Et c’était ma mère, ma maman, la personne qui m’avait donné la vie qui me donnait aujourd’hui le plus intense des plaisirs.

Mon subconscient luttait encore, mais je me sentais glisser, attiré, je savais que je ne pourrais plus résister, que cette femme -ma mère- allait être mienne… où plutôt que j’allais être à elle, car si, pour elle, j’avais envie de lui donner le plus beau des plaisirs, je sentais que je devais la laisser faire et lui laisser toutes les initiatives.

Bientôt je sentis sa main qui venait doucement caresser mon sexe, par-dessus le tissu de mon jean. Un sexe trop à l’étroit, qui ne demandait qu’à jaillir et à recueillir les caresses de Maman. Son autre main défaisait en même temps les boutons de ma chemisette. Quittant mes lèvres, sa bouche trouva mon torse tandis que sa main défaisait maintenant la ceinture et les boutons de mon jean, écartait bien les pans du pantalon et sortait mon sexe de mon boxer. En même temps sa bouche arrivait à hauteur de mon sexe… qui disparaissait bientôt entre ses lèvres.

Non… ce n’était pas vrai, je rêvais… mais je jouissais, jouissais de cette langue si douce sur mon gland, de ces lèvres chaudes et humides que je sentais maintenant venir, de haut en bas pour me procurer un immense plaisir. Était-ce la fellation en elle-même, ou l’imprévu -et l’interdit- de cette situation ? Un peu des 2 sans doute, mais le résultat sur mon excitation était à son paroxysme. Je me retenais tant que je pouvais, je me tortillais pour échapper à toute cette douceur, car je ne voulais pas jouir dans cette bouche, cela me paraissait si irréel. Mais elle cherchait mes yeux et en fermant les paupières elle me fit comprendre qu’elle souhaitait que ma semence jaillisse sur sa langue.

Il était temps ! Dans un grand cri je lâchais en elle tout ce plaisir que je ne pouvais plus retenir, toute cette jouissance qu’elle m’avait fait ressentir. J’avais l’impression que je n’en finissais pas de jouir, que je n’arrêtais pas de me déverser dans la bouche de maman. Il est vrai que cela commençait à faire longtemps que je n’avais pas fait l’amour. Elle me lâcha alors et d’un geste te tendresse me fit de nouveau m’allonger sur le sable. Maman par contre se relevait, pour se mettre nue devant moi. La lune jouait avec son corps de déesse, dévoilant tantôt des taches sombres puis des taches dorées qui me faisaient miroiter son admirable corps. Une fois entièrement nue elle revint vers moi, présentant son intimité à ma bouche frémissante.

Des images passaient devant mes yeux…images d’accouchement, images d’un enfant qui venait au monde, et qui pour y accéder empruntait ce même chemin que justement ma bouche venait de rencontrer de nouveau, et plus fort que jamais sans doute, sous mon nez l’odeur intime de cette femme… cette femme qui était ma mère !

Mais toute morale s’était estompée et c’est avec autant de délice que de bonheur que je m’appliquais  à faire jouir cet adorable corps, celui de ma mère. Je sentais son humidité envahir ma bouche, je sentais ses lèvres intimes se liquéfier sous mes caresses, je la sentais que se frottait à moi, de plus en plus vite, je le sentais haletante, je la sentais comblée… et je l’entendis jouir, son pubis collé à ma bouche tandis que la tête en arrière, le buste tendu elle caressait ses seins comme pour accompagner les longs soupirs qu’elle exhalait maintenant.

Et une fois calmée elle vint me déshabiller entièrement, se coucha sur le dos et m’attira sur elle, guidant mon sexe jusqu’à l’entrée de son Éden. Lentement, savourant chaque seconde, appréciant le plaisir de posséder cet admirable corps, lentement je m’enfonçais entre ses lèvres intimes. Tout mon corps avait fait, il y a 25 ans le chemin contraire de celui qu’empruntait aujourd’hui mon pénis. Et j’étais heureux, heureux de son bonheur, heureux de mon bonheur.

Avant que nous ne soyons trop entraînés dans notre frénésie, je l’entendis à mon oreille :

— " Ne t’inquiètes pas, prends bien ton plaisir, va jusqu’au bout. Et ne te retiens pas : je prends toujours la pilule. "

Et nous restâmes un bon moment, ivre de bonheur, à crier notre amour, jusqu’à ce que mon plaisir se déverse en elle.

Lorsque nous eûmes tous deux repris notre souffle, nous nous étendîmes de nouveau sur le sable, main dans la main. Maman restait muette, et je respectai son silence. Un silence soudain interrompu par un profond soupir.

Je me penchai alors vers elle et vis de nouveau deux petites larmes s’échapper de ses yeux.

— " Maman… tu regrettes… déjà ! "

— " Non, me dit-elle au bout d’un moment… non mon chéri, je ne regrette absolument rien ! Ce fut beau, ce fut bref, ce fut intense. Tu sais, avec ton père, ce même jour nous avions fait le même chemin. Et il y a de fortes chances pour que ce soit ici que tu aies été conçu…"

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