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C'est dans un spectacle que je l'ai rencontrée. – Chapitre 1




Cela remonte à deux ans. Je me suis offert un bref passage à Paris pour mes 60 ans et aller voir ma star préférée à Bercy. L’heure approche, et je suis déjà installé, bien à l’avance. Je suis près d’une allée, au deuxième siège, et la rangée est pleine à part le siège à mon côté. Il y a un couple de mon autre côté, et qui m’ignore; est-ce que j’aurais plus de chance avec le siège vacant, et qui a dû être réservé puisque c’était mentionné complet sur internet.

Les gens s’installent tout autour, par deux ou plus, lorsque enfin je vois une personne seule venir vers moi. C’est une jeune femme, dans les 25 ans, grande, mince, cheveux longs et blonds. Elle stoppe à ma hauteur, me dit bonsoir, me sourit, puis me montre son billet pour que je lui confirme que c’est bien sa place.

Elle s’assied et, n’ayant que moi comme voisin, engage la conversation. On échange quelques mots sur notre idole, nos origines, et puis elle me demande si je connais Paris pour peut-être l’aider. Elle a eu un problème avec sa réservation de chambre, à son arrivée l’après midi ils n’en ont trouvé aucune trace, tout semble complet et elle se retrouve à la rue. Je n’ai pas le temps de lui répondre, la première partie du spectacle commence.

Je me dis qu’il y a peut-être quelque chose à tenter, d’autant que sa jolie frimousse et sa robe remontée au dessus des genoux m’ont émoustillé. Je m’imagine passer la nuit avec elle, mais lorsque vient l’entracte je perds tous mes moyens pour lui en faire part, partant perdant du fait, entre autre, de la différence d’âge.

C’est elle qui reparle du sujet, me demande si je suis dans un hôtel, me supplie de partager ma chambre avec elle, quitte à s’entendre avec le réceptionniste et payer un supplément. J’accepte, lui faisant remarquer que qui dit partager la chambre veut dire partager le lit. Elle en a conscience, mais je lui semble sympa, elle me fait confiance; de toute façon elle n’a pas d’autre solution.

La pause est finie, et on refait silence.

Le spectacle est fini, on est enchanté de la prestation de notre star, et on quitte le stade dans la cohue organisée. On prend le métro et on va à la gare pour récupérer sa valise qu’elle a laissée en consigne. On se dirige ensuite vers mon hôtel. Le gardien de nuit comprend bien le problème de la petite, et ne nous pose aucun souci; il va même jusqu’à nous proposer des serviettes supplémentaires. C’est ok, on va passer la nuit ensemble.

Je la laisse passer en premier à la salle de bain. Elle en ressort avec un petit top qui s’arrête au nombril, et une petite culotte qu’elle ne me laisse pas le temps d’admirer; elle se glisse rapidement sous les draps, et c’est à mon tour d’aller à la salle de bain. J’en ressort torse nu, avec un caleçon, prêt à m’allonger, non sans lui avoir poser une question auparavant:

— Excusez moi, ne le prenez pas mal, mais j’ai une question osée à vous poser, pour ne pas avoir de regrets: Vous voulez dormir, ou coucher?

— Ah non, vous êtes très gentil, mais dormir ça suffira.

— Ok, pas de souci, mais alors il faut que j’aille aux toilettes avant de vous rejoindre.

Je suis adossé au mur, les yeux fermés, le caleçon baissé, et je me branle en susurrant des mots crus: salope, salope, tu aurais pu faire un effort pour me vider les couilles petite pute, je suis sûr que tu aimes ça… Je suis perdu dans mon plaisir solitaire lorsque j’entends des gémissements, des halètements. J’ouvre l’il et la découvre au seuil de la porte, culotte baissée, et qui se masturbe en matant ma queue fièrement dressée. Il faut dire que la porte des WC ne ferme pas, il n’y a même pas de poignée, juste un trou rond de quelques centimètres, et qu’elle n’a eu aucun mal pour l’ouvrir en toute discrétion.

On se regarde aussi gêné l’un que l’autre, et pourtant je continue à m’astiquer le manche et elle à se doigter et tripoter son bouton; il faut que je réagisse sans tarder. Je m’approche d’elle et exhibe mon sexe:

— C’est ma queue qui t’excite? Excuse moi, mais au point où on en est je pense que l’on peut se tutoyer!

— Oui, bien sûr. Elle est super belle ta queue, et elle a l’air d’aimer que l’on s’occupe d’elle!

— Ca, tu peux le dire. Et ta chatounette, elle aime que l’on en prenne soin?

— Oui, autant que ta queue, c’est une coquine elle aussi.

— Ne bouge pas, laisse moi faire.

Je m’agenouille à ses pieds et dégage sa main pour admirer son entre cuisses. Elle a une toison courte, aussi blonde que ses cheveux, et juste sur son mont de vénus; sa vulve est parfaitement rasée, laissant voir ses lèvres charnues et luisantes, appétissantes. Ses effluves chatouillent mon nez, je le plaque sur sa fente et la renifle à plein poumon. C’est un véritable bonheur, et j’ai dans l’idée qu’elle doit être aussi bonne à bouffer qu’à sentir. Je l’embrasse partout, la suce, la lèche, m’occupe au mieux de son bouton, de ses lèvres, de son vagin.

Elle soupire fort, ses mains caressent ma tête:

— Oh oui, c’est bon, tu es bien toi! Tu lèches aussi bien qu’une femme!

— Merci. Tu aimes les filles?

— Oui, mais rassure toi j’aime les hommes aussi. Tu veux que je te suce?

— Volontiers, mais ne te sens pas obligée. Ca me va de te lécher, tu es trop bonne!

— Ok, je te laisse me bouffer la chatte, et ensuite tu me donnes ta queue.

On fait comme elle dit, et je lui dévore le minou en m’appliquant à la faire jouir pour récolter le fruit de son plaisir. Elle mouille à flots, enchaine les orgasmes, et je me délecte à tout boire. Elle gémit de plus en plus fort, crie, et je lui demande de faire du silence. Elle relève son top pour introduire le bas dans sa bouche et mordre dedans. Sa poitrine est à l’air libre, des petits seins merveilleux, du 85b à première vue, bien dessinés, bien fermes, avec des tétons biens dressés. Mes mains remontent rapidement de ses hanches jusqu’à eux, pour les caresser, les peloter, les masser, les pétrir. Je la bouffe toujours et sa source s’écoule en continue. Elle repose ses mains derrière ma tête, me plaque contre elle, et m’offre un dernier orgasme hyper violent qui manque m’étouffer tellement sa succulente cyprine est abondante.

Son plaisir retombe et elle me repousse doucement:

— Lève toi, donne moi ta queue, je veux sucer.

Je suis debout, elle s’accroupit et me gobe sans perdre une seconde. Elle se déchaine sur mon manche, va et vient sur toute sa longueur. Je la repousse:

— Doucement, doucement ma chérie, tu vas me faire jouir.

— Oh non, pas déjà, je viens de commencer. Attends un peu.

— Désolé, mais tu m’excites trop. Il me faudrait une pause pour que je me calme.

— Ah non, elle est trop belle ta queue, je ne peux pas attendre.

— Ok, mais je t’aurais prévenue. Tu suces à fonds?

— Oui, bien sûr, et j’avale tout.

— Salope, salope, j’étais sûr que tu étais un salope.

— Oui, tu as raison, insulte moi, j’aime ça espèce de vieux cochon.

Elle se jette à nouveau sur ma queue, me suce, tire dessus pour activer ma vidange. Je suis aussi chaud qu’elle et ne retiens plus mes mots:

— Oui, oh oui, tu suces trop bien putain de salope. Pompe, pompe trainée, si tu aimes le foutre tu vas être servie. J’ai les couilles bien pleines, et tu vas en prendre plein la gueule, vicieuse…

Je ne tarde pas à éjaculer, longuement, elle me garde en bouche et engloutit tout avec des gémissements de bonheur. J’ai tout donné, elle a tout pris, ma bite se ramollit et on stoppe.

Elle part à la salle de bain, sans un mot, puis se couche. Je fais comme elle à mon tour et la rejoint. Elle me tourne le dos, en chien de fusil. Je me glisse sous le drap, éteint la lumière, et viens me coller à elle dans la même position. Je lui fais un gros bisous:

— Ca va ma puce? Tu ne m’en veux pas?

— T’en vouloir! Et pourquoi?

— Déjà pour mes insultes, mais quand je bande je ne me contrôle pas.

— Pas de soucis, j’aime les grossièretés quand je baise, qu’on me traite comme une trainée.

— Et pardon aussi d’avoir été aussi peu performant, mais tu m’excitais trop.

— Ne t’en fais pas, j’aurais aimé te pomper plus longtemps, mais j’aime aussi les pipes éclairs. Et puis avec tout ce que tu m’as donné, tu es tout pardonné.

— Ca t’a plu?

— Oui pas de souci, et pour l’endurance j’espère que tu auras l’occasion de te rattraper!

— Tu veux remettre ça?

— Oui vieux cochon, mais pas de suite; tu l’as dit, je suis une salope qui aime les grosses queues bien juteuses. Mais pour le moment il faut que je dorme.

— Ok, moi aussi pour reprendre des forces.

Je lui refais un bisou et on se souhaite une bonne nuit. Je me décolle d’elle et me retourne pour faciliter notre endormissement.

Je suis parvenu à m’assoupir, puis me réveille dans la nuit. J’éclaire le cadran de ma montre: 1h10’. Je bande.

A suivre…

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