La vie a tracé un chemin pour moi. Une route, sans indications, menant tout droit vers la dépravation. Jamais, avec la sévère éducation que j’ai reçue, j’aurais imaginé m’abandonner à la perversité d’hommes inconnus.

Mes aventures ont commencées tout bêtement, petit à petit, probablement du à l’ennuie et à la solitude. Mon mari a trente-six ans et moi début trentaine. Sans prétention, je suis assez jolie, selon les hommes.

Je ne suis pas très grande, un mètre 60 et ne pèse que 49 kilos. Mes seins, sans être gros, attirent le regard vicieux des hommes, principalement mon mari qui adore mes petits mamelons rosés. Malgré le fait d’être pratiquement imberbe, c’est lui qui a rasé mon minou, d’une façon artistique en rasant complètement mes lèvres, pour me laisser qu’une fine toison au bas de mon ventre, tout juste au-dessus de mon sexe qui est proéminent. Mon mari aime voir la bosse que forme mon sexe et mon clitoris qui est toujours à l’air libre, mes lèvres étant trop petites pour l’envelopper.

Nous nous sommes mariés il y a cinq ans. A cette époque, mon mari, Yannick, travaillait en finance pour une grosse société et avait un très bon salaire. Il a de vieilles valeurs et ne veut absolument pas que je travaille. Après avoir perdu son emploi, il nous a été impossible de conserver le chic appartement que nous avions et avons du déménager dans un quartier moins bien nanti de la ville. Mon mari travaille le jour et le soir, pour arriver à garder un train de vie acceptable, ce qui m’oblige à rester seule pratiquement toute la semaine, quand il ne faut pas qu’il parte souvent le week-end, pour des contrats à l’extérieur de la ville.

Voici comment je me suis laissé embarquer dans cette route malsaine

Un matin, après avoir pris une douche, je me suis rendu dans la chambre pour me vêtir. J’ai enlevé mon peignoir, comme je le fais toujours et me promène entre la garde-robe et les tiroirs du bureau à savoir ce que je porterais. Soudainement, je me sens observée, lève la tête et appercois à la fenêtre de l’immeuble voisin, un étage plus haut, un homme dans la cinquantaine, visage rude avec de gros sourcils qui me regarde sans aucune gêne. Je deviens rouge de honte et mon premier réflexe est de courir à labri du voyeur. Je demeure un moment immobile, le cur qui bat à fond et le corps tremblotant. Le temps de reprendre mes esprits, je me rend compte, qu’au fond de moi, ce moment de panique a été en quelque sorte excitant. Sans comprendre pourquoi et ça été plus fort que moi, je suis retournée devant la fenêtre et continuée à faire ce que je faisais, comme si de rien n’était. Je n’osais pas regarder si ce vieux pervers était encore là, pour ne pas qu’il croit que je m’expose volontairement.

Le soir venu, toujours excitée de cette banale aventure du matin, je suis retournée à la chambre, sans ouvrir la lumière, pour aller placer un petit miroir vers l’appartement d’en face. Je me suis traitée d’idiote, de sans cervelle. J’ai du enlever et replacer le miroir au moins cinq fois, avant que le Diable de mon épaule gauche gagne sur mon petit ange de mon épaule droite.

Lorsque je me suis couchée pour la nuit, je n’arrêtais pas de penser qu’un étranger ait pu me voir toute nue. Je revoyais le visage sévère de l’homme à la fenêtre et son regard froid, parcourir toutes les parties de mon corps. Mes mains sont descendus entre mes cuisses pour caresser mon minou, en pensant à cet homme. Ça faisait longtemps que je n’avais pas joui autant, en un court instant.

Le lendemain matin, mon mari est déjà parti pour le boulot. Je reste un moment dans mon lit et ma première pensée est pour cet homme. Je sens mes mamelons pointer et tente de me ressaisir, me disant qu’il me fallait oublier cela et me conduire d’une façon correcte. Je me lève d’un trait et me dirige vers la douche, persuadée que j’avais déjà tout oublié. Une fois dans la douche, sentant ma nudité, rien à faire. Le visage de l’homme me revient en tête. Mes mains glissent sur le savon qui est sur mes seins, me caresse longuement, mes mamelons durcissent. Une main descend vers mon sexe et deux doigts attaquent mon clitoris. Je reçois aussitôt un orgasme foudroyant, me projetant à genoux, au fond de la baignoire.

Après quelques minutes, je reprend momentanément mes esprits, termine de me laver. Je sors pour m’essuyer et voilà que son visage m’apparaît de nouveau. Je me regarde dans le miroir et tente de comprendre ce qui m’arrive, de me raisonner mais peine perdu, mes mamelons sont dressés et une sensation bizarre envahit mon sexe.

Je sors finalement de la salle de bain, avec mon peignoir, me dirige vers la cuisine pour me faire un café. Je me sens comme si j’étais possédée, comme si l’homme me parlait et me commandait de retourner dans la chambre. Je tourne en rond un moment dans la cuisine. Je sens les pulsations de mon cur au fond de ma poitrine et me laisse guider par mon inconscience. J’arrive à la chambre, me dirige vers la fenêtre sans regarder le troisième étage de l’immeuble d’à côté. Je fais semblant de m’étirer le cou pour regarder vers la rue dans le seul but que cet étranger me repère. Je me sens observée et pour m’en assurer, je marche vers le bureau, vers le petit miroir que j’ai installé, pour espionner l’immeuble d’en face et appercois le voyeur avec son visage sévère à me glacer le sang. Mon cur bât à fond de train, mon corps tremble d’excitation et en veut encore plus. Je n’ai plus le contrôle de mon corps. Je me retourne et avance difficilement vers la fenêtre, sans regarder l’étranger. Je fixe un objet de la chambre, pour m’empêcher de lever la tête. Mes mains se dirigent vers la ceinture de mon peignoir, défait lentement la boucle, la ceinture tombe, mon peignoir s’ouvre légèrement pour laisser apparaître une de mes cuisses, jusqu’à la hanche. Je remonte mes mains pour saisir chaque côté du vêtement, hésite un moment, ma respiration devient de plus en plus difficile et mon cur bat à une vitesse infernale. Mes mains ouvrent lentement les deux pans de mon peignoir. Un sein apparaît dans toute sa nudité, suivant la partie gauche de mon ventre, ma hanche jusqu’au pied. Je glisse le tissus qui recouvre la partie droite de mon corps, dévoilant mon autre sein et mon sexe qui est déjà tout mouillé. Je laisse tomber le peignoir à mes pieds, me retourne pour lui offrir mes petites fesses rondes et marche pour disparaître de la fenêtre. Je vais m’étendre sur le lit avec un besoin pressant de soulager ce désir malsain, me caressant avec cette image de l’homme qui me regarde et quelques courtes minutes suffisent pour atteindre un orgasme foudroyant.

Je suis là sur le lit, prenant la position ftus et me mettant à pleurer toutes les larmes de mon corps, ravagée par la honte et le désolement de ma propre personne.

Après un moment, reprenant mes esprits, je décide d’aller me reposer au parc, avec un bon livre et qu’après, ce serait chose du passé. Comme il fait très chaud, je choisis de porter une petite jupe ample d’été, pas trop courte, mi-cuisse, avec une camisole et une paire de sandale. Je choisi une petite culotte de soie, sans ces élastiques qui serrent de partout. De toute façon, mon mari refuse de me voir porter des culottes ordinaires et presque toujours, c’est lui qui les choisie quand nous allons magasiner.

En sortant de l’immeuble où j’habite, je ne peux m’empêcher de regarder vers la fenêtre du voisin et constater qu’il n’est plus là. Je chasse tant bien que mal son visage de mes pensées et poursuit mon chemin. Arrivée au parc, je choisis un endroit un peu à l’écart et repère un arbre pour m’y adosser. J’étends la petite couverte que j’ai pris soin d’apporter et m’installe paisiblement devant mon livre. Une heure est déjà passée et délaisse un peu mon livre pour regarder les gens se balader et respirer paisiblement le bon air et savourer pleinement ce moment de détente.

Je replonge dans mon livre et soudainement un bruit de branches vient me déranger dans ma solitude.

Je lève la tête, regarde autour de moi, à travers mes lunettes de soleil. Je ne vois rien et continue mon livre, lorsque j’entends à nouveau un craquement qui semble venir du petit bois, en face de moi. J’observe à nouveau et appercois deux jeunes qui semblent jouer à cache cache, en me regardant. Je n’y prête pas trop attention et retourne à mon livre. Ce n’est quaprès quelques minutes que je devine pourquoi ils se cachent et m’espionnent. J’ai ce grand frisson qui m’envahit de nouveau quand je déduis qu’ils devaient s’amuser à regarder sous ma jupe. Adossée à l’arbre, me genoux sont repliés sur ma poitrine pour tenir mon livre. Comme j’étais persuadée d’être seule, dans ce petit coin retiré, je ne me suis pas souciée de ma position. Je deviens terriblement troublée à l’idée de voir ces jeunes profiter de ma position négligée. Je sens cet envoûtement s’emparer de mon corps, comme pour le voisin et le désir d’exposer ma nudité à ces inconnus. Mon cur se met à battre très fort et demeure immobile un moment. Une idée folle me pousse à me positionner différemment et en glissant mon bassin, je réussie à faire descendre ma petite culotte sur mes hanches, libérant en même temps la tension du tissus sur mon sexe. Je remonte les genoux sur ma poitrine et je sens la fraîcheur de la terre venir caresser mes lèvres et mon clitoris.

Je délaisse mon livre pour m’appuyer sur mes mains, dégageant mes seins dont les mamelons pointent durement à travers ma camisole. Je sens le fond de ma culotte glisser de côté, libérant une partie de mes lèvres. J’observe discrètement à travers mes lunettes pour me rendre compte de quatre corps, maladroitement dissimulés à travers le feuillage. L’air frais de la terre continue ses caresses et me fait ouvrir les jambes un peu plus, comme si vraiment j’étais seule. Après quelques minutes, une idée perverse me traverse l’esprit. Je me lève, étend ma couverture pleine grandeur, sur le sol et me couche sur le dos. Je remonte mes jambes et je sens le fond de ma petite culotte sur le côté gauche de ma cuisse. Mon sexe est pratiquement livre de tout tissus et laisse les yeux pervers regarder mon petit sexe qui jusqu’à présent, n’était réservé qu’à mon mari.

Après plusieurs minutes à m’exhiber à ces inconnus et toujours aussi excitée, je décide de quitter ce lieux, ayant en tête de poursuivre ce petit jeux ailleurs. Je me suis donc retrouvée sur une terrasse, non loin de chez moi, pour prendre un rafraîchissement. Le propriétaire de l’endroit vient me voir et commence à discuter avec moi. Homme sympathique, très grand, dans la cinquantaine et vraiment pas joli, avec plein de trous dans les joues. Probablement une maladie de jeunesse qui a laissé ses marques. L’homme semble incontestablement attiré par la rondeur de mes seins et mes mamelons qui pointent mollement, libres de soutient, mais devant l’insistance impolie des ses yeux qui n’arrêtent de les fixer, je deviens mal à l’aise et ceci provoque une réaction non souhaitable. Je sens mes mamelons durcir et s’exposer sans contrôle au propriétaire, ayant son sexe à la hauteur des yeux, je remarque une certaine érection à travers le tissus de son pantalon.

Petit à petit, je découvre le pouvoir de la séduction car jusqu’à présent, je ne pensais même pas à exercer cet avantage sur d’autres hommes que mon mari.

Bref, je lui commande une limonade et replonge dans mon livre, profitant de ce soleil radieux. Un peu de temps passe et je vois le propriétaire venir rejoindre un client à une table un peu plus éloigné. Il me fait face et avec mes lunettes de soleil, il ne peut voir que je l’observe. Ma jupe est fort remontée sur mes cuisses. Je décroise les jambes pour laisser un espace respectable entre mes genoux. Ma petite culotte a repris sa position, collée sur ma cuisse, laissant une portion de mon sexe à l’air libre. Je l’observe et finalement il regarde en ma direction. La tête un peu inclinée, je fais semblant de lire. J’ouvre maladroitement un peu plus mes cuisses et je le vois regarder sous la table de verre et se délecter comme un vieux cochon. Il se penche vers son client ou un ami, chuchote quelque chose et l’autre homme regarde aussi en ma direction. Mes mamelons défoncent pratiquement ma camisole et je pousse l’audace à baisser mon livre pour exhiber ma poitrine et faire semblant de regarder les gens de l’autre côté de la rue. Après un certain temps, je referme les jambes, termine ma limonade et le propriétaire vient me voir pour me faire payer tout bonnement mon addition, comme si rien n’était.

Lendemain matin, je me réveille tôt et mon mari est à la table, prenant son déjeuner. J’ai enfin la chance de pouvoir jaser quelques minutes avec lui, avant son départ pour le boulot. Je m’approche de lui pour lui caresser le cou, me penche pour entrer ma main dans sa chemise, sur sa poitrine et descendre sur son ventre pour glisser dans son pantalon, mais il m’arrête aussitôt pour me dire qu’il n’a pas le temps, car il va être en retard au boulot. Il ajoute ensuite, me sciant les deux jambes, qu’il doit partir ce soir pour deux longues semaines, pour un travail à faire à des kilomètres de la maison.

Il termine son déjeuner et me demande de préparer sa valise pour ce soir, car il n’aura pas beaucoup de temps. Il m’embrasse et quitte la maison, me laissant seule devant ma tristesse de devoir passer encore de longues journées seule. Même si ce n’est pas sa faute, je lui en veut quand même de me laisser aussi longtemps seule.

Je me suis coulé un bon café en pensant à ce que j’allais bien pouvoir faire durant toutes ces journées et moi qui n’aime pas dormir seule. Même si je ne le vois pas beaucoup, au moins, la nuit, il est près de moi.

Je pense soudainement au voisin voyeur et me lève pour aller à la chambre. Suis avec une camisole un peu transparente et un boxer agencé. Je m’approche du miroir et regarde sa fenêtre. Je vois bouger à l’intérieur, mais il n’est pas à la fenêtre. Je m’avance un peu plus pour qu’il me repère, tel une proie sans défense. Je reste là un moment, j’ose lever la tête en sa direction, mais personne. J’abandonne et me dirige vers la douche. En sortant, je met mon peignoir, comme la dernière fois et me dirige tout droit vers la chambre. Je m’arrête et réfléchit un moment, envahit par un sentiment de honte et de culpabilité. Je tente de me maîtriser et faire appel à mon gros bon sens, mais le pouvoir de l’excitation prend le dessus. Je retourne au miroir et je vois cet homme debout à la fenêtre, réglé comme une horloge, attendant de voir sa voisine se dénuder, pour le plaisir de ses yeux.

Je me retourne et avance à la fenêtre, comme s’il me le commandait. Je reste immobile un moment, le cur battant au maximum et ma respiration qui s’accentue. J’ai besoin de plus, un besoin profond de m’exciter d’avantage. Je pousse l’audace en relevant la tête et fixer cet homme droit dans les yeux. Je commence à déboucler la ceinture de mon peignoir en le fixant toujours. Je glisse lentement le haut de mon peignoir pour dénuder un sein, mais juste au moment ou j’allais glisser le tissus, un autre homme apparaît à côté de lui, me faisant refermer le pan de mon peignoir d’un geste brusque. J’ai le souffle coupé à voir ces deux étrangers à la fenêtre, attendant le dévoilement de ma nudité.

Le deuxième homme a de longs cheveux noirs tombant sur ses épaules et sur son visage que l’on peut à peine distinguer. Je retourne sur mes pas, ne sachant où donner de la tête, tourne nerveusement sur moi-même, mais c’est plus fort que moi. Je retourne devant la fenêtre et ils sont toujours là, immobiles, les yeux rivés vers ma chambre. Je les regarde, mes mains tremblent, essoufflée comme si j’avais couru dix kilomètres, le cur cognant dans ma poitrine. Mes mains tremblent et ils peuvent s’en apercevoir facilement, me voir en état de totale soumission, guidée par un pouvoir maléfique qui me pousse à continuer, à leurs donner ce qu’ils veulent.

La tête toujours levée en leur direction, je déboucle difficilement la ceinture du peignoir. Je l’ouvre docilement, dénude mes épaules et le laisse tomber à mes pieds, me retrouvant entièrement nue devant ces deux étrangers. Une main vient cacher mon sexe, tandis que mon bras cache mes seins. Nos regards continuent de se croiser et j’ai encore une fois la sensation d’un pouvoir qui me commande de leur en donner plus. Je baisse mon bras et caresse un de mes seins avec ma main. Je sépare un peu mes cuisses en glissant mes pieds et d’un geste sensuel, commence à caresser mon minou, sans jamais arrêter de les regarder.

Je me suis caressée ainsi pendant de longues minutes, jusqu’à ce que mon corps tremble à ne plus pouvoir me supporter en m’effondrant sur le sol, terrassée par un orgasme indescriptible.

Les deux hommes ont quitté la fenêtre, me laissant seule avec mes larmes et mon incompréhension. Je n’allais plus pouvoir marcher dans la rue sans avoir la crainte de les rencontrer.

Related posts

Marion, la salope – Chapitre 1

historiesexe

Périple dans les cyclades – Chapitre 7

historiesexe

Liaison interdite – Chapitre 2

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .