ÉVOLUTION

Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.

Chapitre 55 : Des vêtements pour une nudiste.

Il me suffit de rester sur le même site et de taper lingerie pour voir apparaître différentes tenues plus affriolantes les unes que les autres, et je ne tarde pas en me fiant à la description qu’elle m’en a faite, à trouver un body du même style que celui qu’Alice portait dans son fantasme.

Au niveau du cou, il est échancré sur le devant et sur l’arrière, au point qu’il laisse une partie des épaules découvertes, et il a des manches longues s’arrêtant au milieu des avant-bras. Au niveau du bassin, il est ouvert devant pour former un arrondi, laissant dénudés les aines la vulve et le pubis. Ce qui fait que même si le modèle qui le porte et qui est une belle brunette n’a plus aucun poil à cet endroit, la belle touffe noire de mon amante sera parfaitement dégagée, si un jour elle ose le mettre. Sur l’arrière, un autre arrondi plus grand laisse une bonne moitié des fesses elles aussi à l’air libre. Cela ne change au final pas grand-chose, puisque ce vêtement qui colle parfaitement à la peau probablement parce qu’il est élastique est constitué d’une résille, qui fait immanquablement penser à un filet de pêche.

Après avoir regardé cette lingerie sur différentes photos, qui représentent la femme d’une trentaine d’années qui la porte sous divers angles, je jette un coup d’il à mon petit bout de femme pour voir quelle est sa réaction. Son magnifique visage a retrouvé une teinte à peu près normale, et elle semble fascinée par ce qu’elle est en train de voir. Par conséquent, je sélectionne sans hésiter cette tenue dans une teinte rouge, puisqu’elle est déclinée dans une dizaine de coloris différents, et je la mets dans le panier.

Ensuite en me laissant guider par des suggestions, annonçant que d’autres personnes qui se sont intéressées à cet article en ont regardé d’autres, et je clique pour aller voir une petite robe encore plus échancrée, puisqu’elle forme cette fois un décolleté laissant voir la naissance de la poitrine, mais arrivant au ras du cou sur l’arrière. Elle couvre les épaules tout en laissant les bras nus, elle s’arrête à mi-cuisses, et elle est faite d’une maille beaucoup plus fine qui semble également plus légère que celle du body. Ce vêtement a en effet l’air de flotter sur le corps fin du nouveau mannequin qui le porte. Il est lui aussi complètement transparent, puisqu’on peut voir les seins ronds de la fille, qui est plus jeune d’une dizaine d’années que la première. Ses petits tétons dardés qui sont agacés par le tissu sont eux aussi parfaitement visibles, ainsi que sa petite touffe taillée en ticket de métro, et le haut de la fente de sa vulve.

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Je me dis alors que cette petite robe serait très sexy sur Alice, si elle la mettait pour sortir de la villa de Port-Leucate dans le but de se rendre sur la plage naturiste, et avant de la sélectionner, je demande à mon petit bout de femme :

Rouge aussi ?

Je la vois du coin de l’il s’empourprer à nouveau, cependant elle me répond sans hésiter :

Évidemment, puisqu’il paraît que c’est la couleur qui me va le mieux.

Prenant cela pour une acceptation de sa part, j’ajoute cet article au panier en souriant, et en cliquant sur une nouvelle suggestion, j’arrive sur une page qui montre cette fois une robe plus habillée, portée par un modèle d’âge mûr puisqu’elle doit avoir la quarantaine. Bien qu’il soit lui aussi d’une seule pièce, son vêtement est composé de deux parties distinctes, délimitées à la taille par une bande de tissu d’environ cinq centimètres de haut, et qui lui fait comme une ceinture.

La partie haute est composée d’un fin voilage, arrivant dernière au cou, mais avec un décolleté sur le devant, qui descend jusqu’entre ses seins généreux qui sont moulés, et plus bas, trois boutons assortis le ferment jusqu’à la taille. Il a des manches courtes, s’arrêtant en haut des bras, et terminées elles aussi par des bandes de tissu, mais plus fines. Le bas est composé de lanières verticales très fines, espacées d’environ cinq centimètres et simulant une jupe plissée, qui s’arrête au niveau des genoux. Entre ces lanières, il y a encore du voilage, et le vêtement se termine en bas par une dernière bande, qui est de la même largeur que sur les bras.

L’effet est saisissant, puisque cette tenue tout en paraissant très distinguée, ne cache absolument rien de l’anatomie de celle qui le porte. Pas plus sa généreuse poitrine aux aréoles larges, que sa belle touffe de poils triangulaire de couleur fauve, ou sa vulve parfaitement lisse fendue assez haut. En résumé, on croirait cette femme tout droit sortie du film « Histoire d’O ». Cette fois, je ne demande pas son avis à mon amante, j’en mets une aussi rouge que les autres tenues dans le panier, et je finalise cette deuxième commande en utilisant cette fois les références de ma propre carte de crédit. De plus, j’ai changé l’adresse de livraison, puisque si les menottes, le martinet, et la cravache arriveront ici, les habits si l’on peut les appeler ainsi, seront expédiés chez ma compagne.

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Je suis très satisfait de mes achats, et cela doit se voir sur mon visage, puisqu’Alice me dit :

Tu as la même tête qu’un gamin qui vient de faire une bonne blague, mon gros Nounours.

Puis elle ajoute :

C’est bien joli tout ça, mais je me demande quand même en quelles occasions tu vas me demander de porter ces toilettes on ne peut plus osées. Car si je les mets pour venir boire le café avec toi le midi, je vais commettre des attentats à la pudeur ou pire provoquer une émeute.

Je lui fais un sourire, avant de répondre :

Je me suis dit que tu pourrais mettre les robes à Port-Leucate, car vois-tu, même les naturistes les plus intégristes tolèrent qu’on porte des vêtements en leur présence, à condition que les parties génitales soient visibles.

C’est un principe complètement ridicule, car soit on est nu, soit on est habillé. On peut à la rigueur suggérer, mais montrer tout en prétendant cacher, c’est tout bonnement provocateur.

Je suis d’accord avec toi si c’est fait en public, enfin, je veux dire parmi des gens qui seraient habillés de manière conventionnelle. Cependant, je trouve qu’en portant ces tenues, tu seras encore plus sexy, et qu’un site nudiste sera l’endroit le plus approprié pour que tu puisses les mettre.

Elle rougit légèrement, en me posant une autre question :

Et le body, tu vas aussi me demander de sortir avec dans la rue ?

Non ma Poupée, car si tu le faisais, tu serais ridicule pour de bon, pour ne pas dire vulgaire. Mais nous trouverons bien une occasion de l’étrenner, et pourquoi pas en réalisant un autre de tes fantasmes ?

Cette fois, mon petit bout de femme devient carrément écarlate, et j’ajoute pour la tranquilliser :

Mais tu n’as pas à t’inquiéter, car si je me suis beaucoup amusé en te manipulant pour t’arracher la promesse que tu porterais ce que j’ai choisi, quand je te le demanderais et sans discuter…

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À ce moment-là, je reçois un petit coup de poing sur l’épaule, mais il n’est pas très appuyé, et je continue après avoir simulé une grimace de douleur :

… je n’ai pas non plus envie de te faire mourir de honte. Par conséquent, je te le proposerai, et si tu es d’accord, tu n’auras qu’à prononcer le mot magique.

Tiramisu ?

Non, l’autre.

Ah, alors c’est Bingo…

Exactement.

Et sinon, maintenant que tu as organisé la réalisation d’un de tes fantasmes, qui sera de m’exhiber dans des tenues indécentes, je peux me venger en te donnant une correction aux échecs, ou pas ?

Je ne réponds pas, me contentant de faire une petite moue ironique à Alice, ce qui me donne droit en retour à une grimace de sa part. Après avoir éteint l’ordinateur, je me lève pour aller prendre le plateau et les pièces qui sont posées dessus, et je les emmène sur la table de la terrasse, tandis qu’elle me suit.

Je ne suis pas surpris lorsque mon petit bout de femme gagne la première partie facilement, je remporte la deuxième difficilement, et je perds la dernière. Cependant, bien que je voie qu’elle est contente d’avoir deux manches sur trois à son actif, elle ne pavoise pas, et pendant que je vais remettre l’échiquier à sa place, elle se rend dans la cuisine pour commencer à préparer notre dernier repas de la journée.

Je ne tarde pas à la rejoindre, et ce soir, nous avons décidé de rester une fois de plus dans la simplicité, c’est-à-dire que nous allons manger des croque-monsieur accompagnés d’une salade verte. Ce que nous faisons ensuite comme à notre habitude dehors, et je constate avec satisfaction que ma compagne n’a pas l’air de souffrir lorsqu’elle s’assoit. Tandis que nous nous restaurons, nous parlons peu, et nous apprécions le calme serein dont nous nous sommes entourés.

Lorsque nous avons terminé, nous débarrassons les reliefs de notre repas, nous rangeons la cuisine, puis nous nous rendons main dans la main jusqu’à notre chambre.

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Une fois sur place, Alice me lâche pour aller s’allonger sur notre lit que nous n’avons pas pris le temps de faire, et je lui demande pour la taquiner :

Tu es fatiguée ma Chérie ?

Oui, un peu. J’ai passé une excellente journée, mais elle a été riche en émotions.

Trop fatiguée pour écarter les cuisses ?

Elle pose alors une main sur son front, tout en faisant une grimace, avant de me répondre :

Oui, et en plus j’ai une affreuse migraine…

Je dois faire une drôle de tête puisque mon petit bout de femme éclate aussitôt de rire, et elle me fait tout en ouvrant les jambes et en les pliant :

Je t’ai bien eu mon gros Nounours. Non seulement je suis toujours prête à te recevoir, parce que je commence à mouiller dès que tu me regardes avec un peu trop d’insistance, mais en plus, notre bébé est impatient que tu viennes lui rendre une petite visite.

Je sais qu’il y a des hommes qui craignent ce genre de chose, parce qu’ils ne veulent pas prendre le risque imaginaire de faire du mal à leur enfant qui n’est encore qu’un embryon ou un ftus fragile. Ou alors, ils ont peur d’indisposer la future maman. Mais je sais par expérience que c’est sans danger, pour en avoir discuté avec le gynécologue de Mathilde lorsqu’elle s’est retrouvée enceinte. Personnellement, j’aurais pu me passer de sexe tout le temps de la grossesse de mon ex-femme, tant j’étais heureux de devenir papa, même si elle m’excitait toujours autant et encore plus. Mais il s’est trouvé que la seule qui allait devenir la mère de mon fils, probablement pour des raisons hormonales, était devenue insatiable avant la naissance de notre petit. Et si au départ, j’ai pensé que les changements physiques qui s’étaient opérés en elle étaient étranges, ils étaient loin d’être dérangeants, et je m’y suis rapidement habitué.

Pour finir, plus son ventre a été rond et plus elle m’excitait, ce qui fait qu’il nous est arrivé de passer des week-ends entiers au lit, à faire l’amour et en nous contentant de grignoter pour nous nourrir. Mathilde a été demandeuse jusqu’à son accouchement, et c’est très probablement un orgasme qui a provoqué ses contractions pré-natales, puisque Henry est arrivé une semaine avant terme, et elle a perdu les eaux juste après que je l’aie prise en levrette. Ce qui lui faisait dire par la suite avec humour que j’étais tellement pressé d’être père que j’avais crevé le placenta avec mon sexe, ce qui bien entendu était impossible.

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Par conséquent, les propos de mon amante me donnent un coup de fouet, cette fois, je ne me pose pas la question de savoir si elle fantasme ou pas, et mon sexe se met en érection rien qu’en la regardant. Cela amène un sourire grivois sur ses lèvres, et sans tarder, je vais la rejoindre sur notre couche.

Tandis qu’Alice reste sur le dos, je me mets sur le ventre, en prenant soin que mon membre dressé reste dans le sens de la marche, et avec ma tête juste au-dessus de sa vulve, que je me mets aussitôt à lécher en commençant par ses grandes lèvres joufflues. Ensuite le m’attaque à ses nymphes chiffonnées qui sont restées collées l’une à l’autre, et je me régale de passer ma langue entre elles pour les séparer, puis à les fouiller dans leurs moindres replis, tout en me délectant de leur goût suave.

Bien entendu, ce que je suis en train de lui faire ne laisse pas mon petit bout de femme indifférente, puisqu’après que sa respiration soit devenue de plus en plus profonde, elle s’est mise à soupirer de satisfaction, et elle a fini par émettre des petits geignements de plaisir. C’est lorsque je commence à m’intéresser à son clitoris que j’ai volontairement négligé jusqu’à présent, et que je me mets à le chatouiller, que mon amante pousse son premier véritable gémissement.

Elle pose alors ses mains sur mes tempes avant de les retirer aussitôt, sans aucun doute parce qu’elle se souvient qu’une des premières fois où je lui ai fait un cunnilingus, elle m’a arraché des cheveux au moment de l’orgasme. C’est pourquoi je m’interromps, et que je lui demande sur un ton moqueur :

Tu as peur de ne pas arriver à te maîtriser, ma petite Poupée ?

Elle me répond avec une voix rauque :

Oui, tu te plains assez souvent et à tort que je martyrise, alors je ne voudrais surtout pas te donner raison.

Et tu ne t’es jamais demandé, si moi aussi j’aimais que tu me fasses mal ?

Elle devient aussitôt écarlate tout en écarquillant les yeux, et je lui dis encore plus amusé par sa réaction :

Rassure-toi, je ne te demanderai jamais de me mettre de fessée. Par contre, tu peux remettre tes mains sur mon crâne, parce que j’aime beaucoup ça.

Et si je les crispe en jouissant ?

Eh bien, mes cheveux repousseront, ou pas…

Mon amante repose donc ses mains sur ma tête, et tandis que je recommence à lécher son clitoris, elle me cajole tendrement. Alors que j’insinue ma langue au plus profond de son capuchon, caressant en même temps ce dernier et son petit bourgeon sur toute sa surface, il ne lui faut pas longtemps pour être transpercée par une vague puissante de plaisir. Cependant, comme elle s’attendait à ce qui est en train de se passer, elle se contente de serrer ses mains contre mes tempes, tandis qu’elle pousse un râle orgasmique et que son corps tout entier se cambre.

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Je laisse à Alice le temps de se remettre de ses émotions, puis je rampe au-dessus d’elle pour que ma tête se retrouve cette fois au-dessus de la sienne, et tandis que je commence à l’embrasser, elle s’empare de mon sexe toujours tendu pour le guider jusqu’à l’entrée de son vagin. Ce dernier étant moite et déjà dilaté, m’introduire en lui n’est qu’une simple formalité, et mon petit bout de femme soulève ses jambes de manière à ce que ses cuisses se retrouvent à la verticale et ses mollets à l’horizontale, ce qui me permet de m’enfoncer plus profondément.

Je commence alors à faire de lents allers et retours, tandis qu’elle ondule du bassin et que nous nous embrassons. Mes mains sont posées à plat pour que je sois en appui, comme si je faisais des pompes, mais les siennes qui sont libres se mettent à me caresser le dos et les fesses, ce qui me plaît énormément.

Je m’applique à modérer mes ardeurs, non seulement parce que mon amante m’a dit qu’elle était fatiguée, mais qu’en plus, j’ai envie de partager un moment de tendresse avec elle. Cela nous permet d’échanger des baisers langoureux, que nous n’interrompons que pour reprendre nos souffles, et nous faire des sourires emplis de joie.

Je lui fais ainsi l’amour dans la position du missionnaire pendant une dizaine de minutes, tout en mélangeant ma salive avec la sienne, puis elle finit par avoir son deuxième orgasme en poussant un gémissement mélodieux. Tandis que son vagin est pris de contractions, j’éjacule en elle en grognant, puis je m’affale de tout mon poids sur son corps beaucoup plus menu que le mien, écrasant sa poitrine imposante.

Je reste immobile pendant un moment, tandis que mon sexe se dégonfle, puis je roule sur le côté en l’entraînant avec moi, et nous nous endormons enlacés.

À suivre…

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