Gaëlle est très certainement ma plus belle histoire. Je ne cesserais jamais de le répéter. Je l’ai sûrement rencontrée trop tôt pour que cela dur aussi autant que je l’aurais voulu. Cependant, nous sommes restés assez longtemps ensemble pour n’avoir que peu de regrets. Malgré tout ce qu’on peut en dire, je n’ai pas forcément de remords sur mes écarts. Certes ce n’est pas une excuse mais, mis à part le dernier, je n’ai jamais cherché à tromper Gaëlle. S’il y a un dernier, c’est qu’il y a eu un premier.

J’étais parti en vacances avec Gaëlle, ses parents et sa sur. Je m’entendais bien avec eux. Ils devaient se douter que je couchais régulièrement avec leur fille, mais ils n’en avaient jamais fait allusion. Pour cette quinzaine de vacances, j’étais seul dans une chambre et Gaëlle partageait la sienne avec sa petite sur, Heidi. Moyen détourné de nous séparer pour la nuit, même s’il nous est arrivé de nous rejoindre quelques fois la première semaine. Heidi avait deux ans de moins que Gaëlle et elle commençait à être aussi séduisante que son aînée. Elle jouait d’ailleurs de ses charmes pour me provoquer un peu et mettre Gaëlle dans une pseudo-colère de jalousie. Elle était moins timide et moins pudique de Gaëlle et elle faisait souvent du topless sur la plage. Entre sa belle poitrine offerte à la vue de tous et le maillot de bain plus que léger de Gaëlle, j’avais parfois du mal à rester calme.

Cependant, la beauté d’une autre femme, plus mature, s’est révélée à moi durant les premiers jours. Emilie, la mère de Gaëlle, avait fêté ses 40 ans le premier jour de notre séjour. Sur la plage, elle dégageait une grâce que je n’avais encore jamais vue. Si Heidi était la version blonde de Gaëlle plus jeune de deux ans, Emilie était l’image de ce à quoi allait ressembler sa fille aînée environ de deux décennies plus tard. Et sur la plage, elle dévoilait son corps avec une certaine élégance. Je l’ai regardé discrètement retirer sa petite robe de plage dévoilant ainsi une poitrine généreuse et postérieur d’un galbe à laisser rêveur. Emilie avait des hanches bien prononcées qui provoquaient chez moi une envie d’elle irraisonnée.

Le soir, seul dans ma chambre, je me suis mis à fantasmer d’une aventure d’un soir avec Gaëlle et Emilie. Il m’a même traversé l’esprit qu’Heidi puisse nous rejoindre. J’ai éjaculé en imaginant prendre Gaëlle par-derrière pendant qu’elle avait la tête entre les cuisses de sa mère, Heidi nous regardant en se caressant. J’étais encore la tête pleine de ses pensées salaces, la queue encore maculer de mon plaisir que Gaëlle est entrée doucement dans ma chambre. « Eh ben… on ne se refuse rien ! » J’ai tenté de bredouiller un truc mais Gaëlle n’avait pas de préjugé négatif sur la masturbation. « J’espère que c’était avec moi, c’est tout ! » Je n’ai répondu que par un demi-mensonge.

— Bien sûr !

— Tant que ce nest pas avec ma sur…

— Non, elle regardait simplement !

— Coquin… Tu as encore fantasmé sur mon cul, toi !

J’ai répondu d’un signe de tête en me gardant bien d’évoquer la présence de sa mère. Gaëlle est venue se blottir contre moi, elle avait plus besoin de se confier que d’un câlin. Sa sur l’énervait par ces attitudes et elle avait besoin d’être rassurée sur ce que j’éprouvais pour sa cadette. La vérité était qu’elle me faisait énormément penser à Gaëlle à notre rencontre. Physiquement du moins. De ce point de vue là, je ne pouvais nier une certaine attirance. Mais la ressemblance s’arrêtait là et mon attirance également. Je ne quitterais pas Gaëlle pour Heidi. Elle a tout de même réussi à me faire avouer que j’avais une certaine envie de sa sur, même si j’ai minoré en précisant que c’était uniquement à cause de la ressemblance physique. « Elle a quand même de plus belles fesses que moi ! » J’ai rassuré ma douce Gaëlle, je trouvais ces fesses plus à mon goût que celle de sa petite sur. Gaëlle n’a pas rejoint sa chambre particulièrement tard. Néanmoins, ma nudité, sa tenue légère et nos baisers et caresses ont dû lui titiller les sens.

« Tu as pris ce qu’il faut ? » Quand j’ai répondu par l’affirmative, j’ai vu un sourire poindre sur le visage de Gaëlle. Le 3e soir de nos vacances, je lui ai fait l’amour debout en la coinçant, à sa demande, contre le miroir. Elle me tournait le dos et je l’agrippais par les hanches tout en regardant son visage et sa poitrine collée contre leurs reflets qu’elle embrassait de temps à autre. C’était comme si je faisais l’amour à Gaëlle pendant qu’elle embrassait une jumelle fictive. Si on ajoutait à l’érotisme de la scène le fait nous avions une grosse envie l’un de l’autre, il ne faut pas s’étonner que ça n’ait pas duré plus de 10 minutes.

Les jours suivants, Heidi a continué à faire la peste avec nous. Clairement, elle m’allumait et faisait tout pour me séparer d’Heidi. J’ai essayé de lui parler, Gaëlle également, rien n’y a fait. Il était prévu que nous allions à un concert le samedi soir. Patrick, le père d’Heidi et Gaëlle, n’avait pu avoir que trois places. En théorie, il devait nous accompagner Gaëlle et moi. Heidi nous a proposé un marché. Si l’un d’entre nous lui laissait sa place, elle arrêterait de nous empoisonner l’existence. Au départ, nous avons refusé mais Heidi était de plus en plus pénible malgré les remarques et mises en garde de ses parents. C’était le groupe préféré de Gaëlle, alors j’ai proposé à mon amour de céder ma place contre la tranquillité pour le reste de nos vacances. Gaëlle craignait que ce ne soit l’escalade mais j’ai à mon tour promis l’enfer à Heidi si elle ne respectait pas son engagement. Nous sommes donc tombés d’accord. Heidi le savait, ça gâcherait un peu la soirée de sa sur de ne pas partager cet instant avec moi, mais je n’aurais pas supporté ses machinations jusqu’à la fin des vacances.

Jusqu’où était-elle prête à aller ? Jusque dans mon lit ? Si belle Heidi était-elle, je n’avais pas envie de ça avec elle… pas encore.

Le samedi soir, je me retrouvais donc seul avec Emilie. Au départ, elle avait prévu de manger une pizza sur le bord de la piscine et de passer la soirée à discuter avec sa fille. Je lui ai proposé de ne rien changer, il était temps de faire un peu mieux connaissance avec la mère de celle que j’aimais. Elle était d’accord et je lui ai proposé d’aller chercher deux pizzas au camion en bas de la rue pour qu’elle finisse de se préparer. Je me demandais bien ce qu’il lui restait à faire. Elle voulait prendre une douche, peut-être voulait-elle du temps pour se sécher les cheveux. Quand je suis revenu avec les pizzas, j’ai appelé Emilie. Elle m’a répondu d’une voix lointaine. « Oui Julien, je suis là. Tu peux monter si tu veux. » Sans trop réfléchir, j’ai posé mon chargement sur la table et je me suis exécuté. Arrivé à l’étage, j’ai interrogé à nouveau. « Emilie ? » La voix était plus proche. « Oui je suis à la salle de bains ! » J’ai cru à un traquenard et je me suis approché de la porte ouverte le cur battant.

Je me suis appuyé fébrilement contre le chambranle. « J’ai presque terminé ! » Emilie était debout face au miroir, en train de se maquiller, la bouche en partie ouverte. Elle avait déjà de très jolis yeux, mais le rimmel les lui embellissait encore. De plus, elle portait une robe noire aussi élégante que sexy qui mettait son corps en valeur. Je n’ai eu qu’une réaction. « Waouh ! Que vous êtes belle ! » Emilie eut un petit sourire. Elle avait certainement remarqué mon regard accroché à son derrière, parfaitement moulé par le tissu de sa robe.

— Oui, je n’ai plus la beauté naturelle de mes filles alors…

— Mais vous êtes encore très jolie !

— Pour mon âge !

— L’âge est une chose… mais sincèrement vous êtes vraiment très belle.

Emilie me remercia en rougissant légèrement. Elle venait de terminer et s’était tournée vers moi. « Vous êtes ravissante ! » Emilie s’est mise à rougir de plus belle. Je n’étais pas mieux… intimidé par la beauté que j’avais commencé à percevoir à la plage et qui se révélait à moi à cet instant. Nous sommes redescendus et j’ai trouvé un prétexte pour m’absenter et mettre une chemise. Je ne voyais pas le jeu de séduction qu’avait entrepris Emilie et c’est avec naïveté que j’y rentrais. Aussi, sur la terrasse en train de manger nos pizzas, nous avons commencé à discuter de tout et de rien. Elle avait sorti une bouteille de vin qu’elle m’avait demandé d’ouvrir. Rapidement, notre discussion a pris une tournure plus intime. Elle m’a parlé de ses difficultés avec Patrick. Il lui faisait toujours l’amour mais c’était très conventionnel et elle voulait autre chose que le simple missionnaire. Elle avait longtemps hésité à prendre un amant, mais elle aurait voulu un homme marié pour qui il n’y ait aucun risque de tomber amoureuse.

Malgré tout elle aimait toujours son mari et ne voulait pas le quitter pour une simple histoire d’insatisfaction. J’étais un peu gêné. L’alcool la faisait parler de sujet qui ne me regardait pas. Mais l’alcool provoquait aussi chez moi des pensées que je n’aurais pas dû avoir. Le décolleté d’Emilie me donnait envie d’en découvrir plus. Déjà que je la soupçonnais d’avoir un string, là je l’imaginais me dévoiler sa poitrine. J’étais dans mes pensées coquines et je n’écoutais plus Emilie quand elle me tira de mes songes. « Heureusement, Gaëlle n’a pas ce problème ! » J’ai tenté de nier l’évidence et Emilie attrapa son sac pour sortir un objet qu’elle jeta sur la table. Un préservatif usagé, celui que j’avais utilisé la veille pour faire l’amour à Gaëlle face au miroir. Comment l’avait-elle eu ?

Il y eut quelques instants de silence pesant. Sous le regard accusateur d’Emilie j’avais l’impression d’avoir été pris en flagrant délit. « Ce n’est pas que tu te tapes ma fille qui me gêne, c’est de votre âge… encore moins que vous vous protégiez ! » Emilie laissa encore quelques instants de silence où je me sentais de plus en plus coupable. « C’est juste qu’elle a l’air de prendre son pied et que j’en suis verte de jalousie ! » J’ai eu un moment de soulagement, je n’allais pas prendre la foudre. Mais le soulagement fut de courte durée. « Je vais te proposer un marché. Fais-moi jouir et je fais comme si je n’avais rien vu. Dans le cas contraire je vais être contrainte de prévenir tes parents et de prendre des sanctions vis-à-vis de Gaëlle. Tu as eu tes 18 ans le mois dernier… c’est bien ça ? » Je suis resté médusé. « Enfin Emilie… je… vous… euh ! » Devant mon trouble, Emilie tenta de me convaincre avec insistance. Alors j’ai pris le risque de refuser malgré ma forte envie de céder à son chantage.

— Non, je ne peux pas faire ça à Gaëlle !

— Donc tu as envie de moi !

— Je… Vous êtes très jolie Emilie et…

— Tu as envie de moi ou pas ?

— Je ne veux pas faire de peine à Gaëlle et…

— Réponds-moi, Julien !

— Oui… Très envie même !

— Oh ! Eh bien j’apprécie ta franchise… et ta fidélité envers ma fille. Néanmoins tu ne me laisses pas le choix. Je vais donc faire ce que je dois faire à propos de ça.

— Allez-y ! Prévenez mes parents.

Voyant que la menace ne marchait pas, Emilie changea de stratégie. Elle devait sentir mon attirance pour elle. J’étais réellement tombé sous son charme et je n’arrivais plus à défaire mes yeux de son visage, de son corps… « Alors juste une gâterie… histoire que tu saches ce que peut faire une vraie femme… Malgré ses 19 ans ou presque, Gaëlle n’est encore qu’une gamine… il te reste tellement à découvrir… » Emilie détachait chaque morceau de sa phrase d’une voie chaleureusement sensuelle. Elle savait ce qu’elle disait et l’effet que ça produisait chez moi. « Tu me laisses te faire une petite gourmandise et je fais celle qui n’a rien vu. » C’était tentant, alors j’ai craqué. « D’accord ! »

Emilie s’est levée et s’est dirigée très sensuellement vers moi, balançant ses hanches de droite à gauche puis de gauche à droite, gonflant sa poitrine opulente, faisant raisonner ses talons à chaque pas. Quand elle fut à mon niveau, elle posa ses mains sur mes épaules puis les descendit vers mon torse. Elle détacha un à un les boutons de ma chemise et me caressa doucement le torse puis le ventre. C’était très agréable malgré ma crispation. « Détends-toi… je ne te veux que du bien ! » Je n’en doutais pas… mais j’étais tout de même très crispé. Emilie continua de descendre sa main et arriva bientôt à mon érection qui déformait mon pantalon. « Oh ! Je comprends ma fille… je vais me régaler ! » Emilie dégrafa mon pantalon et me le retira avant de revenir à mon érection qu’elle commença à masturber doucement en passant sa main dans mon slip. C’était véritablement délicieux et je sentais que je n’allais pas regretter d’avoir succombé aux charmes d’Emilie.

Puis Emilie m’embrassa, cela me détendit un peu. J’en ai profité pour lui caresser les épaules avant de descendre sur sa poitrine. Elle ne m’a pas laissé lui toucher les seins plus de trois secondes. Emilie s’est appuyée sur mes épaules pour m’éjecter vers ma chaise avant de poser ses mains et se pencher sur mon érection qui semblait à son goût. Elle me retira mon slip et je levais les jambes pour l’aider. J’avais une boule dans la gorge, c’était la première fois que je faisais quelque chose de sexuel avec une autre que Gaëlle, qui plus est, je sortais encore avec elle. Mais cette boule d’angoisse disparut dans le premier contact de la bouche d’Emilie sur la base de ma hampe fièrement dressée. Sa langue est remontée doucement vers la pointe avant qu’elle ne prenne mon gland dans sa bouche. J’ai poussé un soupir de satisfaction dès qu’elle a commencé à me le sucer, doucement, très doucement. Elle avait plus d’expérience que Gaëlle et je sentais nettement la différence.

Après quelques minutes de réel plaisir, Emilie se releva. Alors qu’elle me masturbait doucement d’une main, elle défit le nud que faisait sa robe derrière sa nuque de l’autre. J’avais le cur qui battait la chamade, j’allais enfin voir sa poitrine qui me narguait depuis le début de la soirée. Emilie ne me laissa pas le trop le temps de l’admirer, elle recommença à me sucer, cette fois-ci assez goulûment. J’ai tout même réussi à effleurer son sein gauche avant qu’elle ne m’écarte la main. C’était visiblement Emilie qui commandait et cela m’allait très bien malgré ma frustration ne pas pouvoir jouer avec ses seins… encore moins y glisser mon dard tendu pour elle. Il me fallait être patient si je voulais me délecter de la poitrine de ma belle-mère.

Un autre point sur lequel il fallait être patient, c’était son cul. Emilie avait fait glisser sa robe jusqu’à sa taille et, par conséquent, le tissu recouvrait encore son postérieur dont j’avais deviné la jolie forme plus tôt dans la soirée. En attendant je me délectais des coups de langue et du regard coquin d’Emilie quand elle me prenait dans sa bouche c’était véritablement délicieux et je n’avais qu’une envie, me laisser aller et remplir cette bouche ô combien accueillante. Emilie me suçait, me léchait délicieusement et je lui caressais les épaules, le haut du dos et les cheveux en gémissant. « Oh Emilie… que c’est bon ! » Elle me regarda avec un sourire avant de me reprendre dans sa bouche. Elle s’arrêta de nouveau. « Attention à ne pas te tromper de prénom avec ma fille maintenant ! » J’ai souri un peu gêné et Emilie est repartie de plus belle en accélérant le mouvement. J’ai tenté encore une fois de lui caresser les seins… en vain. Elle me suçait, me léchait sur toute la hauteur de ma hampe, m’aspirait les couilles… c’était un véritable bonheur.

Elle ne me laissait aucun répit et je suffoquais de plaisir en lui passant la main dans les cheveux.

Puis Emilie s’est arrêtée, il était temps. « Je vais te laisser respirer un peu. Ça serait dommage que tu éjacules dans ma bouche ! » Nous nous sommes souri avant qu’elle n’ajoute « pas tout de suite ! » avec un regard des plus coquins. Alors elle s’est levée et m’a tourné le dos en remuant un peu son joli popotin. Doucement, elle commença à faire remonter sa robe le long de ses jambes. Doucement, de plus en plus doucement, elle marqua un temps alors que sa robe atteignait le bas de ses fesses. Emilie avait de larges hanches et de grosses fesses, il n’y avait pas besoin de la voir nue pour le savoir, mais elles semblaient néanmoins très attirantes. J’ai eu la confirmation quelques instants plus tard quand Emilie releva, le plus doucement possible et avec une sensualité extraordinaire, sa robe jusqu’aux hanches. Certes Emilie y avait les marques du temps, mais son string mettait ces fesses en valeur… et je les trouvais magnifiques. Je lui en ai fait part, elle m’a remercié. Puis, avec la même sensualité, elle commença à faire glisser son string.

Quand elle fut arrivée à mi-cuisse, sa robe glissa un peu, me cachant une partie de ses fesses. J’ai tendu la main pour la lui remonter, j’en ai profité pour caresser l’objet de mon attirance pour d’Emilie. « Coquin ! » J’ai souri nerveusement. J’avais de plus en plus envie d’elle et elle devait le sentir. Peut-être est-ce pour cela qu’elle a commencé à faire glisser doucement sa robe sur ces hanches. Elle s’est mise à onduler sensuellement en me regardant pas dessus son épaule alors que la robe avait du mal à passer ses fesses. C’était vraiment très excitant et je ne pouvais pas m’empêcher de me masturber doucement. Excité comme j’étais, j’aurais pu lui éjaculer dessus à tout moment, surtout quand Emilie s’est mise à remuer du popotin avec la robe coincée à mi-fesses.

Elle s’est arrêtée ainsi et s’est retournée vers moi avec un sourire amusé. « Ouais ! J’ai un plus gros cul que ma fille ! » Je l’ai remarqué à cet instant, la robe appartenait à Gaëlle. Cela m’excita encore un peu plus. Être soumis au bon vouloir d’Emilie portant la robe de Gaëlle… Mais Emilie n’avait que faire de mes considérations et elle se remit entre mes cuisses et me reprit dans sa bouche malgré la robe coincée. Elle y allait de bon cur et j’étais rapidement à la limite de la rupture. « Oh Emilie ! Je vais jouir ! » Elle se releva. « Non, pas maintenant. » et elle se mit à m’embrasser. J’ai pu la prendre dans mes bras et lui caresser le dos et le haut des fesses. Comme elle me laissait faire, j’ai commencé à lui caresser les seins en l’embrassant dans le cou. J’ai senti Emilie frémir sous mes baisers et caresses alors je suis descendu à sa poitrine que je me suis mis à embrasser. Je me suis concentré sur ces seins pour ne pas exploser. Elle avait une poitrine moins ferme que Gaëlle, mais également plus généreuse.

Peu m’importait, je la trouvais délicieuse. Emilie se laissait aller sous mes baisers, me caressant le dos et les cheveux en gémissant.

Puis Emilie reprit le contrôle d’elle-même et de la situation. Sans prévenir elle posa ses mains sur mes épaules et me poussa au fond de ma chaise avant de se remettre à l’uvre avec mon sexe tendu d’excitation pour elle et prêt à exploser tant elle me donnait du plaisir avec sa bouche. Beaucoup plus que Gaëlle ! Je ne sais pas ce que je préférais, être dans sa bouche, qu’elle me parcourt de sa langue experte ou qu’elle s’occupe de mes couilles. Dans les trois cas, j’étais au bord de l’explosion. Dans le même temps, je lui caressais les cheveux, les épaules, le dos, les fesses pour attirer mon esprit vers autre chose que cet intense plaisir que je voulais faire durer le plus longtemps possible. La robe de Gaëlle avait glissé en bas des fesses de sa mère que je caressais doucement. Comme pour sa poitrine, son cul était plus flasque et plus gros que celui de Gaëlle. Cependant, peut-être accepterait-elle de me laisser y entrer, contrairement à sa fille. C’est peut-être pour cela que j’ai commencé à la titiller un peu de ce côté-là.

Emilie leva la tête et me sourit d’un « mmmm » en me masturbant frénétiquement. « Je vais te faire jouir, Julien ! » Je n’en étais pas loin de toute façon. Je lui ai alors posé une condition. « D’accord, mais dans ta bouche ! » J’avais adoré le faire à Gaëlle mais elle n’avait pas aimé et nous n’avions jamais recommencé. « Pourquoi pas ! » Emilie s’est mise à me masturber et me sucer frénétiquement. Je me suis levé et j’ai passé ma main dans ces cheveux. Je voulais m’enfoncer au plus profond de sa gorge au moment ultime mais foudroyer par le plaisir, je n’ai pas eu le temps de le faire. Emilie me branlait, me suçait, me léchait alors que j’étais déjà en train de râler son prénom tant c’était délicieux. J’allais me vider dans sa bouche ce n’était plus qu’une question de secondes.

Et d’un coup, tout mon corps s’est crispé et j’ai joui en plusieurs spasmes dans la bouche d’Emilie. A chaque spasme, je lui giclais au fond de la gorge, transpercé par un éclair de plaisir. Rapidement, une partie de ma semence lui déborda de la bouche alors qu’elle me suçait encore. J’ai vu le liquide blanchâtre lui dégouliner du coin des lèvres et glisser dans son cou jusqu’à ses seins. Elle me regarda avec un regard d’une intense sensualité alors que je m’effondrais sur ma chaise. Elle se leva, la bouche encore pleine et plongea dans la piscine. De mon côté je suis resté assis sur ma chaise, amorphe, à la regarder nager.

Environ cinq minutes plus tard, je plongeais à mon tour dans la piscine. J’étais nu, tout comme Emilie et je comptais bien profiter de cette situation si Emilie n’était pas rassasiée. Au départ nous étions à deux-trois mètres l’un de l’autre, jouant au chat et à la souris. Et puis je me suis approché en nageant sous l’eau. Je ne distinguais que ça silhouette et c’était déjà bien excitant. Nous avons joué en riant de bon cur, jusqu’à ce qu’Emilie se laisse attraper et embrasser. Je ne l’ai eue dans mes bras que quelques instants. Elle s’est habilement dégagée de mon étreinte pour aller s’appuyer sur le bord. Je l’y ai rejoint en m’appuyant juste à côté d’elle. Nous nous sommes souri. « Alors ? C’était mieux qu’avec Gaëlle ? » J’ai rougi un peu avant de répondre que Gaëlle n’avalait pas. « J’en étais sûre ! »

Nous avons discuté un peu, Emilie et moi, nus, accoudés au rebord de la piscine. Nos corps s’effleuraient par moments de la hanche à la cuisse. J’étais partagé entre mon envie d’Emilie et mon amour pour Gaëlle. Mais les mots qu’avait prononcés Emilie résonnaient encore dans ma tête. «… Histoire que tu saches ce que peut faire une vraie femme… » Je sentais un début d’érection monter du fond de moi. Ça avait été tellement bon rien qu’avec sa bouche… je rêvais déjà du plaisir qu’elle pourrait me donner avec ses seins… peut-être qu’elle me laissait entrer en elle… peut-être même… dans son cul ! J’ai profité d’un moment de silence dans la conversation pour faire quelques brasses histoire de me chasser ses idées de la tête. Mais j’avais une forte érection et quand je suis revenu vers Emilie, je me suis collé dans son dos pour la prendre dans mes bras. Elle tourna la tête et nous nous sommes embrassés. Mon érection lui écartait les fesses alors que mes mains lui agrippaient les seins. Elle s’exclama pendant que je lui embrassais le haut du dos.

« Tu as envie de moi, finalement ! » Pour seule réponse, j’ai tenté d’entrer dans son cul dont je sentais le petit trou frémir contre ma pointe, mais mon manque d’expérience me fit échouer. « Non, pas par là… même si j’en rêve ! »

Emilie s’est retournée et m’a serré dans ses bras avant d’enrouler ces cuisses autour de ma taille. Je n’ai pas eu le temps de réaliser ce qu’elle faisait qu’elle prenait mon érection en main pour me faire entrer en elle. J’ai toujours trouvé ça excellent avec Gaëlle, avec Emilie c’était divin. Elle ondulait du bassin et ses mouvements me procuraient un bien fou. Je l’embrassais à pleine bouche en la serrant contre moi pour la remercier. Rapidement, elle me fit sortir de son corps et se retourna. Je me suis précipité pour tenter de prendre son cul, mais elle corrigea la trajectoire d’un habile mouvement de hanche et me fit à nouveau entrer en elle à nouveau. J’étais tout de même très heureux qu’elle me laisse faire sans protection et je m’activais en agrippant Emilie par les hanches. Mais rapidement, elle prit mes mains et en posa une sur sa poitrine et l’autre entre ses cuisses pour guider mes caresses. Elle se cambra un peu et j’entrais plus profondément. Je la sentais vibrer alors que j’étais déjà presque à la limite.

« Oh Emilie… je vais jouir… c’est trop bon ! » C’était déjà le pied de faire l’amour sans préservatif alors les mots qu’Emilie prononça à ce moment ont précipité ma fin. « Oui Julien… jouit en moi, mon cur ! » Emilie fut prise de spasme au moment où je me vidais en elle. Elle s’est effondrée sur le bord de la piscine et moi sur elle. Nous étions vaincus, emportés par un plaisir innommable.

Une dizaine de minutes plus tard, le téléphone nous tira de notre léthargie. Dix minutes durant lesquelles j’avais passé mon membre à demi-flasque entre les fesses d’Emilie tout en lui caressant les seins et lui embrassant le haut du dos. De son côté, Emilie était restée inerte et pensive à reprendre son souffle la tête appuyée entre ses bras sur le rebord de la piscine. Nous avions échangé quelques banalités mais je sais qu’elle avait pris du plaisir… même s’il avait été moins fort que le mien.

Mais ce coup de téléphone nous força à bouger. Emilie a répondu sur son téléphone alors que le mien s’est mis à sonner, c’était Gaëlle. J’ai répondu en m’essuyant et en me rhabillant. Je savais qu’il n’y avait que cinq minutes tout au plus avant qu’elle ne rentre avec sa sur et son père. Emilie est partie se changer complètement pour remettre sa tenue « de vacances. » Une fois fait, elle s’est allongée dans un transat au bord de la piscine, j’ai fait de même en prenant soin de prendre un livre. Je venais juste de raccrocher qu’Emilie engagea la discussion sur notre aventure aquatique. « Julien… il ne s’est rien passé ce soir. On a juste mangé une pizza et on s’est baigné un peu… pas plus ! » J’ai simplement répondu « Pas plus ! » Elle me précisa que c’était la première fois qu’elle trompait Patrick. Match nul, c’était la première fois que je trompais Gaëlle. Puis il y eut quelques instants de silence avant qu’Emilie ne reprenne la parole.

— Ça m’a fait du bien !

— Oui… moi aussi !

— Non, tu ne comprends pas… que tu me désires… ça m’a fait du bien !

— Ba… tu… vous êtes encore très jolie Emilie.

— Pour mon âge…

— J’ai pas…

— J’aurais voulu qu’on fasse plus, Julien ! Tu es un amant attentionné, ma fille a de la chance, mais j’aurais voulu que… Toi aussi, n’est-ce pas ?

— Comment ça ?

— Mon cul… j’aurais voulu que tu le prennes. J’en ai envie mais Patrick ne veut pas… il trouve ça dégradant. Tu as déjà fait ça… à Gaëlle ?

— Non… elle ne veut pas.

Il y eut encore un instant de silence. « Julien, puis-je te demander une dernière chose ? » J’acceptais en pensant qu’elle me demanderait à nouveau de ne rien dire. En fait, elle voulait me voir faire l’amour à Gaëlle en pensant à ce que nous avions fait dans la piscine. Je lui ai dit que ça serait impossible, Gaëlle refuserait. Quand bien même elle accepterait, elle dormait dans la même chambre qu’Heidi. Emilie insista, elle ferait ce qu’il faut pour qu’Heidi ne se réveille pas. Il suffisait que je rejoigne Gaëlle dans la nuit et que je laisse la porte de la chambre entrouverte pour qu’elle puisse nous observer. J’étais gêné et je refusais à demi-mot. Emilie insista. Elle me garantit qu’il n’y avait aucun risque. J’allais accepter en remerciement du magnifique moment passé avec elle quand elle ajouta « Si tu le fais, je t’offre mon cul ! » Cela impliquait de tromper Gaëlle une seconde fois, mais le jeu en valait la chandelle, j’acceptais. A peine 30 secondes plus tard, le reste de la famille est arrivé.

Gaëlle avait passé une très bonne soirée même si elle avait voulu que je sois présent. Elle commença à tout me raconter alors qu’Emilie proposa de préparer un thé ou un café. J’ai pris un café, comme Patrick, et les filles ont pris du thé. J’ai cru percevoir un léger sourire sur les lèvres d’Emilie quand elle tendit la tasse à Heidi. « Tiens ma fille, avec cela tu passeras une bonne nuit ! » J’avais compris le message. Devant nos tasses respectives, nous avons discuté un peu de tout et de rien avant d’aller nous coucher. Dans mon lit, j’attendais le signal d’Emilie. Elle avait réussi à me glisser un petit mot discrètement. J’étais mort de trouille. Il devait être 2h30 quand Emilie est venue me rejoindre dans ma chambre, une simple lampe de poche à la main. « Tu es prêt ? » Je ne savais pas si je l’étais, mais j’ai dit oui. J’ai détaillé un peu Emilie dans la pénombre. Sa chemise de nuit était très sexy et très courte. Elle couvrait le haut de ses cuisses mais ne cachait pas vraiment son corps puisque très transparente.

Je pouvais voir très nettement ses seins… et son string. Elle m’a pris par la main. « Allez, suis-moi ! » Dans l’obscurité, les courbes de son corps paraissaient encore plus désirables. Tellement désirable que je lui ai caressé les fesses en arrivant devant la chambre de Gaëlle et Heidi. Emilie s’est retournée et nous nous sommes embrassés langoureusement. Elle agrippa ma queue tendue, et en me masturbant doucement elle me déposa une bise sur la joue alors que je caressais son string légèrement humide. Puis Emilie me glissa quelques mots à l’oreille. « Maintenant, baise Gaëlle en pensant à moi ! Fais-la jouir comme si tu étais avec moi ! »

J’avais déjà une belle érection en entrant dans la chambre. Je me suis glissé dans les draps de Gaëlle, endormie. La lumière de la nuit éclairait son visage que j’ai commencé à l’embrasser. Dans un demi-sommeil, elle a commencé à répondre favorablement à mes baisers. Puis j’ai commencé à faire glisser le drap pour la découvrir. Gaëlle semblait paisible, et sa chemise de nuit de petite fille sage l’embellissait encore plus. Elle avait une jambe repliée, le talon effleurant ses fesses, et une main entre les cuisses. J’ai cru percevoir qu’elle n’avait rien d’autre pour dormir. J’ai fait remonter un peu le tissu et j’ai eu confirmation. Le fait de savoir qu’Emilie me regardait caresser sa fille m’excitait, tout comme la proximité d’Heidi, dormant à poings fermés. Alors j’ai commencé à caresser la poitrine de Gaëlle qui réagit immédiatement. Elle pointait, je le sentais sous le tissu, et gémissait doucement. J’ai relevé à nouveau la chemise de nuit de Gaëlle presque jusqu’aux épaules pour lui embrasser les seins à pleine bouche.

Je l’ai entendu soupirer « Oh, Julien ! » Dans le même temps, j’ai vu sa main faire un léger mouvement entre ses cuisses. Elle se masturbait doucement dans son sommeil. Tout en continuant, j’ai présenté ma queue dure devant sa bouche et Gaëlle se mit à me téter machinalement. J’ai poussé un peu et fait quelques allées et venues délicieuses entre ses lèvres qui me serraient à peine. Elle était toujours dans son demi-sommeil et j’ai posé ma main sur la sienne pour accompagner et amplifier son geste masturbatoire. Ça l’a réveillé. « Julien, qu’est-ce que tu fais ? » Je lui ai souri avant de l’embrasser. « Chut mon amour, laisse-moi te faire du bien ! » Gaëlle répondait à mes baisers mais elle cherchait à m’arrêter.

— Oui c’est agréable, mais il y a Heidi…

— Oui, mais elle dort… et on ne fait pas de bruit !

— Mes parents… ils sont…

— On n’entend même pas ton père ronfler… ça m’étonnerait qu’ils nous entendent chuchoter !

— Ma mère fait de l’insomnie et…

— Ecoutes, si elle arrive on lui proposera de participer !

— T’es sérieux là ?

J’ai fait non de la tête bien que cela ne m’aurait pas dérangé. Je savais qu’Emilie nous regardait et j’espérais qu’elle nous rejoigne. Je bandais très dur et je ne savais pas si c’était parce que je caressais Gaëlle ou à cause du souvenir de ma soirée avec Emilie. Elle a tenté de me dissuader encore un peu mais j’ai su que je touchais au but quand je l’ai senti s’humidifier et qu’elle a pris mon érection dans sa main.

Rapidement, nous nous sommes mis sur le côté, en 69. J’étais dans la bouche de Gaëlle mais je ne pouvais pas me retirer de la tête la sensation que m’avait procurée Emilie un peu plus tôt. J’aime la manière dont Gaëlle me suce, mais Emilie le fait beaucoup mieux. « Dis donc… tu es vraiment dur ! » La remarque de Gaëlle m’a fait tressaillir. C’était le souvenir de la fellation d’Emilie qui me mettait dans cet état, pas celle que me faisait Gaëlle sur le moment. Quoi qu’il en soit Gaëlle me donnait beaucoup de plaisir et, à son souffle, je devinais que c’était réciproque.

Rapidement, nous nous sommes remis dans une position plus conventionnelle. Je frottais ma hampe toujours plus dure entre les lèvres humides de Gaëlle. Elle était très excitée et n’avait plus de retenue. « Oh Julien… j’ai envie de sentir ta queue bien dure en moi ! » Mon envie était vraiment exacerbée par les paroles de ma douce Gaëlle, même si je savais que ma dureté venait à la fois de mes pensées vers sa mère et la vue sur les seins de sa sur que j’avais depuis quelques instants. Peu importe la cause, Gaëlle en aimait le résultat.

Rapidement, je commençais à entrer en Gaëlle. Comme souvent, j’ai tenté ma chance sans préservatif, ça avait été tellement délicieux avec Emilie, je voulais connaître la même chose avec Gaëlle. « Non, pas comme ça ! » Je me suis plié à sa volonté et j’en ai finalement mis un. J’ai tout de même pris beaucoup de plaisir… plus que d’habitude. Et Gaëlle était vraiment très excitée… beaucoup plus que d’habitude. Habituellement, sans être totalement inactive, elle me laissait toutes les initiatives. Là, au bout d’environ cinq minutes où je lui faisais l’amour en pensant à Emilie, Gaëlle se redressa et un peu pour que je la prenne dans mes bras en me mettant sur les genoux. Elle m’entoura de ses jambes et je réinvestis rapidement son corps, liquide. Elle donnait de violents coups de hanches pour s’empaler sur mon pieu alors que sa poitrine moite frottait agréablement contre la mienne. Je lui caressais le dos et les fesses en l’embrassant dans le cou. A en croire son souffle, elle semblait prendre beaucoup de plaisir et cela m’excitait encore plus.

« C’est la vue de ma sur qui te rend aussi dur, mon cur ? » Certes je pouvais voir Heidi, la jolie poitrine à moitié à l’air et une jambe en dehors de ses draps, mais ce qui me rendait plus dur que d’ordinaire, c’était Emilie. « Non, c’est… » pris dans mon bien-être j’ai failli finir ma phrase par « le cul de ta mère ! » J’ai simplement descendu ma main à aux fesses de Gaëlle et j’ai commencé à caresser son petit trou moite et en partie lubrifié par son plaisir.

J’espérais profiter de son excitation pour pouvoir prendre son cul. J’en avais tellement envie. Alors j’ai commencé à masser sa rosette au rythme qu’elle imposait par ses sautillements. Je la lui massais doucement, attendant le moment propice pour y insérer mon doigt. Et ce moment est venu. Gaëlle a simplement fait un « oh ! » de surprise mais elle m’a laissé faire. Petit à petit mon majeur s’enfonçait dans le cul de Gaëlle au rythme où elle s’empalait sur ma queue d’une dureté sans précédent. Je la fouillais avec mon doigt et elle semblait apprécier. A ce moment, tout s’est mélangé dans ma tête. Mon doigt dans le cul de Gaëlle, la promesse de prendre celui d’Emilie, la vue des seins d’Heidi et, depuis peu, de sa toison d’adolescente… le tous associé aux mouvements de bassin de Gaëlle, de son souffle de plaisir, de ses baisers profonds… et sa mère qui nous observait… je l’imaginais se masturber devant le spectacle. J’ai explosé dans l’instant après m’être senti vibrer fortement en Gaëlle.

Elle m’a d’ailleurs embrassé au même moment. Un baiser doux, langoureux… bruyant ! Elle avait atteint l’orgasme également et nous nous sommes effondrés comme d’un seul corps avant de rester, inerte, enlacés dans les bras l’un de l’autre. J’ai continué à doigter le cul de Gaëlle quelques instants avant de le retirer doucement, lui arrachant un petit soupir. L’instant d’après, je me suis retiré d’elle avant de lui embrasser les seins. Gaëlle semblait différente des autres fois… pourtant ce n’était pas son premier orgasme. Celui-ci avait dû être plus violent que les autres.

Je suis resté un peu avec Gaëlle. Juste à nous embrasser et nous caresser doucement. Il était bien tard quand j’ai rejoint ma chambre, épuisé par toute cette soirée. J’avais beaucoup de mal à me déplacer, mes jambes tremblaient et avaient du mal à me porter. J’étais content d’atteindre enfin ma chambre. Emilie m’y attendait, allongée sur mon lit. Elle était toujours aussi sexy et séduisante, mais je n’avais plus la force de rien. Heureusement, Emilie voulait simplement me remercier pour cette soirée. Juste avant de quitter ma chambre, elle retira son string et me le lança. Il était encore bien mouillé. Elle m’a précisé qu’elle avait eu plusieurs orgasmes en nous regardant. J’en ai fait des rêves salaces toute la nuit. Avec Gaëlle, avec Emilie, avec Heidi, avec deux d’entre elles, avec les trois… toutes les possibilités y sont passées. Une nuit bien agréable, avec le nez dans le string d’Emilie et son parfum sur mon oreiller.

Il devait être 10h quand Gaëlle est venue me réveiller. Heidi a dormi jusqu’à 15h. Et même une fois levée, elle était dans une sorte de léthargie qui ne l’a quitté que le lendemain. Emilie y a sans doute été un peu fort sur le somnifère. Elle nous a laissés tranquilles le reste des vacances malgré quelques numéros de charme à mon encontre.

Ce dimanche matin, nous avons pu discuter un peu Gaëlle et moi sur le bord de la piscine. Elle avait passé une merveilleuse soirée, surtout après que je l’ai rejointe dans son lit. Elle n’avait jamais pris autant de plaisir depuis que nous avions des relations intimes. Je lui ai dit que c’était aussi le cas pour moi. Ce n’était qu’un demi-mensonge. Jamais je n’avais pris autant de plaisir avec elle. J’en avais pris beaucoup plus dans la piscine avec sa mère et je n’attendais qu’une chose, qu’Emilie tienne la promesse qu’elle m’avait faite. Mais le plaisir qu’avait pris Gaëlle eut pour effet qu’elle ne me quittait plus un seul instant. La journée, bien sûr, mais aussi la nuit. Dès que les lumières étaient éteintes, elle me rejoignait. Je suis sûr que sa mère nous a observés quelques fois, je la sentais. Nous faisions l’amour, Gaëlle et moi, sans retenue ou presque. J’ai même été racheté des préservatifs pour pouvoir terminer le séjour. Des regrets ? Celui de n’avoir pas réussi à décider Gaëlle à le faire sans protection, celui de ne pas avoir réussi à lui prendre son cul… Je suis sûr qu’elle m’aurait laissé faire lors de cette nuit magique.

Mon plus gros regret est sans doute qu’Emilie n’ait pas pu tenir sa promesse. J’espère qu’elle le fera après ces vacances.

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