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Périple dans les cyclades – Chapitre 4




Nous prenons donc l’autocar pour aller à l’ouest de l’île. Nous descendons au centre du village déjà plein de touristes pour admirer le très réputé coucher de soleil.

La robe dAnne très courte et ample est tenue en haut par un lacet qui, selon la manière dont il est serré peut laisser sortir une épaule, voire les deux. Le vent du soir gonfle et soulève le bas pour remonter jusqu en haut des cuisses parfois.

Nous nous installons sur un éperon rocheux en à pic au-dessus de la mer, face au village aux maisons blanches aux toits bleus. Celles-ci sont accrochées à la paroi rocheuse. La mer plus loin, a déjà des reflets dorés.

Le soleil descend sur lhorizon au point de sembler toucher les flots. A ce moment, les murs du village passent au rose avec des reflets dorés. Des caïques se sont installés dans la passe devant nous, et projettent une ombre qui se découpe sur lor de la mer.

Le spectacle est magnifique. Je cesse de prendre des photos pour mimprégner de cette atmosphère presque irréelle.

Je tourne la tête vers Anne. Elle aussi a arrêté de photographier. Les appareils ne pourront jamais rendre ce spectacle. Nous baignons dans une lumière surnaturelle.

Je mesure la chance que nous avons de pouvoir ressentir une telle émotion. Cest la beauté pure de la nature. Un spectacle quelle offre une fois par jour en été dans celle île au cur de la Méditerranée lorsque les conditions sont réunies.

Je me retourne vers Anne. Elle est magnifique avec les reflets dor qui saccrochent à ses cheveux bouclés. Elle ressemble à une statue antique, assise au bord de la falaise, avec la mer en toile de fond. La lumière douce du soleil couchant accentue son bronzage et fait ressortir ses yeux verts.

Elle croise mon regard. Le sien est doux et intense tout à la fois. Ils semblent exprimer son bonheur dêtre ici et avec moi.

Je la prends dans mes bras et lui dis :

— Je taime, ce lieu est un écrin pour ta beauté.

— Je taime aussi, dit-elle en se lovant contre moi.

Jai mis ma main sur son épaule que la robe a laissée dénudée.

Nous restons ainsi lun contre lautre jusquà ce que les derniers rayons du soleil aient disparu dans la mer.

Nous partons nous promener ensuite dans le village, encore émus par le spectacle. Il est des lieux magiques. Celui-ci en était un.

Les rues sont bondées de touristes et nous ramènent à la dure réalité. Il faut jouer des coudes pour arriver à se faufiler pour circuler.

Rapidement, nous décidons de nous éloigner de ce lieu par un chemin en à pic au-dessus de la mer.

Le lieu est mal éclairé mais il est néanmoins possible de circuler, dautant que la lune, encore invisible de là où nous sommes, commence à projeter ses reflets sur leau.

Nous apercevons des lumières sur la gauche. Nous nous approchons, enlacés.

Il sagit dune auberge isolée. Nous décidons de nous y installer pour nous restaurer.

Nous montons presque un étage dans des marches taillées dans la roche. Nous choisissons une table au bord du chemin, à langle de lescalier, couverte dune tonnelle. Une fois assis, le lieu est si escarpé que nous avons limpression dêtre à plus de cent mètres au-dessus de la mer. Nous sommes seuls semble-t-il en ce lieu.

Le serveur sapproche, nous remercie davoir choisi son restaurant, prend la commande et séloigne. Il doit traverser tout le jardin pour aller en cuisine car le restaurant est tout en longueur. De ma place, je peux voir tout lalignement des tables. Anne, en revanche a le dos contre le feuillage de la tonnelle, juste contre lescalier. Elle a une très belle vue sur la côte à sa droite et sur moi, bien sûr.

Nous nous tenons la main et exprimons ensemble notre émotion davoir pu assister du soleil couchant. Je lui dis :

— Cétait magnifique, et tu es dune rare beauté ce soir avec ton hâle, ton visage doux et tes boucles blondes.

Son regard est brillant. Elle me fixe avec intensité en caressant ma main :

— Je taime, tu es beau aussi avec tes épaules dorées. Le bronzage et les bougies de la table rendent ton regard intense. Je suis heureuse dêtre ici avec toi.

Je décide de sortir lappareil photo pour immortaliser cet instant. Anne prend la pose, penche légèrement sa tête et sourit avec douceur. Sa robe seulement lacée par une ficelle laisse son épaule gauche complètement dénudée, jusque sous le bras.

Je la prends plusieurs fois en lui faisant changer de poses.

Jessaie de lui baisser un peu plus sa robe sur le bras mais la ficelle men empêche. Anne comprend et tire sur le nud. Elle descend un peu plus sa robe sur lépaule. Je constate que si elle est plus dénudée, en revanche, sa bretelle de soutien-gorge transparente, mais surtout le bonnet se voient trop. Elle sen aperçoit, me regarde intensément et baisse la bretelle, puis elle descend le bonnet. La robe aussi est descendue dans le mouvement. Le haut de son sein gauche est nu. Je prends la photo : la robe cache à peine son aréole à présent.

— Est-ce lon me voit du reste du restaurant ?

— Non, impossible, tu es adossée au feuillage dans un angle et le restaurant est vide pour linstant.

Toujours en me fixant, elle fait glisser la robe sur son épaule droite et fait tomber la bretelle également. Elle empêche la robe de tomber en mettant ses avant bras sur sa poitrine. Le buste dAnne est nu. Sa manière de retenir sa robe est très sensuelle, seules ses mains sur ses seins empêchent le tissu de tomber et de laisser apparaître ainsi ses tétons.

— Dommage que nous soyons dans un restaurant, sinon je taurais prise seins nus. Tu es si belle avec les lumières des bougies.

— – Quelquun vient ?

— Non il ny a personne.

Anne, toujours en me fixant dans les yeux, met ses mains dans le dos, dégrafe son soutien-gorge et le fait glisser par le dessous de ses bras.

Elle a les seins à lair.

— prends-moi comme ça, jai envie.

Je la photographie sous plusieurs angles. Ses bouts sont tendus. Je les sens durs, ses seins gonflés. Anne met sa poitrine en avant pour la mettre en valeur. Sa robe ne tient plus que sur ses avant-bras pliés.

Elle se retourne et se penche pour voir si personne ne vient puis, enlève la robe de ses bras. Elle est nue jusquà la taille à présent.

— Je te plais comme ça ?

Je fais deux ou trois prises puis je lui dis :

— Puisque tu aimes, prends tes seins par-dessous et exhibe les.

Je continue de photographier.

— Que veux-tu que je fasse encore ?

Visiblement, elle a envie que je lui demande den faire plus.

— Caresse-toi et tire sur tes bouts.

Elle se regarde se toucher.

— Cest ça, masturbe-toi la poitrine.

Visiblement, mes paroles la stimulent. Je passe en mode caméra pour la filmer en train de se toucher.

— jai envie de tes caresses sur mon corps.

Jessaie datteindre sa poitrine mais nous sommes trop loin et ça nest pas discret. Je ne peux plus filmer comme il faut.

Je me recule et tout en continuant de la regarder se caresser, jenlève mes sandales et, avec le pied droit, je câline ses mollets.

Elle les frotte contre mon pied pour me montrer quelle veut.

Elle me regarde intensément. Je monte mon pied entre ses cuisses très chaudes.

Elle prend ma cheville à la main et plaque mon pied sur son sexe. Elle ouvre et ferme ses cuisses.

Elle plaque son sexe contre le creux de mon pied et fait des mouvements de va-et-vient pour essayer de se branler sur mon membre.

— Sil te plait, dis-moi de baisser ma culotte comme tu me le demandes souvent.

— Baisse ta culotte et mets-toi la chatte à lair.

— Oui, je le fais pour toi.

Elle enlève ses mains de ses tétons et les descend pour enlever son slip.

Un crissement de gravier nous fait tressaillir : trop occupés par le strip-tease, nous navons pas vu le serveur sortir du bâtiment.

Anne remonte la robe sur ses seins et attache la ficelle comme elle peut. Elle na pas le temps de la remettre sur ses épaules et se contente de la tenir sous ses bras. Je sens quelle écarte les cuisses pour empêcher sa culotte de tomber.

Le serveur dispose les plats sur la table et engage la conversation avec Anne qui lui avait lors de la commande, montré quelle connaissait quelques mots de sa langue.

Il a une vue plongeante sur la poitrine dAnne dont la ficelle mal serrée laisse redescendre la robe imperceptiblement. Narrivant pas à tenir la robe sous les bras, Anne laisse descendre celle-ci. Bientôt, le tissu ne tient plus que par lextrémité des seins. Je sens quelle nose pas remonter la robe. Le serveur parle mais ne quitte pas des yeux Anne.

Jen profite, pour discrètement prendre avec mes orteils la culotte et la descendre sur les mollets. Anne semble saffoler. Elle essaie décarter les jambes pour empêcher le slip de tomber, mais cest trop tard, le vêtement est sur ses chevilles et il suffirait au serveur de baisser les yeux pour le voir.

Vaincue, elle lève les pieds et avec mes orteils, je men saisis pour la jeter contre son sac à dos.

Je vois Anne faire des efforts désespérés pour ne pas bouger et ne pas faire tomber sa robe de sa poitrine

Puis je remets mon pied contre sa chatte. Elle tressaille et ce léger mouvement suffit à faire glisser le tissu. Elle attrape sa robe avant quelle ne tombe complètement, se couvre. Le serveur nose plus parler. Il a la bouche ouverte. Il vient de voir sa poitrine quasiment nue !

Anne est rouge. Le serveur sen va.

— Jai honte, je voulais juste me montrer à toi, pas à ce type !

— Je pense que ça lui a plu tu sais.

— Tu crois ? Jai lair dune salope à exciter ce garçon ainsi.

— Moi ça ma beaucoup plu. Montre la moi encore veux-tu ?

-Et si il revient comme ça ?

-Promis, je ferai plus attention.

Anne laisse tomber sa robe, et ses seins réapparaissent.

— Jaime que tu me caresses le minou avec ton pied mais jaimerais quil soit contre mes lèvres, pas seulement devant.

Je sais pouvoir, en partie retourner mon pied droit. Cela vient dune déformation bénigne mais qui présente un avantage dans limmédiat. Anne se soulève et je glisse mon pied dont le creux pourra épouser la forme du sexe de ma femme. Cette opération est dautant plus facile que le siège, fait de lanières en plastique souple se déforme à souhait. Elle pose son abricot dans le creux du pied et commence à se branler sur moi. Sans doute pas suffisamment satisfaite, elle écarte ses grandes lèvres pour poser sa vulve directement contre mon membre, puis reprends ses nichons.

Elle a les yeux mi-clos et respire fort.

— Regarde moi me branler, je le fais pour toi parce que jai envie de toi, je taime !

— Oui, vas-y, masturbe-toi, tu es trempée de la chatte.

— Sil te plait, traite moi, dis moi que je suis ta salope, que tu aimes mon trou, mes mamelles.

Anne effectue des va-et-vient de plus en plus appuyés.

Nous entendons des voix monter dans lescalier. Anne remonte sa robe et la rattache.

Les gens sinstallent à deux tables de nous. Il est hors de question de continuer.

Je la sens déçue, elle a le regard flou. Elle a chaud, des perles de sueur saccrochent à son visage et à ses épaules.

-Dommage, javais envie de me donner en spectacle pour toi.

Rapidement, nous payons et partons vers le village. Il était bien sûr hors de question quelle se remette soutif et culotte en face des nouveaux venus.

-On va rentrer et faire lamour à lhôtel, lui dis-je.

— Daccord, mais il faudra dans un moment remettre ma culotte car je suis mouillée.

La nuit est intense. Le contraste entre le noir ambiant et la mer argentée est impressionnant.

Nous sommes quasiment seuls sur le chemin. Nous croisons parfois des ombres. Jen profite pour mettre la main aux fesses dAnne en retroussant sa très courte robe. Je la promène le cul à lair. Elle me tient par la taille.

Nous devinons un panneau indicateur, Jéclaire avec un briquet. Il sagit dun point de vue signalé pour les touristes. Nous nous engageons sur un petit chemin pour nous y rendre et prendre éventuellement quelques dernières photos.

Cest Anne qui se charge des prises de vues. Jai beau lui dire que malgré les reflets de la mer la photo est impossible, elle insiste et se baisse en écartant les jambes pour avoir plus dassise. Elle a la tête presque aussi basse que les fesses en voulant appuyer lappareil sur la rambarde.

Le vent léger sengouffre dans sa robe et la remonte sur ses hanches.

Je ne peux résister à lenvie de lui caresser la chatte.

— Arrête, tu me fais bouger !

Je lui prends complètement son abricot dans la main.

— Sil te plait, non, jai envie mais pas ici. Nimporte qui peut venir et nous surprendre. Cest un cul de sac !

Je continue mes caresses dune main et de lautre, je baisse mon short et sors mon sexe. Il est gros, je suis excité depuis le spectacle du restaurant.

Je prends la main gauche dAnne et la met sur mon membre. Elle le palpe.

— Tu es gros !

— Oui, la verge me fait mal, jai très envie de toi.

— Moi aussi, tant pis, je te veux !

— Donne moi lappareil photo et dénoue le lacet de ta robe.

— Je vais me reculer et te flasher comme ça.

— Tu me veux nue ?

— Oui, descend ta robe sur tes hanches et écarte encore plus tes cuisses. Je veux te prendre excitée.

Anne ouvre encore plus ses jambes. Dune main, elle se tient à la rambarde, de lautre, elle ouvre son sexe et se cambre. Je la photographie ainsi : la robe roulée autour de ses reins, les seins pendants, le cul offert, le sexe lisse et luisant, son visage tourné vers moi.

Puis, japproche mon sexe. Elle le sent, mattrape la verge, guide mon pénis vers son trou, attrape mes testicules et tire dessus pour que je la pénètre complètement.

— Allez, vas-y, tu es très gros. Tu me dilates le vagin. Je te sens jusque contre mon utérus, ouiiiii !, vas-y, pilonne moi ouiiiiiiii ! , comme ça, encore, encore. Ahhhhhh ! ça y est, Ouiiiiiiiiiiiiiih !

Anne jouit sans retenue, très vite, son cul plaqué sur mon ventre, fourrée jusquà la garde. Ses seins ballottent. La lune qui vient de sortir me montre le spectacle de ma femme nue, complètement offerte, le visage luisant de sueur.

— Allez, chéri, prends ton plaisir dans mon ventre, jai envie de sentir tes spasmes dans mon vagin. Ejacule en moi.

Jaccélère mes va-et-vient, puis je menfonce aussi loin que je peux pour gicler. Elle a toujours mes testicules en main.

— Aaaaaahhhh ! . Cest ça fourre moi, jen ai envie, cest chaud, remplis-moi.

Nous restons un instant ainsi lun dans lautre, en nage. Puis je sors de son ventre.

Elle veut se relever mais je lui demande de rester un instant ainsi.

— Pourquoi veux-tu que je reste ainsi ?

— Je veux te prendre comme tu es maintenant, le cul offert, en sueur, la chatte ouverte, dégoulinante de foutre.

— Si tu veux, mais jai limpression comme ça dêtre comme une truie qui vient de se faire saillir. Tu es sûr que ça te plait ?

Pour toute réponse, je recule et la prends en photo de trois quarts, encore penchée sur la rambarde, le cul bien en lair, les mamelles luisantes, la chatte encore dilatée, grande ouverte, ruisselante.

Elle se redresse et me dit :

— Jen avais très envie tu sais, mais il faut que je me rhabille et que messuie, jen ai plein les cuisses !

A peine commence-t-elle à remonter sa robe que lon entend tout près des voix en anglais. Anne plaque le tissu sur ses seins, attrape son sac à dos et me dit :

— Vite sortons dici, je ne suis pas présentable, passe devant moi !

Nous reprenons le chemin qui est encore dans lombre et croisons un groupe de quatre femmes.

La robe dAnne ne tient que parce quelle la plaque contre elle. Son dos est nu.

La dernière femme se retourne en même temps que moi. Il me semble quelle secoue la tête. Elle a dû deviner en voyant la robe dAnne baissée jusquà la taille derrière.

Nous filons dans la nuit et reprenons la route, maintenant éclairée par la lune.

— Il faut que lon trouve un coin pour que je remette ma tenue en ordre.

Quelques mètres plus loin, je lui indique un coin sombre entre deux maisons.

Je la vois dans une semi pénombre, rajuster sa robe, puis elle fouille dans son sac pour prendre des mouchoirs en papier.

— Zut, jai juste deux mouchoirs, ce nest pas assez avec ce que tu mas mis. Enfin tant pis donne moi ma culotte, ça limitera les dégâts.

— Mais cest toi qui las.

— Je croyais, mais elle nest pas dans le sac, mince ! On a dû loublier par terre dans le restaurant. Le serveur avait déjà vu mon téton, il saura que je me suis laissé déculotter ! Je mérite le prix de la salope du jour !

— Cest trop tard pour la récupérer, il faudra que tu fasses sans.

Nous repartons vers le village. La foule y est toujours aussi dense. Nous croisons des spectacles de rue. Nous nous arrêtons parfois quelques instants.

Anne est contre moi. Je la tiens par les épaules. Nous nous promenons apaisés, heureux dêtre ensemble.

Nous reprenons un autocar bondé. Anne se tient comme elle peut, cuisses serrées. Elle me dit :

— Il est temps que nous arrivions, jai besoin dune bonne douche. Jai ta semence qui coule sur mes cuisses, jespère que cela ne se voit pas. Jai limpression que les femmes autour me regardent.

Je les observe, en effet, je saisis certains regards, plusieurs de ses congénères la dévisagent carrément. Lune dentre elles va de ses seins à son ventre avec un air inquisiteur.

— Je crois que tu as raison.

— Quest-ce que jai ?

— Je crois que cest plusieurs choses : un peu ta robe collée sur ton ventre, tes fesses et tes seins par la sueur, sûrement ta poitrine manifestement libre qui sagite avec les cahots, mais je crois surtout que tu sens la femelle, un mélange de sueur, de lodeur de ta chatte pendant lamour, de sperme, le tout dans cette chaleur et cette promiscuité. Cest agréable pour moi qui te respire de près, mais cela peut en gêner dautres, parce quelles doivent peut-être tenvier, de sentir que tu viens de faire lamour.

Anne est rouge, elle nose plus regarder autour delle.

— Je ne sais plus où me mettre, je suis toute gluante entre les jambes et jai peur que ça coule. Si en plus elles sentent que je suis en chaleur !

A suivre…

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