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Les petites voleuses – Chapitre 1




Ma copine Marion et moi, Coraline, on adore porter des dessous coquins. Quand on fait l’amour toutes les deux, c’est super agréable de se caresser les seins et les fesses, moulés dans du satin ou de la soie. Au lycée, on est toujours à la recherche de petits coins discrets pour se montrer nos petites culottes et nos soutiens-gorge, ce qui nous fait patienter jusqu’à ce qu’on rentre chez elle ou chez moi après les cours pour baiser. Parfois, entre deux cours, on va même aux toilettes pour échanger nos sous-vêtements (on a les mêmes mensurations, Marion et moi, même si ses nichons sont un peu plus gros que les miens). C’est excitant de porter le slip tout chaud et humide de sa petite amie pendant un cours de maths bien barbant…

    Le problème, c’est que c’est notre passion est ruineuse pour nos budgets de lycéennes. C’est Marion qui a trouvé la solution : un jour qu’elle se faisait baiser par le vendeur d’une boutique de fringues, en échange d’un joli petit caraco, dans la cabine d’essayage, celui-ci lui révéla qu’il existait un moyen miracle de faire sauter les puces électroniques qui protégeaient les vêtements de la grivèlerie. Il lui montra la petite pince qui pouvait libérer tant de fringues convoitées. En échange d’un petit extra, en l’occurrence une sodomie, il accepta de la lui céder. Depuis ce jour, notre collection de sous-vêtements s’est beaucoup enrichie. Il nous suffit de nous rendre dans un magasin, à poil sous nos vêtements, et d’enfiler dans la cabine la petite culotte et le sous-tif choisis, après en avoir ôté la protection et, ni vu ni connu, je t’embrouille.

    Sauf dans ce fameux grand magasin, où les protections avaient vicieusement été doublées par l’ajout d’une puce indétectable. Si bien qu’en passant le portique de détection, arborant comme d’habitude notre air le plus angélique de petites filles sages, on fit se déclencher toutes les alarmes possibles et imaginables, sous le regard courroucé de toutes les mémères à chienchien du patelin. Les deux vigiles du magasin, un Black et un Beur baraqués, nous firent rapidement disparaître par une porte dérobée, malgré nos protestations d’innocence. Nous étions sûres de notre bon droit, tandis que les deux colosses vidaient sur la table du local de service le contenu de nos sacs. Ils n’allaient quand même pas nous faire déshabiller !

    Ce en quoi nous nous trompions. On ôta nos vêtements, sous la menace de faire intervenir la police. Quand bien même, nous avions pris soin de retirer toutes les étiquettes des vêtements subtilisés. Sauf que j’en avais oublié une, qui pendouillait bêtement sur le côté de ma petite culotte…

    Karim la montra du doigt à son collègue Amadou, qui rigola, tandis que je piquais un fard. Plus la peine de nier. Le Maghrébin nous ordonna de retirer les sous-vêtements barbotés. Je protestai. Mais Marion m’adressa un clin d’oeil, tout en retirant son soutien-gorge. Je croyais comprendre où elle voulait en venir. Même si je n’étais pas emballée, je me dévêtis à mon tour.

Les vigiles poussèrent des sifflements d’admiration, à la vue de nos mottes toutes lisses. Ma copine et moi nous rasons consciencieusement la vulve et le pubis, afin que l’action de nos doigts et de nos langues ne soit en rien contrariée.

— Mettez-vous à quatre pattes sur la table, aboya Amadou.

    – Vous n’allez tout de même pas vérifier si on a caché quelque chose dans nos vagins ?? s’étonna Marion.

    – Ben si. Vous n’imaginez pas tout ce que les filles peuvent y cacher : des tubes de rouge à lèvre, des flacons de parfum. Et même, une fois un assistant personnel Palm, avec tous ses accessoires !!!

    Karim se bidonna à ce souvenir.

    – Faites gaffe, dit Marion, ma copine est encore vierge. Et comme elle n’a pas encore 15 ans, vous n’avez pas intérêt à lui fourrer vos sales doigts dans la chatte !

    Tandis Amadou vérifia ma carte d’identité, posée sur la table, et il convint en maugréant que j’étais encore à quelques jours de l’anniversaire qui marquerait ma majorité sexuelle.

    – Alors, c’est toi, Marion, qui va nous écarter les lèvres de sa moule.

    Elle descendit de la table et d’un geste sûr fit éclore ma fleur délicatement carminée, dont les mecs accroupis constatèrent l’exiguïté et la vacuité. Ils voulurent ensuite voir mon trou du cul. Marion ouvrit bien grand mes fesses.

J’étais écarlate, honteuse que mon intimité soit ainsi exposée, pour la première fois à des hommes. Leurs commentaires n’étaient pas moins humiliants :

    – On dirait que c’est pas la première fois. Hein, les petites gouines ? Tu aimes ça, Coraline, que ta copine te touche ?

    Je ne pouvais nier l’évidence, et j’acquiesçai. A l’invitation des deux vigiles, nous échangeâmes nos places, Marion et moi, et je révélai sa vulve et son anus.

    – Toi, t’es pas comme ta copine, remarqua Karim, à la vue de la chatte épanouie : T’aimes la bite !

    – On dirait même qu’elle l’aime autant par derrière que par devant !

Coraline, enfile-lui un doigt dans le cul.

    Il avait raison : l’anus de Marion en avait vu d’autres… Mon amie tenta de pousser son avantage :

    – Si on se gouine pour vous, vous nous laisserez partir ?

    - ?a peut aider. Mais, après que vous nous aurez excités, il faudra bien qu’on se vide les couilles. Mais, pas touche à la petite Coraline : on veut pas d’ennui ! C’est toi qui va t’y coller, Marion. Un par devant et un par derrière, t’as déjà fait ?

    Marion secoua la tête.

    - ?a doit faire vachement mal !!

    – Mais non, t’inquiète, on est des experts. Si ta copine te bouffe bien le cul, ça passera tout seul. De toute façon, si t’es pas d’accord, on appelle les flics. On en connaît des bien pervers. Avec eux, je ne donne pas cher du pucelage de Coraline !

    Marion finit par se laisser fléchir. Pleine de reconnaissance, je lui glissai ma langue profondément dans le rectum. Karim et Amadou sortirent de leurs jeans leurs queues circoncises et bandées, qu’ils vinrent présenter à Marion.

Tout en lui doigtant le cul, je me relevai pour mieux voir. Elle les emboucha à tour de rôle, et quand les glands furent humides, elle les fit glisser l’un contre l’autre. Les mecs gémirent, sensibles à la vicieuse caresse qui réveille en tout homme le gay qui sommeille en lui. Elle remarqua que j’étais fascinée par son petit manège.

    – Viens toucher comme c’est doux, Coraline.

    Je posai ma main sur les deux glands réunis, qui tressaillirent à mon contact et se mouillèrent d’un liquide brûlant. Marion m’abandonna alors lâchement, pour aller me lécher la moule et le cul. Je ne me laissai pas démonter, et pris chaque bite dans une main. A en croire les ahanements des deux mecs, je sus donner le bon rythme à ma double branlette

— T’es une bonne salope, Coraline, comme ta copine, remarqua Amadou. Qui se ressemble s’assemble. Quand on aura baisé Marion, on va gicler sur ta jolie petite gueule !

    En parlant de baiser Marion, celle-ci commençait à se lasser de me brouter le minou, et elle invita les mecs à la pénétrer. Amadou dont je masturbais toujours la longue bite noire s’allongea sur la table. Il proposa à ma copine de se l’enfiler elle-même dans le cul, ce qui était le plus mauvais moment à passer. Ensuite, Karim allait la prendre dans le con. Je gratifiai la croupe de Marion d’un dernier coup de langue, puis elle s’accroupit au-dessus du Black, dont je fixais, fascinée, la queue disparaître entre les fesses rebondies. Elle souffrait visiblement et se mordait les lèvres pour ne pas montrer aux deux mecs son tourment. Quand elle buta enfin contre les grosses couilles noires, elle se fit coulisser plusieurs fois sur le mandrin et son visage s’apaisa progressivement, à mon grand soulagement. Elle se pencha alors en arrière, maintenue aux hanches par Amadou et écarta les cuisses, pour que Karim puisse pénétrer sa vulve offerte. Je passai derrière eux afin d’observer l’étonnant spectacle des deux trous de Marion comblés par les deux bites en action. Je fus intriguée par les fesses musclées du Beur, qui révélaient en s’écartant à chacun de ses pistons son minuscule anus, qui paraissait me faire de l’oeil. Je salivai mon majeur et l’enculai sans ménagement. Il protesta pour la forme, mais je m’obstinai et substituai ma langue à mon doigt.

    – Oh, la salope ! s’écria-t-il.

    – Qu’est-ce qu’il y a mon pote ? demanda Amadou.

    – C’est Coraline ! Elle me lèche le cul !

    – Ouuuaaahhh. Avec ces deux-là, on a tiré le gros lot, on dirait…

    Le Noir était curieux que je lui pourlèche à lui aussi la rondelle. Karim se releva, suivi d’Amadou, qui sans sortir de Marion, qu’il tenait dans ses bras puissants, la reposa sur son copain, qui s’était allongé sur le dos sur la table et retrouva sa place dans le vagin de ma copine. Je plongeai entre les fesses maintenant accessibles d’Amadou, dont je salivai l’anus avant d’y introduire un puis deux doigts. L’enculé se plaignit du traitement soi-disant douloureux, ce qui me fit accélérer encore le mouvement : il savait désormais ce qu’il en coûtait de sodomiser ma Marion chérie !

    Quand j’estimai que la leçon avait porté, je pris dans mes mains les deux paires de couilles gorgées de sperme, dont j’appréciai la douceur. Je les rapprochai l’une de l’autre et fit jouer les quatre boules les unes contre les autres.

    – Oh, salope, c’est trop bon ! Je vais te barbouiller la gueule de mon foutre!

s’écria Amadou, qui extrait sa pine du cul de Marion et la dirigea vers mon visage.

    Je reçus ses giclées brûlantes en pleine poire. Karim se joignit aux festivités et m’arrosa à son tour. Marion applaudit à tout rompre mon baptême du foutre, qu’elle étala quand ils eurent fini sur les rares parties de mon visage qu’ils n’avaient pas souillées. Je passai timidement ma langue sur mes lèvres, pour découvrir le goût du sperme. La saveur salée m’arracha une grimace. Ma copine rigola de ma répulsion. Elle passa sa langue sur mes deux joues pour en récolter une bonne rasade, qu’elle me fourra d’autorité dans la bouche. Ainsi mélangés à la salive de ma petite amie, les foutres me parurent plus comestibles, et je résolus de recevoir du sperme dans ma bouche, la prochaine fois que j’aurais une bite en état de marche à ma disposition. Amadou, qui avait visiblement le béguin pour moi, me proposa de patienter quelques minutes.

Mais son collègue lui fit remarquer qu’ils étaient déjà restés trop longtemps absents du magasin et que le patron risquait de s’en rendre compte.

    Tandis que nous rhabillions, y compris les sous-tifs que les vigiles nous laissaient emporter, on convint tous les quatre que Marion et moi commettrions notre prochain larcin le mercredi suivant, jour où Amadou et Karim étaient tous les deux de service. Il se trouve que ce jour-là est celui de mon anniversaire. En plus du petit haut hors de prix que j’ai l’intention de voler, je compte bien offrir à mon con de la bite de Black et de Beur. Et, si Marion me l’assouplit assez d’ici là, il se pourrait aussi que mon cul ait droit à son petit présent.

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