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CHARLINE (ou comment je suis devenue la chienne de mon beau-père) – Chapitre 6




Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination FANTASMATIQUE. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.

Chapitre 7 : Où on passe un marché.

Je me suis habillée, j’ai posé toutes les affaires que Monsieur m’avait données, c’est-à-dire les deux paires de chaussures et les sous-vêtements, bien en évidence sur la table de la cuisine. J’ai récupéré sa carte de visite, j’ai pris ce dont j’avais besoin pour mes cours du lendemain, et je suis partie chez mes parents. Arrivée chez eux je leur ai dit que je ne me sentais pas bien. Maman a voulu appeler le médecin de famille mais je lui ai dit que c’était trop tôt, que j’étais juste fatiguée et qu’il valait mieux attendre pour voir si je ne couvais pas quelque chose. Je ne sais pas si elle m’a cru mais elle n’a pas insisté. Ma sur Justine, qui a deux ans de plus que moi, m’a prise à part et elle m’a dit :

— Si tu veux discuter tu sais où me trouver.

Je l’ai remerciée mais bien qu’elle fût beaucoup plus délurée que moi, en tout cas avant que je ne rencontre mon beau-père, j’étais presque certaine qu’elle ne comprendrait pas ma situation. Ensuite je suis montée dans mon ancienne chambre en leur disant que j’allais me reposer.

Une fois sur mon lit j’ai envoyé un SMS à Monsieur qui disait ceci :

— J’ai quitté Julien, je vous laisse le soin de lui expliquer pourquoi. De toute façon, si je l’ai trompé c’est que je ne l’aime pas vraiment. Quant à vous, comme vous me l’avez si bien fait remarquer : vous n’êtes qu’un égoïste qui ne se soucie pas des autres. PS : Bonne chance pour votre discussion avec votre fils.

Et j’ai signé :

— Votre ancienne petite chienne

Et j’ai attendu. Au bout d’une demi-heure, mon téléphone a sonné. C’était lui. J’ai attendu que les battements de mon cur se calment, puis j’ai répondu. J’ai entendu la voix de Monsieur, visiblement très en colère qui a dit :

— Tu es où bordel !!!

— Ça ne vous regarde pas

— Tu te rends compte de ce que tu as fait ?!? Julien ne va pas s’en remettre !!!

— Depuis quand vous souciez-vous de lui ? Vous l’avez fait cocu sans aucune hésitation. De toute façon, je n’ai pas envie de discuter avec quelqu’un qui crie tout le temps, rappelez-moi quand vous serez calmé !

Et j’ai raccroché. Au bout de quinze minutes, mon téléphone a sonné à nouveau, c’était le même numéro. J’ai répondu et il a dit d’une voix plus calme :

— Bon, tu attends quoi de moi Charline ?

— Tiens, vous vous rappelez mon prénom ? Ce que je veux je vous l’ai dit ! Si vous m’aviez écouté vous le sauriez

Devant son absence de réaction, j’ai poursuivi :

— Une relation ça se construit à deux, et il faut que chacun y trouve son compte. Si vous n’êtes pas capable de comprendre ça vous ne me reverrez jamais

— Bon, ok ! Dis-moi ce que tu veux, et si c’est acceptable tu l’auras !

— Vous recommencez à être agressif, je vais raccrocher !

Là, je l’ai senti inquiet pour la première fois.

— Non attends, on peut discuter

— Si vous vous calmez, ok. Sinon, c’est pas la peine !

— Bon, dis-moi où j’ai merdé et je ferai en sorte de rectifier le tir

— Ok, pour commencer ça ne me dérange pas d’être votre chienne, j’avoue même que ça me plait, mais je ne veux pas être traitée comme une moins que rien en permanence

— Mais

— Merde à la fin !!! Vous me laissez parler oui ou non ?!?

— Excuse-moi, je t’écoute

— Je ne veux plus que vous passiez chez moi juste quand vous avez besoin de vous vider les couilles. Je veux une relation plus suivie. Ensuite, je veux être baisée à chaque fois, même si c’est brutalement car j’avoue que ça me plait

— Et quoi d’autre ?

— Je ne veux pas que vous m’obligiez à baiser avec cette pouffe d’esthéticienne ni avec personne d’autre qui me déplaît

— Mais pourtant elle m’a dit que tu avais aimé

— C’est vrai que j’ai aimé avoir une relation lesbienne, mais elle je ne l’aime pas. De plus, je ne veux pas que vous alliez raconter à tous vos amis ce que nous faisons ensemble, et qu’ils me traitent de façon arrogante ! Je veux qu’on fixe des limites, je ne veux pas faire de sadomasochisme hard

— Tu me prends pour un sadique ?!?

— Je ne sais pas qui vous êtes ! Vous me baisez et vous repartez sans me parler. Je trouve ça humiliant, et ce n’est pas ce genre d’humiliation dont j’ai envie. Je ne suis pas une poupée gonflable mais un être humain !

— J’en prends bonne note. Tu as d’autres exigences ?

— Je vais réfléchir à un mot d’alerte, comme dans Fifty Shades. Quand je le prononcerai, le jeu s’arrêtera. Si vous ne respectez pas cette règle le jeu s’arrêtera définitivement

— Tu as lu Fifty Shades ?! À ton âge ?!?

— Eh oh papy, réveillez-vous, on est au 21ème siècle !

— Voilà, c’est tout ce que j’ai à dire pour le moment

— Tu vas rentrer maintenant ?

— Non pas ce soir

— Mais Julien va s’inquiéter

— Julien, c’est mon affaire. Votre problème à vous, c’est de faire disparaître ce que j’ai laissé sur la table de la cuisine avant qu’il ne rentre. Réfléchissez à ce que je vous ai dit, et si vous acceptez mes conditions on continuera à se voir. Sinon trouvez-vous quelqu’un d’autre pour vous amuser. Sur ce, bonne soirée !

Et j’ai raccroché.

Avant de me coucher j’ai envoyé un SMS à mon petit mari, pour lui dire que j’étais passée voir mes parents et que je dormais chez eux, pour qu’il ne s’inquiète pas en rentrant de son travail. Je me suis endormie avec le sourire, certaine d’avoir marqué des points vis-à-vis de Monsieur. Le lendemain, j’ai dit à maman que j’allais mieux et je suis partie au lycée comme d’habitude. Après avoir fini mes cours je suis retournée à notre appartement. Julien était là comme à chaque fois que je rentrais mais prêt pour aller travailler. Il m’a embrassée et il m’a demandé avec sa naïveté habituelle si ma soirée chez mes parents s’était bien passée. Après qu’il soit parti j’ai cherché les chaussures et les sous-vêtements que Monsieur m’avait donnés partout dans l’appartement. Je ne les ai pas trouvés, alors je me suis mise toute nue pour vaquer à mes occupations habituelles, en écoutant un CD de Tina Arena.

Une heure plus tard j’ai reçu un SMS de Monsieur :

— Est-ce que je peux venir ?

J’ai répondu :

— C’est votre appartement et vous avez la clef

Je l’ai attendu, nerveuse, et quand j’ai entendu le bruit de la serrure il a fallu que je me tienne à une chaise de la cuisine, car j’ai eu le vertige. Je me suis vite reprise, car cette première entrevue depuis notre rupture allait être primordiale pour la suite de notre relation, et il ne fallait pas que je flanche. Je me suis mise en position d’attente, les jambes écartées de cinquante centimètres et les mains sur la nuque. J’avais décidé pour lui donner une deuxième chance de reprendre mon rôle de soumise, et de voir s’il tiendrait compte de mes remarques, mes exigences comme il disait. Quand il est entré dans la pièce il tenait un sac dans sa main droite, certainement avec mes affaires dedans, il a hésité en me voyant puis il a dit en posant son sac sur la table :

— Tu m’as profondément déçu petite chienne ! Et en plus tu n’es pas en tenue ! Déshabille-moi, ensuite tu iras te changer et tu me rejoindras au salon !

Je lui ai ôté ses vêtements, puis j’ai pris le sac et j’ai filé dans ma chambre en vitesse. Toutes mes affaires étaient là, j’ai mis le corset, enfilé une paire de bas que j’ai accrochés aux jarretelles, puis j’ai chaussé la paire d’escarpins rouges, ensuite j’ai attaché cheveux en palmier avant d’aller le retrouver dans le salon. Il avait changé de CD pour mettre les Scorpions et il était assis dans le fauteuil qu’il avait occupé les fois précédentes. Je me suis remise en position d’attente. Il m’a regardée pendant un moment qui m’a paru terriblement long, puis il a dit :

— Tu mérites une punition pour ton comportement de rebelle, tu es d’accord ?

— Ou oui Monsieur

— Bien, dans ce cas je vais te corriger, mais avant on va discuter de la façon dont tu souhaites voir évoluer notre relation. Tu as réfléchi au mot d’alerte que tu veux utiliser ?

— Oui Monsieur. C’est : va vanille

Il a souri et il a répondu :

— C’est un bon choix. Tu m’as dit que tu ne souhaitais pas faire de sadomasochisme hard, je suis plutôt d’accord car je n’ai rien d’un tortionnaire. As-tu réfléchi aux limites que tu ne veux pas franchir ?

— Pa pas vraiment Monsieur, je, je me suis dit qu’on allait en discuter ensemble

« OK, voilà ce que je te propose : je ne pourrai pas venir tous les jours mais j’essaierai de venir au moins deux fois par semaine. Je t’appellerai une demi-heure avant pour que tu puisses mettre ta tenue de petite chienne. Je continuerai ton éducation en suivant ma propre logique, si quelque chose te dérange ou que tu n’arrives pas à faire ce que je te demande, tu n’auras qu’à dire « Vanille », on arrêtera et on discutera de ton problème. Ça te va ? »

— Oui Monsieur

— Si tu es à nouveau frustrée par nos séances parce que tu estimes que tu n’y as pas trouvé ton compte, tu me contacteras par mail. Tu pourras même me faire des suggestions si tu en as envie, car dans ces échanges nous traiterons d’égal à égal

— Et pour vos amis ?

— Je leur expliquerai que tu es ma soumise exclusive et qu’ils doivent te traiter avec égard, si tu n’aimes pas certains d’entre eux tu ne seras pas obligée de les revoir. Pour l’esthéticienne, j’en connais une autre qui est la soumise d’un de mes amis, tu iras chez elle pour ta prochaine épilation. Ça te convient ?

— Oui Monsieur

— Bien, maintenant je te dois une punition. Tu sais ce que tu dois faire ?

— Oui Monsieur

J’ai débarrassé la table basse pendant qu’il montait le volume de la musique, ensuite je me suis mise à quatre pattes dessus. J’avais la trouille car j’avais peur qu’il ne veuille se venger du fait que je lui avais tenu tête, mais ça s’est passé comme la première fois. J’ai supporté bravement la fessée en comptant les claques, je me suis quand même mise à sangloter vers la trentième. Quand il m’a enculée à sec j’ai à nouveau eu l’impression qu’il me déchirait l’anus, mais dès le départ et malgré la douleur, je me suis mise à crier :

— Plus fort, Monsieur !

— Défoncez mon cul de salope, Monsieur !

Mon anus s’est dilaté progressivement, et j’ai fini par avoir un orgasme aussi puissant que la première fois en écoutant Still Loving You. Quand il a présenté sa queue devant mon visage après avoir déculé, je l’ai léchée sans hésitation et sans m’inquiéter du sperme qui s’échappait de ma rondelle. Il m’a ensuite demandé de le rhabiller, et avant de partir il m’a donné une deuxième carte de visite avec en plus de son numéro de téléphone et son adresse mail. Quand j’ai été seule je suis allée me nettoyer les fesses, puis pour fêter ma victoire je me suis ouvert une bière que j’ai bue directement à la canette dans le fauteuil de Monsieur, sa carte de visite à la main. J’étais contente, et je me disais que s’il tenait ses engagements j’allais devenir une parfaite petite soumise. J’ai éclaté de rire en pensant à la tête que feraient mes parents s’ils venaient à l’apprendre, et comme j’avais la bouche pleine de liquide j’ai éclaboussé la moquette. Heureusement que la bière ne tache pas

À suivre

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