Je choisis au hasard un carton posé au sol un peu plus loin et me dirige vers lui, puis je commence à me pencher. Quand j’étais plus jeune, j’ai fait pas mal de gymnastique et j’en ai conservé une certaine souplesse, du coup, me reviennent à la mémoire les exercices d’échauffement de mon coach de l’époque.
" Allez, on inspire à fond, on enroule bien le dos en expirant profondément et on va attraper la pointe de ses pieds "
Je suis certaine que ce sale pervers devait bien se rincer les yeux à nous mater le cul ! Des souvenirs que j’en ai, il était plutôt mignon et si j’avais été aussi cochonne qu’aujourd’hui, j’aurai bien dégusté sa queue pour mon quatre heures à la place de mes Pitch. Quand je repense à toutes les occasions que j’ai loupées à cette époque, j’en suis presque malade…
Bref, revenons à nos moutons, ou plutôt à mon étalon ! Dans la position où je suis, ma jupe est clairement remontée, je sens même l’air frais qui plane dans le garage me caresser la vulve. Je la lui offre, elle est bien calée entre mes cuisses telle la chatte d’une jument qui attend de se faire saillir. Je dandine légèrement des hanches tout en baragouinant quelques mots innocents de temps à autre, Thomas est totalement silencieux et je décide de l’interpeller car cette position n’est pas des plus confortable.
— Tu peux venir m’aider s’il te plaît Thomas ?
Aucune réponse.
— Thomas ?
Je tourne mon visage vers lui et je retiens un rire quand je le vois. Il est rouge comme une pivoine, totalement immobile, le regard figé sur mon intimité et la bouche entrouverte. Allez va, inutile de rester comme ça plus longtemps, je l’ai ferré pour de bon là !! Je me redresse et me retourne vers lui.
— Thomas ? Tu vas bien ?
— Euuuuuuuuuuh, je, je, je… bougonne-t-il en relevant son regard vers mon visage.
Il arrête cependant le trajet de ses yeux sur ma poitrine, j’ai un téton apparent mais cette fois, je ne le recouvre pas et fais mine de ne pas l’avoir remarqué.
— Qu’est-ce qui t’arrive Thomas ?
Il relève d’un coup son regard vers moi, son sang doit être en train de bouillir tant sa peau est écarlate.
— Euuuuh, rien rien, je je… je suis désolé je… Bégaie-t-il ;
— C’est moi qui te fais rougir comme ça ?
— Euuuuh, non non Madame, c’est pas ça, c’est…
— Pas Madame, Shama ;
— Euh, oui, Shama, désolé Mada… euh…
Le pauvre est complètement paniqué.
— Qu’est-ce qu’il peut bien y avoir ici pour te mettre dans cet état ? Dis-je en regardant autour de moi.
Une fois que je repose mes yeux sur lui, je vois que les siens sont de nouveau plantés sur ma poitrine. Il ne peut pas s’empêcher de me mater ce cochon !!
— Ah, je crois que j’ai trouvé ! Lançai-je en le prenant sur le fait.
Il remonte son regard vers le mien.
— Mes seins te plaisent Thomas ?
— Euuuuuh, jeeeeee…
Je ricane.
— Va fermer la porte du garage s’il te plaît.
Il lui faut quelques secondes pour assimiler ma demande avant d’aller l’exécuter et la porte se referme dans un grondement métallique résonnant dans tout le sous-sol. Thomas reste au niveau de la porte sans bouger.
— Approche Thomas, n’aie pas peur, je ne vais pas te manger, dis-je d’une voix douce.
Oooooh que si je vais te manger mon grand, et plutôt deux fois qu’une !! Sa timidité m’excite au plus haut point !! Il s’approche lentement puis s’arrête, mais un peu trop loin à mon goût.
— Approche encore.
Il fait quelques pas de plus jusqu’à se trouver à portée de main. Je commence à défaire les derniers boutons de mon chemisier puis je l’ouvre totalement, libérant mes mamelles à son regard. Il les fixe intensément.
— Wahou… dit-il dans un souffle ;
— Eh bien, quel accueil !
Il ne lâche pas mes seins des yeux, comme si rien d’autre n’existait à cet instant précis.
— Vas-y, touche-les, lui dis-je en avançant d’un pas vers lui.
Il remonte une de ses mains très lentement vers moi et je viens l’accompagner en la lui prenant pour la poser sur un de mes seins. Il a la main chaude et le contact de ses doigts fins sur ma peau fait s’accélérer mon rythme cardiaque alors que je sens frémir mes lèvres intimes. Il commence à faire bouger ses doigts, caressant le dessus de mon sein tout en effleurant mon téton de la paume de sa main. Je frissonne en poussant un léger soupir et sans rien dire, j’attrape son autre main pour la poser sur ma deuxième gorge. Ça se voit qu’il n’a clairement pas l’habitude tant ses gestes sont hésitants, il semble avoir peur de me faire mal. S’il savait ce que mes nichons ont l’habitude de subir…
— Tu peux les caresser plus franchement tu sais, ils ne sont pas si fragiles.
Il accentue un peu ses caresses, ses doigts s’enfoncent un peu plus dans ma peau. Il finit par passer ses mains dessous comme pour les soupeser et il a l’air ravi de ce qu’il ressent.
— Ils te plaisent ?
— Oh oui… Ils sont si… gros, et puis lourds… Et vous avez la peau si douce… Vous êtes trop belle Madame ;
— Shama ;
— Oui pardon, Shama ;
— C’est très gentil mon chéri. Si tu veux les lécher, vas-y.
Il plonge ses yeux dans les miens avant de me sourire et je m’aperçois que quelque chose a changé dans son regard, il y a moins de gêne et plus de gourmandise. Il penche lentement son visage vers mes seins et sort doucement sa langue de sa bouche, elle est brillante de salive et je pousse un long soupir quand je sens le bout de celle-ci entrer en contact avec mon téton.
— Voilà, c’est bien Thomas, comme ça, continue à me lécher, oui, c’est bien… Vas-y, suce-moi les tétons maintenant…
Il suit mes recommandations et emprisonne mon téton entre ses lèvres. Je guide son autre main pour l’inciter à continuer de me caresser. Au fur et à mesure, il appuie de plus en plus le contact de ses lèvres et de sa langue sur ma peau et il commence même à aspirer mon téton.
— Oui, c’est bien, comme ça, oui… Tête moi bien…
— Hmmmm, c’est si bon… dit-il de temps en autre les yeux fermés, absorbé par le plaisir qu’il prend à me bouffer les seins.
Il me déguste maintenant plus franchement, alternant entre mes deux tétons comme un chiot qui téterait les mamelles de sa chienne de mère. Je passe ma main dans ses cheveux ils sont très doux en l’encourageant à continuer, le plaisir que me procure sa bouche juvénile est délicieux et mes tétons sont à présent bien durs et gonflés. Il relève sa tête, son visage est toujours aussi rougeoyant et il est presque essoufflé.
— Ça va mon chéri ? Lui demandai-je en posant ma main sur sa joue.
Il a la peau brûlante.
— Oui, votre peau est si délicieuse et douce ! Me répond-il en soupirant ;
— Tu es mignon ! Tu n’avais jamais fait ça avec une de tes copines ?
— Euh si, j’ai déjà vu et touché des seins, mais jamais d’aussi gros. Les vôtres sont… wahou !! Ils sont un peu comme…
— Comme quoi ?
Il semble gêné et baisse la tête.
— Comme quoi Thomas ?
— Eh bien, comme… comme ceux de ma mère ;
— Tu mates les nichons de ta mère petit coquin ?
— Non non, mais parfois elle sort nue de la salle de bains et je les vois ;
— Et ça t’excite ?
— Oui, j’avoue, dit-il tout penaud ;
— Il ne faut pas te sentir mal tu sais, c’est naturel d’être excité quand tu vois une belle paire de seins ;
— Mais… C’est ma mère ;
— Et alors ? Avant d’être ta mère, c’est une femme, et avant d’être son fils, tu es un homme, et quand une femme est belle et attirante, c’est naturel qu’un homme soit excité ;
— Oui mais bander pour sa mère, je sais pas, c’est un peu… malsain ;
— Mais non voyons, c’est une réaction purement physiologique, ça prouve juste que t’as un outillage en parfait état de marche, rien de plus !
Il me sourit timidement en hochant la tête.
— Dis-moi Thomas, tu as une petite amie ?
— Non Ma… euh, Shama ;
— Tu en as déjà eu ?
— Oui, mais pas beaucoup, et ça n’a jamais duré très longtemps ;
— Pourquoi ça ? Tu es pourtant mignon comme tout ;
— Je… Je sais pas ;
— Et tu as déjà couché avec l’une d’elles ?
— Non, jamais.
Yessss !!!!!! Un puceau !!! Bien vu Florian !!!
— C’est étonnant vu que tu m’as dit tout à l’heure que tu avais déjà vu et touché des seins ;
— Oui, mais ce n’est jamais allé beaucoup plus loin ;
— Ah bon ? Pourtant, en général quand on va jusque-là, ça va toujours plus loin. Pourquoi ce n’est pas le cas ?
— Eh bien… Elles ont peur ;
— Peur ?? Mais peur de quoi ??
— D’avoir mal ;
— Mais, je comprends pas, comment ça peur d’avoir…
Soudain, je descends mon regard vers son entrejambe. Se pourrait-il que… Rien dans son apparence ne semble indiquer quoi que ce soit pourtant. Je lance ma main vers sa braguette et je me fige. Non, c’est pas possible…
Mes doigts sont en contact avec une sorte de… masse qui se trouve sous ses vêtements. Je le regarde et il me dévisage, comme s’il s’attendait à ce que je m’énerve ou que je parte en courant. Au lieu de ça, je m’accroupis car il faut que j’en aie le cur net.
— Non, attendez, je… commence-t-il à dire ;
— Shhhhhh, laisse-moi voir ce que tu caches là-dessous.
Je défais soigneusement les attaches de son pantalon et le fais glisser le long de ses jambes effilées, il porte un boxer blanc qui semble cacher un lourd secret, et quand je dis lourd, c’est dans le sens strict du terme.
— Putain, mais… chuchotai-je les yeux figés sur son pubis encore caché.
Thomas est haletant, il me regarde faire en respirant rapidement avec les poings serrés contre ses cuisses. Je passe mes doigts sous l’élastique de son sous-vêtement pour le descendre d’une traite.
— Nom… de… Dieu…
Une bite énorme et massive se détend alors sous mes yeux, j’en suis estomaquée, jamais je n’ai vu pareil engin, et c’est pas faute d’en avoir vu défiler devant mes yeux, mais là, ça dépasse et de loin tout ce que j’ai déjà pu voir !! Je remonte mes yeux ronds comme des soucoupes vers le visage de Thomas, qui semble affreusement honteux, avant de le redescendre sur le buf qui pend entre ses cuisses.
— Enlève ta chemise mon grand, lui dis-je en m’asseyant sur mes talons.
Il s’exécute puis jette sa chemise sur une vieille chaise à côté de lui, et le voilà nu, me faisant face.
— Mais comment ça peut être possible… dis-je dans un souffle.
En effet, Thomas est vraiment très mince et la taille de son sexe est clairement disproportionnée par rapport à son gabarit fluet. On dirait qu’on a arraché la verge d’un géant pour la greffer sur son corps, c’est réellement impressionnant à voir ! Je regrette de ne pas avoir pris mon téléphone pour immortaliser ça parce qu’aucun mot ne pourrait décrire mieux qu’une image le tableau que je suis en train d’admirer. Son pubis est recouvert d’un petit tapis de poils presque blond, il n’y en a vraiment pas beaucoup, ce qui accentue encore la taille de son mandrin.
— Thomas, ton sexe est vraiment monstrueux !! lui dis-je d’un air ébahi ;
— Je sais, désolé Shama…
— Quoi ? Désolé ? Mais non voyons, t’as pas à être désolé !
Je me rends compte qu’il a mal interprété le terme que j’ai utilisé pour décrire sa queue.
— Quand je dis monstrueux, c’est pas pour parler de l’apparence mais de la taille, tu comprends ?
— Oui. Vous comprenez mieux pourquoi toutes les petites amies que j’ai eues n’ont jamais rien voulu faire avec moi…
Bah tiens, je veux mon neveu que je comprends !!! Déjà que moi qui ai l’habitude de prendre des belles sections, je fais pas la maline, alors une gamine avec une fente de la taille d’un timbre-poste, je veux bien croire qu’elle doit verser quelques gouttes de sueur quand il déballe le bordel ! Ah ben faut pas utiliser ça pour attaquer une chatte de pucelle hein, parce que sinon, ça va plus s’apparenter à une césarienne qu’à une défloration cette histoire !!
Bon, allez, c’est pas tout ça mais faut passer à table maintenant !