Bonjour, sollicitée par xstory, je reprends le clavier.

Suite au ramonage sévère qu’elle vient de subir, maman gît étendue sur le lit les bras en croix.

Elle me regarde amoureusement et me sourit comme pour me remercier du plaisir que je lui ai donné.

Sa respiration est encore saccadée.

Tu vas bien maman ?

Oui ma chérie, jamais je n’aurais pensé faire l’amour avec toi, je suis honteuse, mais je ne regrette rien !

Je me blottis contre elle, et pose machinalement ma main sur un de ses seins, et passe de l’un à l’autre.

Les bouts sont encore raides, je joue un peu avec, les coquins grossissent davantage.

Maman soupire fortement lorsque je lui pince les bouts.

Elle tourne la tête vers moi et dépose un baiser sur mon front, je relève la tête et la regarde, ses yeux brillent de mille éclats.

Nos lèvres se joignent, le baiser dure un bon moment, je ne veux pas qu’il cesse.

Mon cur bat la chamade, nos lèves se séparent, je suis un peu déçue, mais c’est comme ça.

Je me place à califourchon sur maman, et masse doucement ses seins magnifiques.

Elle écarte les jambes, mon corps glisse entre ses cuisses.

Nos sexes sont en contact, je me frotte longuement contre sa fournaise, je lui suce un mamelon en même temps que je me trémousse entre ses cuisses.

Maman pose ses mains sur mes fesses, fait glisser ses doigts dans ma raie et titille mon illet brun.

Nos chattes suintent énormément, je me cabre légèrement lorsqu’un intrus s’enfonce dans ma gaine.

Tu aimes ma chérie ?

Oh, maman, c’est trop bon !

Elle agite son doigt, fait des rotations et quelques va-et-vient profonds.

Je lui mords un mamelon tellement cela m’excite, instinctivement, maman me donne une bonne claque sur les fesses.

Elle enfonce deux doigts, et comme pour se venger, elle me ramone le conduit violemment.

Je serre les dents, mais j’adore ça.

Encore maman, encore !

Elle accélère, je suis aux anges.

La pression monte en moi, la soupape va bientôt céder.

Je me cabre bien pour qu’elle enfonce plus loin les intrus, j’agite mon bassin.

Maintenant, ma cuisse est contre sa chatte, un liquide visqueux s’échappe de son volcan et s’écoule sur ma cuisse.

C’est terrible comme maman mouille, sa chatte est tout enflée, ses grandes lèvres sont appuyées contre ma cuisse.

J’appuie fortement ma cuisse contre son puits d’amour, maman grogne et enfonce rageusement un troisième doigt dans mon antre dilaté.

Je pousse un râle rauque lorsque je jouis, je gicle sur le ventre de maman qui ne cesse de me pilonner le conduit, elle sait que je peux encore jouir.

Elle s’évertue à le faire, je me cabre à nouveau et gicle une seconde fois en grognant de plaisir.

Maman retire ses doigts, me fixe du regard et dit :

Comme tu gicles ma chérie presque autant que maman. !

Oui ma jouissance est terrible, je sais de qui tenir ! que je réponds en riant.

Allons prendre une bonne douche ma chérie, papa va bientôt rentrer, je ne veux pas qu’il nous trouve dans une telle situation !

Tu te rends compte, une mère avec sa fille en plein inceste, mon Dieu, comment il prendrait ça ?

Oui tu as raison !

Nos nous rendons toute les deux dans la salle de bain, nous savonnons mutuellement nos corps, nos mains s’égarent souvent, nous rions aux éclats.

Je saisis le flacon de shampoing et le fais glisser sur la fente de maman, je pousse doucement, lentement, il s’enfonce dans la gaine.

Mon Dieu, oui ma chérie, gode moi avec !

Je coupe l’eau.

Maman ferme les yeux, je la pilonne doucement avec le flacon de plastique, elle geint de plus en plus fort, elle s’accroche aux parois de la douche pour ne pas tomber.

Elle gémit tellement qu’on dirait un animal que l’on sacrifie.

Elle ondule du bassin en poussant des :

Mon Dieu, mon Dieu, je suis une chienne, oh c’est trop bon !

Oui maman, tu es ma chienne insatiable !

Elle hurle et jouit en expulsant avec force le flacon de sa vulve en pleine irruption.

Un rictus affreux déforme son visage, sa respiration est rapide, son souffle court.

Elle se penche et me demande :

Encule-moi ma chérie stp, vas-y, je suis bouillante !

Je reprends le flacon.

Non, pas avec ça, avec ta main bien à fond !

Hum tu es gourmande maman, je vais te défoncer le cul comme tu me le demandes, bien à fond !

Lentement, mes doigts pénètrent l’antre, une résistance se fait sentir lorsque j’arrive aux dernières phalanges.

Pousse plus fort ma chérie, rentre tout, vas-y !

J’obéis, ma main semble aspirée par le rectum dilaté, elle s’enfonce jusqu’au poignet.

Lentement, je commence à faire des va-et-vient, à chaque enfoncement, maman grogne.

Oui oui !

J’augmente la cadence, maman râle de plus en plus fort.

Soudain, une voix nous fait sursauter.

Alors mes salopes, on prend du bon temps entre femmes !

Je reste figée, la main ancrée dans le cul de maman.

Maman bègue, elle n’ose pas bouger.

Mais, mais tu es déjà là ?

Eh oui, déjà là, comme tu dis, mes salopes, ça fait un bon moment que je vous observe !

Depuis combien de temps vous vous envoyez en l’air toutes les deux, pendant que je suis au boulot ?

C’est nouveau papa ! que je réponds.

Il me regarde, hausse les épaules, puis dit :

Bon, je ne veux pas vous priver d’un plaisir, continuez, cela commence à me plaire !

Maman ravale sa salive, écarquille les yeux et pousse un soupir profond.

Allez les salopes, j’attends ! ajoute papa.

Je vois que ta mère aime être dilatée la cochonne, alors ne la fais pas languir !

Maman se penche davantage, ma main est toujours en elle.

Je reprends le va-et-vient, les gémissements reprennent également.

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