Je m’appelle Antoine, j’ai 16 ans, fils unique, et lors des dernières vacances, il m’est arrivé quelque chose de très bizarre avec ma cousine. Nos deux familles passaient 3 semaines au camping.
J’étais dans ma tente vers 23h, en train de jouer à ma PSP,quand je vis par ombre chinoises, ma cousine, Sarah, dans sa propre tente, en train de se déshabiller pour dormir.
Petite présentation: c’est une fille magnifique, avec des cheveux mi-longs blonds platines, un mètre soixante-dix pour un bon 85B.
Je voyais ses petits seins en forme de citrons
, ses tétons pas trop pointants… Je m’imaginais dans ses bras, nous embrassant doucement…
**GAME OVER**
Mon jeu me fit revenir à l’instant présent. Mais que venais-je de faire ? De fantasmer sur le corps de ma cousine, quel gros dégueulasse je peux être…
Mais en même temps, je ne trouvais pas cela tellement malsain, parce que c’est ma cousine et que des relations comme ça, on en voyait tous les jours !
Bref, sur ce, je me couchai et m’endormis.
Le lendemain matin, on prit le petit déjeuner nos deux familles ensemble, je fis la bise à ma cousine, nos lèvres se touchant en coin, mais je ne pense pas qu’elle le remarqua.
Les parents dirent qu’ils iraient à la fête Seventies ce soir au camping et nous demandèrent si nous voulions venir. Nous deux répondîmes bien sur non, que c’était pour les vieux. Nous allons donc passer la soirée, ma cousine et moi, seuls…
Vers onze heures, après s’être préparés et tout, ma cousine et moi allâmes à la plage. Installation des serviettes, ouverture de la glacière (avec une bouteille de Vodka prise en douce chez les parents) et changement de vêtements. Je m’apprêtais à aller me baigner quand Sarah fit :
— Attends Toinou (oui c’est mon p’tit nom) ! Tu pourrais me mettre de la crème dans le dos s’il te plaît ?
Moi, tout penaud devant cette invitation de ma cousine à la toucher, bredouillai :
— Euh..gue gue… Oui bien sur !
— Ah super. Tiens le tube de crème… HOP !
Et la STUPEFACTION ! Elle enleva son haut de maillot ! Je sentis mes oreilles rougir et mon pénis gonfler, et lui dit :
— Euh, tu pourrais remettre ton maillot s’il te plaît ? C’est HYPER déstabilisant !
— Oh allez ! Fais pas ton timide cousin ! Mais qu’est-ce… TU BANDES ?????
— Oui mais le hurle pas merde !!! Je te l’ai dit c’est déstabilisant !
— Mouais… On réglera ça ce soir, quand on sera tout seuls !
Et elle me fit un clin d’oeil complice…
— Bon ! fit-elle d’un air plus sérieux, cette crème c’est pour quand ?
— Euh, oui… désolé !
Je commencais à m’en mettre sur les mains puis le massage commença…
Sa peau était douce au toucher, j’avais envie de m’en imprégner, de l’enlacer etc…
Mais sans que je m’en rende compte, mes mains commencèrent à glisser vers ses seins… Hop là ! Rectification du tir ! Et je finis de lui mettre sa crème sans autres malentendus majeurs. Puis elle tapa dans ses mains et fit :
— Allez hop ! Tous à l’eau !
Elle me prit par la main et m’entraîna vers la mer. Je lui donna une petite tape sur les fesses, geste que je regrettai aussitôt, mais qu’elle ne sembla pas remarquer outre mesure. Elle semblait apprécier…
Si le massage s’était déroulé sans malentendus, la baignade en était tellement remplie que c’était limite si l’on ne couchait pas ensemble sur-le-champ. Mains sur les fesses, qui frôlent les seins ou les parties génitales, câlins ambigüs… Mon dieu que cela me mettait la trique… Puis un garçon s’approcha de ma cousine et lui fit :
— Hey ! Salut ! Puis-je mettre un nom sur un si joli visage ?
Et elle de rétorquer :
— Non mais tu vois pas que je suis avec mon mec la ?
Je jouais le jeu, en lui jetant un regard noir. Il s’éloigna lentement, sans dire un mot.
Elle me dit :
— Ca te dérange pas que je t’ai fait passer pour mon mec ?
— Oh non, pas du tout, ceci ajouté d’un regard pesant.
Elle semblait reprendre ses esprits et me dit :
— Bon, on garde la bouteille de vodka pour ce soir ?
— OK, si tu veux.
— Bon, je vais te donner un avant gout de ce soir…
Elle me fit trébucher sous l’eau, je vit vaguement sa tête s’approcher de moi…
Puis nos lèvres se joignirent. Un baiser passionné, avec nos langues qui se touchent, qui se frottent, hummm… Puis elle se retira brusquement. Je lui demandai :
— Ben qu’est-ce qu’il y a ?
— Mais merde qu’est-ce que je viens de faire… Je suis désolée désolée…
— Mais eh c’est pas grave !
— Mais en plus je sais même pas si ça t’a plu ! Je suis une pute…
— Mais dit pas ca ! En plus, ca m’a pas déplu à vrai dire…
— C’est…C’est vrai ?
— Mais oui… Allez viens là !
Je la serrai dans mes bras, lui touchant la poitrine, puis glissai sous son maillot…
— Non, me dit elle. Non s’il te plait arrête !
— D’..D’accord désolé.
Nous reprîmes nos serviettes et retournèrent aux tentes.