Le commandant Mercier redresse l’assiette, le bimoteur tangue et reprend le fil de la descente. Dans l’axe de la piste, les roues touchent le sol, il maintient la pression sur le palonnier, l’appareil a tendance ? glisser sur ce tarmac poisseux. Ouf ! on est ? Varsovie. Le moteur n?2 qui chauffe un peu, est arr?t?, plus de risque. Truon Khin le co-pilote conduit l’avion d’Air-France au d?barquement. Satisfait Mercier, les deux avant-bras derri?re la t?te savoure sa premi?re cigarette. Fran?oise, chef h’tesse salue les passagers, Georges Gonesse, le steward aide une vieille dame ? descendre les marches. Peu apr?s, ? son habitude, Mercier rassemble les h’tesses, pour ?conomiser un taxi ? la compagnie. En r?alit? pense Fran?oise, il a une id?e en t?te, il va organiser une petite soir?e ? l’h’tel. Elle regrette, elle ne se joindra pas ? la joyeuse bande, son taxi l’attend d?j?, command? par la tour de contr’le. Merci ? la gentillesse des polonais. Le v?hicule atteint rapidement la rue Potowski. Madame Svetlana l’accueille avec le sourire, une certaine complicit? lie la jeune h’tesse de l’air ? la polonaise qui subsiste gr?ce ? la location de ses chambres garnies. Fran?oise Laborde occupe toujours la m?me chambre, dans cette grande baraque d?labr?e, mais d’une rigoureuse propret?. D?j?, la grande blonde portant le sac de l’h’tesse, l’a conduite ? son appartement. Elle a h?te de voir ce que je lui apporte, pense Fran?oise, qui ? chaque voyage ? Varsovie, offre un petit cadeau ? son amie d?munie. Mais la rencontre prend un tour inattendu, la polonaise embrasse la fran?aise et dans sa fougue, leurs l?vres se rencontrent, le baiser de retrouvaille avorte. Les yeux bruns de Fran?oise plongent dans l’oc?an gris-bleu des iris polonais, des paillettes d’or r?chauffent le regard per?ant. Fran?oise emport?e par sa spontan?it? reprend l’initiative ? son tour. Elle approche sa bouche fard?e des l?vres tendues, le baiser n’a pas surpris Svetlana, les dents l?g?rement ?cart?es, elle aspire le souffle frais de la jeune fille qui r?pond ? son ardeur. La langue de la polonaise fr?tille, et force la fran?aise ? entrouvrir la bouche. Les deux langues se touchent, les salives se m?lent. Fran?oise sent une douce chaleur l’envahir. Il y a longtemps qu’elle n’a plus de compagne et cette d?licate caresse lui rappelle de bons souvenirs. Une main agile la distrait de ses pens?es, Svetlana a d?graf? le troisi?me bouton de son chemisier d’uniforme, et les doigts robustes de Madame Sulowski plong?s dans le soutien gorge, ont d?couvert le t?ton. Fran?oise sensible ? cet attouchement, pose une main tremblante sur le poignet pour se d?gager. Mais pendant qu’elle r?siste l’autre main de Svetlana, gliss?e sous la jupe courte atteint le slip de soie et cherche la d?pression du sexe. La respiration de Fran?oise s’acc?l?re. La polonaise rep?re le mont de V?nus, en dessous, la soie mouill?e dessine le clitoris et l’entreb?illement des petites l?vres. D?s que l’index de Svetlana s’est pos? sur le clitoris ? travers la soie naturelle du slip, Fran?oise perd toute r?sistance, elle s’abandonne ? la sensation excitante, elle mouille, elle se sent mouiller. La cyprine inonde les grandes l?vres et envahit son vagin. La tenanci?re de la pension l’a conduite sur le lit tout proche, et lui retire le slip tremp?. Bient’t la blonde ouvre les portes du temple, et d’une langue experte, elle ramasse tout le flux jaillissant. Lorsque la bouche br?lante atteint le clitoris, celui-ci spontan?ment sort de son capuchon et se redresse sous la vigueur du coup de langue. Fran?oise hurle de plaisir. Bient’t, nues toutes deux, elles s’?talent sur le lit. Fran?oise rendant avec g?n?rosit? les caresses re?ues. Le corps de la polonaise, plus robuste cache des muscles puissants. Son app?tit sexuel, aussi exigeant que celui de la fran?aise s’exprime plus brutalement. Le corps parcouru par les mains ?nergiques de Svetlana, Fran?oise pousse une douce plainte. La porte s’ouvre, le fils de Svetlana, Stepan apparait inquiet en entendant les cris de sa voisine. Il ne semble pas ?tonn? de voir sa m?re et la fran?aise, nues, en train de se caresser. En moins de trois secondes, il se s?pare de ses v?tements. son corps d’athl?te aux pectoraux puissants, aux cheveux couleur de bl?, se m?le ? leur jeux. Il suce ? son tour le clitoris turgescent de la fran?aise, tandis que sa m?re saisissant son p?nis maintien sa raideur en le pompant vigoureusement. Ce spectacle inusit? et totalement choquant excite violemment la jeune fran?aise, une m?re faisant un pompier ? son grand fils. Finalement, Fran?oise la bouche sur le sexe de Svetlana, ? genoux sur le lit d?vast?, les fesses ?cart?es par les mains du g?ant, l’anus fouill? par sa langue, g?mit plaintivement. Mais d?j?, le p?nis avait remplac? la langue. La grosse bite du polonais entrait difficilement dans le petit conduit anal de l’h’tesse. D’une pouss?e, il p?n?tre et d?charge sauvagement dans le rectum enflamm? par ses ardeurs. La sauvagerie de cette agression, avait laiss? Fran?oise, sans voix. La jeune fran?aise reprend ses esprits, tandis que Stepan ?branle sa m?re de p?n?trations multiples dans son vagin. Epuis?, il se retire sans un mot. Les deux femmes passent toute la nuit enlac?es, la petite t?te brune de Fran?oise reposant sur le sein droit de la polonaise. Le lendemain, jour de repos, la fran?aise ne reprend son poste que le jour suivant sur le 721 Varsovie-Frankfort, habill?e d’un petit tailleur noisette qui met en valeur ses fines chevilles, elle d?cide de visiter quelques ?choppes. Elle pense ? sa soir?e pr?c?dente et ? celle que Mercier a du organiser avec ses coll?gues. Pas m?contente d’avoir pu y ?chapper, elle ?voque ce macho de Mercier, qui convie dans sa chambre les trois h’tesses, Solange Anne-Marie et Fran?oise, ? chaque escale. Le co-pilote et le steward Gonesse participent ? ces orgies. Nues les filles doivent ? tour de r’le, ? genoux, faire un pompier au commandant, qui jamais ne les gratifie de la moindre caresse. D?s qu’il bande ? son gr?, il saisit la premi?re venue et l’enfile sur le bord d’un fauteuil avant de passer ? la suivante. Les deux autres membres de l’?quipage saisissent leur chance. Fran?oise a horreur de ce genre de r?jouissance. Elle aime les hommes, mais les pr?f?re caressants, doux, affectueux. Truon, plus tendre, semble accorder plus d’attention ? ses partenaires, il caresse ces jolies filles et parcoure toutes leur f?minit? d’une bouche amicale. Quant ? Gonesse, fier de sa bite, courte et grosse comme un gourdin, il ne pense qu’? baiser, sans aucun ?gard. Fran?oise, toute ? ses pens?es, n’a pas pris garde ? ces deux hommes qui tout ? coup, la saisissent par les bras et la poussent dans une voiture. Un troisi?me homme la tire ? l’int?rieure. La porte claque, le deuxi?me homme assis ? l’avant braque sur la jeune h’tesse un automatique de gros calibre. Les deux individus qui l’encadrent portent des cagoules bleues. l’homme au r?volter fixe sur Fran?oise ses yeux d’un bleu pervenche. ’Taisez-vous ! Ne criez pas ! Nous ne vous ferons pas de mal. Nous avons seulement quelques questions ? vous poser ’. Il lui parle en anglais, d?voilant de petites dents blanches de carnassier. Sa voix pos?e calme les appr?hensions de la jeune fille. La voiture a pris de la vitesse et gagne les faubourgs. Bient’t, les inconnus lui entoure la t?te d’une lourde ?charpe qui la plonge dans la nuit. Elle est ensuite, port?e tra?n?e dans une maison, les pas r?sonnent dans des pi?ces vides, glaciales. On l’assied adoss?e ? un objet dur, les bras ramen?s en arri?re sont attach?s avec des cha?nes. On lui retire le bandeau. Elle est assise sur un matelas d’enfant, encha?n?e ? un radiateur ?teint, dans une chambre vide, aux hautes fen?tres sans rideaux. Le papier peint jaun?tre d?chir? pend lamentablement. Aucun meuble, les trois hommes, le chauffeur demeure invisible, sont accroupis en face d’elle. Le plus costaud, retire sa cagoule, cheveux roux, visage rougeaud, il ressemble ? un boxeur d’une quarantaine d’ann?e. ’Premi?re question, depuis quand connaissez-vous Oskar Reynecke ?’. ’ A ma connaissance ce nom ne me dit rien, je ne me souviens pas d’avoir un passager de ce nom. Enfin c’est possible mais je n’en ai aucun souvenir.’ Le second masque lui dit :’ Ne vous fichez pas de nous! Nous sommes bien renseign?. Mais peut-?tre le connaissez vous sous un autre nom ?’. ’ Je vous assure, ce nom ne me dit rien,’. ’Oskar Reynecke, fils d’un des artisans de l’holocauste, dirige le groupe des neonazis de Varsovie.’ Le blond ? visage d?couvert la regarde de ses yeux bleus et ajoute ’ Nous ne savons pas encore, sous quel nom, il se sache ? Varsovie, mais nous trouverons ’. ’Nous avons la certitude qu’il se cache ? la pension Sulowski. D’apr?s un indicateur de la police qui nous a renseign?, il mesure 1 m 90, blond, sportif de proportion athl?tique, sadique, v?ritable obs?d? sexuel, il abuse des femmes. L’avez vous rencontr? ? ’. Fran?oise se rend compte que cette description correspond ? Stepan Sulowski, Elle se tait et d?clare ne pas conna?tre de pensionnaire de ce genre. Les ravisseurs s’en vont, elle reste seule, attach?e ? son radiateur en fonte. Au fil des heures, un besoin lancinant trouble ses r?flexions, elle doit faire pipi, et au plus elle ?vite d’y penser, au plus la pression devient douloureuse Plusieurs heures apr?s, elle appelle et le type ? t?te de boxeur arrive aussit’t. ’Il n’y a pas de W.-C.. dans cette baraque qui a ?t? bombard?e pendant la derni?re guerre, il n’y a, ni eau, ni gaz, ni ?lectricit?. Je vais voir ce qu’on peut faire’. Il r?apparait avec ses acolytes, tenant une grande gamelle. ’Soulevez-vous, un peu, je vais tirer votre slip et vous pisserez la dedans.’ Fran?oise veut protester, mais il n’y aucune alternative, ou, elle mouille son slip et la matelas ou elle accepte la proposition du rouquin. Celui-ci glisse les mains sous sa jupe et en tirant sur la ceinture ?lastique, il retire le slip soyeux et le d?gage des deux pieds. Ensuite il place la gamelle et l?ve la jupe pour rep?rer la trajectoire. Les trois hommes contemplent avec une certaine excitation la belle fourrure de son pubis. Le rouquin d?cid?ment tr?s obligeant, pose les doigts de chaque c’t? du m?at pour diriger le jet. Toute rougissante, Fran?oise, tr?s choqu?e dans sa pudeur, ne peut pas uriner. Alors le gros homme siffle comme on fait pour les chevaux. La jeune fille d?livr?e entend le bruit de l’urine tombant dans le pot m?tallique. La sensation d’apaisement se double d’une intense excitation sexuelle, en montrant ses parties les plus intimes ? ces hommes rudes, elle ?prouve un sentiment piment?, comme si elle reprenait l’initiative sur ses tourmenteurs cagoul?s. Le boxeur essuie la derni?re goutte avec ses doigts et les portant ? ses l?vres:’ C’est une bonne ann?e dit-il ’. comme s’il buvait du Chablis. Trois jours apr?s, Fran?oise nourrie de petits pains secs, avoue qu’elle a ?t? sodomis?e par un homme qui pourrait bien ?tre l’Oskar recherch?. Les beaux yeux bleus lui demande lors de prochains rapports avec le fils de Madame Sulowski, de pr?lever discr?tement sur un cure-oreille, une petite partie du contenu de son rectum. Une analyse de l’ADN permettra de comparer avec les ?l?ments en leur possession. Ils ram?nent la fille ? sa pension, en lui apprenant, chemin faisant, que des certificats m?dicaux ont ?t? exp?di?s ? son employeur pour justifier de son absence. Les coll?gues de cabine sont parties ? la date convenue. Elle re?oit mission de prendre le vol de 7h51 ? destination du Caire, o? elle recevra une nouvelle affectation. Apr?s un voyage sans histoire, elle aide les autres h’tesses, sur l’escalier de coup?e elle prend cong? des voyageurs. Comme toujours, lorsqu’elle est en service, dans les pays chauds, elle ne porte pas de slip, elle aime sentir le vent chaud du d?sert parcourir sa magnifique toison pubienne. L’h’tel international, qui accueille le personnel d’Air France, particuli?rement confortable offre des chambres ? l’air conditionn?. Avant le repas, Fran?oise est abord?e par un jeune anglais tr?s raffin? qui l’invite ? partager son repas. Tr?s gentleman, il lui fait une cour discr?te. Assis en face d’elle ? la petite table ronde, il laisse tomber sa serviette. Il veut voir mes jambes estime la jeune fran?aise qui ouvre largement les genoux, exposant ainsi sa jolie toison boucl?e aux regards concupiscents du jeune britannique. Celui-ci en se rasseyant, le visage tout congestionn?, lui saisit la main ? travers la table et y pose un baiser reconnaissant. Il appartient au Foreing Office, fils de lord Thorthon of Torndyke, il s’appelle Nick Gathwell, il est attach? ? l’ambassade britanique au Caire Sur le balcon de l’h’tel, la nuit semble magique, tr?s noire, trou?e de lueurs mouvantes, parcourue de la rumeur incessante d’une ville grouillante de monde, un peu inqui?tante aussi, elle rapproche les deux jeunes gens qui ?changent de tendres baisers. Reconduite ? la porte de sa chambre, Fran?oise ne peut se s?parer de son admirateur. Elle l’entra?ne ? l’int?rieur et lui retire sa veste de shantung blanc. Couch?s sur le couvre-lit, embras?s par un long baiser, ils savourent ces minutes d?licieuses pendant lesquelles, chacun esp?re aller un peu plus loin dans le jeu de la s?duction. Nick, le jeune anglais d?boutonne le tailleur strict d’Air-France et Fran?oise retrousse sa jupe d’uniforme et attire les mains de son compagnon sur le magnifique corps d?voil?. Couverte de baisers, elle se d?barrasse de tous ses v?tements et d?shabille le pudique jeune homme qui tient ? garder son slip d?form? par une ?norme bosse qui tente la main experte de l’h’tesse. La jeune femme se glisse sur le visage de son partenaire, accroupie, elle pose son sexe entrouvert sur sa bouche. Enivr? par le parfum de son vagin il l?che et aspire les s?cr?tions f?minines qui envahissent les petites l?vres. Une main derri?re le dos, Fran?oise baisse le slip et d?gage une verge tendue. Elle pivote sur elle-m?me, pour engloutir le p?nis mis ? jour, tandis que la langue du blond jeune homme p?n?tre au plus profond de son intimit?. Elle est tellement excit?e, qu’elle ne se souvient plus ? quel moment, il l’a poss?d?e. Elle se souvient seulement d’une lente p?n?tration pr?cautionneuse, qui ne semblait jamais s’arr?ter, suivie d’une s?rie de mouvements sauvages qui t?moignaient de sa jeunesse. Elle sentait le sperme se r?pandre d?licieusement dans son vagin. Elle s’endormit, toujours reli?e au jeune ?ph?be par son long membre viril. Le chaud soleil du petit matin la r?veille toujours engag?e et toujours aussi mouill?e. Nick devait terminer quelques affaires personnelles, mais lui donne rendez vous ? 17h sur le Rams?s qui faisait l’escursion jusqu’au barrage d’Assouan.

La travers?e du Caire demeure une ?pop?e m?me pour les personnes habitu?es, comme notre h?ro?ne. La circulation d?mentielle, le bruit ent?tant, les marchands ambulants, les crieurs de journaux, les mendiants entravent votre marche. Fran?oise ?tait arriv?e pr?s de l’appontement de l’embarcad?re? lorsqu’un horrible mendiant couvert de loques crasseuses la saisit par la main. Elle r?prime un geste de r?pulsion, l’homme porte un caftan jaun?tre, et un turban brun couvert de taches. Il l?ve la t?te, elle re?oit en plein visage l’?clair des yeux bleus. ’ Vous ! ’ ’ Silence, pas un mot, vous ?tes en danger de mort. Ne prenez pas le Rams?s. ’ ’Mais j’ai rendez-vous’ ’Vous prendrez ’ le Champolion ’ qui l?ve l’ancre dans une demi-heure. Je vous en conjure, ob??ssez, d’ailleurs mes hommes vous surveillent’. La vaillante h’tesse a reconnu l’?nigmatique kidnapper de Varsovie. Que fait-il au Caire. L’a-t-il suivie ?. Elle cherche autour d’elle la silhouette appuy?e sur un b?ton, il a disparu, happ? par la foule. Une demi-heure plus tard, sur le pont flottant o? l’on d?livre les billets pour les excursions, un haut parleur annonce qu’un attentat terroriste a caus? la mort de plusieurs passagers et membres de l’?quipage sur le Rams?s. Le Champolion pr?t au d?part est r?quisitionn? par la police qui embarque une compagnie de militaires en armes. Revenue ? l’h’tel K?ramis, Fran?oise lira dans la soir?e le nom de Nick Gathwell dans la liste des disparus publi?e par un journal local. Le lendemain, elle re?oit mission de rejoindre le vol 451 Le Caire-Munich. Toute ? ses pens?es, la jeune fille rejoint la Bavi?re dans un brouillard qui l’emp?che de r?fl?chir. Ce jeune anglais lui plaisait bien et le voila disparu. Le destin s’acharne-t-il sur les hommes que j’aime, pense -t-elle ? A peine arriv?e ? Munich avec 6 minutes d’avance gr?ce au vent arri?re, elle retrouve un poste dans le vol d’Air-France Paris-Prague . A Prague, elle retrouve son ?quipe de cabine et le commandant Mercier, toujours aussi macho. Le lendemain, l’?quipe sera de repos, Mercier en profite pour d?cr?ter une grande soir?e intime avec ses coll?gues de cabine.

La nuit enveloppe Prague d’un manteau de silence. Dans le centre, les n?ons de quelques magasins modernes tentent d’attirer les rares touristes attard?s. Le grand h’tel, lui-m?me somnole, Fran?oise en entrant dans la chambre du commandant, aper?oit la longue Solange dans les bras de Gonesse. Tout le monde habill? attend le signal de Mercier. D’humeur vagabonde, il ordonne ? Solange de se mettre ? genoux pour faire un pompier ? Gonesse. Anne-Marie fait glisser le pantalon et le slip du steward. Sa grosse queue courte et couverte de poils roux, prestement aval?e par la bouche avide de Solange, il se penche pour faire p?n?trer sa verge jusqu’au fond de la gorge offerte. Anna-Marie sur un signe de Mercier, lui caresse l’anus et l’enduit d’un gel transparent. Mercier soudain tr?s excit?, exhibe une verge tendue et sans un mot d’explication la pose sur le cul de Georges, il pousse son gland dans l’anus b?ant et p?n?tre dans le rectum du serveur qui l?che un cri inarticul?, surpris, il veut se d?gager, mais la poigne solide du commandant le maintien. Mercier par un mouvement de va et vient vient ? bout de la r?sistance du jeune homme. Solange suce toujours le membre dress? avec un bruit de salive remu?e, Anne-Marie ? genoux ?galement l?che les couilles de Gonesse, et parfois celles du commandant. Mercier aboie: ’Fran?oise, foutez- vous ? poil, nom de Dieu !’. Comme dans un songe, Fran?oise soul?ve sa jupe et d?voile son sexe qui d?j? s’entrouvre de plaisir, une goutte de cyprine pend aux l?vres roses. Elle retire sa veste d’uniforme et son chemisier, puis retire la jupe. Maintenant elle est nue, face ? Mercier, elle introduit deux doigts dans sa chatte, et entreprend de se masturber, ce qui excite encore plus ce vieux d?go?tant. Le frottement de la verge d?gage une chaleur telle que Gonesse se met ? jouir. Malgr? la douleur de la p?n?tration, c’est une premi?re pour lui, il ne peut r?primer la jouissance infernale que lui procure cette bite profond?ment enfonc?e dans ses entrailles. Il se sent poss?d?. Cette sensation d?licieuse se r?pand dans ses couilles, sa verge se tord dans la bouche de Solange. Il veut r?sister, penser ? autre chose, mais son regard accroche la main de Fran?oise qui ressort toute poisseuse de son vagin. Il ne peut plus retenir sa jouissance, il sent qu’il va jouir Il le crie ’ Je jouis ! Ah c’est si bon je vais partir !’ Ce cri d?clenche l’?jaculation du commandant, quelques puissantes contractions de son p?nis, excitent encore davantage le bienheureux Gonesse. A flot, le sperme du chef de bord coulent dans le colon du serveur, des soubresauts de plaisir soul?vent la queue de Georges qui d?charge voluptueusement dans la bouche insatiable de Solange. Mercier retire pr?cautionneuse sa bite du cul qu’il vient d’honorer. Il sait qu’apr?s l’enculage, certains ou certaines pr?sentent une douloureuse sensibilit? au retrait. Anne-Marie s’est redress?e et pr?l?ve dans la bouche de Solange, une portion de sperme qu’elle d?guste en ronronnant. Devant ce spectacle, Fran?oise a joui ?galement, comme en t?moignent les coul?es de cyprine qui maculent ses cuisses. Truon a contempl? toute la sc?ne sans dire un mot, au d?but son visage d’eurasien exprimait la r?probation, mais devant le corps d?nud? de Fran?oise, il a chang? d’expression, il a retir? son uniforme de second pilote et maintenant, nu, le p?nis redress? il s’approche de notre jeune h’tesse. Il l’assied dans un fauteuil, et d’une langue agile, il absorbe les s?cr?tions vaginales de la jeune fille. Longuement, il va susciter d’une langue effil?e, le clitoris saillant et les petites l?vres qui lui livrent acc?s au vagin. Frnn?oise tr?s excit?e ouvre ses belles jambes, elle n’a plus fait l’amour depuis la disparition de Nick. Quelques heures se sont ?coul?es, mais cette chastet? temporaire devient intol?rable, elle a besoin d’un homme. Maintenant, la langue insidieuse force le passage anal. Il enduit de salive la merveilleuse fleur rose de la jeune fille. Il aspire la salive r?pandue, et se r?jouit du go?t amer qui s’oppose au parfum suave du vagin. Fran?oise g?mit doucement, elle commence ? jouir tandis que le jaune, bandant comme un tigre la sodomise tr?s lentement. Excit?s par cette vision, Mercier se fait branler par Solange et Gonesse qui perd du sperme par son cul entrouvert se fait caresser par Anne-Marie. Quelques minutes plus tard, tandis que Fran?oise hurle sa joie et jouit de cette longue bite plant?e dans son cul, Mercier d?verse son sperme sur le sein de droite, dirig? par la main experte de Solange. Gonesse ajoute sa propre jouissance sur le sein de gauche.. Anne-Marie en parfaite m?nag?re l?che les liquides r?pandus sur les seins de son chef de cabine. Le matin du lendemain, un serveur de l’h’tel apporte un pli urgent ? notre chef h’tesse encore endormie. Elle se d?p?che de faire sa toilette et de prendre son petit d?jeuner. D?j? elle arrive en civil ? l’a?roport, son passeport ? la main et le billet re?u ce matin, elle passe le contr’le et prend place dans un antique Tupolev de l’Aeroflot qui la conduit ? Bucarest. A peine arriv?e, un taxi brinquebalant la conduit dans la banlieue, elle fait arr?ter le v?hicule, ? proximit? d’une s?rie de villas bourgeoises qui ont ?chapp? ? la folie urbanistique de Ceaucescu. Elle pousse la grille de fer rouill?e, la porte s’ouvre, elle est attendue. Deux heures plus tard, elle ressort, visiblement contrari?e. Apr?s un repas frugal au mess du personnel navigant, elle reprend le chemin de Prague. Le vol suivant Prague-Damas, commence sans incident. Mercier content de sa soir?e f?licite les filles de la qualit? de leur caf?, ce qui n’est pas coutume. Gonesse renfrogn? semble souffrir des privaut?s brutales du commandant, il s’assied avec pr?caution et de pr?f?rence reste debout. Truon ?panoui, proc?de au d?collage, sous le regard attentif de Mercier. Solange et Anne-Marie se font des confidences. Apr?s avoir compl?t? la liste des passagers, Fran?oise sort de son cagibi et jette un coup d’oeil circonspect sur les passagers du long courrier. A l’arri?re, un peu isol? des autres, un gentleman habill? ? Londres lui fait signe. Ras? de pr?s, l’?l?gant personnage l?ve le menton. Fran?oise re?oit comme un signal le choc des yeux bleu pervenche. Encore lui ! Un explication lui parait n?cessaire. ’Vous me suivez ? Qui ?tes-vous ?’ Assisse ? cot? du chef des ravisseurs, elle ne se sent pas en danger, m?me elle a la sensation qu’il l’a prot?ge. L’homme a remarqu? qu’elle ne porte pas de culotte, comme toujours lorsqu’elle porte les jupes moulantes d’uniforme. Il pose la main droite, paume en l’air sur le fauteuil au moment m?me o? l’airhostesse s’assied. Ses doigt prennent avantage de la situation, l’index et le m?dius, au coeur de l’action remuent le mucus vaginal. Tout autre femme se serait d?gag?e de ce geste inattendu, Fran?oise domin?e par ses sens, subjugu?e par ces doigts persuasifs, s’abandonne. L’homme de la main gauche soul?ve la jupe courte et saisit d?licatement le capuchon du clitoris. il caresse tout d’abord les grandes l?vres, puis ne sentant aucune r?sistance, il capture le bouton qu’il fait rouler entre pouce et index. Solange a aper?u le couple au bout de la cabine, avec sollicitude, elle tire d’un placard, une grande couverture qu’elle vient d?poser sur les partenaires. Elle semble avoir compris le sentiment qui les lie, car elle s’?loigne discr?tement sans prendre part aux ?bats. Prot?g?e par la couverture, Fran?oise part en exploration, elle ouvre la braguette et plongeant la main dans la chaleur excitante du slip, elle extrait une bite puissante grosse et longue. Cette sensation d?licieuse provoque une nouvelle coul?e de jus sur les doigts de son compagnon . Elle jouit par avance de pouvoir sucer cet ?norme p?nis, et esp?re que le sperme jaillira en abondance, gras, ?pais et onctueux, comme elle les aime. Elle laisse couler sa salive sur le gland au m?at b?ant et l’engloutit dans sa bouche avide. A plusieurs reprises, elle humecte le gros tronc et le triture avec la langue, jusqu’? ce qu’une plainte ?touff?e jaillissant sous la couverture lui t?moigne de la proche ?jaculation de son partenaire. Quelques contractions rapides et le gonflement sensible du gland pr?c?dent le flot spermatique. La sensation d?licieuse la fait entrer en jouissance, elle d?guste la semence ?paisse qui coule dans sa gorge. Elle a peine ? avaler cette abondance cr?meuse qu’elle d?glutit avec bruit, ce qui excite encore plus le myst?rieux personnage. Des commissures de ses l?vres, le sperme d?gouline sur son menton et barbouille son visage. ’Anne, tu m’as fait jouir comme jamais je n’avais pu le faire !’ ’Vous connaissez mon vrai pr?nom ?’ ’Je sais tout de toi, tu es Anne de Neubourg, Capitaine au service du contre espionnage de l’Arm?e Fran?aise. On vient de te conseiller de collaborer avec moi, Michel Goldfinkel, m?me grade mais ? la Mossad.’ Solange attentive aux besoins de ses passagers s’est approch?e. Tent?e par l’odeur d’amour qui flotte dans la derni?re rang?e de si?ge, elle s’assied ? la droite de son chef de cabine et lui saisit la main encore macul?e et la l?che ? grands coups de langue. Elle continue sur le menton de Fran?oise, elle exprime sa satisfaction par des petits cris ?touff?s. Notre h?ro?ne avec un regard complice ? son partenaire isra?lien, soul?ve la jupe d’uniforme de sa coll?gue et ?carte le slip, pour qu’il puisse voir la magnifique chatte de Solange. Le go?t du sperme sur le visage de son amie, et l’exhibition de son sexe d?clenche un orgasme chez la jeune h’tesse. Elle jouit debout, en parcourant du regard les rang?es de passagers ? demi assoupis qui leur tournent le dos. Arriv?s ? Damas, apr?s la formalit? tatillonne des passeports, l’?quipage se rassemble pour gagner l’h’tel de destination avec un vieux bus Volkswagen tout d?glingu?. L’h’tel une vraie caserne prison, sous le contr’le de la police d’Etat offre un certain confort. Le portier remets ? Fran?oise, une grande enveloppe qui contient une invitation ? une soir?e donn?e par le ministre de l’int?rieur, un g?n?ral qui a l’habitude de voir ses d?sirs, consid?r?s comme des ordres. Fran?oise a exhum? de son bardas, une tenue de soir?e, les invit?s sont en grande partie masculin, g?n?raux syriens, diplo- mates au regard imp?n?trable, quelques jeune femmes en caftan ou ?trang?res en sari ou en robe du soir. Fran?oise entour?e d’une petite cours d’admirateurs est pr?sent?e au ministre, qui la prie de le suivre un instant dans un petit salon. Il lui demande de bien vouloir prendre soin de sa jeune ni?ce qui voyage seule pour la premi?re fois en avion. Renseignements pris, l’appareil d’Air-France qui d?colle demain pour Paris figure sur l’agenda de Fran?oise. Rentr? dans les salons, le g?n?ral-ministre fait rechercher sa ni?ce. Cette petite et fr?le jeune fille aux yeux aussi noirs que ses cheveux d’?b?ne v?tue ? l’occidentale parle tr?s correctement la langue fran?aise. Elle a fait conduire ses bagages ? l’a?roport et comme le d?part a lieu de tr?s bonne heure, elle d?cide de passer la nuit ? l’h’tel du personnel a?rien. Une voiture blind?e des forces arm?es reconduit Fran?oise et sa prot?g?e. L’h’tel malheureusement complet ne peut offrir la moindre chambrette ? la future ?tudiante parisienne. Fran?oise se voit forc?e de partager sa chambre avec la petite jeune fille qui s’appelle Shannah. Elle lui laisse le libre acc?s ? la salle de bain, et lorsqu’elle m?me, ? son tour, regagne sa chambre, elle la trouve endormie dans le grand lit. Fran?oise a rev?tu une grande chemise de nuit, contrairement ? son habitude de dormir nue La lumi?re ?teinte, Fran?oise se d?tend, quelques heures seulement la s?pare du r?veil. Une petite main timide se pose sur sa manche, ’Mademoiselle, dites- moi comment vous vous appelez ? ’ . ’Je m’appelle Fran?oise’ dit notre h?ro?ne qui tient ? son pseudonyme. ’Tu peux me tutoyer !’ . ’ Moi, je m’appelle Shannah’. La voix de petite fille s’est rapproch?e de son oreille. Shannah dans un geste enfantin a pos? son ?norme chevelure noire sur l’?paule de Fran?oise, elle se blottit contre sa hanche et levant la t?te, elle d?pose un baiser sur la joue de l’h’tesse. ’J’ai peur dans le noir!. Au palais j’ai toujours une veilleuse dans ma chambre’. ’Tu ne dois pas avoir peur avec moi, il n’y a rien ? craindre’ ’Prenez moi dans vos bras’. Et la craintive jeune fille se serre contre Fran?oise qui a t’t fait de constater qu’elle est toute nue. Sans doute a-t-elle oubli? de prendre un v?tement de nuit. Le bras gauche de l’Airhostesse entoure les ?paules de la gamine. Au grand ?tonnement de Fran?oise, elle sent les doigts de la femme-enfant qui d?nouent les cordons de la robe de nuit. La bouche de Shannah part ? la recherche des t?tons, elle saisit le plus proche, entre ses l?vres serr?es. Elle suce, comme un b?b? suce son pouce. Fran?oise, un instant surprise, laisse faire. Le geste malgr? son c’t? os?, a quelque chose de tendre et de na?f. Je suis devenu sa nourrice pense-t-elle. Mais la petite main de Shannah, explorant la chemise de nuit, rel?ve l’ourlet, et tire la pan jusqu’? la taille. Ses doigts se referment sur le mont de V?nus Un instant elle caresse le poil souple de sa compagne de lit, mais d?j? d’un doigt prudent, elle ?carte les grandes l?vres et atteint le clitoris Fran?oise, sans effort, mouille abondamment sous les attouchements de la fille. Quelques minutes se passent, l’h’tesse savoure la pr?cision de la caresse sans r?agir, ni sans rendre la pareille. Comme Shannah fait des efforts pour lui retirer sa chemise, elle la fait passer par dessus la t?te. Elle lance la chemise au hasard dans la chambre. Son geste a ouvert les couvertures, la femme enfant plonge la t?te sous les draps, sa langue remplace les doigts. elle l?che les l?vres entrouvertes et le clitoris d?couvert. Puis, elle introduit sa langue pointue dans le m?at urinaire. La sensation douce et tendre mais aussi insidieuse a paralys? Fran?oise. Elle reprend ses esprits au moment ou la langue infatigable atteint l’anus. Tr?s en forme, Shannah crache de la salive sur le sphincter, elle torche de la langue et aspire le liquide ?pic? par les s?cr?tions de l’h’tesse. Tandis qu’un doigt fusel? p?n?trant dans le canal maintient l’excitation a son comble, la bouche entame la visite de la vulve. La langue curieuse tapisse la muqueuse d’une ?paisse couche de salive. Fran?oise n’a jamais ?prouv? une telle jouissance, elle crie, elle exprime son plaisir, un long r?le accompagne ses sensation intimes. L’extase dure plusieurs minutes, sa respiration revient ? son rythme normal elle se penche sur sa voisine pour lui t?moigner sa reconnaissance . La syrienne se glisse, jambes ouvertes au dessus du visage de Fran?oise. A genoux, elle ouvre sa vulve directement sur la bouche de l’h’tesse. Elle mouille terriblement, c’est un flot continu qui inonde la bouche de l’employ?e d’Air-France . Fran?oise aspire le liquide divin qui l’excite et l’a fait mouiller ? son tour. Elle sent que son orgasme qui s’est ?loign? revient ? la m?me puissance. Et les deux femmes, la bouche de l’une coll?e au vagin de l’autre entrent en jouissance en m?me temps. Jusqu’au matin, les deux femmes m?lent leur salive, savourent leur cyprine et p?n?trent dans leurs cavit?s sexuelles. Tr?s fatigu?es, mais triomphantes, nos deux h?ro?nes prennent place dans le petit bus qui doit les conduire ? l’a?roport.

Le v?hicule Volkswagen quitte l’H’tel pour la seconde fois, dans un premier voyage il a conduit l’?quipage ? l’a?roport. Fran?oise et Shannah, ?puis?e par leur nuit blanche, b?n?ficient d’un transport particulier, en hommage ? leur beaut?. Le petit bus rouge et noir avance en cahotant dans les ries d?fonc?es du centre ville. Tout ? coup, un camion d?labr? charg? de moutons b?lants, s’arr?te brusquement dans la voie ?troite. La porte d’une camionnette qui suivait le bus s’ouvre et deux hommes encagoul?s se pr?cipitent vers le conducteur du bus. D’une rafale d’un pistolet mitrailleur, ils neutralisent celui-ci et intiment aux jeunes femmes de les suivre. Aussit’t, elles sont enferm?es dans la camionnette qui r?ussit ? emprunter une petite ruelle lat?rale. Tandis que le chauffeur fait des prouesses pour ?viter les marchandises ?tal?es dans la rue, les deux cagoules attachent ?troitement les deux filles avec de tr?s grosses cordes ? une main courante. Ils les questionnent en fran?ais, ’O? sont les autres membres de l’?quipage ?’ . ’D?j? ? l’a?roport!’. Visiblement ils recherchent les pilotes. Ils cachent leur d?sappointement. Apr?s une heure de route et de cahots, la camionnette s’arr?te enfin. La porte ouverte, dans un cliquetis d’armes diverses, le bleu intense du ciel radieux envahit l’espace de chargement. Les filles sont autoris?es ? descendre. L’horizon tr?s ?loign? accuse quelques collines. Le sol uniform?ment ocr?, s’?tend ? leurs pieds. A peine peut-on distinguer la petite route serpentine qui les a amen? jusqu’ici. Fran?oise toujours entrav?e, obtient de pouvoir s’?loigner de quelques pas pour un besoin pressant. Shannah a traduit en arabe, la demande ? celui qui parait le chef. Fran?oise se r?jouit de porter la robe de service, celle-ci moule son corps si ?troitement qu’elle ?vite de mettre une culotte, lorsqu’elle est en uniforme. Elle ouvre largement les cuisses et pisse un long jet d’urine sur le sable qui l’absorbe imm?diatement, sous l’oeil songeur du ravisseur. Shannah qui semble jouir d’un traitement de faveur, d?barrass?e de ses entraves, fait glisser son slip et joint son urine sur le sable mouill?. Derri?re un petit rocher, ocre ?videment, quatre chameaux blat?rent. R?entrav?es, tra?n?es jusque la, les deux femmes sont hiss?es sur une selle en peau de mouton, plac?e entre les bosses, et l’animal placide se redresse. Chacune solidement attach?e au bat d’un chameau, les deux chameliers qui ont remplac? les hommes en cagoules prennent direction des collines. La journ?e se poursuit au lent balancement des chameaux. Le ciel d’un bleu turquoise ray? par la trajectoire fuligineuse des h?licopt?res de plus en plus nombreux retient l’attention des b?douins. Ils jettent un caftan crasseux sur les deux prisonni?res et placent un turban sur leurs cheveux. La transpiration des chameaux est insupportable au nez de Fran?oise, ?coeur?e par l’odeur tenace du v?tement, m?lange de suri et de rance. Des deux chameliers, le plus ?g? parait le chef. Il indique la direction du voyage. Son visage tann? par le soleil du d?sert, envahi par une barbe hirsute aux poils noirs ou blancs indique par l’?nergie des traits taill?s ? la serpe qu’il accomplira la mission qui lui a ?t? confi?e, sans se pr?occuper de sentiments. Toutes tentatives d’engager un dialogue est rest?e vaine, tant pour Fran?oise, en anglais ou en fran?ais, que pour Shannah en arabe. Il dit ? son jeune compagnon quelques mots en dialecte irano-syrien compr?hensibles pour la jeune fille. qui recommandent le silence. Le soleil d?j? haut dans le ciel marque l’arr?t momentan? ? l’ombre d’un rocher. D?sentrav?es les deux filles re?oivent la m?me pitance que les ge’liers, une cr?pe de pain azyme qui a adopt? l’odeur des chameaux. Le barbu a depuis longtemps remarqu? que Fran?oise ne porte rien sous sa robe. Il se laisse choir lourdement sur le sable ? c’t? de l’h’tesse, r?ajuste la grosse corde qui lui maintient les mains et dans le m?me mouvement, retrousse la jupe jusqu’? la taille. Brutalement, il ?carte les jambes de notre h?ro?ne et d?gageant son p?nis en soulevant sa djellaba, il se couche sur elle, p?n?trant son intimit? la plus secr?te de sa grosse bite, courte et basan?e. Fran?oise n’a pu retenir un cri d’horreur. Elle se sent ?cartel?e sans m?nagement, par le membre dur comme de la pierre qui d?chire sa chair. Jamais, elle n’a ressenti une douleur aussi fulgurante, lorsqu’elle a perdu jadis sa virginit?, ? peine avait-elle senti une l?g?re piq?re. Le barbu la fouille avec vigueur avec son sexe durci. Un voile noir aveugle la jeune h’tesse, sa peur intense brouille sa vision. Son corps ?cras? par le poids de cet homme robuste, l’a fait souffrir horriblement. Les cordages entrent dans ses poignets, le chanvre br?le comme un feu. Ses seins sz soul?vent de terreur et sa poitrine hal?te, une vague de flamme envahit ses poumons. La sueur coule sur son corps d?nud? qui tente d’?chapper ? l’inf?me possession. Mais un spasme puissant monte de ses entrailles, domine la sensation de d?go?t que lui cause la salet? du barbu, elle jouit , elle perd la notion du temps. Elle se presse ? la rencontre de l’homme qui la poss?de, comme si la courte bite pouvait p?n?trer plus avant. L’intense douleur du vagin d?chir? agit comme un piment qui excite plus qu’il ne retient. L’odeur infecte qui la prenait ? la gorge, l’excite maintenant, elle respire avec avidit? la sueur m?l?e d’urine qui s’exhale de son violeur. Elle ouvre la bouche et embrasse fougueusement le barbu qui surpris met un certain temps ? r?pondre ? son baiser. Fran?oise entend seulement maintenant les cris de Shannah qui g?mit sous l’?treinte du plus jeune chamelier. Moins brutal que son aine, il a induit chez la fille une intense jouissance, qui se traduit par une m?lop?e tr?s aigu?, tr?s diff?rente de celle qu’elle clamait dans le lit de Fran?oise. Finalement, Shannah a tra?n? le chamelier aupr?s de l’H’tesse, dont elle couvre le visage de baisers. Le barbu d’un geste s’est d?gag?, Fran?oise de plus en plus excit?e, saisit le p?nis puant et enivr?e par l’odeur elle suce les gouttes de sperme qui ont ?chapp? ? son vagin. Le barbu qui s’appelle Martouk se l?ve et donne le signal du d?part. Attach?e sur le bat de son chameau, Fran?oise souffre le martyre, son sexe bless?, expos? aux rayons du soleil, s’arrache encore plus sur cette peau de mouton. L’AirHostesse retrousse sa robe chiffonn?e jusque sous les seins esp?rant un peu de fra?cheur ce qui est illusoire sous cet ardent soleil. Soit que les quatre chameaux ont franchi la fronti?re de l’Irag, soit que l’interm?de ?rotique ait rassur? les ge’liers, la surveillance se rel?che. La nuit met fin au supplice de Fran?oise, d?sormais, les prisonni?re ne sont plus entrav?es, pour la premi?re fois, un feu allum? entre deux pierres r?chauffe un maigre d?ner de boulettes de couscous. Du lait de chamelle bu dans la gourde du barbu et de l’eau croupie arrose ce maigre repas, rapidement suivi par une reprise des ?bats amoureux. Evitant le sexe douloureux de Fran?oise, le barbu accorde toute son attention ? son cul. De ses bras puissants, il lui enserre les hanches, ? genoux, Fran?oise sent la barbe rude glisser entre ses fesses et la langue p?n?trer dans son anus. Elle s’attendait ? cette caresse, et malgr? son appr?hension son sphincter s’ouvrait de lui-m?me, comme une jolie fleur dont les roses p?tales se d?ploient aux rayons du soleil. Bien enduit de salive, le conduit n’offrit aucune r?sistance ? la queue rude, mais beaucoup moins brutale qu’auparavant. En se penchant en avant, pour faciliter l’introduction, Fran?oise pique du nez sur le sexe grand ouvert de Shannah que le jeune chamelier a dispos? devant elle, tandis que la syrienne d?guste son p?nis. Ainsi reli?s les uns aux autres, nos quatre personnages jouissent sans retenue sous le ciel ?toil? qu’Allah mis?ricordieux leur a offert pour leur nuit de noce. Trois jours durant, ils chemin?rent parmi les rochers ocre, toujours vers l’est. Fran?oise attend avec impatience, les trois repas frugaux toujours suivis d’?bats ?rotiques. La plaie de son vagin, parfaitement gu?rie, elle monte ? cru le si?ge de mouton de sa chamelle. Elle ne porte plus aucun v?tement, le soleil lui a tann? la peau ? la couleur des roches. Roul? en turban, la d?funte robe de la compagnie a?rienne la prot?ge des rayons ardents. Shannah l’a imit?e et les deux femmes, les seins au vent traversent fi?rement les collines de pierre. A l’?tape, sur un tapis d?ploy?, le grand jeu les rassemble tout les quatre. Samlr, le plus jeune chamelier se joint ? Martouk pour p?n?trer les deux filles. Fran?oise pour la premi?re fois de sa vie amoureuse, empal?e sur le p?nis long et mince de Samir, sent la queue de Marouk p?n?trer dans son cul. Coll?e au ventre du jeune homme, envahie par l’odeur tenace de sueur et celle de sa propre crasse, elle esp?re cette double introduction, douloureuse et lente , mais qui lui procure une joie indicible. Chaque p?nis entr? jusqu’au pubis dans son corps pantelant anime sa jouissance. Un fer rouge dans ses entrailles cr?e un feu d?vorant. Savannah adoucit la tension de tout son ?tre, en lui offrant gentiment comme une fleur ouverte, le don de son sexe d?goulinant de cyprine qui apaise ses l?vres alt?r?es. Ensuite Savannah ? son tour devient la proie des deux chameliers qui la p?n?trent simultan?ment, tandis que Fran?oise lui rend son offrande. La nuit, les quatre corps allong?s sur le tapis, dans une seule couverture prennent un repos bien gagn?. Fran?oise songe aux efforts de la journ?e, elle compare mentalement les performances des deux ravisseurs. Elle se demande ?galement, si des recherche ont ?t? entreprises pour la retrouver. Les h?licopt?res et les avions des premiers jours ont compl?tement disparus. Il lui reste quelques pilules contraceptives, dans la petite aumoni?re qu’elle a dissimul? dans une fonte du bat. Elle partage avec Shannah, mais bient’t, elle n’auront plus de protection. A l’?tape suivante, Shannah couch?e sous le corps de Fran?oise accroupie suce les grandes l?vres de sa copine, tandis que les deux hommes ? tour de r’le p?n?tre dans le sexe de Fran?oise, et lorsque leur p?nis d?rape et glisse dehors, la bouche alt?r?e de la syrienne s’en saisit et vole au passage le t?moignage de leur ardeur. Au jour suivant, les chameaux mus par un signal invisible acc?l?rent leur pas de s?nateurs, et bient’t les voyageurs du haut de la colline voient ? l’horizon une vall?e verdoyante et un village de maisons en terre battue longeant le cours de l’Euphrate. La M?sopotamie d?ployait son charme mill?naire devant leurs yeux br?lant encore du sable du d?sert. Rhabill?es d’un caftan blanc lign? de bleu, les prisonni?res attach?es ? nouveau, furent conduites dans une rue d?serte, dans une petite maison de paille et de torchis. Elles furent encha?n?s dans une pi?ce presque vide. Les gardiens qui leur avaient fait des adieux ? la derni?re halte, disparurent. Une femme d’un noir d’?b?ne, une somalienne, leur apporta un excellent repas. Un grand calme r?gne dans la petite maison, troubl? parfois par les pleurs d’un nourrisson. La somalienne visiblement d?go?t?e par l’odeur des deux voyageuses, apporte une ?norme cuvelle de bois cercl?e de fer, la remplit d’eau fra?che, ajoute de l’eau tr?s chaude et apr?s avoir retir? leurs entraves, lave Fran?oise d’une main ferme avec du savon de Marseille. Assisse dans la cuve, L’AirHostesse, sous la poigne solide de la gardienne pense que celle-ci privil?gie certaines parties de son corps, elle passe et repasse sa main savonneuse entre les cuisses et s’attarde d?lib?r?ment sur les seins de Fran?oise qui paraissent minuscules en comparaison avec les deux ?normes baudruches gonfl?es qui ont ?chapp? ? sa robe noire toute d?boutonn?e. G?ante et robuste, la noire mesure pr?s de quatre-vingt quinze centim?tres et doit peser plus de cent kilos, soul?ve notre amie et la posant sur une chaise lui tend une serviette ?ponge. Ce fut le tour de Shannah d’?prouver le r?curage minutieux de la somalienne, elle tente la conversation, la noire s’exprime dans un dialecte ?thiopien, mais baragouine un peu l’arabe irako-syrien. Les deux filles apprendront que enlev?e dans son pays par une bande de terroristes int?gristes et conduite de force en Irak, elle f?t viol?e par cinq de ses agresseurs et se retrouva bient’t enceinte. Elle venait d’accoucher trois mois auparavant d’un petit gar?on avec l’aide d’une sage femme locale et on l’avait charg?e de nourrir des prisonniers des int?gristes dans cette petite maisonnette. Souria c’?tait son nom, cuisini?re experte confectionne des plats consistants pour r?tablir les deux jeunes femmes. Il n’y a aucun gardien dans la maison, les deux prisonni?res jouisse d’une libert? totale dans les trois pi?ces. Le soir venu, elles sont pouss?es dans un grand lit ? l’occidentale. le b?b?, apr?s sa derni?re t?t?e s’est endormi. Souria vint prendre la place centrale sous les draps. Les trois femmes dorment nues et se rapprochent ? cause de la fra?cheur de la nuit. Shannah repose sa petite t?te, sur le gros sein gonfl? de la noire, qui lui embrasse le front. Fran?oise plus r?serv?e s’est retourn?e de son c’t?. Elle sent le glissement des draps, la syrienne explore le bas-ventre de Souria, glissant ses doigts fusel?s dans la vulve b?ante. Fran?oise attir?e par des bruits de clapotis, se retourne et plongeant la t?te sous les draps, l?che le sexe de la somalienne. Celle-ci mouille abonnement sous les caresses des deux femmes. Sa cyprine d’un go?t plus cors? que les amantes habituelles de la jeune h’tesse, l’a fait d?faillir, elle mouille elle m?me ? tel point qu’elle aurait t?ch? les draps si Shannah n’avait aval? cette offrande d?licieuse. Saisie par les bras puissants de la noire et assise sur son visage, elle continue sa s?cr?tion dans la bouche de la gardienne. Le sexe de Souria attire les deux jeunes femmes, profond d?fendu par de grandes l?vres d’un noir d’encre, brillantes de secr?tions continuelles, il cache des replis d’un rouge ?clatant, par chance, elle n’a pas ?t? op?r?e, elle a gard? son clitoris et ses petites l?vres charnues. Pendant de longues semaines, les trois femmes, ont altern? la cuisine, les soins au nourrisson, et les heures pass?es au lit ou sur les tapis de la pi?ce principale. La noire infatigable l?chait l’une ou l’autre de ses pensionnaires, souvent les deux. Fran?oise qui avait repris du poids et dont la poitrine avait grossis sous les caresses, malgr? sa bonne mine, avait les yeux battus d’une femme bien bais?e. Elle se demandait souvent, si on la recherchait encore. Sa disparition avait s?rement fait l’objet d’une enqu?te internationale. Mais les jours et les mois pass?s sans aucun r?sultat, ils avaient d? abandonner les recherches. Un matin, les trois femmes entendent des coups de feu, semblant provenir du bout de la ruelle. Soudain, un b?douin, cagoul? de noir ouvre brutalement la porte, braquant sa mitraillette sur les occupants. Fran?oise se pr?cipite au cou du combattant, elle a reconnu le regard des terribles yeux bleus. Michel l’a retrouv?e. Mais celui-ci ordonne ’Viens vite, nous ne pourrons longtemps tenir t?te aux int?gristes. J’ai un h?licopt?re dans la prairie voisine.’ Fran?oise refuse d’abandonner Shannah, Souria et le b?b?. C’est ainsi que les quatre personnes furent ?vacu?es par le gros h?lico survolant ? basse altitude les collines d?sertiques de l’Iraq. Michel doit lui faire une confidence, mais il attend l’arriv?e ? TEL-AVIV, les deux moteurs de l’h?lico rendent la conversation impossible. A peine sur le sol isra?lien, il la conduit dans un petit salon ? l’?cart, Fran?oise s’attend ? des caresses de retrouvaille, mais le commandant parait troubl?, ’Sais-tu qui est cette syrienne que tu trimballe ? tes c’t?s?’. ’La ni?ce du g?n?ral-ministre syrien ’. ’Pas du tout, Shannah, n?e de p?re inconnu, est la fille d’une prostitu?e du quartier r?serv?, elle m?me exerce ce m?tier, elle est sp?cialis?e dans la s?duction des diplomates ?trangers et si on l’a plac?e sur ta route, c’est pour obtenir des renseignements sur ton service.’ A l’h’tel, Fran?oise questionne Shannah, qui avoue l’essentiel des informations de Michel. Elle ajoute ’ Je ne t’ai jamais trahie Fran?oise, je n’ai jamais fait de rapport depuis que nous avons fait connaissance. Je ne tiens pas ? renouer le contact avec la Syrie. Garde-moi pr?s de toi, je te servirai fid?lement, je resterai dans ton ombre et je serai pr?te quand tu m’appeleras pour te caresser. Tu es devenue la raison de mon existence. ’ Le soir, Michel lui appris que Solange apr?s ta disparition avait rassembl? tous tes bagages rest?s ? Prague et les a exp?di?s ? Paris. Stepan toujours aussi excit?, l’a renvers?e sur ton lit et l’a sodomis?e selon ses habitudes Nous avons maintenant la preuve qui nous manquait, Stepan recherch? par la commission de l’O.N.U. des crimes de guerre a ?t? arr?t?. Le prochain vol d’Air-France emporte ? Paris, les trois femmes et le b?b?, qui vont vivre d?sormais dans l’appartement que fran?oise a h?rit? de ses grands parents. Fran?oise b?n?ficie d’un cong?, qui lui permettra de rester au calme en attendant de prochaines aventures.

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