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Une sorte de première fois – Chapitre 1




J’avais à peine 20 ans et je traînais dans la vie, passant de combine en petite affaire, d’un petit coup de commerce à une petite arnaque. Tout cela me valait d’avoir du temps, un peu d’argent, une réputation de vilain garçon sans être méchant qui plaisait aux filles. Je plaisais aux filles et parfois à leur mère. Les femmes de 40 ans n’ont pas attendu que l’on explique la chose pour aimer s’envoyer en l’air avec le petit ami de passage de leur fille. Par ce que je ne pouvais être qu’une distraction pour des jeunes filles bien comme il faut ; pas sérieux ce type là qui ne travaille pas, se lève à neuf heures, et n’a jamais de souci !

Bref en dehors de cela le café me servait de bureau et d’annexe au bureau. Jean un garçon un peu maigre me servait d’homme à tout faire pour mes transactions. Simple présentant bien, il est ce type de personne qui aime bien qu’on lui dise ce qui faut faire, comment et quand et il le fait bien.

Un soir, il est venu avec une jeune fille fraîche et délicieuse, une fille friandise, une de celle que l’on aime consommer pour passer un bon moment. Oh, je sais, il n’est pas bien de parler comme ça des filles, mais je dois admettre que mon sens moral est assez primaire et je ne fais pas grand-chose pour essayer de l’améliorer. Et puis de toute façon je suis de ceux qui reçoivent un sourire quand on demande à une fille « tu veux bien me sucer ? » quand d’autre reçoive une baffe. Pourquoi c’est un mystère, ben bon je préfère être sucé que baffer ! Donc tout va bien ! Quand Jennifer est arrivée avec son air de gamine, ses longs cheveux roux, ses petits nichons un peu plats dont les tétons tiraient le tee short. Rapidement je l’ai approché et sans beaucoup de chichi je lui ai proposé de venir partager la soirée avec son frère et moi. Certes nous avions un peu bu, certes il est possible que l’alcool embrume les esprits mais vers deux heures du matin nous nous sommes retrouvés chez moi.

En montant l’escalier, derrière elle, je lui flattais les fesses

-« T’as un p’tit cul qui mérite mieux qu’une caresse de ma main »

–  Ca dépend si ta main fait bien on peut voir pour ensuite et autre chose !

J’ouvris la porte et Jean s’écroula sur la banquette, il semble vaincu par la fatigue.

Dans l’entrée, je retourne vers moi Jenni et doucement de mes lèvres je lui caresse son cou, sa nuque, en revenant sur ses lèvres. Elle apprécie, et ses lèvres viennent répondre à mes lèvres.

Les habits entre les caresses tombe sur le sol et je m’aperçois que je n’ai pas refermé la porte d’entrée.

Bandante cette nana !

Ton frangin est aux abonnés absents, lui dis-je en la menant vers la banquette où est affalé Jean.

C’est un vicieux, il fait semblant, me glisse t-elle dans l’oreille

nan tu crois ?

En plus il doit être pédé, il ne parle que de toi, attends tu vas voir je vais l’exciter.

On pousse un peu Jean et on continue nos échanges manu-manu.

Ces petits seins sont fermes, même durs avec comme un deuxième petits seins plus tendres sur lesquels trônent deux framboises qui semblent lui refiler des décharges électriques à chaque coup de langue, chaque titillage de mes dents.

J’adore ça !

Je sens ses mains devenir baladeuses et prendre fermement la fermeture de mon pantalon, encore rescapé à cette heure, mais plus pour longtemps !

Je tends mes mains vers son ventre, ses hanches.

Je l’agrippe pour lui faire un tête à queue, elle légère et comprend vite, et aide à la manuvre. Me voici avec une petite chatte encore toute fermée.

Juste un trait surmonté d’un petit triangle roux et raz.

J’adore cette odeur.

Jentrouvre son sexe pour y aller chercher quelques merveilles, que je ne tarde pas à trouver.

Elle de son côté semble aussi avoir trouvé son bonheur, je sens ses mains qui me caresse l’entrejambe, ses doigts qui se promènent sur mon anus, l’effleure, le rend nerveux, ses mains qui me massent délicatement les bourses et dans sa bouche, je crois desceller plusieurs autres organes inconnus qui font passer un test de résistance à ma queue que je sens grossir au-delà de ses habitudes.

Elle est balèze cette gamine.

Une vraie amatrice éclairée de sexe.

Alors je m’applique, c’est du lourd mes frères !

Je vais chercher la perle rose de son clito que je fais rouler entre mes doigts et remonte avec ma langue. Des petits coups, pas trop vite, et puis juste les doigts. Puis aspire tout comme à vouloir m’en rassasier ! Je sens, j’écoute, je palpe, je recherche l’effet de mes caresses, comme un marin se dirigeant à la corne de brume j’y vais sur son souffle.

Et d’une main, se détachant de son clito, je remonte vers l’entrée de sa chatte. J’entrouvre et glisse mes doigts doucement.

Bordel quelle odeur, c’est mieux que du 5 de chanel ou je ne sais quelle eau de parfum enivrante. C’est à la fois chaud, un peu miel et une pointe de thym.

Quelque chose comme ça ; les rousses c’est toujours un vrai bonheur pour les sens.

Sensuel c’est sûrement cela. Prenant du bout des doigts je franchis le centimètre pour venir caresser l’entrée de ce petit cul.

L’instant de vérité !

Enfin c’est ce qu’elle m’a dit.

Promis ?

Vas savoir !

C’est étroit mais pas hostile, je ne sens ni surprise ni recul.

Je récupère un peu de mouille et je reviens pour faire une plus ample connaissance avant d’être plus profonde. Voilà que ce petit cul m’attire vraiment. Je commence une contorsion pour venir lécher ce puits encore fermé, et j’y vais doucement pour ne pas laisser des bouts de mon attribut dans sa bouche.

Je ne sens plus ses doigts, bizarre. Je verrais ça plus tard j’ai de quoi faire encore. Mon pouce s’enfonce dans son cul, et c’est doux. Ma langue cherche à baiser sa chatte et je la sens qui relève les fesses, elle se cambre en écartant les jambes. Elle se met en position pour que j’aille plus loin, et j’y vais !

En reprenant un peu une respiration après ses travaux en apnée, par sa position en tordant le cou, je vois que ces mains sont en train de branler son frère jouant les grands endormis sauf de la bite visiblement.

Bof, cela reste en famille, c’est mieux que « sans famille ».

Alors doucement pour ne pas interrompre sa caresse familiale je me dégage et je viens me placer derrière elle, je rentre dans sa chatte et je commence à limer doucement.

C’est jeune serré et très doux, je me régale. Doucement je veux sentir sur la peau de ma bite chaque millimètre de cette douceur.

Perle de chatte !

Sa bouche est passée sur la queue de son frère et ses doigts semblent s’occuper de son cul, il s’écarte. Il semble apprécier des visites dans son trou de balle. Je vois son poignet s’enfoncer entre les jambes de Jean, je l’entends ronronner ! Un vrai petit diesel !

Cela m’excite, mais si je veux tenir la distance il me faut calmer la bête !

Pas le moment de laisser l’écume sortir.

Je m’accroche à ses hanches, je lui caresse le dos, je reviens dans son anus lui rappeler mes doigts à son souvenir. Je lui prends l’épaule près du cou, je vais chercher ses seins que je pince pour sentir son dos s’arrondir et ses fesses venir se coller contre moi.

Et elle continue de sucer la queue fraternelle et de doigter le trou de balle avec ardeur. Je ne vois pas tout mais je suis sûr qu’elle lui met au moins trois doigts dans le fion !

Et le ronron s’accélère, il commence un grimace.

Aaaahh, je viens. Nous dit-il !

Il lui prend la tête et il la plaque sur son ventre, elle n’a pas eu le temps de se sortir de son pieu, et bordel il est bien monté le bougre. Ça doit aller chercher dans les 20 centimètres le bestiaux. Tout est dans la bouche et la gorge de la surette qui ne semble pas gêner pour autant.

Il y a de la descente mon neveu, et l’autre il ne ronronne plus, il rugit, il jouit, il remplit la bouche de sa sur de sperme, de foutre, de ce que vous voulez !

Elle avale, elle relève la tête se sortant de la queue de son frère, c’est hallucinant de voir sortir une telle quantité de matière de cette petite bouche. Elle relève la tête, me regarde avec un drôle de petit sourire et elle me dit :

Maintenant, prends le, tu vas voir sil n’est pas aussi un peu pédé !

Elle lui enlève son pantalon baissé alors que je me retire d’elle. Je relève les jambes de Jean et s’en plus de manière je rentre ma queue dans son cul et je m’enfonce à fond ! Je le regarde droit dans les yeux et je vois les sien qui tourne ; il aime ça !

Et je commence à le limer.

Sans tendresse, avec vigueur mais sans brutalité je vais et je viens. Il plie ses jambes derrière moi pour attirer tout en lui.

Putain cela ne doit pas la première fois !

Il me regarde mais sans me voir, il est à son plaisir et il est content que je le bourre.

Je suis sûr à ce moment que ces deux-là m’ont manipulé. Ils vont voir, ils vont en avoir pour leurs attentes. Ils ne vont pas être déçu !

Elle vient à califourchon sur le ventre de son frère me présentant sa chatte et son cul, elle embrasse son frère et lui dit quelque chose à l’oreille. Eh bien tu n’est pas venue pour rien ma belle !

Prends ça lui dis-je en lui mettant une bonne claque sur les fesses !

Et je passe d’un cul à l’autre. Elle se débat un peu, sagrippe à son frère, le griffe. Lui s’accroche à elle. Mais je continue j’entre ! Et ça passe. Je lime un peu et je retourne bourrer le cul de jean. Et je vais de l’un à l’autre. Je vois la queue de jean reprendre un peu de vigueur alors je l’aide d’une main amicale, je le branle en cadence en même temps que je viens et ressors de son cul et dés que elle est juste un peu durcie je la fourre dans la chatte de sa sur et je retourne mettre mon pouce dans son cul de fille magnifique, tendu.

Elle se débat encore un peu ce qui fini de redonner de la vigueur à la bite de Jean, lui est immobile et c’est elle qui vient s’empaler sur le sexe qui continue à se tendre.

Elle commence à respirer fortement, on sent l’effet qui monte alors je me sors de Jean et je viens de nouveau enculer ce cul extraordinaire.

Je rentre avec vigueur sans douceur, une fois pour elle une fois, pour lui. Et ils viennent contre moi pour encore mieux de me sentir, me recevoir. Nous baisons à l’unisson, nos corps sont synchro, je sens son sang battre dans ses tempes, je sens son souffle soulever son ventre, je sens qu’ils communient ensemble, je sens sa chatte se contracter.

Tiens ça c’est pour vos cachotteries !

Je suis tendu, au bord de l’explosion. A force de faire le coq, cela commence à me remonter à la gorge. Alors j’attrape les hanches de Jennifer fermement, je rentre dans son cul sans ménagement, je m’introduis franchement, jusqu’à aux couilles. Et je lui fracasse la rondelle, je la défonce, je me défonce. Jean essaie de m’attraper pour donner encore plus d’élan à mes coups de bite, il me pousse en elle ! Et elle, elle monte, elle nous engueule, elle crie, elle souffle, elle se tend, se durcit. Elle crie :

Salaud, encore, oui !

Mais elle jouit, elle aussi, elle exprime fort bien le moment.

C’est trop.

Je ne sais pas à qui elle s’adresse mais c’est le bouquet et je jouis, je sens mon intérieur partir, vouloir sortir par ma queue, je sens ma tête qui se vide, je ne vois plus clair, mes jambes commencent à flageoler et ça sort, et encore, encore.

Je tombe, je m’écrase sur son dos et roule sur le côté sur la banquette.

Le truc de l’ange, c’est maintenant !

— Élève appliquée me dit-elle, en venant se lover dans le creux de mon épaule, nous échangeons un baiser au goût de sperme de son frère, de sueur, et un peu de sang.

Salope ! C’est tout ce que je trouve à dire comme si dans ce mot, toutes les merveilles des livres qui parlent d’amour étaient des diamants que je lui offrais !

Jean fini de se branler dans son coin et après un petit râle il éjacule et deux minutes plus tard on l’entend ronfler doucement ! Cette fois il dort !

Plus tard, ils ont bien essayer de me faire croire que c’était la première fois.

Ils voulaient réaliser un fantasme

Pourquoi pas.

La prochaine fois je baise avec qui sa mère ?

En fait je m’en fous, heureusement cela n’a pas été la dernière fois !

Pour moi c’était mon premier mec et j’ai aimé, la première relation avec des incestueux, j’ai aimé, ma première histoire bi,, j’ai aimé.

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